Au terme d’une journée à rebondissements, la socialiste Anne Hidalgo a appelé hier soir à l'organisation d'une primaire pour désigner un candidat unique à gauche pour la présidentielle. "Cette gauche fracturée, qui aujourd’hui désespère nos concitoyens, doit se retrouver et se rassembler pour gouverner", a déclaré la maire de Paris sur le plateau du 20h de TF1. "Le temps est venu de ce rassemblement", a estimé la candidate du PS, à la peine dans les sondages depuis plusieurs semaines. Mais sa proposition à quatre mois de l’élection a déjà fait flop. Hormis le partisan de la Remontada Arnaud Montebourg qui avait fait un peu plus tôt dans la journée un appel similaire, en "offrant" sa candidature à "un projet commun", l’idée d’une primaire est loin de faire l’unanimité à gauche. "Anne Hidalgo ne peut pas nous proposer la machine à perdre que le PS a inaugurée en 2016", a déclaré sur franceinfo Eric Coquerel, député La France Insoumise de Seine-Saint-Denis. C'est la "proposition de la dernière chance pour elle", a également raillé la députée Insoumise Danièle Obono à l'AFP. "Participer à une primaire pour poser la question des personnes, ce n’est pas le choix que nous voulons faire", a réagi Fabien Roussel, le candidat du PCF. Même refus net aussi chez les écologistes. "Elle prend acte de l’impasse de sa candidature. Il y a une volonté de sortir de l’impasse par une proposition surprise, mais ce n’est pas le choix des écologistes", a déclaré le candidat écologiste sur Europe1. "Je ne participerai pas à une primaire de la gauche parce que l’élection c’est dans quatre mois et demi et il faut être sérieux", a-t-il ajouté. Difficile dans ces conditions d’imaginer un rassemblement. Pour autant, du côté des organisateurs de la Primaire populaire, on veut encore y croire. Lancée en juillet, cette primaire citoyenne vise à départager les différents candidats de gauche via un vote des citoyens et citoyennes initialement prévu du 13 au 16 janvier. Longtemps balayé, par les prétendants à l’Elysée et la candidate socialiste elle-même, malgré les appels du pied et la force fournie par les plus de 240 000 soutiens récoltés par l’initiative (dont 30 000 depuis le 1er décembre), ce projet, espèrent ses organisateurs, pourrait connaître un nouveau souffle après les déclarations de la candidate PS. Et ce alors que la gauche se retrouve aujourd’hui à un niveau très faible dans les sondages. L’addition des intentions de vote de tous les candidats situés à la gauche d’Emmanuel Macron atteindrait à peine 25 % dans les enquêtes d’opinion. Une réalité qui désole nombre de sympathisants de gauche, désabusés, mais que l’on entend bien exploiter du côté de la macronie. Pas encore officiellement candidat, le chef de l’Etat multiplie les déplacements ces dernières semaines pour répondre aux procès en déconnexion et en arrogance qui lui sont intentés depuis quatre ans et demi. Il s’est ainsi rendu mardi dans le Cher pour deux jours consacrés aux "problèmes du quotidien", notamment dans les villes petites et moyennes des départements ruraux. Une campagne dans les territoires avant de présenter ce jeudi les priorités de la présidence française du Conseil de l'Union européenne qui débutera le 1er janvier 2022, lors d’une conférence de presse. Sa deuxième, seulement, en quatre ans. Difficile, dans ce contexte, d’imaginer les journalistes ne pas saisir cette rare occasion pour interroger Emmanuel Macron sur des questions sanitaires et de politiques, notamment sur sa propre candidature. Invités : - Christophe Barbier, éditorialiste politique, directeur de la rédaction - Franc-Tireur - Carl Meeus, rédacteur en chef - Le Figaro Magazine - Soazig Quéméner, rédactrice en chef du service politique - Marianne - Frédéric Sawicki, politologue
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Le pari fou d'Hidalgo - Reportage #cdanslair 09.12.2021
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Stéphane troussel : Hidalgo propose une primaire à gauche : "Il fallait faire mouvement, prendre acte de la situation"
Anne Hidalgo propose une primaire à gauche : "Il n’y a pas un candidat de gauche qui se qualifie pour le second tour. Et on va observer ça les bras ballants jusqu’à quand ? Il fallait faire mouvement, prendre acte de cette situation", explique Stéphane Troussel, le porte parole de la candidate.
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Le Monde - Election présidentielle 2022 : la proposition de primaire formulée par Anne Hidalgo rejetée par la plupart de ses concurrents à gauche
Interrogée mercredi sur TF1, la candidate du PS dit avoir « pris acte » de la faiblesse et de l’éparpillement de l’offre à gauche. LFI, EELV et le PC lui ont aussitôt opposé un net refus.
