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ps - Page 157

  • Challenges - Déboussolé et déserté, le Parti socialiste va-t-il virer à gauche pour les Européennes?

    Les cadres du Parti socialiste veulent une Europe plus socialiste. Au risque de se couper davantage d’un halo de sympathisants plus libéraux que le parti…

    Ira ou n'ira pas? A quelques mois des élections européennes, le nom de Ségolène Royal se chuchote aujourd'hui de plus en plus fort pour prendre la tête d'une liste. Pas n'importe laquelle toutefois. La candidate potentielle ménage la chèvre et le chou mais a rejeté l'hypothèse d'une liste strictement socialiste. Un choix que ne saurait bouder un Parti socialiste dont le programme européen semble avoir des difficultés à convaincre.

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  • Fondation Jean jaurès - « Mon Solfé » : trois souvenirs parmi mille 26/10/2018 2 Henri Weber

    À la demande de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation, des personnalités nous ont livré certains de leurs souvenirs ou de leurs liens avec le « 10 rue de Solférino ». L’ancien sénateur et député européen Henri Weber, qui fut membre du bureau national et du secrétariat du Parti socialiste, revient sur trois moments particuliers dans la vie du siège. 

    S’agissant de Solférino, « j’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans ». Parmi cette multitude, j’en choisirais trois : un exécrable, un agréable, un émouvant.

    J’ai emménagé à Solférino le 14 janvier 1992, lorsque Laurent Fabius, jusqu’alors président de l’Assemblée nationale, est devenu premier secrétaire. Nous fûmes accueillis par une escouade d’inspecteurs de la police judiciaire, qui s’activaient dans les bureaux à la recherche de documents concernant l’affaire Urba, du nom de l’organisme de collecte de fonds pour le financement du PS. C’était avant les lois socialistes réglementant les dons des entreprises aux partis politiques et instituant leur financement public. L’atmosphère était crépusculaire. Je me suis installé au premier étage, en face du bureau du premier secrétaire, et nous nous sommes mis au travail.

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  • Libé - Ségolène Royal, la carte maîtresse du PS

    En quête d’une tête de liste aux européennes, le Parti socialiste attend une réponse de l’ex-ministre, qui n’a pas payé sa cotisation depuis plusieurs années. Pour l’heure, elle se contente de critiquer Macron.

    Elle revient dans le game. Et pourrait bien servir de planche de salut à un Parti socialiste à la recherche de son introuvable tête de liste pour les européennes. Pourtant, selon nos informations, Ségolène Royal n’a plus sa carte de militante. Cela fait même plusieurs années qu’elle n’est plus à jour de ses cotisations. Ce qui permet, entre autres, à l’ancienne ministre de l’Ecologie de se répandre partout ces derniers jours pour refuser une candidature sous la bannière strictement socialiste.

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  • Fondation Jean Jaurès - « Mon Solfé » : passionnant, décevant, enrichissant

    À la demande de l’Observatoire de la vie politique de la Fondation Jean-Jaurès, des personnalités nous ont livré certains de leurs souvenirs ou de leurs liens avec le «  10 rue de Solférino  ». C’est au tour de Laurent Bouvet de raconter son histoire de vingt ans avec Solférino, de 1988 à 2008, alors qu’il était notamment rédacteur en chef de La Revue socialiste et plume de François Hollande lors des élections européennes de 1999.

    Je n’ai pas de souvenir précis de ma première visite à Solférino. Cela devait être en 1989 ou 1990, pour participer à une de ces réunions dont le Parti socialiste a, ou du moins avait, le secret : toujours (trop) longues, souvent (très) bavardes, parfois (un peu) intéressantes et la plupart du temps sans véritable débouché. Du moins, celles auxquelles j’ai assisté. Ce qui est sans doute la meilleure preuve que je n’ai jamais assisté aux «  vraies  » réunions de Solfé, celles qui comptent. Que j’ai été un militant socialiste pendant des années intéressé d’abord et avant tout par le débat d’idées au sein du Parti.

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  • Europe 1 - Européennes : au PS, il y a 215 candidats pour 79 places

    INDISCRET - Alors que Ségolène Royal temporise sur sa volonté de mener la liste du PS aux européennes, 215 cadres du parti ont déjà fait acte de candidature pour y figurer.

