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  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    BMFMTV - Le Grand Oral de Gilles Keppel, spécialiste du monde arabe, le 26 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • Mediapart - Podemos: le déchirement?

    En février prochain se tiendra à Madrid l'Assemblée "refondatrice" de Podemos. Une crise sans précédent oppose au sein du mouvement deux stratégies politiques mais surtout les deux principales personnalités du parti: Iglesias et Errejon.

    99 162 personnes viennent de voter pour définir les règles selon lesquelles se déroulera la prochaine « Assemblée de refondation du Parti » dite Vistalegre II, (deux ans après la première Vistalegre fondatrice). Il s’agissait de trancher entre  les deux principales propositions, celle de Pablo Iglesias et  celle de ĺñigo Errejón. Le premier proposait que les motions présentées à l’Assemblée et la désignation de leurs auteurs à la direction (Consejo ciudadano) ne soient l’objet que d’un seul scrutin. Errejón quant à lui proposait deux scrutins séparés l’un concernant les documents l’autre les personnes aspirant à la direction.

     Quant aux « Anticapitalistas » animés par l’eurodéputé Miguel Urbán, la députée au parlement d’Andalousie Teresa Rodriguez et le maire de Cadix José María Gonzalez (Kichi), après avoir tenté une « conciliation » ils ont semble-t-il gardé profil bas en attendant l’Assemblée où ils proposent, comme ils l’avaient fait lors du premier Vistalegre, un document politique « horizontaliste » en opposition avec  le « verticalisme » des deux autres. 

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  • Le Monde - Primaire à gauche : Gérard Filoche et Fabien Verdier déboutés

    La primaire de la gauche se jouera bien entre sept candidats, Gérard Filoche et Fabien Verdier ayant été déboutés par le tribunal de grande instance.

    Les socialistes Gérard Filoche et Fabien Verdier, qui contestaient leur éviction de la primaire de la gauche, ont été déboutés, a annoncé mercredi 27 décembre la haute autorité des primaires. Cette décision « constitue une validation judiciaire [du] travail » de la haute autorité pour des primaires citoyennes, a réagi son président Thomas Clay.
     
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  • Le Monde - François Hollande accorde une grâce totale à Jacqueline Sauvage, libérable immédiatement

    Ses filles avaient déposé une demande de « grâce totale », une semaine après le rejet en appel de sa demande de libération conditionnelle, le 2 décembre.

    Condamnée à dix ans de prison pour le meurtre de son mari violent, Jacqueline Sauvage bénéficie d’« une remise gracieuse du reliquat de sa peine d’emprisonnement », qui « met fin immédiatement à sa détention », a annoncé l’Elysée mercredi 28 décembre dans un communiqué.
     
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  • France Info - Pourquoi la primaire de gauche pourrait se jouer... très à gauche !

    Comme pour la primaire de droite, sept postulant-e-s sont en lice dans la primaire de gauche. Comme à droite, une seule femme est sur la ligne de départ. Et comme à droite, sauf le respect qui est dû à deux anciennes ministres, aucune chance pour elle de l'emporter : Nathalie Kosciusko-Morizet était "trop à gauche" dans la primaire de droite, Sylvia Pinel est trop "Radical de gauche", parti qu'elle préside, dans cette primaire... du PS.

    Ce n'est pas faire injure aux deux candidats des partis écologistes-croupions - François de Rugy, fondateur du parti "Ecologistes !", et Jean-Luc Bennahmias, président du Front démocrate - que d'envisager pour eux une sortie, sans tambour ni trompette, dès le premier tour de cette primaire dite de "la Belle Alliance populaire" (BAP). Rugy et Bennahmias sont promis à des scores aussi marginaux que celui de Pinel.

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  • Primaires citoyennes de la gauche : les électeurs inscrits sur les listes électorales au cours de l’année 2016 pourront voter

    Nous constatons un afflux de nouveaux inscrits sur les listes électorales au cours du mois de décembre 2016, avec des records battus dans de nombreuses villes au regard des chiffres habituels de veille d’élection présidentielle.

    Depuis plusieurs semaines, nous sommes sollicités par ces électeurs nouvellement inscrits sur les listes électorales en 2016 pour savoir s’ils auront le droit de voter les 22 et 29 janvier lors de la primaire de la gauche et des écologistes. La réponse est oui.

    Le Comité National d’Organisation des Primaires citoyennes (CNOP) qui se réunira le 3 janvier étudiera les modalités pratiques de leur vote et elles seront rendues publiques le 4 janvier.

  • Jean-Marie Harribey - Un revenu minimum décent

    La Fondation Terra Nova a présenté le 30 novembre 2016 un rapport « Pour un minimum décent, Contribution à la réforme des minima sociaux », qui vise à fusionner la dizaine de minima sociaux et les remplacer actuels par un revenu minimum décent.