Interrogée sur la suite qu’elle compte donner à sa campagne, Anne Hidalgo, la candidate du Parti socialiste (PS) à l’élection présidentielle, dit avoir « pris acte » de la faiblesse et de l’éparpillement des candidatures à gauche, déplorant « une gauche fracturée, qui désespère beaucoup de nos concitoyens ». « La conséquence que j’en tire est qu’il faut organiser une primaire de cette gauche », a-t-elle déclaré alors qu’elle était l’invitée du journal de 20 heures de TF1, mercredi 8 décembre.
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_________________________Après l’échec de son appel à l’union de la gauche la veille, la candidate du PS a franchi une nouvelle étape en affirmant sa volonté de participer à cette désignation citoyenne. Et à «en accepter le verdict».BFM - "Le train est parti. Montez dedans": Anne Hidalgo persiste et signe pour la primaire de gaucheAlors que les candidats de gauche ont tous refusé sa proposition de candidature commune de la gauche, Anne Hidalgo confirme qu'elle se présentera devant la primaire populaire.Pas question de renoncer. Après sa tentative de présenter une candidature unique à gauche ce mercredi soir sur TF1, soldée par un échec, Anne Hidalgo confirme sa volonté d'aller jusqu'au bout de l'union.
Huffington Post - Anne Hidalgo et la primaire à gauche, seulement un coup d'épée dans l'eau?
Refusée par tous ses concurrents de gauche, sa proposition a néanmoins mis un coup de projecteurs sur les enjeux qui travaillent la gauche.
Libé - Présidentielle: la gauche s’unit contre Anne Hidalgo
Tour à tour, les écologistes, les insoumis et les communistes ont fait savoir qu’ils ne comptaient pas participer à un système de désignation d’un candidat commun à gauche, comme l’a proposé la socialiste mercredi soir sur TF1.En tentant un coup de poker pour la tenue d’une primaire de la gauche, la maire de Paris aura tout tenté pour échapper à la malédiction d’une gauche en miettes. Elle paie, en partie, le délitement inexorable du PS.
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Olivier Faure | Le 7/9 sur France Inter
Suite à l'annonce d' Anne Hidalgo en faveur d'une primaire de la gauche, Olivier Faure était ce matin l'invité de Yaël Goosz dans la matinale de France Inter. Retrouvez cet entretien en intégralité !
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Les derniers sondages IFOP et ELABE
IFOP - Baromètre de l’élection présidentielle – Vague 7
Alors que le parti Les Républicains vient de désigner sa candidate pour la présidentielle de 2022, Ifop-Fiducial a réalisé une intention de vote au lendemain de cette investiture.
La candidate LR, Valérie Pécresse, voit son score passer de 10% dans notre dernière enquête à 17% aujourd’hui, soit une hausse de 7 points. Pour rappel, en 2016, François Fillon voyait son score augmenter de 9 points à la suite de sa victoire à la primaire du parti. Par ailleurs, 24% des électeurs voient la candidate remporter l’élection du 24 avril prochain.
Le président sortant Emmanuel Macron voit son score s’établir à 25%, largement devant Marine Le Pen à 17% et Éric Zemmour à 13%. Les forces de gauche n’arrivent pas à s’imposer : 9% des électeurs annoncent voter Jean-Luc Mélenchon, 5% pour Anne Hidalgo et 6% attribueraient leur bulletin à Yannick Jadot.A ce jour, 57% (+1) des électeurs se disent tout à fait certains d’aller voter à l’élection présidentielle de 2022, et 25% (+2) l’envisagent sérieusement
A partir d’une échelle allant de 0 à 10 (où 0 signifie être tout à fait certain de ne pas aller voter et 10 être tout à fait certain d’aller voter, les notes intermédiaires permettant aux sondés de nuancer leur intention), 57% (+1 par rapport au 24 novembre) des Français se disent tout à fait certain d’aller voter (note 10), et 25% (+2) l’envisagent sérieusement (notes 8 et 9).
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Rassemblement à gauche : qui lance la chenille ? Le Billet de Charline
Charline Vanhœnacker est sous le coup de cette nouvelle : l’espoir d’un rassemblement de la gauche.
