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ps - Page 154

  • Le Parti socialiste saisit le CSA sur les atteintes au pluralisme

    25 février 2019

    Le Parti socialiste a décidé de saisir le CSA après avoir constaté de nombreuses atteintes au pluralisme politique au profit du président de la République et son parti « La République en marche ».

    Alors que va bientôt débuter la campagne pour les élections européennes, la surreprésentation du gouvernement et de ses soutiens sur les antennes des radios et des télévisions, notamment à l’occasion du grand débat, menace gravement l’équilibre de représentation des diverses expressions politiques qui fait la base de notre système démocratique.

    Le pluralisme politique doit être la règle, et c’est la responsabilité du CSA de le faire respecter dans les médias au travers de l’équité de représentation des différentes organisations politiques.

  • Le Monde - A défaut d’union de la gauche, Benoît Hamon va présenter sa liste pour les européennes

    L’idée d’une votation a été un échec. Seuls Place publique et le Parti socialiste semblent se rapprocher.

    La proposition aura fait long feu. Benoît Hamon, qui avait plaidé dans Le Monde pour la mise en place d’une votation citoyenne en vue d’unir la gauche lors des élections européennes du 26 mai, renonce, faute de partenaire. Dans un entretien au Parisien du dimanche 24 février, il annonce qu’il « prendra la tête de la liste de Génération. s »

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  • Slate - L'erreur européenne, ou pourquoi Cazeneuve ne réussira pas à sauver le PS, Gaël Brustier

  • PS - Christine Pires-Beaune : à quand des contreparties pour ceux qui fraudent vraiment ?

  • RFI - Stéphane Troussel (PS): «Il y a besoin pour cet exécutif de reconnexion au terrain»

    Stéphane Troussel, Président du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis et Secrétaire national du Parti socialiste, était ce jeudi 21 février l’invité du matin de RFI. Il répond aux questions de Frédéric Rivière.

  • Affaire Benalla : le Parti socialiste salue la persévérance et le travail des sénateurs

    Il y a des contre-attaques parfois grossières. Celle du Premier ministre en fait partie. Ce qui est attendu du pouvoir exécutif, ce sont des explications sur l’implication de l’entourage proche du Chef de l’État dans l’affaire Benalla, pas la disqualification du travail méthodique et documenté des sénateurs. Pour la République en marche qui porte bien mal son nom, les bonnes commissions sont celles qui n’enquêtent pas et qui ne rendent pas des conclusions comme la majorité en a fait l’éclairante démonstration à l’Assemblée Nationale.
     
    Le scandale ce n’est pas que la vérité avance. Le scandale d’État c’est qu’à chaque étape l’Elysée a tout fait pour protéger, camoufler, distraire. Sans la détermination et la persévérance de la presse et du Sénat, rien ne serait aujourd’hui dénoncé et les petits arrangements entre amis se poursuivraient. Il est temps que le Président de la République s’exprime.

  • Faure appelle Macron, sur RTL, à être présent à la Marche contre l'antisémitisme

  • Le Parti socialiste appelle à un sursaut de la France dans la protection des Kurdes de Syrie

    Alors que les États-Unis ont annoncé le retrait prochain de leurs troupes présentes en Syrie dans le cadre de la Coalition internationale contre l’organisation terroriste État Islamique, le Parti socialiste exprime sa vive inquiétude pour le sort du peuple kurde.
    Les Forces démocratiques syriennes, dont la majorité des combattants est kurde, ont confirmé qu’elles étaient nos alliées indéfectibles contre le terrorisme djihadiste.

    Le Parti socialiste observe que, malgré le discours dominant aujourd’hui sur l’imminence d’une victoire finale contre Daech, ce qui aura pour effet d’accélérer le retrait des troupes américaines, l’organisation constitue une menace persistante en Syrie comme en Irak, et par conséquent en Europe. Le retrait des troupes américaines pourrait également précipiter une intervention militaire de la Turquie qui visera essentiellement les forces et les autorités civiles kurdes, et non pas les groupes djihadistes.

    Face aux risques d’un retrait américain impréparé qui aurait de lourdes conséquences sur le sort des Kurdes du nord-est de la Syrie et sur la relance d’un processus menant à une transition en Syrie, le Parti socialiste interpelle le président de la République et le gouvernement français pour que :

    • le relais d’une zone d’exclusion aérienne dans le nord-est de la Syrie soit assumé par la France et des alliés européens afin de prévenir tout bombardement de la Turquie ou du régime syrien ;
    • un engagement actif pour que la requête d’autonomie des Kurdes et leur contribution à la sécurisation de la frontière avec la Turquie soient prises en compte dans la relance des négociations sous l’égide de l’ONU.

    Le Parti socialiste considère que les autorités actuelles d’Ankara ont prouvé en Turquie leur mépris pour l’exercice des droits de la communauté kurde qu’elles assimilent au terrorisme, même quand il s’agit de forces démocratiques pacifistes et démocratiquement élues. Les menaces que la Turquie profère régulièrement contre les Kurdes de Syrie font craindre le pire, et constituent également un danger pour les forces spéciales françaises présentes en Syrie. Il est urgent que la France et les alliés volontaires de l’UE unissent leurs efforts pour prévenir les conséquences du retrait unilatéral américain.

  • Regards, Gaël Brustier - Parti socialiste : la maison des destins croisés

    Après Hollande, avec Macron, les socialistes ont complètement perdu le Nord. C’est comme si plus personne dans la maison PS n’était capable de trancher sur la ligne à adopter : la social-démocratie ou le libéralisme ?

    Le Parti socialiste, (re)fondé en 1971 par François Mitterrand, allié à la droite et à la gauche de ce parti, contre un centre qui lui résistait en vain, a porté au pouvoir avec le présidence Hollande des idées en phase avec le consensus doctrinal de l’Union européenne et un personnel politique davantage soucieux de plaire aux milieux dirigeants de l’économie globalisée qu’à la base électorale historique de la gauche.

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