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À propos de : Andreas Kappeler, Russes et Ukrainiens : les frères inégaux, du Moyen Âge à nos jours, CNRS éditions
Désimpérialiser les études russes et soviétiques par l’histoire : c’est l’objectif d’Andreas Kappeler qui offre un remède à deux maux actuellement répandus en Europe, l’ignorance du passé ukrainien, et l’emprise du récit national-impérial répandu par l’actuel pouvoir russe.
À rebours des analyses en termes de « sphères d’influence » et d’« arcs de crise », adossées à une théorie « géopolitique » datée de plus d’un siècle, l’ouvrage de l’historien suisse de langue allemande Andreas Kappeler, écrit cinq ans avant l’attaque massive de la Russie contre l’Ukraine, paru en français en août 2022 puis mis à jour en octobre 2023, grâce à la traduction (enrichie d’un avant-propos et d’un aperçu bibliographique) du géographe Denis Eckert, offre un éclairage plus que jamais indispensable, après deux ans de guerre à l’est de l’Europe.
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Pourquoi Frédéric Fromet a choisi le sujet de la discrimination capillaire au travail pour sa chanson du soir ? Lui, qui n'a aucun poil sur le caillou, a lu qu'un patron avait déclaré à sa salariée très frisée : "Rentre chez toi changer de coupe". On l'écoute sur un air bien connu des fans de foot.
Avec 5 millions d’utilisateurs réguliers, la France est le plus gros pays consommateur de cannabis en Europe. Les trafics prospèrent et génèrent dans de nombreuses villes des violences, parfois extrêmes, qui poussent les autorités à réagir. En témoignent les opérations XXL menées par le gouvernement dans différentes agglomérations ces derniers jours. Mais existe-t-il d’autres alternatives pour mettre fin au narcotrafic ? Plusieurs pays, comme l’Allemagne notamment, ont fait le choix de légaliser l’usage du cannabis à des fins récréatives. Avec quels résultats ? La légalisation est-elle la bonne solution pour mettre fin à un trafic qui gangrène la vie de nombreux Français ? Jean-Mathieu Pernin reçoit Marie Jauffret-Roustide, sociologue à l'Inserm et membre du comité scientifique de l’Observatoire européen des drogues et toxicomanies
Plus d’un tiers des salariés sont soumis à des contraintes physiques dans le cadre de leur travail, porter des charges lourdes et travailler longtemps en position debout, par exemple. Le travail physiquement pénible touche surtout dix fois plus souvent les ouvriers que les cadres, avec des conséquences sur leur santé.
La pénibilité physique au travail affecte essentiellement les moins qualifiés. Si 35 % de l’ensemble des salariés déclarent subir au moins trois contraintes physiques [1], c’est le cas de 69 % des ouvriers non qualifiés, contre 7 % des cadres (données 2019, ministère du Travail). La part des salariés qui subissent ces pénibilités a augmenté de près de huit points entre 2005 et 2019 chez les ouvriers non qualifiés (de 61 % à 69 %). Mais c’est pour les employés de commerce et des services que les contraintes physiques au travail ont connu la plus forte hausse en quatorze ans. 48 % déclarent en subir en 2019 contre 37 % en 2005, avec une augmentation de six points de ces déclarations depuis 2016.
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La commission d'enquête sur l'attribution des fréquences de la TNT auditionne Yann Barthès, présentateur de Quotidien et cofondateur de la société Bangumi qui produit l'émission diffusée sur TMC (groupe TF1) et Ara Aprikian, directeur général adjoint des contenus du groupe TF1. Cette audition a lieu alors que des députés du Rassemblement national ont accusé l'animateur de ne pas inviter les membres de leur parti dans son émission. L'Assemblée nationale a déjà auditionné le président de l'ARCOM (ex CSA) Roch-Olivier Maistre, Vincent Bolloré, Cyril Hanouna ou encore des responsables et rédacteurs en chef de CNews.
Une audition à retrouver sur LCP - Assemblée nationale. Les auditions de l'Assemblée nationale permettent notamment l'information et le contrôle de l'action du Gouvernement par les députés et elles peuvent aussi avoir pour objet de préparer un projet de loi. Elles consistent à entendre une personne devant une commission afin d'avoir un éclairage, un point de vue sur un sujet précis. Ces personnes auditionnées peuvent être des membres du Gouvernement, des commissaires européens, des chercheurs, des représentants des milieux socioprofessionnels...
À propos de : André Masson, Chronique d’un impôt sur l’héritage en perdition. Pourquoi et comment le sauver ?, Puf
Comment financer les investissements d’avenir qui nous attendent, en particulier concernant la transition écologique ? Par taxation de l’héritage, ce qui paradoxalement permettrait aux parents d’épargner pour leurs enfants.