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Les 4 vérités d'Anne Hidalgo
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Forum du Projet sur la justice sociale et la transition écologique à Montreuil | #Hidalgo2022
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La revue de presse du 19 au 25 novembre
PENG SHUAI
Le Monde, éditorial - JO de Pékin : l’inévitable question des droits de l’homme
La mobilisation autour de la disparition de la joueuse de tennis, Peng Shuai, qui a accusé de viol un haut dignitaire chinois, grandit. Le régime ne peut pas revendiquer l’organisation de compétitions internationales tout en continuant à faire taire les athlètes qui le dérangent.
En Chine, faire disparaître ceux qui ne sont pas dans la ligne du Parti communiste ou qui portent atteinte à ses intérêts est une pratique classique. Le fait que l’on soit sans nouvelles de la joueuse de tennis Peng Shuai, qui a accusé publiquement l’ancien vice-premier ministre Zhang Gaoli de l’avoir violée, montre une fois de plus que la Chine ne recule devant rien pour protéger ses dignitaires.
La joueuse de tennis figure sur les photos officielles de l’événement, ainsi que sur deux vidéos publiées par un journaliste proche du pouvoir central chinois. Mais ces documents sont accueillis avec prudence par la communauté internationale.
Tandis que la pression internationale s’accentue pour obtenir des informations sur son état de santé, la star chinoise du tennis Peng Shuai est apparue sur des images diffusées dimanche 21 novembre par la Chine, la montrant lors d’un tournoi de tennis pour adolescents à Pékin, le Fila Kids Junior Tennis Challenger. Mais elle ne s’exprime pas sur sa situation et la diffusion des images par des journalistes des médias d’Etat coutumiers des manipulations laisse craindre qu’il ne s’agisse d’une mise en scène contrainte.
Sur les réseaux sociaux, plusieurs clichés de la joueuse chinoise, ainsi qu'une vidéo, ont fait leur apparition sur la toile, samedi, sans que l'authenticité de ceux-ci n'ait pu être vérifiée.
Des photos et une vidéo, dont l'authenticité n'a pu être vérifiée de manière indépendante, montrant une Peng Shuai souriante, ont fait leur apparition sur les réseaux sociaux, samedi 20 novembre, au moment où la pression internationale s'accroît sur la Chine pour obtenir des informations sur le sort de la joueuse chinoise.
PRESIDENTIELLE
INTERVIEW Paul Cébille, chargé d'étude à l'Ifop, bat en brèche les justifications de LFI sur les mauvais sondages de Jean-Luc Mélenchon
8, 9, 10, parfois 11 %. En cette précampagne électorale, les sondages ne sont pas très bons pour Jean-Luc Mélenchon. Le dernier lui octroyant 13 % d’intentions de vote remonte déjà à fin septembre, juste après son débat avec Eric Zemmour. Certes, ces enquêtes d’opinion le placent presque toujours en tête à gauche mais, le plus souvent, encore loin d’un hypothétique second tour. Au sein de La France insoumise, on se console en regardant la campagne de 2017 : à pareille époque, Jean-Luc Mélenchon était loin des 19,58 % des voix recueillis au premier tour. La vague insoumise n’est venue que bien plus tard, à partir de février.
Le Progrès - Anne Hidalgo : "Seule la social-démocratie peut rassembler la gauche"
La candidate du PS à la présidentielle parcourt cette semaine l’est du pays, de Mulhouse à Avignon, sur le thème du travail. Dans un entretien, elle nous annonce une hausse du Smic de 15 % si elle est élue, et elle répond à ceux qui réclament une candidature unique à gauche.
« C’est autour de notre projet, du projet écologiste, qu’une dynamique de rassemblement doit s’enclencher », avance le candidat EELV à la présidentielle.
Yannick Jadot « espère » un « rassemblement » de la gauche en janvier derrière sa candidature. « Je dis aux socialistes comme à tous les progressistes : rejoignez-nous ! Construisons ensemble l’alternance à un quinquennat de renoncement écologique, de régression sociale et d’affaissement démocratique », lance le candidat écologiste à la présidentielle, dans une interview au « Journal du Dimanche ». « En janvier, j’espère que nous nous donnerons collectivement les moyens d’un rassemblement ».
Le JDD - La campagne présidentielle d'Anne Hidalgo est plombée par son bilan à Paris
La candidature à la présidentielle d'Anne Hidalgo pâtit des polémiques sur sa gestion de la capitale.
À Paris, Anne Hidalgo vit depuis des mois sous le feu roulant des critiques. "Son bilan, c'est son boulet", veut croire Agnès Evren, présidente de la fédération LR de la capitale. La députée européenne et conseillère de Paris en dresse un tableau apocalyptique : "Comment peut-elle prétendre accéder à la fonction suprême, alors que notre ville est désormais mondialement connue pour son explosion de violence et la saleté de ses rues? Elle est devenue bruyante et embouteillée, s'est enlaidie, les commerces ferment, les habitants fuient, l'attractivité est en berne…"
LES INEGALITES
Observatoire des inégalités - Quand doit-on parler d’inégalité ou de différence ?
