Actualités socialistes - Page 1250
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"Panama Papers" : L'appel à la mobilisation de Yann Galut député PS du Cher
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Jean-Christophe Cambadélis : « Je suis pour François Hollande et pour une primaire »
Jean-Christophe Cambadélis : « Je suis pour... par Lopinionfr -
"La nuit debout" L'édito Politique dans le 7/9 par Thomas Legrand
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“Cash Investigation” : “ Paradis fiscaux : Le casse du siècle”
“Cash Investigation” : “ Paradis fiscaux : Le... par telerama -
Ce qui reste des ruines Par Paul Alliès
Il ne sera pas question ici de Palmyre mais de l'état de notre régime politique. L’abandon de la révision constitutionnelle a réjoui tous ceux qui ont dénoncé depuis quatre mois la dangerosité de sa portée. Il en ressort une bonne nouvelle: la dévaluation de la « parole présidentielle »; et une mauvaise: le maintien d’une panoplie réduisant les libertés, la démocratie et l’Etat de droit.
La bonne nouvelle d’abord: le Parlement a résisté à l’invocation sacro-sainte de la « parole présidentielle ». Manuel Valls a perdu beaucoup de temps à l’invoquer pour exiger des députés de la majorité qu’ils se rangent à l’avis de son gouvernement. Ils devaient « respecter le serment de Versailles », soit le discours prononcé par François Hollande devant le Parlement réuni en congrès le 16 novembre 2015. Il s’agissait d’une procédure voulue en 2008 par Nicolas Sarkozy réformant la Constitution et jamais appliqué jusque là; les socialistes avaient refusé de la voter entre autres motifs qu’elle allait affaiblir encore un peu plus le pouvoir législatif au profit de la Présidence. L’oubli de ce moment n’est pas étonnant de la part d’un Exécutif qui rompt tous les jours un peu plus avec ses principes, sa mémoire, son histoire.
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Thierry Mandon : «François Hollande sera candidat à la présidentielle [...] si le chômage baisse»
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Panama papers : il faut remettre le Panama sur la liste noire, selon Nicole Bricq
Panama papers : il faut remettre le Panama sur... par publicsenat -
Panama Papers: "La classe économique et politique française est concernée"
Samuel Laurent, journaliste au Monde, explique le scandale de fraude fiscale à l'échelle internationale, révélé par 107 rédactions à travers le monde. Les "Panama Papers" révèlent les montages offshores réalisés notamment par d'importantes personnalités politiques pour dissimuler de l'argent.
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Le #17H épisode 15 - Rachid Temal revient sur la campagne #TousUnisContreLaHaine du gouvernement
Le #17H épisode 15 - Rachid Temal revient sur... par PartiSocialiste -
Observatoire des inégalités - La pauvreté progresse en France
29 mars 2016 - La France compte entre 4,9 et 8,5 millions de pauvres selon la définition adoptée. Entre 2004 et 2013, le nombre de personnes concernées a augmenté d’un million au seuil à 50 % du revenu médian, principalement sous l’effet de la progression du chômage.
La France compte 4,9 millions de pauvres au seuil à 50 % du revenu médian [1] et 8,5 millions à celui de 60 %, selon les données 2013 de l’Insee. Dans le premier cas, le taux de pauvreté est de 7,7 %, dans le second de 13,7 %. La pauvreté a fortement progressé à partir de 2008, avec l’accentuation des difficultés économiques liées à la crise financière. Entre 2008 et 2012, le nombre de pauvres, au seuil à 50 % comme à 60 %, a augmenté de 800 000. Le taux à 50 % s’est élevé de 7 à 8 %, le taux à 60 % de 13 à 14 % sur la même période. Depuis 2012, ce taux stagne selon les dernières estimations de l’Insee [2]. En 2014, le taux estimé serait de 14,2 % au seuil à 60 % [3].
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Le Monde - « Nous refusons la rétrogradation de notre économie et l’effritement de la cohésion de notre société »
La France est à un moment singulier. Le triste record du nombre de chômeurs, les incertitudes économiques mais aussi géopolitiques, énergétiques et financières mondiales freinent la reprise économique. Les radicalisations de tout bord, les bouleversements migratoires, le réchauffement climatique, les opportunités mais aussi les impacts du progrès technique et du numérique rebattent les cartes et les cadres dans lesquels nous avions l’habitude d’analyser le monde.
Les réponses inadéquates, le manque de débat apaisé et la saturation d’affrontements binaires ont pour conséquence une perte totale de confiance de nos concitoyens dans les institutions et les politiques. Nous risquons aujourd’hui un point de non-retour.
Voilà pourquoi, à l’initiative du Cercle des économistes et avec Le Monde, quinze représentantes et représentants d’institutions de réflexion et de think tanks ont lancé, en 2015, l’opération totalement inédite de se regrouper, acceptant leur désaccord, autour de questions qu’ils jugent primordiales dans la perspective de l’élection présidentielle de 2017.
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