Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

hidalgo

  • Le Parisien - Municipales à Paris : Rachida Dati donnée en position de force par un sondage

    Un sondage Ipsos pour La Tribune Dimanche donne la ministre de la Culture largement en tête pour les prochaines élections municipales, quels que soient les adversaires en lice, loin devant Anne Hidalgo.

    À̀ deux ans du prochain scrutin municipal, un sondage Ispos-La Tribune Dimanche place Rachida Dati en position de force. Loin derrière la nouvelle ministre de la Culture, Anne Hidalgo se retrouve dans une situation délicate, après dix années passées à l’Hôtel de Ville.

    Évidemment si loin de ce scrutin, les interrogations restent encore nombreuses sur les candidats, les alliances possibles ou non et l’évolution des intentions de vote. C’est pourquoi, Ispos a testé plusieurs hypothèses. Malgré tout, la pluralité́ de ces scénarios permettent de dégager les lignes de force et de faiblesse des uns et des autres.

    Lire la suite
    _________________________
    _________________________

  • Le Point - Parti socialiste : petit meurtre en famille

    Dans « Autopsie du cadavre », le journaliste Olivier Pérou enquête sur les raisons de la débâcle du PS à la présidentielle. Et cherche le coupable.

    Les meurtres en politique ont toujours fasciné. Il y a les meurtres réussis, comme celui de Chaban-Delmas par Chirac en 1974 ou celui de Giscard par le même Chirac, décidément tueur en série ; il y a les meurtres ratés, comme celui de Le Pen par Mégret en 1998 ou de Chirac par Séguin et Pasqua en 1990. Et il y a ceux qui passent complètement inaperçus. Olivier Pérou s'intéresse à l'un d'eux dans Autopsie d'un cadavre (Fayard). Le journaliste de L'Express se transforme en enquêteur dans un récit à la Agatha Christie avec la précision d'un procès-verbal. La victime : le Parti socialiste, tombé le 10 avril 2022 avec le pire score de son histoire (1,7 %). Les suspects : ils sont sept et ont tous de bons mobiles pour avoir tué une institution qui a structuré depuis 50 ans la politique française. « Il ne reste plus grand monde pour pleurer, ni électeurs à l'évidence, ni vieille garde non plus, ni ex-présidents, ni militant », constate l'auteur.

    Lire la suite
    _____________________
    _____________________

  • Sud Ouest - Parti socialiste : soutenue par Anne Hidalgo, une troisième voie se profile en vue du prochain Congrès du parti

    Un groupe de socialistes se positionne entre la ligne pro-Nupes, prônée par le premier secrétaire Olivier Faure, et le courant « droitier » de son opposante Hélène Geoffroy

    Au Parti socialiste, une troisième voie, entre la ligne pro-Nupes, prônée par le premier secrétaire Olivier Faure, et celle de son opposante Hélène Geoffroy, se profile en vue du prochain Congrès, sous l’œil approbateur de l’ex-candidate à la présidentielle Anne Hidalgo. À ce stade, il n’est pas encore question d’un texte d’orientation pour prendre la tête du parti, mais un groupe de socialistes, dont les sénateurs David Assouline et Patrick Kanner, va prochainement rendre publique « une contribution », baptisée « Refondations ».

    Lire la suite
    __________________________
    __________________________

  • Les gauches entre deux tours (mise à jour du 22 avril)

    BFM - Législatives: les écologistes de plus en plus nombreux à vouloir une alliance avec LFI et Mélenchon

    Plusieurs figures d'EELV veulent un accord avec le mouvement de Jean-Luc Mélenchon lors des élections législatives en juin 2022.

    Vers un renversement d'alliance? En 2017, dans de nombreuses circonscriptions, EELV était allié au Parti socialiste lors des élections législatives. En juin 2022, les écologistes pourraient plutôt se tourner vers La France insoumise et Jean-Luc Mélenchon, arrivé en troisième position lors du premier tour de l'élection présidentielle, loin devant Yannick Jadot et ses 4,6%.

    Libé - Jean-Luc Mélenchon remonte sur le ring: «Rien ne me remet plus d’aplomb que d’être dans la bataille»

    A la Maison de la Chimie à Paris, où il réunissait les siens jeudi soir, le leader insoumis est apparu requinqué et prêt à jeter ses forces dans «la nouvelle campagne qui commence». Celle des législatives, qu’il compte mener main dans la main avec les autres formations de gauche.

    Gare à ceux qui l’avaient enterré trop vite. Jean-Luc Mélenchon, plus «combatif» que jamais, a encore des choses à dire et à faire. Loin d’être abattu après son échec au premier tour de la présidentielle, il est déjà remonté sur le ring jeudi soir. A la Maison de la Chimie à Paris, la soirée n’était «pas un meeting» mais bien «une conférence» devant plusieurs centaines de personnes.

    Huffington Post - Législatives 2022: crispations au PS après la main tendue aux Insoumis

    Le conseil national du Parti socialiste a entériné mardi 19 avril l'ouverture des discussions avec LFI en vue des législatives. Une position qui fait débat et pourrait bien achever le parti.

    “Je n’ai jamais été sur la ligne de la direction et d’Olivier Faure. Ça ne va pas changer, a fortiori avec cette ligne qui consiste à dire qu’on va chercher un accord avec LFI”. Interrogé par Le HuffPost, Stéphane Le Foll, ancien ministre socialiste, est plus que critique sur éventuel accord stratégique entre le PS et LFI aux élections législatives de juin 2022.

    La veille, le Conseil national du PS avait pourtant acté l’ouverture des discussions avec les Insoumis. Et ces derniers sont en position d’ouverture: la France Insoumise et Jean-Luc Mélenchon veulent peser sur les cinq années à venir. Le député des Bouches-du-Rhône se rêve Premier ministre, et ce, quel que soit le vainqueur de la présidentielle.

