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  • Où va la NUPES ? (revue de presse mise à jour du 9 novembre)

    9 novembre

    France Info - Union de la gauche : "Il y a des personnalités qui semblent irréconciliables, mais il n'y a pas d'électorat irréconciliable à gauche", selon Yannick Jadot

    Jeudi 9 novembre sur franceinfo, le sénateur écologiste de Paris "appelle le peuple de gauche à s'emparer de son projet pour 2027".
     
    Questionné sur l'avenir de l'union de la gauche, l'ancien candidat à l'élection présidentielle croit à une victoire de la gauche en 2027 sans la Nupes : "J'appelle le peuple de gauche à s'emparer de son projet pour 2027. À chaque fois qu'on a gagné dans ce pays", ajoute-t-il, "c'est parce que les intellectuels, le monde de la culture, les syndicats, les organisations de la société civile - avec les mouvements politiques - ont construit le projet".
     
     
    Différents députés de la Nupes ont dénoncé la sanction prononcée contre leur collègue, faisant remarquer qu'elle était de la même durée (4 mois) que celle ayant touché le député Adrien Quatennens, accusé de violences conjugales.

    "Honte". Le mot est employé par des élus de gauche ce mardi sur X (ex-Twitter), pour dénoncer la mise en retrait prononcée par le groupe parlementaire La France insoumise quelques heures plus tôt à l'encontre de Raquel Garrido, dans le contexte de tensions grandissantes entre la direction du parti et l'élue de Seine-Saint-Denis.

     
     

    8 novembre

    BFM - "C'est fini, la Nupes est terminée": Fabien Roussel s'en prend une nouvelle fois à Jean-Luc Mélenchon

    Le Secrétaire national du Parti communiste a dénoncé les "propos excessifs" de Jean-Luc Mélenchon concernant la marche contre l'antisémitisme prévue dimanche à Paris et assuré que sa formation politique avait "coupé" avec le leader de la France insoumise.

    L'Huma - Après l’expérience de la Nupes, quel rassemblement à gauche ? (1/2)

    Le PCF considère qu’elle est « devenue une impasse ». Le PS a suspendu sa participation à l’intergroupe. Plusieurs appels à construire une nouvelle démarche « plus respectueuse » des sensibilités de chacun circulent.

    Raquel Garrido, sanctionnée pour avoir critiqué Mélenchon ? - C à vous - 07/11/2023

    7 novembre

    France Info - Conflit Israël-Hamas : les divergences au sein de la Nupes ne sont "pas insurmontables", assure Clémentine Autain

    Si elle considère le Hamas comme "une organisation terroriste", la députée insoumise qualifie la réaction d'Israël de "vengeance aveugle terrifiante".
     
    Les divergences qui ont ressurgi au sein de la Nupes depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas ne sont "pas insurmontables", assure mardi 7 novembre sur France Inter la députée LFI de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain. Elle rappelle que toutes les formations de la Nupes sont "pour un cessez-le-feu immédiat, pour la libération de tous les otages, pour la fin du blocus, pour l'arrêt des hostilités et pour la reconnaissance de deux États".
     

    La députée s’est indignée dans la nuit de lundi à mardi contre cette sanction, dont elle estime qu’elle revient à « régler des désaccords politiques par des mesures de coercition ».

    La députée La France insoumise (LFI) de Seine-Saint-Denis Raquel Garrido, voix dissonante du mouvement et critique, notamment, de Jean-Luc Mélenchon, a été sanctionnée lundi 6 novembre par son groupe parlementaire. Elle ne pourra plus prendre la parole au nom de celui-ci pendant quatre mois à l’Assemblée nationale.

     
    La députée insoumise juge également "symboliquement malheureux" que sa collègue fasse l'objet d'une sanction identique à celle d'Adrien Quatennens lorsqu'il a été condamné pour violences conjugales.

    "Je suis atterrée par cette sanction", dénonce mardi 7 novembre sur France Inter la députée LFI de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain, alors que la députée Insoumise Raquel Garrido a été mise en retrait du groupe LFI à l'Assemblée nationale lundi après ses propos sur le fonctionnement du parti et sur Jean-Luc Mélenchon. Clémentine Autain estime qu'on "ne règle pas des divergences politiques par des sanctions bureaucratiques".

