Samedi 9 décembre, à partir de 17h00, suivez la deuxième table-ronde de l'événement de la convention « Le temps des femmes » en direct depuis Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) : « Le point de vue de la société civile ». Animation : Laure Botella, secrétaire nationale adjointe à la Lutte contre les violences faites aux femmes et aux Politiques d’égalité, membre du comité de pilotage de la convention « Le temps des femmes » Avec : - Corinne Hirsch, experte de l’égalité profesionnelle ; - Céline Thiebault-Martinez, présidente de la CLEF (Coordination française pour le lobby européen des femmes) ; - Elsa Labouret, porte-parole d'Osez le Féminisme ; - Flora Bolter, codirectrice de l’Observatoire LGBTI+ à la Fondation Jean-Jaurès, membre de HES LGBTI+.
Actualités socialistes - Page 86
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PS - Table-ronde : le point de vue de la société civile
Diffusée en direct le 9 déc. 2023 -
« Observatoire des inégalités - Discriminations : révéler un système dans sa bonne (in)conscience », l’éclairage de Patrick Simon
Derrière le consensus de façade à condamner les discriminations, le phénomène est minimisé et les victimes sont décrédibilisées. Une mesure chiffrée est indispensable pour dévoiler l’ampleur des faits. Patrick Simon, démographe et directeur de recherche à l’Ined, signe un texte introductif dans le « Rapport sur les discriminations en France » que nous venons de publier.
La question des discriminations en France est une mine de paradoxes. Alors que les Français et les Françaises se montrent parmi les plus conscients en Europe de l’ampleur des discriminations [1], en particulier ethniques et raciales, cette reconnaissance reste abstraite. Les faits de discrimination rapportés dans les médias rencontrent souvent l’incrédulité et la réfutation. Les plaintes en justice aboutissent rarement. Quand des personnes discriminées contestent, on dénonce plus facilement la « victimisation » dont elles abuseraient que les injustices qu’elles subissent.
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Le prix Nobel de la paix remis à la famille de Narges Mohammadi, toujours incarcérée à Téhéran
10 déc. 2023L’Iranienne, toujours détenue dans la prison d’Evin, symbole de la répression contre les femmes, n’a pas pu recevoir son prix. A Oslo, Narges Mohammadi aurait dû recevoir, ce dimanche 10 décembre, le prix Nobel de la paix qui lui a été décerné, début octobre, pour son combat pour les droits des femmes en Iran. Sa famille était donc présente à sa place dans la capitale norvégienne. Ses enfants ont pu relayer son discours : « Le peuple iranien, avec persévérance, viendra à bout de la répression et de l’autoritarisme. »
Arrêtée à treize reprises, condamnée cinq fois à un total de trente et un ans de prison et 154 coups de fouet, et à nouveau incarcérée depuis 2021, Narges Mohammadi est l’un des principaux visages du soulèvement « Femme, vie, liberté » en Iran.
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A la COP 28 (revue de presse mise à jour le 11 décembre)
Ce texte préparé par les Emirats arabes unis ne fait pas mention d'une sortie des énergies fossiles, alors que plusieurs pays et organisations militent pour cette formulation plus ambitieuse.Un dernier brouillon avant la copie finale ? Un nouveau projet d'accord à la COP28 sur le climat, préparé par les Emirats arabes unis, a été rendu public, lundi 11 décembre, à la veille de la clôture prévue de la conférence de l'ONU. Il appelle notamment à la "réduction à la fois de la consommation et de la production des énergies fossiles", mais ne mentionne pas le mot de "sortie" des énergies fossiles, qui est au cœur des négociations à Dubaï.Le président de la COP 28 Sultan Al Jaber, a tapé du poing sur la table à quelques jours de la fin du sommet international. "L'échec n'est pas une option", a-t-il clamé devant les caméras du monde entier. Pressée de toutes parts, l'Arabie Saoudite est sous le feu de critiques. De nombreux Etats plaident pour l'inscription des énergies fossiles dans l'accord final. Mais le royaume, premier exportateur de pétrole au monde, fait tout pour mobiliser les membres de l'OPEP contre cette volonté. Actu Environnement - Après les premières avancées de la COP 28, de gros dossiers sont encore à l'étude Si la première semaine de la COP 28 démarre sous de bons auspices, quelques dossiers particulièrement complexes restent au programme, à commencer par celui de la sortie des énergies fossiles.
