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  • Le Lab - Valls dénonce le texte de la députée LFI Obono où elle raconte ne pas avoir pleuré Charlie Hebdo mais pour la censure de Dieudonné

    La guerre est bel et bien déclarée entre La France insoumise et Manuel Valls. Et cela ne semble pas près de s'arrêter. Invité d'Europe 1 ce jeudi 12 octobre, l'ancien Premier ministre a remis une pièce dans la machine en dénonçant les écrits de la députée de Paris Danièle Obono.

    L'ancien maire d'Evry considère qu'une partie des responsables LFI font preuve de complaisance à l'égard de l'islamisme. "Je pense que c'est théorisé aujourd'hui au sein de La France insoumise", estime Manuel Valls. La preuve, donc, s'appelle Danièle Obono.

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  • PS - Somalie : condamnation de l’attentat et solidarité avec le peuple somalien

    15 octobre 2017

    Après l’explosion de deux véhicules piégés dans le centre de Mogadiscio, samedi 14 octobre, plus de 130 morts et 200 blessés sont à déplorer. Un bilan humain encore provisoire, mais qui fait de cet attentat l’un des plus tragiques ayant frappé le pays.

    Alors que le président somalien, Mohamed Abdullahi Mohamed, a décrété un deuil national de trois jours, le Parti socialiste adresse un message de soutien et de solidarité au peuple somalien, déjà trop souvent meurtri par les conflits armés et les attentats.

    Le Parti socialiste condamne avec la plus grande fermeté ces actes lâches et barbares. Il appelle à une réponse collective fondée sur l’engagement total de toutes les puissances régionales, avec le concours des Nations Unies et de son Conseil de sécurité.

  • PS - Pour que la France réussisse, il faut de la justice et, en écoutant le président de la République, la justice manque

    Pour la première fois depuis son élection, le président de la République répondait, dimanche 15 octobre, aux questions d’un panel de journalistes de télévision.

    Si l’intervention d’Emmanuel Macron a révélé un président qui goûte peu les questions, deux rappels étaient nécessaires : sur la scène internationale, l’attachement de la France au multilatéralisme et au plan intérieur, la confirmation d’un retour de la police de proximité instaurée en 1998 par le gouvernement de Lionel Jospin.

    La parole du chef de l’Etat était d’abord attendue sur les enjeux économiques et sociaux, ceux de l’emploi, du pouvoir d’achat, du soutien aux territoires. Alors que l’examen du budget 2018 débutera cette semaine au Parlement, il aurait été utile pour les Français que soit annoncé le retrait des mauvaises décisions gouvernementales. Il n’en a hélas rien été : maintenue, la réforme de l’ISF pour 170 000 foyers les plus riches ; maintenue, l’augmentation de la CSG pour 8 millions de retraités ; maintenue, la création d’une « flat tax » qui ramène l’imposition des revenus du capital en dessous de la première tranche de l’impôt sur le revenu ; maintenue, la diminution des APL pour 6,5 millions de ménages ; maintenue, la suppression de 120 000 emplois aidés qui fragilisent les services de proximité et la vie associative. Le président de la République souhaite « libérer et protéger » mais une majorité de Français constatent que sa politique aboutit pour l’heure à flexibiliser et précariser.

    Le Parti socialiste appelle le président de la République à prendre la mesure de l’attente et des besoins des Français. Les députés socialistes, qui ont proposé un véritable contre-budget pour promouvoir une justice fiscale, sociale et territoriale, s’attacheront, dans les jours qui viennent, à défendre une autre vision pour la France, plus efficace pour l’économie et plus solidaire pour le pays.

  • Le Monde Diplomatique - Quand une banque distribue des médailles

    Dans leur effort visant à élever l’économie au rang de science (et à travestir leurs préférences en fatalité), les libéraux jouissent d’un argument de poids : la consécration de leur spécialité par un prix Nobel ne l’assimile-t-elle pas à des disciplines aussi peu suspectes que la physique, la chimie ou la médecine ? A priori implacable, le raisonnement s’avère trompeur…

    Le « Nobel d’économie » n’a été créé qu’en 1969, soit presque soixante dix ans après les premiers prix Nobel, et pas par l’industriel suédois. Son vrai nom ? « Prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel ». Dans son testament, Alfred Nobel précise que les prix auxquels il donne naissance seront remis à des personnes de toute nationalité ayant « rendu un grand service à l’humanité ». Or les lauréats de la Banque de Suède proviennent presque tous de pays occidentaux et leurs travaux servent moins l’humanité en général que la partie qui profite du modèle économique en place.

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  • Bernard Cazeneuve, sur le portait fait de Gérard Collomb dans son livre : "Un personnage roué, malin"

  • Le Parti socialiste adresse ses félicitations à Audrey Azoulay, élue Directrice générale de l’Unesco

    C’est une excellente nouvelle pour la France mais aussi pour l’UNESCO d’avoir désormais, Audrey Azoulay, comme Directrice Générale de cette emblématique agence spécialisée des Nations-Unies pour l’Education, les Sciences  et la Culture.
     
    Après deux mandats où Irina Bokova  a modernisé et redonné à cette institution un nouveau souffle, l’arrivée d’Audrey Azoulay, femme talentueuse aux convictions humanistes et à l’engagement constant pour la culture dans son universalité et sa diversité, va permettre de poursuivre une mise en œuvre active et résolue des objectifs de développement durable que défend l’organisation. Ces objectifs sont nombreux, tant en matière d’éducation et de sauvegarde du patrimoine mondial que de rayonnement, partout dans le monde, des sciences, de l’innovation et du dialogue des cultures.
     
    Chaque jour le démontre : dans un monde chaotique, où les êtres humains et parfois les peuples sont tentés par le repli sur soi, le dialogue des savoirs et des arts est un besoin vital, la réponse de l’intelligence humaine contre toutes les régressions.

  • Un peu d'histoire : Les élections législatives : portrait de Gérard Collomb (INA, 1981)

    Portrait en images de Gérard COLLOMB, député PS du Rhône.Agée de 34 ans, ce professeur de lettres enseigne dans un lycée de Lyon, membre du Parti Socialiste depuis 1971et conseiller municipal de Lyon depuis 1977 il a été élu député du Rhône dans la 2ème circonscription.Interview de Gérard COLLOMB qui incarne la nouvelle génération de député du Parti Socialiste.