    6 novembre

    L’avenir de la Nupes s’assombrit pour le député PS de l’Essonne qui confirme que la position de LFI sur le Hamas « a abouti une rupture ». Jérôme Guedj répond aux questions de Marie Brette et des journalistes de la presse régionale

    5 novembre

    RTL - Lutte contre l'antisémitisme : le PS appelle tous les partis à un rassemblement, polémique dans la Nupes

    Depuis début octobre, la France fait face à une montée de l'antisémitisme sur le territoire. Dimanche, le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a émis l'idée d'un rassemblement de tous les partis politiques, de LFI au RN. Ce qui a déclenché la colère d'une partie de la gauche.

    Le Monde - Olivier Faure rétropédale à propos de son appel à un rassemblement contre l’antisémitisme : « Le RN n’a pas sa place dans ce type de manifestation »

    Le premier secrétaire du PS avait dans un premier temps fait savoir que l’invitation était destinée y compris au parti d’extrême droite, si ce dernier « veut bien (...) faire en sorte de couper avec sa propre histoire et une partie de ses élus », s’attirant les foudres de la gauche.

    4 novembre

    HuffPost - Jean-Luc Mélenchon, une popularité en chute depuis la création de la Nupes - SONDAGE EXCLUSIF

    Depuis la première rentrée de l’alliance des gauches, le triple candidat à la présidentielle a perdu 10 points d’opinions positives dans le baromètre YouGov mesuré pour « Le HuffPost. »

    Retour en août 2022. C’est la première rentrée politique de la Nupes, créée quelques mois auparavant autour de Jean-Luc Mélenchon. Malgré de premiers soubresauts au sein de l’alliance des partis de gauche, le troisième homme de la dernière présidentielle est crédité de 29 % d’opinions favorables dans notre sondage. Pas si mal.

    Politis - LFI : les militants divisés sur la crise de leur mouvement

    Partout en France, les insoumis sont partagés entre la loyauté au parti et la critique de son fonctionnement interne. Certains osent même pointer la responsabilité du clan Mélenchon. Mais tous restent attachés au programme de la Nupes et à « l’Avenir en commun ».

    3 novembre

    Politis - Au sein de LFI, les « frondeurs » veulent rassembler

    Les députés insoumis écartés de la direction de leur mouvement se rapprochent d’autres élus de gauche. Ils pensent à l’avenir mais se creusent surtout la tête pour imaginer l’union sans Jean-Luc Mélenchon.

    Ils sont les « frondeurs » pour les insoumis qui les soupçonnent d’ambitions personnelles. Ils deviennent des « constructifs » aux yeux des socialistes et écologistes qui voient en eux de futurs alliés pour construire un nouveau rassemblement sans Jean-Luc Mélenchon. Dans les coulisses de la Nouvelle union populaire, écologique et sociale (Nupes), une petite bande de députés s’est formée. Au cœur de cette microgalaxie, trois élus de Seine-Saint-Denis : Raquel Garrido, Clémentine Autain et Alexis Corbière. Pendant plusieurs années, ils ont été très proches du triple candidat à la présidentielle, avant d’être écartés de la direction de l’appareil insoumis en décembre 2022.

    HufPost - La guerre Israël-Hamas fragilise la Nupes : près de la moitié des électeurs de l’alliance disent stop - EXCLUSIF

    Selon un sondage mené par YouGov pour « Le HuffPost » à la toute fin du mois d’octobre, 48 % des Français proches de l’alliance des partis de gauche se disent favorables à la fin de l’union.

    Un point de non-retour ? L’alliance des partis de gauche à l’Assemblée nationale apparaît particulièrement fragilisée depuis les attaques du Hamas en Israël le 7 octobre dernier et les débats provoqués par cette crise au Proche-Orient dans la sphère politique française.

    BFM - Raquel Garrido (LFI) sur les divisions au sein de la Nupes: "Ce n'est pas le moment de cliver et de se singulariser"

    Raquel Garrido, députée "La France insoumise" de Seine-Saint-Denis, était l’invitée du 20H de Ruquier pour évoquer les divergences d’opinions au sein de LFI, la survie de la NUPES ou encore l’antisémitisme en France.

