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  • Revue de presse du 7 au 13 mai

    GARANTIE D'EMPLOI

    LVSL - Garantie publique d’emploi : défendre les communs contre l’individualisme du revenu universel

    Depuis plusieurs années, l’idée d’un revenu universel suscite l’enthousiasme des électeurs de droite comme de gauche, recouvrant alors des réalités bien différentes. De l’outil d’accentuation du néolibéralisme à l’utopie émancipatrice de gauche, ce dispositif protéiforme ne propose toutefois pas de solution au problème politique et psychologique du chômage de masse qui traverse notre société. À l’inverse, la garantie publique d’emploi propose d’orienter ces dépenses publiques vers la création d’emplois utiles à la société et préservant l’autonomie des travailleurs.

    10 MAI 1981

    Ouest France - Le 10 mai 1981. La fête jusqu’au bout de la nuit pour l’élection de François Mitterrand

    À travers l’Ouest, comme partout en France, la victoire de François Mitterrand s’était traduite par des scènes de liesse dans les rues.

    Comme un 14 juillet, titre Ouest-France dans son édition locale de Cherbourg (Manche) pour rendre compte de cette longue soirée du 10 mai 1981. Avec un petit détour par la mairie de la ville où les résultats sont en train de tomber : L’ambiance commence à chauffer. Très tôt, les représentants du comité de soutien à Valéry Giscard d’Estaing quittent la salle. Eux aussi ont compris. Et tout à coup, ce fut l’explosion. Les premiers concerts d’avertisseurs retentirent. Beaucoup de vieux militants ne pouvaient dissimuler leur émotion.

    Libé - Leur 10 mai 81 (2/4)

    Vu par des patrons et syndicalistes : «on avait l’impression que tout le monde avait voté Mitterrand»

    Lorsque Mitterrand est élu, il y a quarante ans, toute la classe politique et militante y voit le début d’une nouvelle ère, entre espoirs, doutes et appréhension. Patrons, syndicalistes, personnalités de gauche ou de droite racontent à «Libération» leur soirée du 10 mai 1981.

    Annick Coupé, secrétaire générale d’Attac, syndicaliste CFDT en 1981

    «A l’époque, j’étais à la CFDT. Appartenant auparavant à des organisations maoïstes, je n’avais jamais voté. 1981, c’était ma première élection. Au premier tour, j’avais voté pour Huguette Bouchardeau du PSU, puis Mitterrand au second tour. Venant de l’extrême gauche, il n’était pas pour moi une grande référence politique, mais j’ai voté pour lui sans état d’âme. La campagne avait quand même été largement à gauche, autour de grands thèmes fédérateurs comme les retraites. Surtout, on voulait en finir avec Giscard.

    France Info - Le Parti socialiste ne veut pas se faire voler l’héritage de François Mitterrand

    Dans une semaine ce sera le 40e anniversaire de l’élection du candidat socialiste à l’élection présidentielle de 1981.

    Lundi prochain, nous serons le 10 mai, date du 40e anniversaire de l'élection de François Mitterrand, et au Parti socialiste, il n’est pas question de se laisser déposséder de cet héritage parce que les hommages seront nombreux et très politiques. Le Parti communiste prévoit un moment de célébration. Jean-Luc Mélenchon - grand admirateur de Mitterrand - organise une conférence en ligne, comme il y a dix ans déjà pour les 30 ans de l’élection. 

    Le Figaro - Les socialistes se divisent sur la célébration des 40 ans de l'élection de Mitterrand

    INFO LE FIGARO - Le patron du PS, Olivier Faure, renonce à se rendre au Creusot (Saône-et-Loire) dimanche, où François Hollande prononcera un discours très politique pour les 40 ans du 10 mai 1981.

    Olivier Faure organisera lundi soir prochain sa propre commémoration du 10 mai 1981, 40 ans après la victoire de François Mitterrand à la présidentielle. Le premier secrétaire du PS a en effet renoncé à se rendre la veille, dimanche 9 mai, au Creusot, en Saône-et-Loire, où la Fondation nationale des élus socialistes et républicains, la Fneser, organise de son côté - et de longue date - une journée consacrée à l'héritage de l'ancien chef de l'État socialiste. Officiellement, Olivier Faure a fait le choix de participer à une Marche pour le Climat à Paris. En réalité, il souhaitait pouvoir prendre la parole au Creusot. Mais seul François Hollande a été invité par les organisateurs à prononcer un discours, annoncé comme très politique.

    Le Monde - « 10 mai 81 : changer la vie ? », sur France 2 : les premiers pas de la Mitterrandie

    Ce documentaire un brin nostalgique permettra aux plus jeunes de découvrir un temps où la gauche savait parler au peuple, le faire rêver. Les plus anciens y retrouveront les photos de leurs illusions perdues ou de leur rage enfouie.

