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politique - Page 149

  • PS - Le Parti socialiste regrette la cacophonie et le flou artistique qui marquent la communication du gouvernement à propos du glyphosate

    Pour la seule journée de lundi, les annonces du Premier ministre, Edouard Philippe, et  celles du porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, se sont non seulement télescopées mais contredites, passant de l’interdiction totale aux  « progrès à accomplir d’ici 2022 »… On y voit flou !

    Il est temps de clarifier la situation. Le glyphosate est un herbicide dangereux, reconnu comme « cancérigène probable » par  l’OMS et dont les agriculteurs sont les premières victimes. Il faut en sortir.

    Si aujourd’hui, l’absence de solutions alternatives crédibles rend difficile de supprimer son utilisation du jour au lendemain, il est tout à fait irresponsable de prolonger son autorisation pour 5 ans. Pourquoi, en application du principe de précaution, ne pas envisager une prolongation annuelle, permettant à la recherche de progresser et de proposer de nouvelles solutions ? La France, comme pour les perturbateurs endocriniens, aurait-elle déjà capitulé face aux lobbys de l’industrie allemande ?

    Car l’enjeu n’est pas tant national qu’européen. Le vote sur la proposition de la Commission européenne de renouveler le glyphosate pour 10 ans est prévu pour le 5-6 octobre prochain par le Comité permanent des plantes, des animaux, des denrées alimentaires et des aliments pour animaux (PAFF). Le Parti socialiste soutient la demande des eurodéputés de le reporter après l’audition publique sur le glyphosate et les Monsanto Papers, prévue le 11 octobre.

  • RTL - "Le quinquennat de Hollande a manqué de sens", pour Jean-Christophe Cambadélis

  • L'Obs - Démissionnaire du PS, Cambadélis allume Hollande (et les autres) dans un livre

    Jean-Christophe Cambadélis, façon Attila. Alors que le Premier secrétaire du Parti socialiste s'apprête à quitter ses fonctions - lors du conseil national du PS samedi prochain -, l'ancien député de Paris règle ses comptes. Dans "Chronique d'une débâcle" (à paraître ce mercredi 26 septembre aux éditions L'Archipel), Jean-Christophe Cambadélis - dont le bilan à Solferino est loin de faire l'unanimité - tire à boulets rouges sur le quinquennat de François Hollande.

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  • "Le quinquennat de Hollande a manqué de sens", analyse Cambadélis

    INVITÉ RTL - Premier secrétaire du Parti socialiste jusqu'au 30 septembre, Jean-Christophe Cambadélis fait l'inventaire du quinquennat Hollande dans "Chronique d'une débâcle".

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  • PS - Pour les emplois aidés, le compte n’y est pas et c’est la double peine

    25 septembre 2017

    Face à la grogne qu’il a levé dans le pays en annonçant la suppression sèche de 150.000 emplois aidés, le Premier ministre a présenté des correctifs pour atténuer la brutalité de son plan social. Mais pour le Parti socialiste, le compte n’y est pas car l’inflexion demeure timide, tardive et précipitée.

    Le nombre des emplois aidés sera en chute libre : de 460.000 en 2016, à 320.000 et seulement 200.000 en 2018. Cette baisse de 40% représente autant de personnes, souvent en situation de fragilités sociales et en difficultés sur le marché du travail, qui se retrouveront demain dans les files de pôle emploi.

    Les services publics et les associations n’échappent pas au couperet. Les critères posés par l’Etat sont à ce point restrictifs qu’ils condamnent à la suppression les contrats aidés dans les cantines scolaires, les jardins et espaces verts ou les associations sportives, quelques jours après la désignation de Paris 2024.

    Le gouvernement applique la double peine aux emplois aidés : non seulement il diminue leur nombre mais il baisse leur prise en charge qui passe de 70% à 60%.

    Le Parti socialiste réitère sa demande au gouvernement de sursoir à la suppression de tous emplois aidés tant qu’une discussion générale n’aura pas permis d’imaginer un autre système. Les personnes en contrats aidés et les services de proximité ne doivent pas payer le politique d’austérité mise en œuvre par le Premier ministre, Édouard Philippe.

  • Le JDD - Le prochain congrès du PS aura lieu à Paris

    INDISCRET - Face aux difficultés financières, le Parti socialiste n'a d'autre choix que d'organiser son congrès, prévu pour février 2018, à Paris.