    L'Obs - La Nupes est en crise profonde : le défi de la gauche est de construire un vaste rassemblement,TRIBUNE, Pierre Khalfa, Attac

    Suite du débat ouvert par Philippe Marlière sur l’état de la gauche. Selon Pierre Khalfa, qui lui répond, le défi est de construire un rassemblement majoritaire autour d’un projet radical dans ses objectifs, rassurant dans sa démarche, élargi aux forces sociales.

    Dans une tribune parue dans « l’Obs », Philippe Marlière dresse l’acte de décès de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes). Il est peut-être un peu tôt pour le faire ; mais c’est entendu, la Nupes est en crise profonde, sinon en coma dépassé. Encore faut-il, si l’on veut qu’une alternative de gauche et écologique voit le jour, ne pas se tromper sur les raisons de cette situation. Il est indéniable que la Nupes est née avec deux faiblesses congénitales.

    Le Figaro - «Indigne d’une mairie socialiste» : à Nantes, l’expulsion de familles Roms critiquée par des élus Nupes

    Une dizaine de familles de migrants d’Europe de l’Est doivent être expulsées, jeudi, d’un campement situé à proximité d'une école dans le quartier Malakoff. Deux députés LFI et deux conseillers régionaux écologistes déplorent l’absence de solution de relogement.

    L’expulsion est programmée pour jeudi. Ce jour-là, une dizaine de familles de Roms, installées à proximité de l’école Ange-Guépin dans le quartier Malakoff à Nantes, devront avoir quitté le bidonville installé illégalement sur un terrain appartenant à la Ville de Nantes et sur lequel la collectivité projette un chantier d’agrandissement des locaux scolaires. Comme rapporté par Ouest-France , le 27 octobre dernier, des parents d’élèves de l’école concernée sont venus soutenir les familles de migrants sous le coup de cette expulsion. Une mobilisation pour alerter la municipalité et demander qu’une solution d’hébergement soit proposée.

    2 novembre

    Cluster 17 -  Sondage pour Le Point sur la crise de la NUPES et l’avenir de la gauche

    Nous avons demandé aux Français leur intention de vote si avait lieu le 1er tour de l’élection présidentielle, avec la même offre politique qu’en 2022. Marine Le Pen en sortirait grande gagnante avec 29,5% d’intentions de vote, une progression de 6 points. Jean-Luc Mélenchon voit lui son socle s’éroder et perd 5 points, à 17,5%. Emmanuel Macron perdrait lui 3 points, mais serait aisément qualifié au second tour avec 24,5%.

    L'Obs, le 29 octobre  - « En sursis ou pas, la Nupes n’a aucun avenir », par Philippe Marlière professeur de sciences politiques

    Opération improvisée et opportuniste, la Nupes n’a jamais fait de mise à jour programmatique, observe, dans une tribune à « l’Obs », Philippe Marlière, professeur de sciences politiques à l’University College London. Pour sortir de l’impasse Mélenchon, la gauche doit redevenir une force centrale, professionnelle dans sa communication et désireuse de gouverner.

    On peut se bercer d’illusions à gauche, voire se réfugier dans le déni. Mais il est préférable d’aborder la question avec lucidité : dans sa forme actuelle, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes) n’a aucun avenir. J’ajouterai : depuis juin 2022, elle n’en a jamais eu. L’aspiration à l’unité à gauche ne peut rien contre les tendances lourdes qui entravent la formation d’une coalition électorale gagnante.

    L'Obs le 16 octobre - Crise de la Nupes, alternative Ruffin… A gauche, la grande semaine des clarification

    C’est une semaine qui a démarré sur des non-dits et s’est terminée sur des clarifications. A gauche, depuis le déclenchement de l’attaque terroriste du Hamas contre Israël le 7 octobre, les plaques tectoniques ont bougé, des lignes de fractures, profondes et durables, sont (ré) apparues au grand jour et le paysage se trouve bouleversé puisque la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), dans sa configuration des législatives de 2022, c’est-à-dire avec le Parti communiste français (PCF), est bel et bien enterrée.

    1er novembre

    France 2 :  Olivier Faure, premier secrétaire du parti socialiste, est l'invité des 4 vérités.