    Les plus de 50 ans se souviennent encore de ce dimanche 10 mai au soir quand, juste après l’annonce de la victoire de François Mitterrand, une foule s’élançait sous la pluie dans les rues de Paris pour gagner la place de la Bastille. Les socialistes prenaient possession de l’Elysée, et la droite semblait enfin sortie de l’histoire. C’est sur ces images pleines d’allégresse oubliée que Cécile Amar et Stéphane Benhamou ont démarré leur plongée dans les trois premières années de ce septennat si particulier. Le choix est judicieux tant les extraits d’archives télévisées, la texture des voix, les sons de l’époque immergent soudain le spectateur dans un monde qui semble à la fois « si loin et si proche », comme le dit la voix off d’Anna Mouglalis.

    Télérama - Les années Lang : culture paillettes ou vent de liberté pour les créateurs ?

    Mai 1981, François Mitterrand met la culture sur le devant de la scène politique. Jack Lang, plusieurs fois ministre durant ses deux mandats, se démarque de ses prédécesseurs. Le politologue Vincent Martigny, coauteur de l’ouvrage “Les Années Lang”, dresse de cette période un bilan plutôt positif.

    Maître de conférences en sciences politiques à l’École polytechnique, membre du comité éditorial du journal Le 1, l’historien et politologue Vincent Martigny, 43 ans, a codirigé, avec Laurent Martin et Emmanuel Wallon, Les Années Lang : Une histoire des politiques culturelles – 1981-1993 (éd. La Documentation française, parution le 11 mai). Interview.

    BORIS VALLAUD

    L'Express - Boris Vallaud : "Je prône une rupture avec le monde tel qu'il va, ou plutôt qu'il ne va pas"

    Le député socialiste des Landes, qui publie son essai Un Esprit de résistance, revient pour L'Express sur le leg de Mitterrand, l'état de la gauche et du socialisme.

    À l'occasion de la sortie de son essai Un Esprit de résistance (éd. Flammarion), qu'il décrit lui-même davantage comme un "manifeste", le député socialiste des Landes, ancien secrétaire général adjoint de l'Élysée (sous François Hollande), revient pour L'Express sur l'héritage laissé par François Mitterrand, les causes du délitement de la gauche, et l'horizon vers lequel elle devrait tendre pour espérer revenir au pouvoir.  

    Le Figaro -Boris Vallaud: «Nous sommes dans une guerre de modèles politiques»

    VIDÉO - Le député PS des Landes, responsable du projet socialiste pour 2022, était l’invité du «Talk Le Figaro» ce jeudi 6 mai.

    Pour Boris Vallaud, qui était jeudi l’invité du «Talk Le Figaro», «avec Macron, les Français ont voté pour un deuxième mandat Sarkozy». Et s’il est convaincu que le chef de l’État mène une politique de droite, il se souvient encore de «ce moment cocasse, où l’ombre de Nicolas Sarkozy plane, pour savoir à qui il accordera l’onction, entre un candidat issu de sa famille politique originelle», ou l’actuel président En marche. Le député des Landes publie Un esprit de résistance (Flammarion), un livre dans lequel il propose à la gauche de se retrouver sur le fond. À travers sa réflexion, il livre un socle au débat d’idées, dans la perspective de la présidentielle.

    REGIONALES
     

    Rassemblée derrière le ministre en 2015, qui a depuis rejoint Emmanuel Macron, la majorité bretonne affronte le scrutin du 20 juin divisée. D’un côté, le socialiste Loïg Chesnais-Girard, de l’autre Thierry Burlot et sa liste d’union LREM-Modem-UDI.

    L’atypique attelage breton, qui continuait d’associer socialistes et marcheurs, a fini par éclater. La majorité rassemblée par Jean-Yves Le Drian pour les régionales de 2015, déjà fragilisée depuis son ralliement à Macron en 2017, est désormais scindée en deux groupes. Elle avait tenu tant bien que mal, soudée par sa fidélité au «menhir», leader incontesté de la scène politique régionale depuis 2004, mais deux de ses fidèles se disputeront la tête de la Bretagne les 20 et 27 juin : le président sortant, Loïg Chesnais-Girard, sous bannière socialiste, et son vice-président à l’environnement, Thierry Burlot, sous étiquette LREM-Modem-UDI. Un divorce«à des choix de tactiques nationales, pilotés par Paris et guidés par 2022», dénonce le premier.

    PRESIDENTIELLES

    Fondation Jean Jaurès - 2017-2022, une décomposition sans recomposition

    Quatre années se sont écoulées depuis l’élection présidentielle de 2017. Des événements marquants, inédits, comme le mouvement des « gilets jaunes » ou la crise liée à la Covid-19 ont émaillé cette période en mettant en avant les sujets liés à ce nouveau clivage entre « pro » et « anti » mondialisation. À un an de la prochaine échéance, la promesse de 2017 aura-t-elle tenu en 2022 ? Que peut-on attendre de ce scrutin à venir ? Plusieurs éléments d’analyse peuvent nous mettre sur la piste.