On assiste aujourd’hui à un étrange paradoxe : alors que l’héritage joue un rôle clé dans la reproduction et l’amplification des inégalités patrimoniales, la tendance dans les pays de l’OCDE est à la suppression ou à l’allègement de la fiscalité successorale. Malgré la multiplication des travaux, notes et interventions appelant à repenser la taxation des héritages pour lutter contre l’accroissement des inégalités, le sujet est étrangement délaissé par la gauche et l’opprobre qui pèse sur cet impôt mal-aimé s’accentue. Comment expliquer cette situation et que faire pour y remédier ? C’est à répondre à ces questions qu’est consacré Chronique d’un impôt sur l’héritage en perdition. Pourquoi et comment le sauver ?
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La liste Parti socialiste/Place publique menée par Raphaël Glucksmann est troisième dans les intentions de vote pour les élections européennes de juin 2024. Dans cette nouvelle analyse réalisée grâce aux données de notre Enquête électorale française 2024, Antoine Bristielle, directeur de l’Observatoire de l’opinion de la Fondation, identifie les profils des électeurs « switchers » de Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron et les raisons qui les font basculer dans le camp de Raphaël Glucksmann.
Au sein d’un espace politique tripolaire, le Parti socialiste (PS) semblait depuis 2017 être pris en étau entre d’un côté Emmanuel Macron et sa posture centriste et, de l’autre, Jean-Luc Mélenchon, capable de rassembler au moment de l’élection présidentielle de 2022 les électeurs de gauche radicale et au-delà, dans une logique de vote utile.
A gauche, un rapport de force inchangé, dominé par Raphaël Glucksmann
Raphaël Glucksmann maintient son avance sur les autres forces de gauche, avec 11% d’intentions de vote en sa faveur (stable).
Le vote à son égard est motivé aussi bien par ses propositions (32%) que par son étiquette politique (33%) ou sa personnalité (25%).
A l’inverse, la liste de LFI (créditée de 7% des intentions de vote, comme le mois dernier) est avant tout un vote d’étiquette : 62% des électeurs potentiels de la liste se positionnent d’abord sur le nom du parti.
Derrière le RN et Renaissance, plusieurs listes se tiennent dans un mouchoir de poche. Le Parti socialiste, régulièrement donné autour de 10 % des intentions de vote, semble se stabiliser en troisième position. La France insoumise, sondée au départ aux alentours de 10 % également, a depuis dégringolé dans les études d’opinion et passe péniblement la barre des 7 %. Europe Ecologie Les Verts stagne, lui, autour de 8 % depuis décembre.
Elections européennes 2024 : qu’indiquent les sondages pour la France ?
La tête de liste du Parti socialiste et de Place publique aux élections européennes a défendu sa vision de la politique migratoire européenne réfutant le « mythe » de l’immigration zéro.
géopolitique•La tête de liste PS-Place publique aux élections européennes estime que « si Trump est élu, nous risquons de finir l’année seuls face à la guerre, seuls face à Poutine, seuls face au péril climatique »
"Il faudra une union de la gauche après ces élections, mais ce ne sera pas sur la ligne de Jean-Luc Mélenchon", martèle la tête de liste PS-Place publique, invité de "Demain l'Europe" sur franceinfo.
Raphaël Glucksmann est troisième sur le podium dans les sondages pour les élections européennes, très loin de Jordan Bardella, et encore nettement distancé par la tête de liste macroniste Valérie Hayer, même si l’écart s’est resserré, de cinq à neuf points, selon les enquêtes. Il est toutefois clairement devant ses concurrents communistes, Verts et insoumis.
Le candidat PS-Place publique aux Européennes Raphaël Glucksmann veut « imposer une taxation sur les plus hauts patrimoines à l’échelle du continent européen », afin de financer notamment la transition écologique.
Dans l'histoire politique de Charlotte Chaffanjon, on commence à s’y perdre dans la course des petits chevaux à gauche pour la présidentielle, alors que pourtant la période devrait leur être propice...
EDITORIAL - La gauche reste divisée en trois camps principaux qu’on imagine mal gouverner ensemble. De plus, leurs objectifs ne peuvent être atteints sans une économie performante. Et en cela, Raphaël Glucksmann n’est pas plus convaincant que ses prédécesseurs.
L'eurodéputé, candidat de l'union entre le PS et Place publique aux européennes, était en meeting dimanche à Tournefeuille. Les militants venus le voir sont galvanisés, notamment par les récents sondages.
Le premier meeting du candidat européen Raphaël Glucksmann (PS-Place publique) a eu lieu ce dimanche 24 mars à Tournefeuille (Haute-Garonne) près de Toulouse. Il a plaidé pour « une autre Europe, plus juste, plus digne ». Environ 2 500 personnes y ont participé. Le scrutin aura lieu le 9 juin.