    Le divorce est-il acté avec Jean-Luc Mélenchon ? La rupture se précise en tout cas, et un moratoire a été posé par le Parti socialiste sur la question de sa participation aux travaux de l'intergroupe de la Nupes à l'Assemblée nationale. « Moi, je ne veux pas être comptable de ce que dit Jean-Luc Mélenchon. (…) Nous ne sommes pas dans une situation qui est de nature à faire repartir la Nupes dans de bonnes conditions », argue le premier secrétaire du Parti socialiste, invité des 4V. Olivier Faure reste en faveur du rassemblement de la gauche et des écologistes, mais « pas à n’importe quelle condition ». 

    Sud Ouest - Nupes : Olivier Faure « ne discute pas » avec Jean-Luc Mélenchon, les « conditions » de l’alliance pas réunies

    « On considère que nous ne sommes pas dans une situation de nature à faire repartir la Nupes dans de bonnes conditions », assure le premier secrétaire du Parti socialiste

    Le patron du Parti socialiste Olivier Faure, qui a décrété un moratoire sur l’alliance de gauche, « ne discute pas » à l’heure actuelle avec le leader des Insoumis Jean-Luc Mélenchon, estimant mardi que la Nupes ne pourrait pas « repartir dans de bonnes conditions ». Avec Jean-Luc Mélenchon, « on ne discute pas », a déclaré Olivier Faure sur France 2, rappelant avoir « posé un moratoire » mi-octobre sur la participation de ses troupes à la Nupes car « sur la question notamment Israël - Palestine, il y a une forme de trop-plein, de divergences qui doivent être soldées ».

    IFOP - Les intentions de vote à l’élection présidentielle (31 octobre)

    Dans ce contexte national et international tendu, marqué par le conflit israélo-palestinien, Ifop-Fiducial pour Sud radio et Le Figaro a interrogé les Français concernant leurs intentions de vote pour la prochaine élection présidentielle.....

    .... Enfin, la gauche se trouve en mauvaise posture. Payant le brouillage de son message, Jean-Luc Mélenchon est affaibli et perd 3 à 5 points depuis mars 2023. François Ruffin (crédité à 7%) n’apparait pour l’instant pas comme un remplaçant pour représenter la gauche. Cette faiblesse de la gauche est aussi constatée chez les autres formations politiques : O. Faure recueille 4-6% intentions de vote et Marine Tondelier 1-2%. Notons que dans cette « tempête » à gauche, F. Roussel existe et recueille 6 à 7,5% des intentions de vote.

    Regards - Des sondages et de l’avenir de la Nupes

    Quel serait le vote des Français s’ils devaient rejouer aujourd’hui la présidentielle de 2022 ? Roger Martelli analyse le sondage Cluster 17. Spoiler : l’extrême droite se porte bien.

    Selon ce sondage, le trio de tête serait le même que le 10 avril 2022, mais pas le classement et les scores atteints. Marine Le Pen surclasserait cette fois ses concurrents avec 29,5% des suffrages exprimés (contre 23,2% en 2022), Emmanuel Macron tomberait sans surprise à 24,5% (27,9% en 2022) et Jean-Luc Mélenchon passerait de 22% à 17,5%. Si l’on regroupe les votes, on obtiendrait ainsi une gauche à 30,5% (31,9% en 2022), une droite traditionnelle à 31% (35,8% en 2022) et une extrême droite à 39%. La gauche se tasserait légèrement, ne profitant pas de la droitisation et de l’usure du macronisme, la droite reculerait sensiblement et l’extrême droite poursuivrait sa progression : 22,4% en 2017, 32,3% en 2022, 39% en 2023.

    Les Echos - Le PS présente un contre-budget, sans la Nupes

    Alors qu'une partie du projet de loi de Finances pour 2024 a déjà été adoptée à l'Assemblée, les députés socialistes ont fini par dévoiler ce mardi leur projet alternatif à celui du gouvernement. Il comprend beaucoup de dépenses et d'impôts en plus.

    Le timing a de quoi surprendre. Deux semaines après la présentation par les députés LR de leur contre-budget et juste avant l'examen dans l'hémicycle de la deuxième partie du projet de loi de Finances pour 2024, le groupe socialiste de l'Assemblée a présenté ce mardi son contre-projet.

  • Sahra Wagenknecht va-t-elle chambouler le paysage politique allemand?