    Fondation Jean Jaurès - Rétrospective d’avenir, Jean-Philippe Derosier

    Dans sa contribution d’une série réalisée en partenariat avec L’Hétairie, le constitutionnaliste Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public à l’université de Lille et auteur du blog La Constitution décodée, rappelle, après une évocation des précédents scrutins de la Ve République, que chaque élection présidentielle réserve son lot de surprises.

    VACCINS

    La Vie des idées - L’hésitation vaccinale, ou les impatiences de la santé mondiale

    À lire les sondages, la France se distingue par un haut niveau de défiance vaccinale. Mais, dans la pratique, les taux de couverture restent élevés, et la campagne de vaccination contre le Covid s’accélère. L’hésitation n’est pas toujours synonyme de refus ou de résistance.

    2016. La France championne de la défiance vaccinale. Sur une carte du monde en dégradés de rouge, le petit hexagone au centre est peint en bordeaux : il est devenu le mouton noir de la vaccination, c’est du moins ce que présente l’anthropologue Heidi Larson depuis la London School of Hygiene and Tropical Medicine, au terme d’une enquête menée dans soixante-sept pays, qui fait caracoler la France en tête du palmarès. Chaque personne interrogée dans le cadre de l’enquête avait dû se prononcer sur quatre affirmations relatives à l’importance des vaccinations de l’enfance, à l’efficacité des vaccins, à leur compatibilité avec des croyances religieuses et à leur innocuité. C’est sur ce dernier item que les Français s’illustraient par un très haut niveau de défiance. Si le cas des Français est grave, le problème n’en est pas moins mondial : l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré l’hésitation vaccinale « ennemie de l’année » en 2019.

    HISTOIRES SOCIALISTES

    Fondation Jean Jaurès - Héritiers de l’avenir : une nouvelle collection Gilles Finchelstein

    La Fondation initie une nouvelle collection, en format vidéo, qui recueille des témoignages de celles et ceux qui furent les principaux acteurs de l’histoire du Parti socialiste, les réunissant sous un titre emprunté à Pierre Mauroy, « Héritiers de l’avenir ». Cette collection constitue une source précieuse de compréhension des enjeux et des débats qui ont traversé la gauche depuis cinquante ans. Retrouvez sa présentation par Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation.

    Henri Weber, le rouge et la rose en replay sur le site de France 5

    Le Monde - « Henri Weber, le rouge et la rose », sur France 5 : itinéraire d’un éternel engagé

    « Je ne crois pas au meilleur des mondes, mais j’aspire à un monde meilleur », disait l’auteur de « Rebelle jeunesse », fauché en 2020 par le Covid-19. Fabienne Servan-Schreiber et Patrick Rotman relatent sa conversion du trotskisme au socialisme.

    Il y a un an, le 26 avril 2020, Henri Weber était emporté par le Covid-19 à Avignon. Il avait 75 ans et l’annonce de sa mort, au milieu du premier confinement et de l’explosion de la pandémie, ne suscita que quelques dépêches et de modestes articles nécrologiques.

    Libé - Henri Weber, «de la révolte à la réforme»

    Si la vie de Henri Weber, décédé l’an dernier du Covid, pouvait tenir en quelques mots, le titre du portrait, que lui consacrent son épouse Fabienne Servan-Schreiber et le documentariste Patrick Rotman, a la concision de la formule bien troussée : Henri Weber, le rouge et la rose. Ou comment une ancienne figure révolutionnaire de mai 1968 deviendra à l’orée des années 80, l’une des têtes pensantes d’un PS en plein virage social-libéral, sous la houlette du jeune Laurent Fabius (alors fraîchement nommé Premier ministre de François Mitterrand) dont il sera un fidèle compagnon de route pendant plus de trente ans. Soit l’histoire d’une «génération passée de la révolte à la réforme».
  • Libé - Régionales : Au Parti socialiste, l’épineuse campagne d’Audrey Pulvar

    Vendredi : retour à la normale. La candidate du Parti socialiste en Ile-de-France, Audrey Pulvar, a déposé sa liste à la préfecture. Des sourires et un cliché sur les réseaux sociaux pour immortaliser le moment. Ce n’était pas une première. L’ancienne journaliste avait déjà déposé une liste en début de semaine. Mais un épisode est venu bousculer l’ordre des choses : le chef de file en Seine-Saint-Denis, Bertrand Kern, a jeté l’éponge. Le maire de Pantin a mis en avant une «perte de confiance» et des «désaccords stratégiques». Un départ qui interroge toujours les huiles socialistes en Ile-de-France et ailleurs. Pourquoi partir après le dépôt des listes ? Ses copains ne comprennent toujours pas. Le mot «irrationnel» revient tel un gimmick.
     
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  • Libé - En Bretagne, la guerre de succession des héritiers de Le Drian

    Rassemblée derrière le ministre en 2015, qui a depuis rejoint Emmanuel Macron, la majorité bretonne affronte le scrutin du 20 juin divisée. D’un côté, le socialiste Loïg Chesnais-Girard, de l’autre Thierry Burlot et sa liste d’union LREM-Modem-UDI.