    Le Parti socialiste n'a toujours pas trouvé sa tête de liste aux européennes même si l'hypothèse Ségolène Royal existe. Au contraire, la formation politique n'aura pas de difficultés à en trouver les 79 membres. Lettre de motivation à l'appui, 215 cadres ont fait acte de candidature avant l'heure limite du dépôt, vendredi soir, pour seulement 79 places. La commission électorale des européennes, présidée par Pierre Jouvet, se réunira le 6 novembre, avec l'audition des candidat(e)s souhaitant être tête de liste.

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  • 20 minutes - Lyon: Le PS du Rhône appelle les élus du conseil municipal à lâcher Gérard Collomb

    BRAS DE FER La fédération du Rhône demande à ses conseillers municipaux de ne pas voter pour le maire sortant lors du prochain municipal, le 5 novembre..

    Ce n’est guère une surprise. La Fédération départementale du Parti socialiste dans le Rhône a appelé à boycotter Gérard Collomb. Dans un communiqué publié samedi, elle demande aux élus de la majorité du conseil municipal de Lyon, ne « pas apporter leurs voix » à l’ancien ministre de l’Intérieur, qui entend reprendre son fauteuil à la tête de la mairie.

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  • Olivier Faure, "Pour les européennes, nous avons 7 listes à gauche, c’est du suicide"

  • Dérapages de Jean-Luc Mélenchon : "les hommes politiques ont un devoir d’exemplarité", estime Olivier Faure

  • France Culture - Dominique Méda : "Le Parti socialiste a un problème structurel"

    Depuis le séisme de 2002, lorsque le FN a évincé la gauche du second tour de l'élection présidentielle, le Parti socialiste semble en perdition. Entre manque de clarté idéologique et pratique du pouvoir en décalage avec ses discours, les reproches faits au PS sont nombreux, et pourtant aucune analyse en profondeur de cet échec n’a été faite. Dominique Méda, directrice du laboratoire de sciences sociales de l’université Paris Dauphine et professeure de sociologie, dresse à notre micro un état des lieux de cette gauche éclatée.

  • Paris Match - Mitterrand : le PS veut sa part de mémoire

    Une partie de la bibliothèque ayant appartenu à l’ancien président va être mis aux enchères. Le PS s’y intéresse de près…

    Après ses meubles, ses bouteilles de vins et même ses pantoufles, ses livres : année après année, la mémoire de François Mitterrand fait le bonheur des salles de ventes. La maison Piasa met aux enchères une partie de la bibliothèque de l’ancien président les 29 et 30 octobre prochains*. Hasard du calendrier, cet événement intervient quelques jours seulement après la date anniversaire de la naissance de «Tonton», le 26 octobre 1916.

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  • Fondation Jean Jaurès - Portrait-robot des sympathisants du Parti socialiste

    S’appuyant sur les données du panel que le Cevipof et Ipsos ont lancé depuis novembre 2015, Gilles Finchelstein dresse, dans cette étude inédite menée à partir d’un échantillon sans équivalent de 1058 sympathisants socialistes, un véritable portrait-robot. Elle permet de comprendre qui ils sont, ce à quoi ils croient et leurs positions sur les principaux enjeux politiques.

    Quelques chiffres

     
     
    • 9 % des Français se disent proches du PS (14 % LREM et LR ; 13 % FN ; 7 % FI ; 25 % aucun parti)
    • En 2017, 25 % des sympathisants socialistes ont été des électeurs socialistes ; ils étaient plus de 75 % en 2012 et 2015
    • 59 % des sympathisants du PS jugent le bilan d’Emmanuel Macron « assez » ou « très » négatif (55 % chez l’ensemble des Français ; 93 % chez les sympathisants de la FI)
    • 70 % des sympathisants socialistes pensent qu’Emmanuel Macron et son gouvernement sont trop autoritaires dans la mise en place des réformes et ne laissent pas assez de temps à la négociation (55 % chez l’ensemble des Français, 43 % chez les sympathisants LR, 18 % pour les sympathisants LREM)
    • Pour 89 % des sympathisants du PS, la politique économique et sociale profite avant tout aux catégories aisées (76 % chez l’ensemble des Français, 95 % chez les sympathisants de la FI)
    • 80 % des sympathisants du PS ont le sentiment que le pouvoir politique est soumis aux puissances économiques (79 % chez l’ensemble des Français ; 78 % chez les sympathisants de la LREM)
    • 19 % des sympathisants du PS estiment qu’il faudrait réduire le nombre de fonctionnaires (contre 52 % chez les sympathisants LREM, 66 % chez les sympathisants LR)

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