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politique - Page 152

  • Fondation Jean Jaurès - Clôture du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » : le discours de Gilles Finchelstein

    Le directeur de la Fondation Jean-Jaurès, Gilles Finchelstein, conclut les travaux du colloque « 2017, une révolution de velours ? » qui se tient les 6 et 7 septembre 2017 en partenariat avec Ipsos, le Cevipof et Le Monde.

  • Le Parti socialiste présent à la fête de l’Humanité

    16 septembre 2017

    Samedi 16 septembre, une délégation du Parti socialiste s’est rendue à « la fête  de l’Humanité » à l’invitation de Pierre Laurent, Secrétaire national du Parti communiste.

    Rachid Temal, Secrétaire national à la Coordination et à l’organisation, Christine Revault d’Allonnes-Bonnefoy, Secrétaire nationale au suivi de l’opinion et présidente de la délégation socialiste française au Parlement européen, Isabelle This Saint-Jean, Secrétaire nationale à la transition énergétique et écologique, et Olivia Polski, Secrétaire nationale à la Communication et aux réseaux sociaux, ont assisté au discours de réception des organisations et associations partenaires.

    Par cette rencontre symbolique, le Parti socialiste réaffirme que seule l’unité permettra de s’opposer véritablement à la déferlante de textes libéraux du gouvernement d’Edouard Philippe.

  • Fondation Jean Jaurès - Retour sur les élections de 2017 : les législatives

    Dans le cadre du colloque « 2017 : la révolution de velours ? » co-organisé par la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof, Ipsos et Le Monde, la deuxième journée du 7 septembre est intitulée « Que s’est-il passé ? ». Dans une sixième table ronde consacrée aux élections législatives, les intervenants sont Jérôme Jaffré, directeur du Centre d’études et de connaissance sur l’opinion publique (Cecop), chercheur associé au Cevipof, et Anne Muxel, directrice de recherches CNRS au Cevipof, pour une discussion animée par Patrick Roger, journaliste au Monde.

  • Les décodeurs du Monde - Embouteillages monstres, travaux secrets… 6 arguments faux contre le « plan vélo » de Paris

    Avec la réduction à une voie pour les véhicules motorisés sur les berges de Seine, la polémique sur la place de l’auto fait émerger nombre de contrevérités.
     
    La rentrée politique a coïncidé dans la capitale avec la rentrée des polémiques. En cause, le « plan vélo 2015-2020 », voté… en 2015 et dont la maire de Paris, socialiste, Anne Hidalgo, assure qu’il sera mis en place avant la fin du mandat en 2020, mais qui commence à s’appliquer, avec l’installation de nouvelles pistes cyclables. Diversement appréciées, sinon des Parisiens, du moins d’une part des journalistes de la capitale.
     
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  • Challenges - Elections sénatoriales: vers une première gifle électorale pour Emmanuel Macron?

    Sans majorité ni réseau d'élu, la République en Marche aborde les élections sénatoriales dans une situation de grande fragilité.

    Après deux succès éclatants à l'élection présidentielle et aux législatives, La République en Marche (LREM) s'apprête-t-elle à vivre sa première déconvenue électorale? Sans réseau d'élus locaux ni majorité sortante, le parti d'Emmanuel Macron devrait logiquement s'incliner aux élections sénatoriales dimanche 24 septembre. La République En Marche pourrait même se retrouver en troisième position derrière Les Républicains et le Parti socialiste, les deux forces majoritaires au Palais du Luxembourg. Dans les locaux de la rue Sainte-Anne (2e arrondissement de Paris) où le mouvement présidentiel vient tout juste de poser ses cartons, l'heure est à la résignation. " C'est une élection qu'on aurait dû enjamber mais on y est quand même allé, regrette la sénatrice LREM de Paris Bariza Khiari. C'est très difficile: on n'a pas de grands électeurs hormis les députés élus en juin, on part de zéro. "

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  • L'Obs - Comment les Français voient Macron : "Il communique beaucoup mais est peu communicatif…

    D'où vient la chute du président de la République dans les sondages ? L'institut BVA a recueilli les paroles de Français. Adrien Abecassis, l'ex-"monsieur opinion" de François Hollande, les décortique."
     