    L’atypique attelage breton, qui continuait d’associer socialistes et marcheurs, a fini par éclater. La majorité rassemblée par Jean-Yves Le Drian pour les régionales de 2015, déjà fragilisée depuis son ralliement à Macron en 2017, est désormais scindée en deux groupes. Elle avait tenu tant bien que mal, soudée par sa fidélité au «menhir», leader incontesté de la scène politique régionale depuis 2004, mais deux de ses fidèles se disputeront la tête de la Bretagne les 20 et 27 juin : le président sortant, Loïg Chesnais-Girard, sous bannière socialiste, et son vice-président à l’environnement, Thierry Burlot, sous étiquette LREM-Modem-UDI. Un divorce«à des choix de tactiques nationales, pilotés par Paris et guidés par 2022», dénonce le premier.

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  • France Info - Régionales en Auvergne-Rhône-Alpes : Laurent Wauquiez, président LR sortant, en tête des intentions de vote selon notre sondage

    La liste LR est suivie par celle du Rassemblement national et par celle soutenue par LREM et le MoDem. 

    Laurent Wauquiez est le favori à sa succession à la tête de la région Auvergne-Rhône-Alpes, selon un sondage Ipsos Sopra/Steria pour franceinfo et France Télévisions publié mardi 4 mai.

    Le président sortant Les Républicains de la région, est en tête des intentions de vote des élections régionales qui auront lieu les 20 et 27 juin prochain. La liste de Laurent Wauquiez, soutenue par LR et l'UDI, est créditée de 31% des suffrages au premier tour. Derrière, la liste RN, conduite par Andréa Kotara, totalise 19% des intentions de vote.

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  • Les Echos - Sondage Régionales 2021

    A l'occasion de la campagne pour les régionales en France, OpinionWay, en collaboration avec « Les Echos » et Radio classique, a lancé en janvier 2021 RégioTrack, un baromètre mensuel pour suivre l'évolution des rapports de force électoraux jusqu'au scrutin. Neuf vagues sont prévues d'ici à juin 2021.

    Lors de chaque vague, un échantillon national d'environ 5.000 personnes, représentatif de la population française, est interrogé et permet d'évaluer le rapport de force national pour ce dernier scrutin avant la présidentielle de 2022. RégioTrack propose aussi des indicateurs récurrents (intérêt des électeurs pour la campagne, enjeux de l'élection, impact de la crise sanitaire du Covid-19…) et des questions d'actualité. Enfin il permet de comprendre les tendances du scrutin dans chacune des 12 régions métropolitaines, et ce, grâce à une modélisation statistique.

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  • L'Obs - Régionales: les communistes de l'Allier font dissidence et rejoignent Vallaud-Belkacem

    Lyon (AFP) - Les communistes de l'Allier ont confirmé samedi leur dissidence et leur ralliement à la liste "L'Alternative" menée par l'ancienne ministre socialiste Najat Vallaud-Belkacem pour les élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes.

    "Dans l'Allier, on sait que la gauche ne gagne que lorsqu'elle est rassemblée", a indiqué le secrétaire fédéral départemental du PCF Yannick Monnet, en s'affichant aux côtés de la candidate lors d'une conférence de presse à Lyon.

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  • Najat Vallaud-Belkacem propose un revenu solidarité jeunesse en AURA au 7/9 de France Inter

    Le mardi 20 avril 2021, Najat Vallaud-Belkacem, candidate aux élections régionales Auvergne-Rhône-Alpes, est l'invitée du Grand entretien de France Inter.
    Elle prévoit la mise en place, dans sa région Auvergne Rhône-Alpes, d'un revenu solidarité jeunesse et d'une aide à l'alimentation : "Nous allons traiter la jeunesse avec l'attention qu'elle mérite."

  • France Inter - Vallaud-Belkacem favorable à une primaire de toute la gauche

    "L’idéal serait de construire une primaire commune" à toutes les forces de gauche, estime l'ancienne ministre de François Hollande.

    À un an de l’élection présidentielle, l’état de forme de la gauche pousse ses différents dirigeants à se parler. Pour les Socialistes, Insoumis ou Écolos, pas une intervention média ne se fait sans l’évocation d’un éventuel rassemblement des forces en vue de 2022. 

    Ce mardi 20 avril, c’est l’ancienne ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem qui a donné sa recette sur France Inter. Pour elle, la gauche, qui “ne se reconnaît plus de leaders incontestés”, doit être “capable de s’unir” pour incarner “l’alternative que les Français attendent.” Et dans cette optique, la candidate PS aux régionales en Auvergne-Rhône-Alpes prône une large primaire.

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  • Revue de presse du 2 au 8 avril

    MORGAN LARGE

    France 3 - Rostrenen : grosse mobilisation en soutien à la journaliste Morgan Large, victime d'intimidations et de malveillance

    Plus de 500 personnes se sont réunies ce mardi 6 avril à Rostrenen (Côtes d’Armor) en soutien à Morgan Large, journaliste en Centre Bretagne. Spécialiste des enquêtes sur l’agroalimentaire, elle est victime d’intimidations et d’actes de malveillance. 

