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  • Ouest France - Européennes. A quoi va ressembler la liste du PS et de Place publique ?

    Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, l’a redit ce dimanche matin : la liste d’union Place publique-PS « restera ouverte jusqu’au dernier jour à Yannick Jadot. » Une liste d’alliance dont les premiers noms commencent à circuler…

    Après avoir été menées par de grands noms de la gauche, comme François Mitterrand (1979), Lionel Jospin (1984), Laurent Fabius (1989), Michel Rocard (1994) ou encore François Hollande (1999), les élections européennes 2019 se feront cette fois sans tête de liste socialiste.

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  • Libé - «Je rejoins la campagne de Place publique, la désunion m’empêche de dormir»

    Pour les élections européennes de mai, Aurore Lalucq, porte-parole de Benoît Hamon, rejoint la liste de Raphaël Glucksmann en «dynamique» pour rassembler la gauche.

    Une période étrange. A gauche, les listes se multiplient et les figures changent d’écurie du jour au lendemain. Lundi, c’est Aurore Lalucq, économiste et porte-parole de Génération·s, le mouvement fondé par Benoît Hamon. Après plusieurs jours de réflexion, elle décide de rejoindre de Raphaël Glucksmann et sa liste en «dynamique» pour rassembler la gauche, dit-elle.

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  • Le Parisien - Européennes : furieux, des élus socialistes suspendent leur cotisation

    Samedi, le parti à la rose a désigné l’essayiste Raphaël Glucksmann, qui n’est pas au PS, pour diriger sa liste. Une décision que beaucoup ne digèrent pas.

    Samedi, le conseil national du PS a voté massivement (128 pour, 5 contre) pour que le philosophe Raphaël Glucksmann, cofondateur de Place Publique, conduise la liste « socialiste » aux Européennes. Et pourtant, Olivier Faure, le Premier secrétaire du PS, à l’initiative de cette opération inédite, doit s’attendre à des lendemains difficiles. Selon nos informations, de nombreux socialistes, notamment des sénateurs, s’apprêtent à faire la grève de leurs cotisations au parti. Tout au moins jusqu’au 26 mai, date du scrutin en France.

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  • Alternatives Economiques - Podcast : Pourquoi la panne de croissance de l’Allemagne va durer

    La chronique éco de Marc Chevallier, rédacteur en chef d’Alternatives Economiques, est à retrouver tous les mardis dans la matinale du 5-7 de France Inter, à 6 h 45. Vous pouvez écouter celle du 12 mars ci-dessous.

    L’Allemagne a révisé ses prévisions de croissance à la baisse. Le moteur économique de la zone euro est en train de caler ?

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  • Le Vent se lève - « Le néolibéralisme est imbibé de catégories darwiniennes » – Entretien avec Barbara Stiegler

    Évoluer dans un monde qui change, s’adapter à un environnement qui est en mutation permanente… d’où viennent ces métaphores biologiques qui imprègnent le discours dominant ? Barbara Stiegler, professeure de philosophie à l’université de Bordeaux-Montaigne, tente de répondre à cette énigme dans son dernier livre publié aux éditions Gallimard, Il faut s’adapter ! Elle s’intéresse aux controverses qui parcouraient la pensée libérale dans les années 1930, à l’époque où l’on débattait de l’héritage de Darwin dans les sciences sociales. Aux origines du néolibéralisme contemporain, on trouve un penseur dont l’influence a été considérable sur le siècle passé : Walter Lippmann. Entretien réalisé par Wonja Ebobisse et Vincent Ortiz, retranscrit par Hélène Pinet.

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  • Observatoire des inégalités - Comment l’élitisme social est maquillé en élitisme républicain

    L’élitisme du système scolaire français favorise les enfants de diplômés. Leurs parents, de droite comme de gauche, défendent une école qui fonctionne à leur profit. Le point de vue de Jean-Paul Delahaye, inspecteur général de l’Éducation nationale honoraire.

    Notre école fonctionne plutôt bien pour 70 à 75 % des élèves. La moitié des élèves âgés de 15 ans comptent même parmi les meilleurs élèves du monde selon les évaluations internationales Pisa [1] de l’OCDE. Il faut s’en réjouir. Mais il faut dans le même temps observer le grand écart qui existe entre les résultats de ceux qui réussissent, le plus souvent issus des classes moyennes et favorisées, et les difficultés lourdes rencontrées aux mêmes évaluations par le quart des jeunes de la même génération, issus pour la plupart des milieux populaires. On le sait, la France est l’un des pays où l’origine sociale pèse le plus sur les destins scolaires. Notre élitisme est tout sauf républicain, il est essentiellement un élitisme social qui ne veut pas dire son nom. Cette injustice sociale qui est à l’œuvre au sein de l’éducation nationale ne date pas d’aujourd’hui. Notre système éducatif n’a jamais vraiment été programmé pour faire réussir tous les élèves. L’échec scolaire massif des enfants des milieux populaires n’est pas un accident, il est inhérent au système éducatif français qui a été conçu pour trier et pour sélectionner les meilleurs, ce qu’il fait très bien.

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  • Raphaël Glucksmann tête de liste du PS aux Européennes

    Invité du Grand Rendez-Vous, dimanche sur Europe 1, le Premier secrétaire du PS est revenu sur la décision de son parti de désigner l'essayiste Raphaël Glucskmann comme tête de liste pour les élections européennes.

  • Fondation Jean Jaurès - L'Europe entre les États-Unis et la Chine - 2e partie

    Depuis la création du marché unique, l’Union européenne se préoccupe davantage de conserver une économie de concurrence à l’intérieur de ses frontières que de construire des « champions » capables d’affronter les concurrents extérieurs. Cette situation est-elle encore tenable face à la Chine de Xi Jinping et aux États-Unis de Donald Trump ?

    La sauvegarde de nos valeurs et celle de nos identités ne sont-elles pas en jeu ? La Fondation organise un colloque de réflexion sur les stratégies politiques et les relations entre Bruxelles, Pékin et Washington. La deuxième partie de cette conférence réunit notamment Jean-Luc Domenach, directeur de recherche émérite, Sciences Po, et Christine Revault d’Allonnes-Bonnefoy, députée européenne, présidente de la Délégation socialiste française.