    Une analyse d'Adrien Abecassis, expert associé à la fondation Jean-Jaurès, diplomate et ancien conseiller opinion de François Hollande à l'Elysée. Avec Adélaïde Zulfikarpasic, directrice de BVA opinion.
     
    La rentrée politique en France est donc marquée par la chute de popularité la plus rapide jamais enregistrée pour un président de la République nouvellement élu. Dans le baromètre politique BVA pour Orange-"la Tribune" (réalisé les 28 et 29 août), Emmanuel Macron perd 11 points de popularité en un mois, à 43% d'opinions favorables. Les courbes se sont croisées : 55% des Français en ont désormais une mauvaise opinion.
     
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  • Le Parti socialiste dénonce le drame humain dont les Rohingya birmans sont victimes

    Depuis le 25 août dernier, les tueries et exécutions se sont multipliées dans l’état de l’Arakan, partie occidentale de la Birmanie. Près de 370 000 Rohingyas sont désormais coincés à la frontière Birmane avec le Bangladesh, dans l’impossibilité de fuir leur pays face aux violences de l’armée birmane. Face à la détresse de cette population, nous appelons à la mise en place d’une solution rapide afin de redonner la dignité qu’ils méritent à ces enfants, femmes et hommes.

    Le processus de démocratisation en Birmanie est en cours. La situation politique et l’équilibre des pouvoirs effectifs est délicate. La constitution du pays octroie encore une place prépondérante aux militaires,  détenant 25% des sièges du Parlement et trois ministères déterminants sur les questions de sécurité.

    Pour renforcer la stabilité du pays, il est primordial d’aider, d’inciter et de convaincre tous les acteurs de la vie politique birmane – particulièrement les démocrates – à travailler à l’inclusion de tous les Birmans quelle que soit leur origine, famille ethnique ou confession.

    Le Parti socialiste est engagé dans cette volonté de dialogue entre les peuples, sujet sur lequel il travaille avec tous les acteurs de la mouvance progressiste et socialiste dans le monde.

  • L'Opinion - Rachid Temal (PS): «Pour la création d’un Parlement citoyen»

    A chaque soirée électorale, c’est la même chose : aux commentaires et analyses sur les résultats, à la désolation devant le niveau de l’abstention – indicateur certain du divorce entre les Français et la représentation politique –, s’ajoutent les expressions d’une défiance généralisée vis-à-vis du politique et des politiques publiques. De scrutins en scrutins, la croyance en la promesse républicaine s’amenuise, tandis que le ciment du « vivre ensemble » s’effrite.

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  • Boris Faure : "Il n'y a eu dans ma bouche aucune insulte raciste, aucune insulte tout court"

  • PS - Ordonnances Macron-Pénicaud : le Parti Socialiste a rencontré la CGT aujourd’hui

    13 septembre 2017

    Le Parti Socialiste continue son travail d’écoute au sujet des ordonnances sur le code du travail.

    Après avoir rencontré, mercredi 6 septembre dernier, les représentants de la CFDT puis, vendredi 8 septembre, les représentants de l’UNSA, le député de Seine-et-Marne Olivier Faure, président du groupe Nouvelle Gauche à l’Assemblée Nationale, a accueilli une délégation de la direction de la CGT.

    La prochaine rencontre aura lieu vendredi 15 septembre avec les représentants de FO.

    Le Parti socialiste, respectueux de l’indépendance syndicale, continuera d’apprécier l’ensemble des commentaires et des initiatives que prendront les organisations au sujet des ordonnances Macron-Pénicaud.

  • L'Obs - Défaite à la présidentielle : Mélenchon accuse Hamon (et tacle encore le PS )

    Pour une fois, Jean-Luc Mélenchon ne blâment pas les "600.000 voix" qui lui ont manqué pour accéder au second tour de la présidentielle. Non, le député de Marseille a trouvé un nouveau bouc émissaire pour expliquer sa défaite : Benoît Hamon. ""S'il avait retiré sa candidature, il serait aujourd'hui Premier ministre et moi président de la République" : le leader de la France insoumise (LFI) attribue son échec à la présidentielle au maintien de Benoît Hamon au premier tour, tout en lui tendant la main, dans une interview à "La Provence" à paraître jeudi.

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