    Nous avons besoin d’une réponse forte des politiques pour rappeler à la raison les grands groupes. La vérité aujourd’hui, c’est que tout le monde a peur d’enquêter. Subir des attaques graves chez soi, c’est inadmissible”, affirme au micro, Morgan Large. “Mon métier est de parler à tous les gens. Le jour où je ne le pourrai plus, je ne ferai plus mon métier”, ajoute-t-elle, très émue.

    Reporterre - En Bretagne, des journalistes enquêtant sur l’agro-industrie sont victimes d’actes dangereux

    Cette semaine, la voiture de la journaliste bretonne Morgan Large, qui enquête sur le secteur agro-industriel local, a été sabotée, et une journaliste allemande a été agressée par un agriculteur. Des médias bretons appellent à la grève et au rassemblement mardi 6 avril.

    Les intimidations à l’encontre des journalistes qui enquêtent sur l’industrie agroalimentaire bretonne continuent. Mercredi 31 mars, la journaliste de la radio associative bilingue franco-bretonne Radio Kreiz Breizh, Morgan Large, installée à Glomel (Côtes-d’Armor), a découvert que deux boulons fixant une des roues arrière de son véhicule avaient été retirés. « J’ai réalisé que ça faisait sans doute trois jours que je roulais comme ça, parce que j’avais entendu du bruit dans la nuit de dimanche à lundi, raconte-t-elle à Reporterre, encore sous le choc. Aujourd’hui, j’ai dû rouler à nouveau, j’étais à 80 km/h sur la quatre voies avec des nausées. Quelle sera la prochaine étape, va-t-on incendier ma maison pendant que je dors ? »

    INEGALITES

    Observatoire des inégalités - « Le décalage entre le discours égalitariste des privilégiés et leurs actes ne passe plus »

    Entretiens 26 mars 2021

    À l’occasion de la publication de son ouvrage Encore plus !, Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités, revient sur le malaise nourri par le décalage entre les discours et les actes des plus privilégiés. Extrait du quotidien 20 Minutes.

    En France, les écarts se creusent. Les classes aisées voient leurs revenus progresser, quand ceux des autres catégories stagnent. Dans Encore plus ! Enquête sur ces privilégiés qui n’en ont jamais assez, Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités, analyse avec précision ce phénomène, lequel est accentué depuis la crise sanitaire. Une situation de moins en moins supportable pour une majorité de Français, qui réclament davantage de justice sociale. Pour 20 Minutes, Louis Maurin évoque la réalité des inégalités dans la société française et propose des solutions pour lutter contre.

    FIN DE VIE

    Le JDD - L'appel de plus de 270 députés sur la fin de vie : "Nous voulons débattre et voter"

    TRIBUNE - Dans une tribune que publie le JDD, plus de 270 députés, de tous bords politiques, réclament un débat et un vote sur l'élargissement de la législation sur la fin de vie et donc sur l'euthanasie.

    Après le vote, mercredi soir par la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale, d'une proposition de loi ouvrant la voie à une légalisation de l'euthanasie, 272 députés de tous bords politiques, de Jean-Luc Mélenchon à Robin Reda en passant par Valérie Rabault, Yaël Braun-Pivet, François de Rugy, Olivier Faure ou Cédric Villani, et de tous les groupes, de La France insoumise aux Républicains, appellent à débattre du sujet "de façon digne et apaisée". Et dénoncent le fait qu'"une poignée de députés ont déposé jusqu'à 400 amendements chacun", faisant ainsi de l'obstruction parlementaire. 

    HIDALGO

    Europe 1 - Visée par le hashtag #SaccageParis, "Anne Hidalgo est vaccinée contre le bashing"

    Depuis ce week-end, Anne Hidalgo est vivement attaquée sur les réseaux sociaux sur sa gestion des déchets et la propreté de la capitale. Mais l'entourage de la maire de Paris dénonce une campagne menée par l'opposition et assure que l'élue socialiste est "vaccinée contre le bashing".

    Ras-le-bol sincère d'habitants en colère ou opération politique ? Depuis ce week-end, les réseaux sociaux sont inondés de photos dénonçant la saleté de la ville de Paris, entre tas de déchets massés sur les trottoirs et graffitis pas nettoyés, le tout accompagné du mot-dièse #saccageparis.

    CONCORDAT

    Libé - Le Concordat d’Alsace-Moselle sujet à l’obsolescence programmée ?