    Le rapport commence par rappeler brièvement l’histoire de la mise en place progressive de ces minima en France, dont la légitimité n’a pas disparu, mais dont la complexité, le manque de lisibilité et l’importance du non-recours appellent une réforme de grande ampleur, sinon le risque de montée de l’hostilité de l’opinion publique à l’égard de l’aide aux plus pauvres grandirait. Le rapport propose ensuite un montant de ce minimum décent et une méthode pour son application.

    Disons-le sans retenue : Terra Nova nous avait pas habitués jusqu’ici à des propositions plus proches du social-libéralisme que du progressisme ; ici, on peut voir une vraie recherche pour une réforme qui, sans plonger dans la radicalité, représenterait néanmoins un pas en avant. L’enjeu est d’autant plus important que le rapport rejette sans hésitation la proposition de revenu d’existence, qualifiée de « trompeuse simplicité ».

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  • La Croix - Arnaud Montebourg, franc-tireur de la gauche

    LES CANDIDATS À LA PRIMAIRE DE LA GAUCHE (2/7). Adepte des coups d’éclats, l’ancien ministre de l’économie et du redressement productif a mené un parcours solitaire au PS. Avec son « projet France », il se positionne comme un candidat anti-système et anti-austérité.

    Les 10 et 11 décembre derniers, Arnaud Montebourg a fait une incursion en Algérie. Un déplacement destiné à lui donner une stature de présidentiable qui lui a également permis d’évoquer avec « émotion » ses origines. Son ascendance algérienne par sa mère, Leïla Ould-Cadi, est sans doute l’un des aspects les moins connus du pedigree de l’ancien ministre de l’économie, qui se définit volontiers comme « arabo-morvandiau ». Des origines mêlées et modestes – son grand-père paternel était boucher à Autun – qu’il a choisi d’assumer après les avoir longtemps occultées. Au point qu’il n’était pas rare qu’on accole à son nom une particule toute aristocratique.

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  • L'actualité des socialistes du 16 au 22 décembre

    A LA UNE

    France Culture - Comprendre la crise de la gauche (Marcel Gauchet, Henri Weber)

    .... Bref, le quinquennat qui s'achève est sous le feu des critiques, la gauche n'a jamais été aussi émiettée et même si en politique rien n'est jamais joué, les chances de l'un de ses représentants d’accéder au 2° tour de la prochaine élection présidentielle paraissent aujourd'hui compromises.

    Que s'est-il passé à gauche ? Comment en est-on arrivé là ?

    PRIMAIRE

    L'Obs - La primaire de la gauche est-elle une machine à perdre ?

    Présentée par ses organisateurs comme un bon moyen de rassembler la gauche, la primaire pourrait se retourner contre le PS en cas de faible participation.

    A écouter ses promoteurs et ses participants, la primaire de la Belle Alliance populaire est une formidable machine à rassembler la gauche. Et même une rampe de lancement pour propulser son vainqueur sur la route de l'Elysée. Voilà pour la théorie. Dans la pratique, cette primaire pourrait se retourner contre le PS si elle ne parvient pas à attirer suffisamment d'électeurs

    Le Parisien - A un mois de sa primaire, le PS se prépare à jouer gros

    A un mois du premier tour de la primaire de la gauche qu'il organise, le Parti socialiste a la sensation de jouer très gros avec ce scrutin déterminant pour son unité et peut-être même sa survie.
    Le PS est distancé par la droite et l'extrême droite, mais aussi sérieusement menacé par l'émergence d'Emmanuel Macron et la campagne au long cours de Jean-Luc Mélenchon, à quatre mois de l'élection présidentielle.

    Le JDD - Primaire de la gauche : après les coups bas, le coup d’envoi

    La validation des candidatures a donné samedi le coup d'envoi officiel de la campagne, même si les derniers jours ont montré de vives tensions. Chaque écurie se projette déjà sur le mois de janvier, avec notamment des débats télévisés qui s'annoncent décisifs.

    Ils étaient vingt-quatre, jeudi, à avoir déposé leur candidature auprès de la Haute autorité des Primaires. Sans surprise, ils ne seront, après écrémage, plus que sept à s’affronter lors du premier tour de la primaire de la gauche, le 22 janvier. Dont quatre anciens ministres socialistes de François Hollande : Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Manuel Valls, qui joueront évidemment les premiers rôles dans cette compétition.

    MONTEBOURG

    Direct Matin - Arnaud Montebourg président de la République : quelles conséquences ?

    Arnaud Montebourg, chantre du «Made in France», est l'un des favoris de la gauche pour 2017. Mais à quoi ressemblerait la France présidée par celui qui souhaite notamment une refondation des institutions ?

    Atlantico - François Kalfon: “En 2011, Arnaud Montebourg était dans les déclarations d’intention; aujourd’hui, nous proposons de véritables outils.”

    Candidat de la démondialisation en 2011, Arnaurd Montebourg sera, pour 2017, celui de la protection des Français face à une mondialisation malheureuse, mais aussi de la libération des Français face à tout ce qui les entrave dans leur vie.

