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Article du jour - Page 115

  • Challenges - Elections sénatoriales: vers une première gifle électorale pour Emmanuel Macron?

    Sans majorité ni réseau d'élu, la République en Marche aborde les élections sénatoriales dans une situation de grande fragilité.

    Après deux succès éclatants à l'élection présidentielle et aux législatives, La République en Marche (LREM) s'apprête-t-elle à vivre sa première déconvenue électorale? Sans réseau d'élus locaux ni majorité sortante, le parti d'Emmanuel Macron devrait logiquement s'incliner aux élections sénatoriales dimanche 24 septembre. La République En Marche pourrait même se retrouver en troisième position derrière Les Républicains et le Parti socialiste, les deux forces majoritaires au Palais du Luxembourg. Dans les locaux de la rue Sainte-Anne (2e arrondissement de Paris) où le mouvement présidentiel vient tout juste de poser ses cartons, l'heure est à la résignation. " C'est une élection qu'on aurait dû enjamber mais on y est quand même allé, regrette la sénatrice LREM de Paris Bariza Khiari. C'est très difficile: on n'a pas de grands électeurs hormis les députés élus en juin, on part de zéro. "

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  • L'Obs - Comment les Français voient Macron : "Il communique beaucoup mais est peu communicatif…

    D'où vient la chute du président de la République dans les sondages ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français. Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique."
     
    Une analyse d'Adrien Abecassis, expert associé à la fondation Jean-Jaurès, diplomate et ancien conseiller opinion de François Hollande à l'Elysée. Avec Adélaïde Zulfikarpasic, directrice de BVA opinion.
     
    La rentrée politique en France est donc marquée par la chute de popularité la plus rapide jamais enregistrée pour un président de la République nouvellement élu. Dans le baromètre politique BVA pour Orange-"la Tribune" (réalisé les 28 et 29 août), Emmanuel Macron perd 11 points de popularité en un mois, à 43% d'opinions favorables. Les courbes se sont croisées : 55% des Français en ont désormais une mauvaise opinion.
     
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  • Libé - DESINTOX Non, le rôle de la branche n'est pas préservé par la réforme Pénicaud

    Selon les ordonnances, la branche ne sera compétente que sur un nombre limité de sujets. Sur tous les autres thèmes, l'accord d'entreprise, désormais, primera. En mieux comme en pire.
     
    La branche préservée par les ordonnances Pénicaud, voire renforcée, selon certains commentateurs ? C’est la petite musique qui bourdonne autour du nouveau tripatouillage du code du travail. «Il y a de grandes carences, notamment le fait qu’on n’a pas inversé la hiérarchie des normes. C’est toujours la branche qui va s’imposer à l’entreprise», disait ainsi Eric Ciotti, député LR, en début de semaine sur BFMTV. 
     
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  • Les décodeurs du Monde : Les sénatoriales, deuxième chance pour 273 candidats déçus des législatives

    Parmi les 1 971 candidats aux élections sénatoriales, 273 étaient sur les rangs pour un siège de député en juin et 12 avaient un mandat pendant la législature 2012-2017.

    Ce sont près de 15 % des 1 971 candidats aux élections sénatoriales qui ont déjà tenté leur chance et perdu aux législatives. Ils seront au moins 273 candidats, selon notre décompte, à se présenter devant les grands électeurs le dimanche 24 septembre après avoir été déboutés les 11 et 18 juin.
     
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  • L'Opinion - Rachid Temal (PS): «Pour la création d’un Parlement citoyen»

    A chaque soirée électorale, c’est la même chose : aux commentaires et analyses sur les résultats, à la désolation devant le niveau de l’abstention – indicateur certain du divorce entre les Français et la représentation politique –, s’ajoutent les expressions d’une défiance généralisée vis-à-vis du politique et des politiques publiques. De scrutins en scrutins, la croyance en la promesse républicaine s’amenuise, tandis que le ciment du « vivre ensemble » s’effrite.