Questions clés 16 novembre 2021
Pour pouvoir parler d’inégalités, il faut pouvoir classer ce dont on parle. Sinon, il s’agit d’une différence. La question est essentielle, mais la frontière n’est pas facile à situer.
Pour que l’on puisse parler d’inégalité (voir notre définition), il faut pouvoir classer ce dont on parle. Il faut qu’il existe un haut et un bas, un plus et un moins. Bref, une hiérarchie admise par la société. Si on ne peut pas trier, alors il s’agit d’une différence, non d’une inégalité. Pouvoir classer ou non est donc essentiel, mais l’affaire n’est pas toujours simple.
#NOUS TOUTES
Des marches contre les violences sexistes et sexuelles faites aux femmes sont organisées samedi 20 novembre partout en France. Le collectif #NousToutes ainsi que de nombreuses associations appellent à la mobilisation.
"Les politiques publiques mises en place sont seulement des stratégies de communication", a estimé samedi 20 novembre sur franceinfo Marylie Breuil, membre du collectif #NousToutes, alors que des marches contre les violences sexistes et sexuelles sont organisées dans toute la France à l'appel d'une soixantaine de syndicats, de partis politiques et d'association dont le collectif #NousToutes.
LA FRANCE SOUS NOS YEUX
Voici un très bon livre, qui rencontre d’ailleurs le succès. Ses deux auteurs, le sondeur essayiste Jérôme Fourquet et l’analyste des nouveaux modes de vie Jean-Laurent Cassely, font voyager dans ce qu’ils baptisent « la France d’après »[1]. Il faut entendre par là la France d’après-Covid, qui est le pays d’aujourd’hui. Ce couple de complices intellectuels, voyageant à travers l'Hexagone un peu à la manière du classique « tour de France de deux enfants »[2], allie art de l’observation et de la formulation, sachant produire des monographies intéressantes, des développements inédits et des remarques bien senties.
LA DEMOCRATIE
Telos - Un Parlement qui n’en est pas un, par Dominique Schnapper
La réflexion sur des modalités nouvelles de la délibération en démocratie, maintenant riche de nombreuses publications, vient de faire l’objet d’une mise au point par Thierry Pech, ancien président du comité de gouvernance de la convention citoyenne pour le climat[1] qui vient compléter et enrichir les analyses des travaux théoriques, publiés sans la direction de Loïc Blondiaux et de Bernard Manin, dont Telos a rendu compte sous le titre « Réflexions sur la démocratie représentative » (7 juin 2021)[2]. L’ouvrage de Thierry Pech bénéficie de son expérience : il a suivi pas à pas la constitution et du déroulement d’une « convention » délibérative.
Saturé de sondages aux fondements parfois douteux, le débat médiatique et politique se droitise à outrance. À six mois de l’élection présidentielle, ce constat ne reflète pas vraiment les évolutions de la société française. Entretien.»
LA SECURITE ALIMENTAIRE
Terra Nova - Vers une sécurité alimentaire durable : enjeux, initiatives et principes directeurs
Dans son plus récent rapport « Revenus et patrimoine des ménages », l’INSEE estime qu’en 2018, environ 10 millions de personnes vivaient sous le seuil de pauvreté monétaire en France métropolitaine, auxquels il faut ajouter près d’1 million supplémentaire dans les DOM [1]. L’effet de la pandémie de Covid‑19 sur les niveaux de vie n’était pas encore quantifié à la date de sortie de ce rapport, mais les données disponibles indiquent que le nombre d’allocataires du Revenu de Solidarité Active (RSA) a augmenté constamment depuis le début de la crise sanitaire pour atteindre 165 000 utilisateurs supplémentaires en septembre 2020, correspondant à une hausse de +8,7 % par rapport à septembre 2019. En accord avec cet ordre de grandeur, le 6 octobre 2020, Le Monde titrait « La crise sanitaire a fait basculer un million de Françaises et de Français dans la pauvreté »[2] . Une certaine décrue est amorcée en 2021, mais les incertitudes restent fortes sur l’évolution de la pandémie, et donc sur ses conséquences pour l’emploi[3].
ELON MUSK
Reporterre - Starlink, le plan géant d’Elon Musk pour occuper l’espace
ENQUÊTE 1/3 - Le projet du milliardaire Elon Musk se concrétise. Son offre d’une connexion haut-débit à internet sur toute la planète via une constellation de satellites est déjà en fonctionnement aux États-Unis. Et ses antennes domestiques sont désormais disponibles en France en précommande.