Alors que la COP 28 sur le climat à Dubaï doit se terminer demain à 11 heures, l’accord final est toujours en cours de négociation. Pour Ronan Dantec, présent aux Emirats arabes unis, l’accord doit aller plus loin que le symbole de la fin des énergies fossiles.La présidence émiratie a mis l'accent sur la « nature » lors de la COP 28, en organisant une série d'événements et par des annonces de haut niveau. Cet accent s’inscrit dans la lignée de l'élan croissant en faveur de la biodiversité et des écosystèmes dans le cadre des négociations sur le climat1 . Cependant, de nombreux défis restent à relever pour répondre à l'impératif scientifique de protéger et de restaurer les écosystèmes et la biodiversité tout en poursuivant des réductions fortes, rapides et durables des émissions de gaz à effet de serre, sans lesquelles les objectifs de l'Accord de Paris sur le climat et du Cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréal (KMGBF) seront compromis. Avant la Journée de la nature, de l'utilisation des terres et des océans de la COP 28, le 9 décembre, ce billet de blog s’appuie sur les travaux de l'Iddri sur le lien entre climat et biodiversité pour proposer quelques idées sur les domaines d'action prioritaires à la COP 28 et au-delà.
Alors que se tient la Cop 28, François Gemenne, président du conseil scientifique de la Fondation pour la nature et le vivant, est sur le plateau du 12/13 info pour aborder cette actualité.François Gemenne, président du conseil scientifique de la Fondation pour la nature et le vivant, est sur le plateau du 12/13 Info pour revenir sur une actualité brûlante : l’année 2023 est la plus chaude jamais enregistrée, mercredi 6 décembre. Le nerf de la guerre de la Cop 28 est la sortie des énergies fossiles. "Très clairement, aujourd’hui, les énergies fossiles dans le mix énergétique mondial représentent encore 85%. Donc passer de 85% à 0%, ça va être très compliqué", reconnaît-il. L’enjeu est donc de "fixer quelques dates" en vue de l’arrêt de l’utilisation des énergies fossiles.
Euronews - COP 28 : les rapports sur l'état du climat de plus en plus pessimistes
Plusieurs rapports sur l'état du climat ont été présentés ce mardi à la COP 28 à Dubaï. D'après les analyses, aucun pays ne pourra respecter les objectifs fixés par l'accord de Paris.
"Le Climate Action Tracker montre qu'aucun pays au monde n'est réellement sur la bonne voie pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Afin d'atteindre l'objectif de 1,5 degré de l'Accord de Paris. Nous avons également eu le Global Carbon Project, qui a révélé que les émissions en 2023 a augmenté de 1,1 % à l'échelle mondiale, de plus de 8 % en Inde. Et nous avons eu la revue décennale de l'Organisation météorologique mondiale, qui égalise tous les changements que vous pourriez constater à cause de La Niña ou d'El Nino. Et c'est une perspective assez sombre pour notre planète" explique notre correspondant à Dubaï Jeremy Wilks.
Le Monde - COP28 : à Dubaï, présence massive des lobbyistes des énergies fossiles
D’après une coalition de 450 organisations, près de 2 500 lobbyistes des énergies fossiles ont été accrédités pour la conférence sur le climat qui se tient actuellement à Dubaï.
Leur présence n’a jamais été aussi importante lors d’une conférence sur le climat (COP). Près de 2 500 lobbyistes des énergies fossiles ont obtenu une accréditation pour la COP28 organisée depuis le 30 novembre à Dubaï, a déploré mardi 5 décembre une coalition d’ONG, Kick Big Polluters Out, dans un communiqué.
sont-elles entrées dans l'ère du pur spectacle ? - COP28 : les négociations climatiques
Le 30 novembre marque le début de la COP28, une nouvelle saison de négociations climatiques mondiales. Malgré l’attention médiatique croissante sur ce rendez-vous annuel, une question persiste : l’effervescence réussira-t-elle à convaincre les pays de mettre en place des actions significatives pour protéger le climat ? Ou la montagne va-t-elle encore accoucher d’une souris ?
Euronews - COP 28 : 116 pays s'engagent pour tripler les énergies renouvelables
Ce samedi 2 décembre, durant la 28ème édition de la COP 28, à Dubaï, 116 pays se sont engagés à tripler la capacité des énergies renouvelables, dans le monde. L'Union Européenne va contribuer à hauteur de 2,3 milliards d’euros pour soutenir une transition mondiale vers une énergie propre.
Ce samedi, durant la 28ème édition de la Conférence des parties ( COP 28), organisée aux émirats Arabes Unies, à Dubaï, un accord à été signé par 116 pays afin de tripler les capacités d’énergies renouvelables dans le monde, à l'horizon 2030, a annoncé la présidence de la Cop 28. Parmi les signataires figurent les États-Unis, le Canada, le Japon et l'Union européenne. Parmi les absents, la Chine, l'Inde et la Russie.
Ouest France - Cop28 : « Il faut réorienter toutes les économies », estime Laurence Tubiana
Alors que les Émirats arabes unis organisent la Cop 28 à Dubaï, Laurence Tubiana, négociatrice de l’accord de Paris sur le climat en 2015, pointe la dépendance des économies aux énergies fossiles, alors que les producteurs ont engrangé 4 000 milliards de bénéfices en 2022.