    Mettant un terme à ce qui était devenu un faux suspense, Sahra Wagenknecht, entourée de quelques députés de sa formation, die Linke, a confirmé lundi 23 octobre à Berlin qu’elle allait fonder, début 2024, un nouveau parti sur la base de l’association (« Bündnis Sahra Wagenknecht ») qu’elle a récemment créée, afin, a-t-elle expliqué, d’occuper un « espace politique vacant ». L’émergence dans le paysage politique d’un nouveau parti aux ambitions nationales est un événement rare en Allemagne, d’autant qu’il est porté par une seule personnalité, qui défend des idées éclectiques, ce qui conduit certains experts à conclure que l’Allemagne est à son tour gagnée par le populisme.

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  • Fondation Jean Jaurès - Adapter nos territoires aux catastrophes climatiques : les vallées des Alpes-Maritimes après Alex

    Planifié pour le 9 nov. 2023

    Le 2 octobre 2020, la tempête Alex provoquait dans les vallées des Alpes-Maritimes la plus grande destruction civile depuis la seconde guerre mondiale en France. Ce type de catastrophes climatiques se reproduira : pour notre pays en transition, cette question cruciale de l’adaptation de nos paysages, usages et modes de vie ne trouvera ses solutions qu’au plus près des réalités, dans les territoires.

    Pour lancer son cycle de rencontres publiques autour de la résilience territoriale, l’Observatoire de l’expérimentation et de l’innovation locales (OEIL) de la Fondation Jean-Jaurès propose au débat le rapport récemment paru sur le cas des vallées des Alpes-Maritimes après la tempête Alex. La conférence réunira : - Gilles Finchelstein, secrétaire général de la Fondation Jean-Jaurès, - Lucile Schmid, cofondatrice du think tank la Fabrique écologique, membre de la rédaction de la revue Esprit, - Stéphane Pfeiffer, adjoint au maire de Bordeaux en charge de l’urbanisme résilient, du service public de l’habitat et de l’ESS - Xavier Pelletier, préfet du Loir et Cher, ancien préfet chargé de la reconstruction des vallées sinistrées, - Thierry Lambert, délégué interministériel à la transformation publique.

    Elle sera animée par Thierry Germain, membre de l’Observatoire de l’expérimentation et de l’innovation locales de la Fondation Jean-Jaurès, coordonateur des Cahiers de tendances.

  • Fondation Jean Jaurès, Christelle Craplet, Adelaïde Zulfikarpasic - Les jeunes et leur apparence à l’heure des réseaux sociaux : une obsession ?

  • Le Vent se lève, Florian Gulli - Les errements de « l’intersectionnalité »

    « Bien souvent, ce qui s’affirme sous le mot “intersectionnalité” dit le contraire de ce que le terme signifie : non pas la multiplicité et l’imbrication mais la domination d’une variable et la hiérarchie des luttes. » C’est la thèse que défend Florian Gulli, auteur de L’antiracisme trahi (Presses universitaires de France, 2022). Selon lui, la proclamation de l’« intersectionnalité » a fréquemment pour effet de consacrer la prévalence des catégories du genre et de la « race » – et d’imposer celle-ci comme une évidence. Il analyse ce dernier phénomène dans cet article (issu de son ouvrage), et revient sur l’anti-racisme dominant tel qu’il s’est imposé aux États-Unis et a percolé en Europe. Il rappelle qu’il s’est construit par « le refoulement massif de la voix de nombreux intellectuels américains et afro-américains qui contestent la pertinence de la catégorie de “race” ».

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    L'antiracisme en débat avec Florian Gulli

    16 déc. 2022

    Entretien autour du livre de Florian Gulli "L'antiracisme trahi - Défense de l'universalisme", Ed. PUF (Questions Républicaines), 2022. https://www.puf.com/content/Lantiraci... Longtemps, l'antiracisme a semblé aller de soi. Il suffisait de dire "non au racisme". Confronté aux transformations du racisme, aux luttes sociales et politiques qui s'y réfèrent, l'antiracisme est aujourd'hui traversé par des débats, des polémiques, des tensions déclinées dans le racisme "politique", "moral", "libéral", et dans la relation à l'universalisme.

