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ps - Page 158

  • Fondation Jean Jaurès - Portrait-robot des sympathisants du Parti socialiste

    S’appuyant sur les données du panel que le Cevipof et Ipsos ont lancé depuis novembre 2015, Gilles Finchelstein dresse, dans cette étude inédite menée à partir d’un échantillon sans équivalent de 1058 sympathisants socialistes, un véritable portrait-robot. Elle permet de comprendre qui ils sont, ce à quoi ils croient et leurs positions sur les principaux enjeux politiques.

    Quelques chiffres

     
     
    • 9 % des Français se disent proches du PS (14 % LREM et LR ; 13 % FN ; 7 % FI ; 25 % aucun parti)
    • En 2017, 25 % des sympathisants socialistes ont été des électeurs socialistes ; ils étaient plus de 75 % en 2012 et 2015
    • 59 % des sympathisants du PS jugent le bilan d’Emmanuel Macron « assez » ou « très » négatif (55 % chez l’ensemble des Français ; 93 % chez les sympathisants de la FI)
    • 70 % des sympathisants socialistes pensent qu’Emmanuel Macron et son gouvernement sont trop autoritaires dans la mise en place des réformes et ne laissent pas assez de temps à la négociation (55 % chez l’ensemble des Français, 43 % chez les sympathisants LR, 18 % pour les sympathisants LREM)
    • Pour 89 % des sympathisants du PS, la politique économique et sociale profite avant tout aux catégories aisées (76 % chez l’ensemble des Français, 95 % chez les sympathisants de la FI)
    • 80 % des sympathisants du PS ont le sentiment que le pouvoir politique est soumis aux puissances économiques (79 % chez l’ensemble des Français ; 78 % chez les sympathisants de la LREM)
    • 19 % des sympathisants du PS estiment qu’il faudrait réduire le nombre de fonctionnaires (contre 52 % chez les sympathisants LREM, 66 % chez les sympathisants LR)

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  • Libé - Le Parti socialiste a le «halo» loin du «noyau»

    D’impénitents optimistes en voie de disparition rapide. C’est le portrait-robot des sympathisants socialistes que la Fondation Jean-Jaurès (FJJ) vient d’établir après une enquête auprès d’un millier d’entre eux, issus d’un panel de 12 500 personnes. En 2012, à la victoire de François Hollande, 22% des Français se disaient proches du PS. Six ans et une catastrophe présidentielle plus tard, cette base électorale socialiste - à ne pas confondre avec les militants encartés - a rétréci de plus de moitié : ils ne sont plus que 9%.

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  • LCI - Revenu de base : 18 départements PS demandent une expérimentation

    18 présidents socialistes de départements ont présenté mercredi 17 octobre une proposition de loi pour expérimenter un "revenu de base", qui serait automatiquement versé pendant 3 ans aux 18-24 ans, aux travailleurs pauvres ou aux jeunes agriculteurs.

    "Nous ne prétendons pas détenir une solution miracle, mais nous estimons qu'elle mérite d'être expérimentée." Avec 17 autres présidents socialistes de départements, le président du Conseil départemental de Gironde, Jean-Luc Gleyze, a présenté mercredi une proposition de loi pour instaurer à titre expérimental un "revenu de base" dans leurs départements, afin de favoriser l'insertion des personnes en difficultés.

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  • L'actualité des socialistes du 5 au 11 janvier

    HEURES SUP

    OFCE - Désocialisation des heures supplémentaires: pouvoir d’achat pour les actifs, perte d’emplois pour l’économie par Bruno Ducoudré et Éric Heyer

    Le gouvernement a annoncé le rétablissement des exonérations de cotisations sociales salariales sur les heures supplémentaires effectuées par l’ensemble des salariés, ce qui générerait un gain de pouvoir d’achat pour les ménages d’environ 2 milliards d’euros en année pleine.

    Selon le Projet de loi de finances 2019, 8 millions de salariés du secteur privé seraient concernés. Ces derniers effectuent en moyenne 109 heures supplémentaires par an, pour un salaire horaire brut majoré moyen de 17,3 euros. L’exonération de 11,3 % des cotisations salariales générerait un gain de 1,7 milliard d’euros annuel, auquel il faut ajouter 1,2 million de salariés du secteur public, qui bénéficieraient chacun de 160 euros de gain de pouvoir d’achat à l’année, soit près de 200 millions d’euros.