    Marianne - Primaire à gauche : de DSK à Chevènement, le vaste programme de Montebourg

    Dans un entretien au "Parisien" ce dimanche, Arnaud Montebourg dessine un projet "au cœur des différentes gauches". Le candidat à la primaire du PS évoque aussi bien DSK que la nationalisation des banques, une "République nouvelle" investie par les citoyens et un bousculement de l'Europe.

    La meilleure façon de plaire à tout le monde, c'est de ne fâcher personne. Alors, pour la primaire de la "Belle alliance populaire", Arnaud Montebourg a choisi de ratisser large dans les contours de son projet. Dans un accordé au Parisien ce dimanche 18 décembre, le candidat affirme vouloir placer son projet "au coeur des différentes gauches", construit sur les bases d'un "socialisme incarné de façon contemporaine tant par Dominique Strauss-Kahn que par Jean-Pierre Chevènement".

    HAMON

     
    Le candidat assume le relèvement « inévitable » des prélèvements obligatoires.Le revenu universel ferait l'objet d'une « conférence citoyenne » en 2019.
     
     
    Depuis son passage dans L'émission politique sur France 2, Benoît Hamon bénéficie d'une dynamique qui pourrait le porter au second tour de la primaire de la Belle Alliance populaire. Moins clivant et moins médiatique qu'Arnaud Montebourg ou Manuel Valls, ses atouts sont nombreux face à ses deux principaux rivaux.

    1) Un homme de parti moins clivant que Manuel Valls

    Maud Guillaumin : Benoît Hamon a depuis sa jeunesse été une figure très importante au sein du Parti socialiste. C'est l'ancien patron du MJS - Mouvement des jeunes socialistes - et il a eu une vraie carrière politique au sein du parti : il a été député européen et porte-parole du Parti socialiste. Il connaît tout le parti de A à Z.

    Marianne - Des cafés interdits aux femmes en France ? Benoît Hamon relativise…

    Au cours d'un entretien sur France 3 ce dimanche midi, Benoît Hamon a été invité à réagir à un récent reportage de France 2 montrant l'interdiction faite aux femmes de se rendre dans les cafés de certaines banlieues françaises. Le candidat à la primaire de la gauche s'en est sorti par un grand numéro d'enfumage et de relativisme…

    PEILLON

    Libé - Peillon veut «sortir la religion du champ politique»

    Le candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste Vincent Peillon a affirmé lundi à Toulouse «vouloir sortir la religion du champ politique» et en avoir «assez qu’on nous parle toujours d’identité nationale et de religion».

    «Aujourd’hui, on voit qu’on désigne les gens par des origines. Il faut cesser avec ça», a-t-il déclaré devant la presse lors d’une visite d’un stade dans le quartier populaire du Mirail.

    MACRON

    France Info - Quatre signes qui montrent que le PS commence à avoir peur de Macron

    Après sa démonstration de force, samedi dernier à Paris, Emmanuel Macron a marqué des points. Au point de commencer à susciter des inquiétudes au sein du Parti socialiste.

    "Le problème, aujourd'hui, c'est Macron !" Un ministre, soutien de Manuel Valls, ne cache pas à franceinfo son souci du moment. Enjambant la primaire, ce membre du gouvernement se projette déjà en février. Et son inquiétude porte un nom : Emmanuel Macron. Depuis sa démonstration de force, lors d'un meeting à Paris samedi 10 décembre, le candidat d'En Marche ! sème le doute au sein du Parti socialiste. France info vous explique pourquoi.

    VALLS

    Proche de François Hollande, le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, publie une contribution via
    la Fondation Jean Jaurès dans le cadre du débat sur la primaire à gauche. Dans un interview aux « Echos », il en donne les grandes lignes. S'il ne prend pas encore parti pour un candidat, il n’en tacle pas moins Manuel Valls.

    HOLLANDE

    AlterEco - Le bilan du quinquennat de François Hollande en dix graphiques

    De la courbe du chômage à la transition énergétique, tour d’horizon chiffré d’un quinquennat qui n’aura pas suffi à changer la donne.

  • France Inter, Laure Adler - Une semaine avec Robert Linhart

    L’établi, c’est aussi la table de façonnage de tout travailleur manuel, mais ce terme désignait aussi, le mouvement des "établis", composé d'intellectuels qui venaient se frotter à la vie en usine, s’immerger, temporairement ou plus durablement, dans les classes populaires, pour être au plus près de la vraie vie et réveiller les consciences. Robert Linhart fut l'un d'entre eux, en devenant ouvrier spécialisé dans l'usine Citroën de la porte de Choisy à Paris, en 1968.

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  • Fondation Jean Jaurès - Laïcité, religions et féminisme

    Pour Marlène Schiappa, adjointe au maire du Mans déléguée à l’Égalité, présidente et fondatrice de « Maman travaille », la France doit s’emparer du principe de la laïcité pour défendre les droits des femmes face au poids des religions dans la société et à la montée des extrémismes religieux.