Cet article est le premier d’une enquête en trois volets consacrée au projet Starlink d’Elon Musk. Le second : « Avec Starlink, Elon Musk innove dans la pollution » et le troisième : « Starlink vise la conquête marchande de l’espace ».
LYON
Nouveau Lyon - La gouvernance de la Métropole en débat
Publié le 23/11/2021
Le laboratoire d’idées Nouvelles Rives, créé dans le sillage de la campagne électorale de David Kimelfeld en 2020, a tenu la semaine dernière son premier débat public. Le thème : comment sortir de l’opposition Métropole / communes ?
Voilà une affiche de choix. Autour de la table-ronde (virtuelle), quatre élus métropolitains. Deux vice-présidents – l’écologiste Béatrice Vessiller et Renaud Payre (gauche unie) – et deux opposants – le président du groupe Synergies Marc Grivel et le maire LR de Rillieux Alexandre Vincendet. Sans oublier Stéphane Cadiou, maître de conférences en science politique et le président de Nouvelles Rives, Emmanuel Buisson-Fenet.
Rue 89 - Téléphérique à Lyon : vue plongeante sur la controverse
À la veille de la concertation officielle lancée par le Sytral, Rue89Lyon récapitule la genèse et les crispations actuelles, parfois très politiques, autour de ce projet de téléphérique dans l’ouest de Lyon.
Cela fait presque un an que la controverse autour du projet de téléphérique à Lyon occupe régulièrement les unes lyonnaises, au point parfois d’accaparer l’espace médiatique. Pour faire le tri et comprendre toute l’histoire depuis le début, Rue89Lyon se propose de récapituler chronologiquement cette ambition téléphérique dans la métropole de Lyon
D’ici 2026, la Ville de Villeurbanne souhaite mener sa transition écologique sur tous les fronts, afin de faire baisser les émissions de gaz à effet de 20 % sur la commune. Un projet ambitieux, qu’elle entend conduire en travaillant avec sa population et les différents acteurs de son territoire, pour permettre à la jeune génération de "mieux vivre" demain.
Lyon La Duchère - Soutien scolaire
Débuté en 2017, le soutien scolaire est une véritable plus-value au projet scolarité du club de Lyon – La Duchère.
Destiné à l’ensemble des membres de notre section sportive, il permet un suivi et un accompagnement scolaire plus poussé.UN PARTENARIAT PRÉCURSEUR
Il est issu d’un partenariat alors inédit en France à sa création entre l’INSPÉ Lyon (Institut National Supérieur du Professorat et de l’Éducation) et le club du Plateau. En effet, le soutien scolaire est assuré par des professeurs en formation au sein de l’Université Lyon 1 ce qui leur permet de se former à leur futur métier auprès d’un public peu nombreux. De leur côté, les membres de la section sportive bénéficient de deux soirées d’aide au devoir dispensées par des futurs professionnels. Un partenariat gagnant-gagnant repris aujourd’hui comme modèle par la Fédération Française de Football et de nombreux clubs.
Lyon Capitale - Oullins : la ZAC de Saulaie, grand projet d'aménagement urbain au sud de la métropole, est enfin "sur les rails"
Une réunion publique d'information sur le projet d'aménagement urbain du quartier de la Saulaie à Oullins s'est tenue jeudi 18 novembre en soirée. Environ 150 habitants étaient présents pour découvrir les avancées du projet et débattre de la direction donnée par la Métropole de Lyon et la mairie d'Oullins à cet aménagement urbain de 40 hectares. -
Le Figaro - «Aller jusqu'à la vaccination obligatoire ? Pourquoi pas», dit Anne Hidalgo
À l'antenne de France Inter et Franceinfo ce dimanche, la candidate à la présidentielle Anne Hidalgo a évoqué le sujet de la vaccination dans le contexte de regain de l'épidémie et de l'émergence du variant Omicron. «Il faut pousser à la vaccination. Aller jusqu'à la vaccination obligatoire ? Pourquoi pas», a déclaré d'elle-même l'actuelle maire de Paris, sans prendre position plus clairement.
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Anne Hidalgo, invitée de Questions Politiques
Anne Hidalgo, maire de Paris, candidate PS à l’élection présidentielle, est l’invitée de Questions Politiques. Une émission présentée par Thomas Snegaroff avec Carine Bécard (France Inter), Nathalie Saint-Cricq (France TV), Françoise Fressoz (Le Monde) et Alexandra Bensaïd (France Inter) .