    Cela faisait au moins vingt ans que les Alsaciens-Mosellans n’avaient pas été invités à se prononcer sur le droit des cultes de leur territoire. Un sondage de l’Ifop révèle ce mardi que 52% d’entre eux se disent favorables à son abrogation.
    L’affaire risque de susciter de fortes turbulences politico-religieuses. En vieille France, comme on dit en Alsace et dans les trois départements concordataires du Haut-Rhin, Bas-Rhin et de la Moselle, où la loi de 1905 instaurant le régime de séparation des Eglises et de l’Etat ne s’applique pas. Et si le Concordat était obsolète ? La question n’a rien de théorique. Publié ce mardi, un sondage de l’Institut français d’opinion publique (Ifop), montre que 78% des Français sont favorables à son abrogation. Une courte majorité d’Alsaciens-Mosellans, 52% d’entre eux, se prononce également pour la fin de cette exception ; ce qui est encore plus surprenant. «Cela brise une idée reçue, véhiculée depuis des décennies», relève François Kraus, directeur du pôle politique-actualités de l’Ifop.
     
    THOMAS LEGRAND
     
     
    Encore une polémique avec un maire EELV. Cette fois-ci, il s’agit de Léonore Moncond’huy, maire de Poitiers.
     
    Dont la majorité a décidé de baisser la subvention d’aéroclubs locaux. Il y a une logique à ce qu’une municipalité écologiste ne favorise pas particulièrement les sports carbonés… Mais alors qu’un élu d’opposition soulignait que cette baisse de subvention pouvait mettre à mal le programme d’une association qui propose des baptêmes de l’air à de jeunes handicapés, Léonore Moncond’hui a prononcé cette phrase absurde et un peu effrayante : ‘L’aérien ne devrait plus faire partie des rêves d’enfants’. 
     
    ENVIRONNEMENT ECONOMIE
     

    À propos de : Eve Chiapello, Antoine Missemer, Antonin Pottier (coord.) Faire l’économie de l’environnement, Presses des Mines

    Comment l’environnement est-il considéré par les discours et statistiques économiques ? Un ouvrage collectif examine autant les études des économistes que les activités d’acteurs militants ou d’entreprises qui cherchent à mesurer l’environnement ou à en faire abstraction.

    Faire l’économie de l’environnement est un ouvrage collectif, composé de contributions d’économistes, de sociologues, d’historiens et de spécialistes des science, technology and society studies. Son objectif est d’interroger la pertinence et les diverses manières de procéder à une analyse économique des questions environnementales. La volonté des coordinateurs est de traiter de la mise en économie de l’environnement dans ses différentes composantes, pour en faire émerger des caractéristiques transverses et montrer « les enjeux, limites et opportunités de la convocation de l’économie dans nos interactions avec la nature. » (p.9) L’introduction générale justifie ainsi assez longuement le choix du titre. Jouant sur les mots, le choix des coordinateurs est précisément de ne pas faire de choix entre l’économie environnementale et l’économie écologique, entre une approche de théorie économique et des études de cas.

    UNEF

    Marianne - Dissoudre les associations pour réunions en non-mixité : l'amendement Unef mort-né ?

    Les sénateurs viennent d'adopter un amendement visant à dissoudre les associations, comme l'Unef, qui organisent des réunions en non-mixité. Mais la mesure, qui pourrait être contraire à la Constitution, a peu de chance d'être adoptée.

    Les réunions en non-mixité n'en finissent plus de susciter les passions. Ce 1er avril, les sénateurs ont adopté, à l'unanimité, un amendement dit « Unef », du nom du syndicat étudiant classé à gauche, l'Union nationale des étudiants de France.

    Cet amendement permet de dissoudre des associations « qui interdisent à une personne ou un groupe de personnes à raison de leur couleur, leur origine ou leur appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée de participer à une réunion ». Une réaction directe aux propos de Mélanie Luce, la présidente de l'Unef. 

    COMMUNISTES

    LVSL - L’histoire oubliée de la contre-société communiste

    Bars, clubs de sport, théâtres, colonies de vacances… A partir du XIXème siècle, le mouvement ouvrier se dote de nombreuses institutions pour promouvoir l’idéal socialiste et répondre aux besoins immédiats du prolétariat. Ces structures, souvent liées à des partis politiques, préfiguraient un monde de partage et de solidarité qui fit rêver des générations d’ouvriers. Aujourd’hui largement oublié, cet héritage d’institutions populaires commence à renaître sous de nouvelles formes et intéresse de plus en plus l’extrême-droite.

    C’est un désaveu historique : les partis politiques n’ont plus la cote. Éloignés des citoyens, ils sont de plus en plus perçus comme des machines à visée purement électorale feignant de s’intéresser aux problèmes de la population le temps d’une campagne. Les contacts directs entre les citoyens et les militants ou élus sont souvent brefs, le temps d’un échange sur un marché ou d’un porte-à-porte, et passent principalement par l’appareil médiatique le reste du temps.

    REGIONALES

    Paris Normandie - Regionales 2021. En Normandie, un accord trouvé entre socialistes et écologistes

    Les écologistes ont donné lundi 5 avril 2021 pour se ranger derrière la candidate socialiste aux élections régionales du mois de juin en Normandie.

    Accord trouvé. Après un week-end de consultation de ses militants, le Pôle écologique de Normandie a donné son feu vert à un accord d’union avec le Parti socialiste en vue des élections régionales des 13 et 20 juin 202

    France Info - Régionales : au PS, la pilule Pulvar a du mal à passer

    Les propos de la tête de liste aux élections régionales sur les réunions "non-mixtes" n’en finissent plus de secouer le Parti socialiste.