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  • L'Obs - Logement : le gouvernement envisagerait de baisser les APL de 50 à 60 euros Logement : le gouvernement envisagerait de baisser les APL de 50 à 60 euros

    Le gouvernement s'était attiré de nombreuses critiques en juillet, en décidant de baisser de cinq euros par mois le montant des APL. Et ce n'est qu'un début, puisque Bercy pourrait baisser les aides personnelles au logement dont bénéficient les locataires du parc HLM d'un montant allant jusqu'à 60 euros mensuels, en contraignant les bailleurs sociaux à réduire d'autant leurs loyers : c'est en tout cas ce qu'indiquent plusieurs sources concordantes à l'AFP, confirmant une information du quotidien "l'Opinion".

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  • Le Monde - L’association Utopia 56 quitte le centre humanitaire de Paris

    Médecins du Monde était parti du centre humanitaire d’accueil des migrants au printemps. Cette fois, c’est Utopia 56 qui claque la porte.
     
    Utopia 56 annonce son départ en octobre du centre humanitaire de Paris, où sont hébergés les migrants de la capitale. « Nous espérions que ce centre, ouvert le 10 novembre dernier, à l’initiative d’Anne Hidalgo, maire de Paris, serait un modèle pour cinq centres similaires en France, sur le parcours des migrants. Or, nous constatons que le traitement administratif des réfugiés qui entrent dans ce centre n’a rien d’humanitaire et que l’accueil aux alentours s’est transformé en une traque », estime Yann Manzi, cofondateur de cette association également présente à Calais. A Paris, Utopia 56 va donc sortir du centre où il venait en appui à Emmaüs Solidarité. Cette sortie amènera l’association bretonne à intensifier son aide aux migrants dans la rue en même temps qu’elle développera son réseau d’hébergement citoyen, ouvert en mai.
     
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  • L'Obs - Défaite à la présidentielle : Mélenchon accuse Hamon (et tacle encore le PS )

    Pour une fois, Jean-Luc Mélenchon ne blâment pas les "600.000 voix" qui lui ont manqué pour accéder au second tour de la présidentielle. Non, le député de Marseille a trouvé un nouveau bouc émissaire pour expliquer sa défaite : Benoît Hamon. ""S'il avait retiré sa candidature, il serait aujourd'hui Premier ministre et moi président de la République" : le leader de la France insoumise (LFI) attribue son échec à la présidentielle au maintien de Benoît Hamon au premier tour, tout en lui tendant la main, dans une interview à "La Provence" à paraître jeudi.

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  • Les décodeurs du Monde - Les questions que vous vous posez sur la réforme du code du travail

    La réforme du code du travail est un projet complexe, qui suscite de nombreux commentaires et interprétations. Que contient le texte ? Qu’est-ce qui va changer pour les salariés français ? Les Décodeurs proposent de répondre aux questions les plus fréquentes des lecteurs
     
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  • L'Obs - Code du Travail : entre 223.000 et 400.000 manifestants pour le premier jour de mobilisation

    Emmanuel Macron a fait face, ce mardi 12 septembre, à la première mobilisation sociale de son quinquennat avec un appel à des grèves et manifestations partout en France lancé par des syndicats qui dénoncent, en ordre dispersé, la réforme du Code du Travail comme une "régression sociale".

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  • Luc Carvounas (PS) : "Nous soutenons tous les mouvements syndicaux qui s'opposent aux ordonnances"

    Luc Carvounas, l'un des 29 rescapés du PS à l'Assemblée nationale, est l'invité de Yaël Goosz à J-1 de la mobilisation contre la réforme du Code du travail. 

    .... "Les choses sont très claires", assure le député du Val-de-Marne, rappelant que son groupe -le Groupe Nouvelle Gauche- a "voté à l'unanimité contre les ordonnances" réformant le Code du travail, le 13 juillet, à l'Assemblée nationale. "Nous sommes contre et nous allons encore le redire", lors du vote de la loi de ratification, précise-t-il. "Nous, le Parti socialiste, soutenons tous les mouvements syndicaux qui s'opposent aux ordonnances Macron-Pénicaud."

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