    PS

    Le Monde - Ancienne figure du PS, Emmanuel Maurel veut incarner un « socialisme décomplexé »

    Ce féru de littérature a annoncé au « Monde » sa décision de quitter le Parti socialiste, et de se rapprocher de La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon.

    Emmanuel Maurel est une espèce de plus en plus rare en politique : c’est un féru de littérature. A chaque rendez-vous avec lui, la conversation tourne d’abord sur les derniers livres lus ou ceux qui l’ont marqué. Comme en ce jour de printemps 2018 où il rejoignait des journalistes en plein 7e arrondissement de Paris. A son arrivée, il cite Antoine Blondin : « Ici, les avenues sont profondes et calmes comme des allées de cimetière. » C’est son péché mignon : M. Maurel aime distiller des références au long d’une discussion

    L'Obs - Pourquoi Maurel et Lienemann quittent le PS pour se rapprocher de Mélenchon

    Il ne connaît pas assez la gauche pour avoir saisi la scène à laquelle il vient d'assister. Lorsque Emmanuel Macron croise Jean-Luc Mélenchon sur une terrasse du Vieux-Port, à Marseille, le 8 septembre, à minuit et demi, il claque la bise à celle qui l’accompagne et qui laisse les deux hommes poursuivre devant les caméras. Marie-Noëlle Lienemann glisse au chef de l’Etat : "No comment." Macron s’est fait présenter l’homme qui était avec les deux anciens ministres et a laissé entendre à Bernard Pignerol qu’il le connaissait grâce à Bertrand Delanoë. Haut fonctionnaire, l’ami de Mélenchon a en effet travaillé pour l’ancien maire de Paris.

    France Info - Remaniement : "une volonté d'afficher des prises de guerre, mais le chef de l'État n'y parvient pas", constate Olivier Faure

    Le premier secrétaire du PS confirme jeudi sur franceinfo que "certains" élus socialistes ont été sollicités pour la formation du nouveau gouvernement toujours en gestation. "Aucun n'a accepté", affirme-t-il. 

    Selon les informations de franceinfo, deux députés socialistes ont refusé d'entrer au gouvernement à l'occasion du remaniement en cours. Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste (PS) a confirmé jeudi 11 octobre que des élus PS ont été approchés

    Le Parisien - Remaniement : le PS moque les tentatives de débauchage

    Plusieurs socialistes ont été contactés en vue du remaniement qui se fait attendre. Mais tous ont, pour le moment, refusé.

    Au Parti socialiste, on observe l’exécutif se démener sur la question de son remaniement avec une certaine délectation. Car cette question, qui devait être réglée en une poignée de jours - suite à la démission surprise du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb - semble traîner de plus en plus.

    France Inter - Parti socialiste : les coulisses d'un naufrage

    En baisse de 25 à 6,5 millions d'euros, la dotation de l'État allouée au Parti socialiste en 2018 oblige ce dernier à "dégraisser le mammouth". Vente de Solférino, licenciements : récit d'une débâcle.

    Le 18 juin 2017, le Parti Socialiste est à terre. Les défaites électorales se sont accumulées, et au soir des législatives, avec seulement 30 députés alors que le groupe majoritaire en comptait plus de 270, le PS est exsangue. L’atmosphère est crépusculaire.

    Libé - Européennes et municipales : le PS joue à saute-scrutin

    Si Olivier Faure martèle l'importance du scrutin européen du printemps prochain, ce sont bien les municipales, dans un an et demi, qui seront le juge de paix pour un Parti socialiste toujours pas remis des claques de 2017.

    «Les municipales sont une échéance capitale.» Signé Olivier Faure. «Je lance un appel à préparer les municipales dès maintenant.» Signé Luc Carvounas. «Les européennes s’annoncent tellement mal. Autant préparer l’étape d’après». Signé un ancien député. Toute une partie du Parti socialiste, et non des moindres, a déjà le regard tourné vers 2020.