    Après s'être attaché à définir les concepts en discussion, Florian Gulli inscrit sa proposition d'antiracisme socialiste dans une tradition antiraciste à visée émancipatrice et universelle, souvent marxiste et républicaine, loin des caricatures qu'on en fait. Florian Gulli est agrégé de philosophie. Il est également l'auteur de "C.L.R. James: racisme et lutte des classes. Une lecture des Jacobins noirs", Presses Universitaires de Franche-Comté, 2022

  • Clément Viktorovitch : regarder en face la colonisation

    5 nov. 2023

    Cette semaine, le gouvernement a décidé de commencer des fouilles archéologiques dans la commune de Rivesaltes, dans les Pyrénées-Orientales, pour tenter d’y localiser un probable cimetière Harki perdu. En parallèle, deux historiens viennent de proposer la création d’un musée des colonisations. C’est l’occasion de se pencher sur la question de la mémoire coloniale de la France.

  • IDDRI - Vers un accord sur la sortie progressive des énergies fossiles lors de la COP 28 : quel leadership pour l’UE ?

    Oubliées en amont de la réunion ministérielle pré-COP 28 qui se tiendra à Abu Dhabi les 30 et 31 octobre prochains, les conclusions du Conseil de l’Union européenne relatives à la position de l’UE pour la COP 28 ont parfois été jugées insuffisantes concernant l’élimination progressive des énergies fossiles. Or un examen attentif révèle que celles-ci vont au-delà d’annonces précédemment formulées et posent une base robuste fondée sur trois éléments détaillés dans ce billet de blog pour que l’UE joue un rôle de leadership dans l’atteinte d’un accord attendu lors de la COP 28 sur un paquet « transition énergétique » mondial et juste qui garde la limite des 1.5 ºC d’augmentation des températures à portée de main dans le contexte d’une fenêtre d’action qui se referme rapidement.

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  • Corinne Narassiguin, Loi immigration : "C'est une succession de reculs" depuis le début de l'examen du projet de loi

    8 nov. 2023

    Loi immigration : "C'est une succession de reculs" depuis le début de l'examen du projet de loi estime Corinne Narassiguin, sénatrice (PS) de Seine-Saint-Denis.

  • Le Monde - Après le Parti socialiste, La France insoumise refuse de participer à la nouvelle « rencontre de Saint-Denis »

    Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon ne se rendra pas à la réunion des chefs des partis représentés au Parlement, convoquée le 17 novembre, n’y voyant qu’un « nouvel exercice de communication ».

    A l’instar du Parti socialiste, La France insoumise (LFI) ne se rendra pas, le 17 novembre, à la nouvelle réunion des chefs de parti proposée par Emmanuel Macron, a annoncé le mouvement de gauche dans un communiqué, mardi 7 novembre.

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    Le Monde - Olivier Faure refuse de participer à la prochaine « rencontre de Saint-Denis » entre Emmanuel Macron et les chefs de parti

    Le premier secrétaire du Parti socialiste affirme que se rendre à cette réunion reviendrait à être partie prenante d’un « deal » entre le président, la droite et l’extrême droite.

    Convié par le président de la République, Emmanuel Macron, à une nouvelle « rencontre de Saint-Denis » avec les chefs de parti politique le 17 novembre, le socialiste Olivier Faure a décliné l’invitation, lundi 6 novembre, lors d’un entretien à la chaîne Public Sénat.

    20 minutes - Rencontre de Saint-Denis : Invité par Emmanuel Macron, le chef du Parti socialiste répond « non »

    Fin de non-recevoir Le chef de l’Etat veut organiser une nouvelle « rencontre de Saint-Denis » avec les chefs de partis politiques le 17 novembre

    « C’est non » car « je crois à la démocratie », a assené Olivier Faure. Convié par le chef de l’Etat à une nouvelle « rencontre de Saint-Denis » avec les chefs de partis politiques le 17 novembre, le socialiste a décliné l’invitation ce lundi.

  • Critiques contre JL Mélenchon : Clémentine Autain "atterrée" par la sanction contre Raquel Garrido

    7 nov. 2023

    La députée LFI de Seine-Saint-Denis, Clémentine Autain, est l'invitée du Grand Entretien. Dimanche soir, Raquel Garrido, députée LFI, qui s'est montrée critique à l'encontre de Jean-Luc Mélenchon, a été sanctionnée par le bureau politique du parti. Elle est sanctionnée et ne pourra plus être oratrice pour le groupe parlementaire LFI pendant quatre mois. "Je suis atterrée par cette sanction : on ne règle pas des divergences politiques par des sanctions bureaucratiques", dit la députée Clémentine Autain.