Actualités socialistes - Page 1251
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Malek Boutih : «Marine Le Pen peut être présidente de la République»
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Le Monde - Débat sur la loi travail #1 : que changerait concrètement l'article 2 ?
Depuis plusieurs mois, la loi Travail fait débat. Pour y voir plus clair, le Monde.fr propose une série de trois débats sur des points précis du projet de loi : les licenciements, les heures supplémentaires et pour ce premier numéro, l'article 2. En plateau, le juriste Jean-Emmanuel Ray et le sociologue Jérôme Pélisse.
Débat sur la loi travail #1 : que changerait... par lemondefr -
Paris Match - Michel Rocard: "Le risque de la fin du PS existe
L’ancien Premier ministre Michel Rocard, père de la deuxième gauche, s’inquiète pour l’avenir de la France et… de la gauche. Il estime en revanche que Manuel Valls a trop misé sur cette loi travail mais qu’il ne doit pas démissionner.
Paris Match. Sommes-nous dans une impasse politique?
Michel Rocard. Pas encore. Nous ne sommes pas arrivés au terme du processus. Mais nous sommes dans un moment de crispation politique très grave parce qu’inhabituel dans son ampleur. Surtout, et c’est le plus inquiétant, il n’y a aujourd’hui aucune négociation entre les partenaires sociaux et le patronat.
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Le blog de Thomas Piketty - Loi travail : un effroyable gâchis
Alors que les tensions sociales menacent de bloquer le pays et que le gouvernement s’obstine à refuser le dialogue et le compromis, la loi travail apparaît de plus en plus clairement pour ce qu’elle est : un effroyable gâchis, un de plus au sein d’un quinquennat raté, et peut-être le plus grave. Le gouvernement voudrait nous faire croire qu’il paie le prix d’être réformateur, et qu’il doit se battre seul contre tous les conservatismes. La vérité est toute autre : sur ce sujet comme sur les précédents, le pouvoir en place multiplie les improvisations, les mensonges et les bricolages.
On a déjà vu cela à l’œuvre sur la compétitivité. Le gouvernement a commencé par supprimer – à tort – les baisses de cotisations patronales décidées par le précédent gouvernement, avant de mettre en place une invraisemblable usine à gaz, sous la forme d’un crédit d’impôt visant à rembourser aux entreprises une partie des cotisations payées un an plus tôt, avec au passage une énorme perte en ligne liée au manque de lisibilité et de pérennité du dispositif. Il aurait fallu au contraire lancer une ambitieuse réforme du financement de la protection sociale.
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Le #17h00 épisode 31 - Rémi Demersseman-Pradel revient sur l'emploi dans les TPE et PME
Le #17h00 épisode 31 - Rémi Demersseman-Pradel... par PartiSocialiste -
Le #17h00 épisode 32 - Benjamin Abtan présente l'EGAM, mouvement antiraciste européen
Le #17h00 épisode 32 - Benjamin Abtan présente... par PartiSocialiste -
OFCE - Taxer les contrats courts : pourquoi et comment
31 mai 2016
Par Bruno Coquet
Le marché du travail français est fortement appuyé sur l’assurance chômage, pour de nombreuses raisons : le chômage est élevé, les salariés paient très cher leur assurance, mais aussi parce que la réglementation couvrant bien les salariés titulaires de contrats précaires, certains employeurs sont incités à reporter sur l’assurance chômage les coûts de la flexibilité contractuelle, qui devraient être facturés aux clients ou imputés aux actionnaires.
L’intervention de l’assurance chômage doit donc être ajustée afin de ne pas susciter de telles incitations, qui lui coûtent cher et accroissent le coût du travail. Pour ce faire c’est le coût du travail associé aux comportements coûteux pour l’assureur qui doit être augmenté, cependant que les taxes facturées aux employeurs faisant un usage raisonné des contrats courts devraient baisser.
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"La situation financière de la France est plus saine" Hélène Geoffroy (03/06/2016)
"La situation financière de la France est plus... par radioclassique -
Non Fiction : Le Front populaire : l'échappée belle, avec Jean Vigreux
Jean Vigreux, historien, professeur à l'Université de Bourgogne, présente, pour les 80 ans de l'événement, une magistrale Histoire du Front populaire (Tallandier, 2016), qui constitue à la fois une synthèse accessible et une ouverture vers d'autres perspectives d'histoire culturelle et sociale.
Nonfiction.fr : Au-delà de l’anniversaire du printemps 1936, pourquoi écrire aujourd’hui une nouvelle Histoire du Front populaire ? Sur quelles archives vous êtes-vous appuyé ?
Jean Vigreux : Ecrire une histoire du Front populaire permet de travailler sur les mythes et les représentations de cet événement majeur car nous avons tous dans notre mémoire collective des images – presque des icônes – qui marquent cette période.
Cela permet aussi de les déconstruire. Bien sûr, « y a de la joie », comme le chantait Charles Trenet, bien sûr, les grèves sont un moment d’espoir et de bals, mais en même temps, la société française est traversée par des tensions, des rivalités, des haines – n’oublions pas que Léon Blum a failli se faire lyncher par l’extrême droite. J’ai donc voulu montrer ces concordances et discordances, entre moments festifs et moments de tensions.
A propos des archives, j’ai d’abord eu la chance de disposer des archives dites de Moscou, qui sont revenues, non pas seulement celles du Komintern et du monde communiste, mais aussi celles de la surveillance française qui avaient été saisies par les Allemands en 1940, ou même complaisamment données par le gouvernement de Vichy, et qui étaient parties, ce qui fait que l’on avait la fameuse série F7 des Archives nationales qui s’arrêtait au début des années 30. Cela est revenu aux Archives nationales et, dans le cadre d’un partenariat qu’on avait monté avec l’Agence nationale de la Recherche (qui s’appelait Paprik@2F), j’ai pu bénéficier de ces archives.
Mais, au-delà de ces archives nationales, c’est aussi une approche par le local – ma conception du local est aussi celle de jeux d’échelles, montrant comment le local rencontre le national et l’international, comment l’un irrigue l’autre. C’est pourquoi j’ai voulu parler du Front populaire dans les provinces et dans les colonies, car il ne se résume pas à la capitale.
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Fondation Jean Jaurès - Innovation dans les transports publics : entretien avec Jacques Chauvineau, par Pierre Bauby
Jacques Chauvineau, initiateur du TER et président de Opérateurs ferroviaires de proximité, évoque le développement du TER avec les enjeux de mobilité sur les territoires et les perspectives d’innovation des transports en commun et des services publics.
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Contestation, jusqu'où on peut aller ? (Le Débat Eco)
Contestation, jusqu'où on peut aller ? (Le... par franceinter