Alors que le Sénat vient de rejeter l’accord commercial avec le Canada (Ceta) et qu’un nouveau refus se profile à l’Assemblée nationale, la France pourrait ne pas tenir compte de cette décision. L’opposition dénonce une dérive anti-démocratique.
« Si le vote du Sénat n’a pas d’impact […], que le gouvernement ne saisit pas la Commission européenne et ne notifie pas, vous porterez la responsabilité de construire de la défiance vis-à-vis de la politique », a prévenu le sénateur écologiste (Les Verts/ALE) Yannick Jadot après le rejet du Ceta au Sénat jeudi 21 mars, s’adressant au gouvernement.
Elections européennes 2024 : qu’indiquent les sondages pour la France ?
Mis à jour le 25.03.2024
Elections européennes 2024 : qu’indiquent les sondages pour la France ?
Mis à jour le 25.03.2024
Elections européennes 2024 : qu’indiquent les sondages pour la France ?
A près de deux mois des élections européennes, Ifop-Fiducial pour le Figaro, LCI et Sud Radio ont interrogé les Français quant à leurs intentions de vote.
Le Rassemblement National en pole position depuis plusieurs mois, confirme la dynamique enclenchée depuis les dernières intentions de vote et rassemble 30% des intentions de vote, soit +1 point depuis le mois dernier. Dans le détail, la liste de Jordan rassemble une partie importante des salariés, qui seraient 37% à donner leur voix à cette liste
D'après une enquête Ifop-Fiducial pour LCI, "Le Figaro" et Sud Radio, le Rassemblement national est toujours largement en tête des intentions de vote pour les élections européennes.
La liste de Jordan Bardella devance celle de Valérie Hayer pour la majorité présidentielle.
Selon ce sondage, le PS demeure en tête de la gauche.
Le PS, première force de gauche
Elle devance celle du Parti socialiste, qui complète le podium et s'impose comme la première force de gauche. La liste portée par Raphaël Glucksmann obtient 11% des intentions de vote (+2), et fait mieux que les autres partis de gauche représentés à l'Assemblée nationale : les Écologistes (7%, -1), la France insoumise (6%, -2) et le Parti communiste (3%, -0,5).
L’Ukraine, la question sociale, l’écologie et la défense, le ni Macron ni Mélenchon, le PS et la gauche, la social-démocratie, la présidentielle et bien sûr l’Europe… le candidat tête de liste du PS aux élections européennes s’explique
Homme à abattre pour une partie de la gauche et la majorité, Raphaël Glucksmann, tête de liste pour le PS et Place publique aux européennes, s'est forgé une stature de défenseur des droits de l'homme, pro-Europe et pro-Ukraine, propulsé espoir de la social-démocratie.
En meeting dimanche près de Toulouse, l'essayiste de 44 ans est actuellement troisième dans les intentions de vote et en tête de la gauche, navigant entre 9 et 13% selon les sondages. Loin de son résultat de 2019 où, déjà tête de liste, il avait péniblement atteint 6,19%.
L’élu socialiste brestois Tristan Foveau vient d’être nommé directeur adjoint de la campagne de Raphaël Glucksmann, la tête de liste de Place publique pour l’élection européenne.
Dans une interview à L’Opinion, la tête de liste PS-Place publique aux élections européennes a dénoncé les propos du député LFI qui a parlé mardi soir de «territoires disputés» dans le Donbass.
En plein débat sur les importations agricoles venues d'Ukraine, la tête de liste PS/Place publique Raphaël Glucksmann affirme que "les importations de poulet ukrainien aujourd'hui c'est rien par rapport aux importations de poulet brésilien". L'Union européenne importe plus de poulet brésilien, mais l'Ukraine arrive en deuxième position.
Les partis fondateurs de la Nupes se présentent divisés aux élections européennes du 9 juin, poursuivant des logiques d’appareil et insistant sur leurs différences pour se démarquer les uns des autres. Résultat : Europe Écologie-Les Verts, La France insoumise, Parti socialiste et Parti communiste devront se contenter de jouer les seconds rôles derrière le match entre Rassemblement national et Renaissanc
Pour les élections européennes de 2023, le candidat du Parti socialiste et Place publique, Raphaël Glucksmann s’offre les services de l’ancien député européen socialiste narbonnais, Éric Andrieu. L’Audois a été choisi pour être le directeur de campagne de la tête de liste après un commun accord entre le premier secrétaire national du PS, Olivier Faure et le candidat Raphaël Glucksmann. "Il a été désigné pour faire le lien entre tout le monde car c’est un homme qui fait l’unanimité", précise une personnalité forte du PS audois.
