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politique - Page 150

  • PS - Présentation des ordonnances Macron-Pénicaud devant le conseil des Ministres

    Le Parti Socialiste a rencontré la plupart des syndicats représentatifs des salariés durant le mois de septembre et a entendu leurs analyses et leurs commentaires sur les ordonnances Macron-Pénicaud visant à modifier le code du travail.
     
    Ce qui ressort de ces échanges est clair : l’application des ordonnances ne bénéficiera pas aux travailleurs. Le Parti Socialiste maintient son opposition contre ces ordonnances.
     
    Cette volonté de bouleverser le code du travail n’apportera aucune solution nouvelle dans la lutte contre le chômage, ni aucun progrès social pour les salariés.
     
    Non, faciliter les licenciements n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Non, prévoir le coût d’un licenciement abusif, à travers le plafonnement des indemnités prud’homales, n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Non, exclure les syndicats des négociations dans les petites et moyennes entreprises n’améliorera pas la condition des travailleurs.
     
    Par ailleurs, les ordonnances ne répondent pas aux besoins réels des entreprises. Elles n’ont pas besoin de pouvoir licencier plus facilement pour recruter mais de carnets de commande remplis et d’une relance de l’investissement productif et de l’innovation.
     
    Enfin, ces ordonnances sont archaïques. Elles ne tiennent pas compte de la mutation des formes de travail et oublient les victimes de l’ubérisation croissante. Elles n’apportent rien non plus à la sécurisation des parcours professionnels, initiée par la gauche et laissée à l’abandon pour le gouvernement d’Edouard Philippe.
     
    Pour toutes ces raisons, le Parti Socialiste appelle le gouvernement à se ressaisir, à écouter les syndicats, à organiser de nouvelles concertations et à revoir sa copie.

  • La Gazette des communes - Face à Emmanuel Macron, le PS veut redevenir le parti de la décentralisation

    Le Parti socialiste tire à boulet rouge sur la « casse territoriale ». Une manière pour le PS de se refaire une virginité girondine à la veille d’un scrutin sénatorial du 24 septembre prochain.

    Le PS bouge encore. Lors d’une conférence de presse, le 21 septembre 2017, il a dit tout le mal que lui inspirait la politique du nouveau pouvoir en matière territoriale. Le patron de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains François Rebsamen, maire de Dijon et deux cadres du parti montés en graine ces dernières semaines, les conseillers régionaux Rachid Temal et Nadège Azzaz ont fustigé pêle-mêle « la baisse des contrats aidés », « la suppression de la taxe d’habitation » et l’effort financier supplémentaire de trois milliards d’euros au regard des engagements du candidat Macron…

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  • BFMTV - Questions d'éco: "La première préoccupation des chefs d'entreprises n'est pas le licenciement, c'est l'embauche", Boris Vallaud

    Boris Vallaud, député Nouvelle Gauche des Landes, a répondu aux questions d'Emmanuel Lechypre, éditorialiste BFM Business. - BFM Politique, du dimanche 17 septembre 2017, présenté par Apolline de Malherbe, sur BFMTV.

  • PS - Iran : le Parti socialiste alerte sur la situation humanitaire des prisonniers politiques

    Depuis plusieurs semaines, 17 prisonniers politiques, journalistes, étudiants de la minorité spirituelle bahaï, sont en grève de faim. Ils dénoncent leurs conditions de vie, qualifiées «d’inhumaines» par Amnesty International.

    Il y a deux semaines, l’activiste et syndicaliste Reza Shahabi a également été arrêté. Détenu à plusieurs reprises dans le passé pour ses activités syndicales, M. Shahabi a rejoint les grévistes de faim.

    Les organisations de défense des droits de l’homme, les organisations syndicales internationales et le rapporteur spécial de l’ONU pour les droits de l’homme en Iran ont également réagi.

    Le Parti socialiste dénonce cette situation inacceptable, en Iran comme ailleurs. Il apporte son soutien aux prisonniers politiques iraniens et demande leur libération immédiate. Plus largement, le Parti socialiste renouvelle son soutien à toutes celles et tout ceux qui, en Iran, militent pacifiquement pour le respect des droits fondamentaux et la liberté.

  • Ordonnances : « Les socialistes sont dans la rue », annonce Luc Carvounas

    Le député Nouvelle Gauche annonce que le Parti socialiste manifestera aux côtés des fonctionnaires le 10 octobre prochain. Très critique sur la politique du Logement, ou les annonces budgétaires, l’ancien proche de Manuel Valls revendique son positionnement dans l’opposition. [...]

  • PS - Budget 2018, un objectif d’économies revu à la baisse : le président Macron découvre la réalité du terrain

    19 septembre 2017

    Alors que le candidat aux élections présidentielles, Emmanuel Macron, promettait une réduction drastique des dépenses publiques, le président élu ne semble pas totalement respecter ses engagements.

    Le gouvernement a en effet annoncé que le plan d’économie prévu dans le projet de loi finances 2018 ne serait pas de 20 milliards, comme initialement attendu, mais de 16 milliards d’euros. La dépense publique baissera de 0,7 point de PIB en 2018 et non de 0,9 point, alors que tous les membres du gouvernement avaient communiqué sur cet objectif durant l’été.

    La dépense publique sert la croissance et l’emploi et, comme indiqué dans un rapport de l’OFCE, agit comme « un multiplicateur de relance en période de crise ». La réduire de manière trop importante serait préjudiciable à la bonne santé conjoncturelle du pays.

    La République En Marche et ses partenaires découvrent ainsi la réalité économique et admettent ainsi la réalité des comptes publics. Les annonces d’Edouard Philippe sur un soi-disant dérapage sont oubliées, jetant le doute sur le bien-fondé de sa communication estivale : la politique ne doit jamais l’emporter sur les faits.

  • BFMTV - Politiques au quotidien : "On a deux enjeux aujourd'hui : assurer la sécurité des Français et sortir de l'état d'urgence", Boris Vallaud

    Boris Vallaud, député Nouvelle Gauche des Landes, a répondu aux questions de Myriam Encaoua, journaliste politique du journal Le Parisien. - BFM Politique du dimanche 17 septembre 2017 présenté par Apolline de Malherbe, sur BFMTV.