    La semaine a été difficile pour les socialistes franciliens. Samedi 27 mars, leur chef de file aux élections régionales a tenu des propos maladroits sur BFM TV. En évoquant les réunions non-mixtes, celles réservées aux victimes de discrimination raciales par exemple, Audrey Pulvar avait recommandé aux participants non concernés par le sujet, non discriminés - "les blancs" - de se taire pour laisser la parole aux victimes.

    COVID

    Libé - Avec la pandémie, la démocratie en santé fragilisée

    Pour Emmanuel Rusch, président de la Conférence nationale de santé, la société civile a été oubliée par le gouvernement. Elle devrait pourtant être consultée sur des décisions qui la concernent directement.

    La pandémie de Covid-19 en Francedossier
    Voici déjà près d’un an, le 15 avril 2020, la Conférence nationale de santé (CNS) appelait instamment les pouvoirs publics à faire, enfin, le pari de la démocratie en santé. Le constat était alors, il est vrai, particulièrement sévère. Si, dans l’urgence, le gouvernement s’est appuyé sur des comités d’experts scientifiques pour prendre des décisions concernant la gestion de la crise sanitaire, la «société» a été oubliée.
     
    Lyon Capitale - Lyon "reconfiné" : des restrictions encore acceptées par la population ? L'acceptabilité au cœur des débats

    La lassitude a gagné une partie des Français. Comment les autorités prennent des décisions fermes pour lutter contre l'épidémie de Covid-19 sans se mettre à dos une partie de la population ? Entretien avec Marie-Claire Villeval, directrice de recherche CNRS au Groupe d'analyse et de théorie économique (GATE) de l'Université de Lyon.

    Marie-Claire Villeval est directrice de recherche CNRS au Groupe d'analyse et de théorie économique (GATE) de l'Université de Lyon et présidente élue de l’Economic Science Association. Pour Lyon Capitale, elle revient sur la notion d' "acceptabilité" de la population face aux mesures prises par le gouvernement pour lutter contre l'épidémie de Covid-19.

    LA COMMUNE
     
    Fondation Jean Jaurès - La commémoration de la Commune de 1871 au temps de l’union des gauches (1971-1973)

    Les organisations socialistes, unifiées à partir de 1905 dans le Parti socialiste - Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO), se rendent chaque année au cimetière du Père-Lachaise pour se recueillir sur la tombe des victimes de la répression. Dans ce premier temps, en 1880-1914, cette commémoration socialiste évolue, d’autant plus qu’elle est agitée par les dissensions qui s’expriment en son sein et qu’elle est également bousculée par une célébration anarchiste très présente. Cette commémoration socialiste est, à partir de 1920 et jusqu’à nos jours, sévèrement concurrencée, puis dépassée par un PCF, lequel s’inscrit sur ce terrain aussi dans une stratégie de conquête et d’appropriation. Cette stratégie peut s’expliquer par l’importance prépondérante que celui-ci accorde à l’histoire et à la mémoire du mouvement ouvrier français qui sont autant de terrains d’affrontement, de contestation politique de l’autorité et de la part d’héritage communard reçu par le Parti socialiste. Il y a nécessité pour ce nouveau parti d’ancrer son identité et son histoire dans une généalogie politique, sociale, culturelle, historique française et pas uniquement soviétique.

    JUSTICE CLIMATIQUE

    À propos de : Marta Torre-Schaub, Justice Climatique : Procès et actions, CNRS éditions

    La multiplication des procès pour inaction climatique marque une étape supplémentaire des mobilisations pour la protection de l’environnement. En quoi consistent ces procès ? Qui mettent-ils en accusation ? Leurs effets ne sont-ils que symboliques ?

    En France, l’affaire du Siècle, dans laquelle un groupe d’ONG a notamment reproché à l’administration française de ne pas faire assez pour lutter contre le dérèglement climatique, a mis les procès climatiques au premier plan de l’actualité médiatique. Après deux ans d’instruction, le tribunal administratif de Paris a jugé, en février 2021, l’État français coupable de « carences fautives […] en matière de lutte contre le réchauffement climatique ». Si ce jugement est sans aucun doute historique, ce n’est ni le seul ni le premier litige en matière climatique. En effet, les dernières années ont vu une croissance remarquable d’actions en justice climatique. On en compte aujourd’hui des centaines dans le monde entier, du Pakistan aux Pays-Bas, des États-Unis à l’Australie.

    LE CAPITALISME

    À propos de : Pierre François, Claire Lemercier, Sociologie historique du capitalisme, La Découverte

    Le temps du commerce, le temps de l’usine, le temps de la finance : pour le sociologue Pierre François et l’historienne Claire Lemercier, la chronologie du capitalisme est la même en tous lieux du monde.