    LA CRISE FINANCIERE

    Il y a dix ans, Lehman Brothers par Christian Chavagneux
     

    Dix ans après la faillite de la banque Lehman Brothers, qu’avons-nous réellement appris de la dernière crise financière en date ? Christian Chavagneux met en évidence trois enjeux portant sur la nature desdites crises et sur les régulations nécessaires pour y faire face à l’avenir.

    Il y a dix ans, la faillite de la banque américaine Lehman Brothers emmenait le système bancaire mondial au bord de l’écroulement. Et suscitait le développement d’une crise économique et sociale dont les effets se font toujours sentir. Les réflexions qui ont suivi aident à mieux comprendre les multiples mécanismes qui amènent le développement d’une bulle. Elles permettent de proposer une pédagogie de la crise, ce que l’on se propose de faire autour de trois questions.
    Une crise singulière ?

    La Vie des idées - Dix ans après la crise financière

    Dix ans après le déclenchement de la crise financière, ce dossier rassemble l’ensemble des textes qui lui ont été consacrés sur la Vie des idées. Des outils pour comprendre comment elle s’est étendue au monde, en la resituant dans le contexte global des mutations du capitalisme.

    La Vie des Idées est née en même temps que la crise financière qui connut ses premiers soubresauts à l’été 2007 avant de devenir véritablement systémique à la fin de l’été 2008. Au delà de cette coïncidence historique, nous n’avons pas cessé de nous interroger depuis sur les causes de cette crise et les errements des marchés financiers, mais aussi sur ses conséquences plus profondes en termes politiques et économiques.

    Un dossier de 2010 rassemblait les principales contributions de la Vie des Idées sur ces enjeux. Huit ans plus tard, il est temps de rassembler un certain nombre de textes parus plus récemment, qui éclairent les différentes dimensions de la crise, de ses aspects financiers les plus techniques aux enjeux les plus généraux sur la régulation politique des marchés ou la nature de la dette.

    LABOUR

    Le Vent se lève - A Liverpool, le Labour est déchiré par le Brexit

    “Love Corbyn, Hate Brexit”, “Demand a People’s Vote”, “Bollocks to Brexit”, crient-ils devant chacune des entrées des différents évènements qui ont lieu dans le cadre du congrès annuel du Labour Party à Liverpool. Ces militants en faveur d’un second référendum, bien que parfois contredits par certains des participants, ont réussi l’objectif qu’ils s’étaient fixé: leur demande a désormais sa place dans le programme officiel du parti d’opposition. À une écrasante majorité, les délégués de la convention travailliste ont en effet approuvé le principe d’une campagne pour un nouveau vote, dont les termes ne sont cependant pas définis, si le plan de Theresa May est rejeté au parlement et si une nouvelle General Election n’a pas lieu.

    LA LITTERATURE

    Le Vent se lève - Les présidents français et les lettres : quand la littérature gouvernait

    La révélation d’une possible nomination par Emmanuel Macron de l’écrivain Philippe Besson au consulat de France à Los Angeles n’a pas manqué de faire grincer des dents. Et pour cause : la publication d’Un personnage de roman, en 2017, très tendre envers Macron, donne à l’affaire des airs de faveur accordée par le monarque à son lettré courtisan. Si l’épisode a déjà été largement commenté, il est possible de l’analyser sous un autre angle en s’intéressant aux liens entre les écrivain-e-s (ou plus largement la littérature) et l’institution présidentielle en France. Car Macron n’est pas le premier à mobiliser la sphère littéraire dans son exercice du pouvoir, que ce soit du point de vue de sa relation aux écrivains ou de la mise en scène de sa culture littéraire. En fait, il ne fait que tenter de se placer dans le sillage d’une tradition française du leader lettré que d’autres ont façonnée avant lui.

  • RTL - Marie-Noëlle Lienemann quitte le PS : "Je suis arrivée au bout du chemin"

  • France Culture - Le Parti socialiste va t-il devenir un groupuscule ?