Alors que la COP 28 débute à Dubaï, aux Émirats arabes unis, du 30 novembre au 12 décembre prochain, nous avons interrogé plusieurs climatologues de référence sur leurs espoirs et attentes. Les 27 précédentes conférences sur le changement climatique n'ont pas réussi à provoquer une action mondiale et coordonnée en faveur d'une Planète plus durable. Qu'en pense l'un des principaux auteurs du Giec de ces dernières années ?
France Culture - Cop 28 à Dubaï : vers la fin des énergies fossiles ?
La Cop 28 s'est ouverte ce jeudi 30 novembre à Dubaï et l'un des enjeux principaux est la sortie des énergies fossiles. Son président n'est autre que le Sultan Al Jaber qui dirige l'une des principales compagnies pétrolières des Emirats arabes unis. Sommes nous prêt à sortir des énergies fossiles ?
Une vingtaine de pays dont les États-Unis, la France et les Émirats arabes unis ont appelé dans une déclaration commune à la COP 28 à tripler les capacités de l’énergie nucléaire dans le monde d’ici 2050 par rapport à 2020.
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"Le logement est devenu le carburant de toutes les inégalités", affirme Cécile Duflot (Oxfam France)
5 déc. 2023La directrice générale d'Oxfam France Cécile Duflot présente les conclusions du rapport de l'Oxfam consacré au logement. Les 25% les plus modestes consacrent deux fois plus de leurs revenus aux dépenses de logement que les 25% les plus aisés.
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Média des Idées | Épisode 7 : Bruno Palier, chercheur en science politique, que sait-on du travail ?
le 27 nov. 2023 #MédiaDesIdées, présenté par Luc Broussy et Sarah Proust, avec notre invité Bruno Palier, chercheur en science politique et directeur de l'ouvrage collectif « Que sait-on du travail ? ». Il débattra avec Sophie Thiéry, présidente de la Commission Travail Emploi du Conseil économique, social et environnemental, et Arthur Delaporte, député du Calvados et secrétaire national du Parti socialiste à l'Emploi, au Travail et à l'Entreprise nouvelle. -
Observatoire des inégalités - Que pensent les Français des inégalités ?
Les trois quarts des Français estiment que la société est « plutôt injuste ». Cette part a augmenté de dix points depuis le début des années 2000. Que nous disent les enquêtes d’opinion en matière d’inégalités ? Par Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.
75 % des Français estiment que la société française est « plutôt injuste », selon l’édition 2022 du baromètre annuel du ministère des Solidarités [1]. 23 % la trouvent « plutôt juste » et 2 % ne se prononcent pas. Cette enquête, réalisée tous les ans depuis plus de 20 ans confirme le résultat de nombreux sondages qui indiquent que les Français rejettent massivement les inégalités.
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LVSL - Les errements du campisme et du « campisme inversé »
Face à l’impérialisme occidental, une partie de la gauche tend à soutenir tout régime opposé à Washington, de manière aveugle et systématique. Une autre fraction de la gauche répond à cette posture « campiste » par un « campisme inversé », soutenant de manière symétrique la diplomatie occidentale contre les « régimes autoritaires » ou « illibéraux ». Dans Désoccidentalisation. Repenser l’ordre du monde (Agone, 2023), Christophe Ventura et Didier Billion appellent à rompre avec ces grilles d’analyse et d’action. La clef, pour eux, réside dans une « indépendance absolue » des mouvements progressistes à l’égard des États (pro ou anti-occidentaux), et dans la promotion d’un « non-alignement actif ».
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Fertis Barka, fondateur de l'association Banlieues Climat - Nouvelles têtes
5 déc. 2023A 21 ans, ce militant de l’écologie populaire s’est déjà imposé dans les discussions au sommet de l’Etat ! Son association « Banlieues Climat » fête son premier anniversaire en pleine COP28... Feris Barkat est ce matin l'invité de Mathilde Serrell.
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La gauche revient ! Le Billet de François Morel
1 déc. 2023La gauche est de retour ! L’espoir renait ! La perspective de lendemains qui chantent est de nouveau d’actualité. Cette semaine sur France Inter, Jérôme Cahuzac a fait son grand retour politique. J’ai envie de dire : on n’attendait plus que lui !
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Euractiv - Européennes 2024 : le Green Deal, coeur battant d’élections cruciales
Entre les sceptiques et ceux qui veulent aller plus loin, le Green Deal concentrera les débats lors de la campagne des élections européennes à venir. La montée des droites radicales pourrait bien réduire considérablement ses ambitions.
En 2019, la Commission « Ursula von der Leyen » lançait en grande pompe le pacte Vert pour l’Europe (EU Green Deal, en anglais), somme de règlements, directives et initiatives visant à ce que les 27 atteignent collectivement la neutralité carbone en 2050.
Pour la gauche et les écologistes, les objectifs poursuivis sont insuffisants compte tenu de l’urgence climatique. Pour la droite et l’extrême droite, les ambitions sont trop attentatoires aux libertés et à l’économie.
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