    Ce livre du sociologue Pierre François et de l’historienne Claire Lemercier, issu de cours donnés à Sciences Po Paris et à l’université de Lausanne, est ambitieux. Comme le dit la conclusion, « reconstruire l’histoire du capitalisme, c’est à bien des égards tenter d’écrire l’histoire du monde depuis la fin du XVIIe siècle » (p. 383). Si l’on peut repérer des comportements capitalistes, définis comme la recherche du profit pour soi-même, dans les sociétés médiévales ou antiques, ceux-ci restent à l’échelle individuelle. C’est depuis la fin du XVIIe seulement que l’on peut parler de capitalisme à l’échelle d’une société, dans la mesure où « la grande majorité des individus soit adoptent un comportement capitaliste, soit sont directement affectés par ceux qui l’ont adopté » (p. 383). Le cadre géographique du livre est aussi très large : s’il est centré sur les deux pays que les auteurs connaissent le mieux, la France et les États-Unis, il comprend aussi des incursions, notamment sous la forme d’encadrés, dans de nombreux autres territoires. Les auteurs assument de privilégier leurs deux disciplines aux dépens de la science économique qu’ils n’utilisent que dans sa dimension empirique. La thèse principale du livre est que, « en dépit des différences manifestes d’un point à l’autre de son espace, la chronologie du capitalisme est partout la même, parce que c’est à l’échelle mondiale qu’ont lieu ses grandes inflexions » (p. 385) marquées par trois âges successifs, dont François et Lemercier s’efforcent, de manière plus ou moins convaincante nous le verrons, de repérer l’impact sur la consommation, le travail, les entreprises, etc.

    LA GUERRE ECONOMIQUE

    Le vent se lève - Nouveaux visages de la guerre économique et impuissance volontaire de la France

    Guerre économique. L’expression fait florès depuis l’élection de Donald Trump, mais elle recouvre une réalité qui structure le monde occidental depuis des décennies. ONG, fondations privées et réseaux médiatiques sont autant de pions avancés par les grandes puissances, États-Unis et Chine en tête, pour asseoir leur domination économique. Dans cette guerre aux méthodes nouvelles mais aux objectifs anciens, la France se trouve en piteuse posture. C’est la thèse que défend Nicolas Moinet dans Soft Powers, deuxième volet des Sentiers de la guerre économique. Spécialiste de l’intelligence économique, professeur des universités à l’IAE de Poitiers, Nicolas Moinet a contribué au rapport Martre de 1994. Il a travaillé avec Christian Harbulot dans le groupe parapublic Défense Conseil International, qui a développé l’Intelligence économique de 1993 à 1998. Dans le sillage de cette structure appelée Intelco sont nées deux formations : le master Intelligence économique de l’Université de Poitiers et l’École de Guerre Économique. Les lignes suivantes sont extraites de son ouvrage.

    LYON

    Le Vent se lève - Grégory Doucet : « Je suis d’abord l’incarnation d’une aspiration à plus d’écologie »

    Inconnu en politique avant les élections municipales, Grégory Doucet est élu maire de Lyon en juillet 2020 mettant fin à près de vingt ans de règne de Gérard Collomb sur la ville. Loin des nombreuses polémiques dont il est régulièrement la cible, nous avons voulu rencontrer ce nouvel élu pour en savoir plus sur sa vision du pouvoir, de la métropolisation, de la décentralisation et des élections présidentielles.  Un entretien réalisé le 16 février 2021 par Blandine Lavignon et Clément Coulet. Photos de Killian Martinetti.

  • Paris Normandie - Regionales 2021. En Normandie, un accord trouvé entre socialistes et écologistes

    Les écologistes ont donné lundi 5 avril 2021 pour se ranger derrière la candidate socialiste aux élections régionales du mois de juin en Normandie.

    Accord trouvé. Après un week-end de consultation de ses militants, le Pôle écologique de Normandie a donné son feu vert à un accord d’union avec le Parti socialiste en vue des élections régionales des 13 et 20 juin 202

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  • Libé - Régionales : Mélenchon propose un deal intéressé aux écolos

    Insoumis et écolos, qui pourraient trouver un accord dans le Centre-Val-de-Loire, se rapprochent dans plusieurs régions à quelques mois du scrutin toujours prévu en juin. Manière pour les insoumis de jouer l’union à peu de frais sur le dos des socialistes et des communistes ?
     
    Une tête de liste contre cinq. Après l’accord EE-LV, PS, PC, LFI derrière l’écolo Karima Delli dans les Hauts-de-France, Jean-Luc Mélenchon a proposé aux Verts de les soutenir dans cinq autres régions, à condition qu’ils laissent son camp mener la bataille à un seul endroit. Pourquoi pas en Ile-de-France, où la députée Clémentine Autain représente les insoumis face à Julien Bayou, le secrétaire national de EE-LV. «C’est lui qui pourrait faire le beau geste», a suggéré le chef des insoumis sur le plateau de Questions politiques ce dimanche. Autre option : la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur, où un appel à l’union de la gauche a été lancé fin janvier sans que ses composantes ne parviennent jusqu’ici à s’entendre.
     
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