    Des lignes de fractures idéologiques ont mené le Parti socialiste dans l’impasse, impasse encore accentuée par le départ d’Emmanuel Maurel et de Marie-Noëlle Lienemann vendredi dernier.

    Vendredi dernier, le PS quittait définitivement son siège historique de la rue de Solférino, pour s’installer à Ivry-sur-Seine, afin de renouer avec ses bases populaires. Mais cet événement symbolique est aussi représentatif d’une perte de pouvoir de la social-démocratie en France. 

    Cet affaissement progressif remonte au séisme de 2002, avec la qualification de Jean-Marie Lepen et l’élimination de Lionel Jospin dès le premier tour. Depuis, aucune analyse en profondeur de cet échec n’a été faite : manque de clarté idéologique, pratique du pouvoir en décalage avec ses discours, la gauche de gouvernement sous Hollande ne rêve plus de « Changer la vie ». 

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  • Le Figaro - PS : le premier secrétaire charge ceux qui quittent le navire

    À l'occasion du conseil national du Parti socialiste, Olivier Faure a attaqué Emmanuel Maurel et Marie-Noëlle Lienemann qui ont annoncé leur départ vendredi et samedi.

    Une fois n'est pas coutume, le PS a montré samedi une image de division. Le conseil national qui se tenait ce samedi à La Bellevilloise à Paris, devait se concentrer sur la stratégie à adopter pour les élections européennes. Las, le départ du parti de la figure de l'aile gauche, Emmanuel Maurel, et de son acolyte Marie-Noëlle Lienemann ont pris le dessus sur les débats.

    ..... «Notre action se poursuit au sein du PS. Nous affirmons notre volonté de maintenir les liens nécessaires et de travailler ensemble à l'unité de la gauche», ont écrit dans un communiqué l'ex-député Laurent Baumel et Nora Mebarek, la patronne de la puissante fédération des Bouches-du-Rhône. 

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  • Libé - Européennes et municipales : le PS joue à saute-scrutin

    Si Olivier Faure martèle l'importance du scrutin européen du printemps prochain, ce sont bien les municipales, dans un an et demi, qui seront le juge de paix pour un Parti socialiste toujours pas remis des claques de 2017.

    «Les municipales sont une échéance capitale.» Signé Olivier Faure. «Je lance un appel à préparer les municipales dès maintenant.» Signé Luc Carvounas. «Les européennes s’annoncent tellement mal. Autant préparer l’étape d’après». Signé un ancien député. Toute une partie du Parti socialiste, et non des moindres, a déjà le regard tourné vers 2020.

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  • Le Monde - Le bureau de Mitterrand déménage dans les cartons du PS

    En quittant la rue de Solférino, en plein cœur de Paris, pour Ivry-sur-Seine, le Parti socialiste va emmener avec lui quelques rares objets, dont le bureau ayant servi à l’ancien président avant son accession à la présidence.

    Avouons-le d’emblée : quand on a entendu parler du bureau de François Mitterrand à Solférino, on s’est représenté un meuble majestueux et raffiné, une sorte de métaphore en bois précieux de la figure imposante qu’est, pour le Parti socialiste (PS), l’ancien président. Erreur. C’est « une table », dit prosaïquement Jean-Christophe Cambadélis. « Un bureau en bois, pas ovale mais rectangulaire avec une petite courbe. Et pas de tiroirs », décrit plus minutieusement Alain Claeys. Dans les années 1990, quand il était trésorier du parti, le maire de Poitiers s’est longtemps assis derrière ce bureau aux pieds métalliques qu’il a trouvé dans la pièce qu’on lui avait assignée. « J’y étais très attaché. »

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  • France Inter - Parti socialiste : les coulisses d'un naufrage

    En baisse de 25 à 6,5 millions d'euros, la dotation de l'État allouée au Parti socialiste en 2018 oblige ce dernier à "dégraisser le mammouth". Vente de Solférino, licenciements : récit d'une débâcle.

    Le 18 juin 2017, le Parti Socialiste est à terre. Les défaites électorales se sont accumulées, et au soir des législatives, avec seulement 30 députés alors que le groupe majoritaire en comptait plus de 270, le PS est exsangue. L’atmosphère est crépusculaire. 

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