À 3 mois du scrutin et à l’issue du premier débat entre la plupart des candidats, le Rassemblement National apparait largement en tête des intentions de vote exprimées (30%), devant une liste Renaissance, MoDem et Horizons menée par Valérie Hayer (18%). La liste du Parti socialiste et de Place Publique menée par Raphaël Glucksmann arriverait en 3 position (13%), devant celle de la France insoumise (8%), des Républicains et des Ecologistes (à égalité à 7%), ainsi que la liste Reconquête (6%).
SONDAGE EXCLUSIF - Pour la première fois, la tête de liste Place Publique-Parti Socialiste atteint la barre des 13 % dans notre sondage exclusif Harris Interactive. De quoi alerter la majorité, à la peine, à deux mois et demi des élections européennes.
L'essor de l'extrême droite et l'effondrement des Verts et des Libéraux ne changeront pas fondamentalement la configuration du Parlement européen après les élections de juin, selon l'enquête inédite d'Euronews/Ipsos.
Le soutien à l'extrême droite devrait augmenter lors des prochaines élections européennes, mais les partis pro-européens détiendraient toujours 63 % des sièges, selon un sondage réalisé par Ipsos pour Euronews, publié ce mardi.
La progression de la droite radicale lors de plusieurs élections nationales qui se sont déroulées en Europe au cours des dernières années (France, Suède, Italie, Bulgarie, Pays-Bas, Portugal…) fait dire à de nombreux analystes que cette famille politique devrait effectuer une véritable percée à l’occasion des élections européennes qui se dérouleront du 6 au 9 juin prochain. Dans ce contexte, Euronews a demandé à Ipsos de réaliser à trois mois du scrutin une projection de la composition en sièges du prochain Parlement européen afin d’avoir un aperçu objectif et clair de la situation actuelle.
Raphaël Glucksmann, Aurore Lalucq, Nora Mebarek, Christophe Clergeau… découvrez les candidats qui figurent sur la liste du Parti socialiste et de Place publique pour les élections européennes du 9 juin 2024 en France.
Elections européennes 2024 : qui sont les candidats de la liste Parti socialiste (PS) / Place publique (PP) ?
Les deux têtes de liste offrent un boulevard à la chaîne de Vincent Bolloré pour affirmer que sa volonté d’être pluraliste est entravée par le refus d’une partie de la gauche de venir sur son antenne. Si on partage ce choix en temps normal, on a un doute quand il s’agit d’un débat électoral.
Au micro de BFMTV ce dimanche 17 mars, le chef de file du Parti socialiste et de Place publique aux européennes a promis qu'il défendrait l'adhésion de l'Ukraine au sein de l'UE une fois réélu à Bruxelles. Au risque d'attiser les tensions géopolitiques. Et de tirer les salaires des travailleurs français vers le bas.
La tête de liste Place publique - PS pour l’élection européenne du 9 juin était l’invité de « BFM Politique », en partenariat avec notre journal. Il a souligné le caractère « gravissime » de la situation.
Lors de la séance plénière du Parlement européen mercredi (13 mars), les eurodéputés ont adopté leur position sur une loi qui permettrait aux entreprises de produire des médicaments sans l’autorisation du détenteur du brevet dans des situations d’urgence sanitaire.
L’octroi de licences obligatoires au sein de l’UE et des pays tiers en cas de crise, telle qu’une pandémie, garantirait la disponibilité de produits essentiels dans tous les États membres.
Au total, 484 eurodéputés ont voté en faveur de la position de négociation du Parlement, 121 s’y sont opposés et 20 se sont abstenus.
Si le passé ne tend pas un miroir au présent, pas plus que de l’histoire il ne soit possible de tirer des « leçons », comment néanmoins ne pas s’efforcer de réfléchir aux configurations semblables que laissent entrevoir des actes ou des discours même séparés par plusieurs décennies ? On abuse trop souvent de la référence aux années 1930 comme d’un épouvantail historique qu’il convient de toujours conjurer. On peut cependant utilement se pencher sur les modalités selon lesquelles (re)surgit aujourd’hui un pacifisme radical dont l’entre-deux-guerres pourrait être l’une des matrices.
La paix dans laquelle vit l’Europe depuis plusieurs décennies est la fille d’une guerre terrible, ayant ensanglanté un continent entier dominé, plusieurs années durant, par la puissance maléfique du nazisme. Or, face à cet adversaire aux ambitions aussi impériales que destructrices, il y eut des voix et des politiques pour plaider le compromis. Le pacifisme des années 1930 n’est pas à la gloire d’une décennie où affleurait encore la mémoire si douloureuse des deuils de la Grande Guerre. Cet interminable deuil explique en partie les « lâches soulagements », selon le mot fameux de Léon Blum formulé au lendemain des accords de Munich, et les abandons politiques venus de droite et de gauche face aux totalitarismes.
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