    Le prochain congrès du Parti socialiste (PS), censé être organisé en février 2018, aura vraisemblablement lieu à Paris, ou du moins en région parisienne. Il s'agit moins d'une affaire de symboles que d'économies : le parti est financièrement exsangue depuis ses défaites aux dernières élections (législatives et présidentielle), au point de mettre en vente son siège historique de la rue de Solferino. Les subventions annuelles de l'Etat ont en effet chuté de 25 à 7 millions d'euros par an pour le PS après sa déroute aux législatives. Cela correspond à un manque à gagner d'une centaine de millions d'euros sur cinq ans.

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  • Le Parti socialiste rend hommage à la mémoire du parachutiste mort en zone irako-syrienne

    24 septembre 2017

    C’est avec tristesse que nous avons appris, hier soir, la mort d’un adjudant du treizième régiment de dragons parachutistes dans la zone irako-syrienne.
     
    D’après les éléments apportés par le porte-parole de l’état-major des armées, ce membre des forces spéciales réalisait une mission de conseil auprès des forces locales au combat contre l’organisation Etat islamique.
     
    Le Parti socialiste adresse ses condoléances respectueuses à sa famille, ses proches et ses frères d’armes. En ce jour de deuil, chacun a conscience que si aucune démocratie ne peut se soustraire à la lutte contre la barbarie méthodiquement mise en oeuvre par les organisations terroristes, elle est conduite au prix d’un engagement ultime, celui de la vie de nos soldats. Qu’il leur soit rendu hommage.
  • France Info - Elections sénatoriales : les six enseignements du scrutin

    Le renouvellement de la moitié du Sénat n'a pas bousculé les équilibres. Le mouvement LREM d'Emmanuel Macron a subi une lourde défaite électorale.....

    La gauche se maintient

    Les socialistes craignaient une nouvelle déroute, mais ils s'en sortent finalement mieux que prévu. Certes, le PS va perdre des élus, en passant de 86 sièges à une estimation située entre 67 et 72 sièges. Mais il pourra compter sur le renfort d'une quinzaine de divers gauche. "Il reste un nombre assez conséquent d'élus locaux de gauche qui n'ont pas bousculé vers La République en marche", estime Jean-Daniel Lévy.

    Toujours à gauche, le groupe communiste a également le sourire car il est parvenu à conserver au moins dix élus, la barre nécessaire pour former un groupe. Les communistes sont malgré tout en perte de vitesse en passant de 18 à 13 sénateurs, selon leur propre décompte.

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  • PS - La filière STAPS nécessite toute notre attention

    A  l’appel  de  l’ANESTAPS  et  de  ses  associations  adhérentes,  les étudiants en STAPS ont manifesté ce jour dans plus de 20 villes de France. Le parti socialiste appelle à entendre à travers ce mouvement trois messages qui sont adressés aux élus de la République.

    Le premier concerne la nécessaire réforme du système de formation aux métiers du sport qui souffre aujourd’hui d’un manque de lisibilité et d’une trop grande complexité. La perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques à Paris en 2024 doit être une chance à saisir pour la
    Promotion de la pratique sportive pour toutes et tous, le développement du sport professionnel et amateurs dans l’ensemble des territoires. La prochaine loi de finances pourrait traduire concrètement cette intention notamment dans des enjeux de santé, bien-être et de vivre ensemble.

    Le deuxième concerne les conditions d’études des étudiants qui ne sont pas satisfaisantes face à l’évolution démographique : locaux vétustes, mal adaptés à l’utilisation des nouvelles technologies, places insuffisantes, difficultés à se loger, se soigner,… Il faut aujourd’hui amplifier l’effort de rénovation du parc universitaire et l’accompagnement des étudiants dans leur réussite et insertion professionnelle.

    Le troisième concerne l’accès à l’enseignement supérieur. Plus de 10 000 jeunes n’ont pas pu s’inscrire en première année de licence STAPS lors de cette rentrée. La problématique du tirage au sort et de la plateforme APB n’est qu’en conséquence , cette situation de la faiblesse de nos capacités d’accueil, mais aussi de la complexité à s’orienter dans les différents systèmes de formation aux métiers du sport. Elle illustre plus que jamais le manque de moyens des universités et la nécessité de la mise en place d’un guichet unique d’orientation.

    Ces trois réflexions sont indispensables pour que notre pays relève le défi de porter 60% (cf Stratégie Nationale de l’enseignement supérieure – STRANES) d’une génération diplômée l’enseignement supérieur. Le Parti socialiste, avec ses élus, y prendra toute sa part.