    Marianne - Rachid Temal : "les socialistes acceptent de fait l'asservissement que propose Mélenchon"

    Entretien - Le Parti socialiste s’est prononcé en majorité ce mardi 19 avril pour un rassemblement de la gauche aux législatives, y compris avec La France insoumise. Une erreur pour le sénateur du Val-d’Oise Rachid Temal qui « ne croit pas que Jean-Luc Mélenchon ait la capacité de gouverner ».

    Lyon Capitale - À Lyon, un candidat PCF suspend sa campagne et propose une rencontre à gauche, qu'en pensent les autres candidats ?

    Le candidat communiste dans le 3e circonscription de Lyon, Boris Miachon Debard, a annoncé mardi suspendre sa campagne des législatives et propose une rencontre aux autres candidats de gauche. Qu'en pensent les autres candidats ? Une grande alliance à gauche est-elle possible ou pas ?

    Vers une grande alliance à gauche ? Avec près de 22% des voix au 1er tour de la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon, le candidat de l'Union Populaire, est passé tout près du 2e tour. Mais il est éliminé. Eliminée au 1er tour, la gauche a déjà les yeux tournés vers les législatives. Mais pour peser, elle devra probablement s'unir avant le 1er tour.

    Le Figaro - PS : Olivier Faure obtient une majorité interne pour un dialogue avec les Insoumis aux législatives

    Dans un discours aux cadres de son parti mardi soir, le premier secrétaire a appelé toute la gauche, Insoumis compris, à «plus de hauteur de vue».

    «La réalité, c'est quand on se cogne...» Ce mot de Jérôme Guedj, citant jacques Lacan, a pu illustrer mardi 19 avril au soir l'ambiance du Conseil national du PS. Durant plus de quatre heures, les cadres socialistes ont vidé leur sac après le score cataclysmique de leur candidate Anne Hidalgo le 10 avril (1,74%).

    Le Télégramme - Le Parti socialiste vote pour un rassemblement avec LFI aux législatives

    En vue des législatives, le conseil national du PS a adopté une résolution pour discuter avec toutes les formations de gauche, dont La France insoumise, arrivée en tête au premier tour de la présidentielle.

    Le conseil national du Parti socialiste, sorte de parlement du parti, a adopté mardi soir une résolution proposant de discuter avec l’ensemble des forces de gauche, dont La France insoumise, pour trouver un accord aux législatives, a-t-on appris de sources concordantes. Il s’agit pour le PS d’un tournant majeur dans sa stratégie que d’envisager un accord avec le parti de Jean-Luc Mélenchon, a précisé un participant, même si pour l’instant LFI a indiqué ne pas vouloir discuter avec le PS, trop critique vis-à-vis de leur candidat pendant la campagne.

    BFM - "Pas grand monde n'y croit": après le fiasco Hidalgo, le Parti socialiste se déchire sur les législatives

    Les socialistes vont tenter de se mettre d'accord sur la stratégie à adopter à deux mois des élections législatives alors que la France insoumise refuse tout accord. Rares sont les cadres à croire que plus de 15 députés seront élus.

    La soupe à la grimace depuis Ivry. Après le score désastreux d'Anne Hidalgo (1,74%) au premier tour, le Parti socialiste tente de sortir la tête de l'eau pour se projeter vers les législatives lors d'un conseil national ce mardi soir. Mais si Olivier Faure et ses proches continuent de croire à un accord avec La France insoumise, d'autres leur reprochent leur stratégie.

    BFM - Jean-Luc Mélenchon: "Je demande aux Français de m'élire Premier ministre, (...) je leur demande pour cela d'élire une majorité de députés insoumis"

    Le candidat de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a répondu aux questions de Bruce Toussaintsur BFMTV ce mardi soir pour la première fois depuis les résultats du premier tour de l’élection présidentielle

    BFM - Présidentielle: Jean-Luc Mélenchon confie ne pas être sorti "indemne" des résultats du premier tour

    Le candidat de la France insoumise, arrivé troisième au premier tour de l'élection présidentielle, était l'invité exceptionnel de Bruce Toussaint sur BFMTV ce mardi soir.

    Une défaite qu'il a facilement reconnue, mais qui le marque. Jean-Luc Mélenchon, invité exceptionnel de BFMTV ce mardi soir, est revenu sur les résultats du premier tour de l'élection présidentielle. Arrivé en troisième position derrière Emmanuel Macron et Marine Le Pen, le candidat de la France insoumise a livré son sentiment sur ce scrutin. "Je ne sais pas si un événement comme celui-là peut se digérer", a commencé le député des Bouches-du-Rhône.

    Slate - Deuxième tour: à quoi joue l'électorat de Jean-Luc Mélenchon? Gaël Brustier

    L'absence de choix est un choix, et comme tout choix il aura des effets. Les «insoumis» sont-ils en train de commettre une coûteuse erreur stratégique ?

    «Pas une voix pour Madame Le Pen», scandé par Jean-Luc Mélenchon plusieurs fois et clairement: le mot d'ordre initial des «insoumis» répond-il totalement aux enjeux présents? Il valide seulement ce soir-là le rapide passage à une autre bataille, celle des législatives, et un «enjambement» bien curieux du second de l'élection présidentielle.

    France Info - Après l’échec d’Anne Hidalgo à la présidentielle, le Parti socialiste se réunit aujourd’hui en Conseil national pour tenter de rebondir.

    Il s'agit même, tout simplement, de trouver quelques raisons d’exister encore. Une opération survie qui est aussi une opération de la dernière chance. Songez qu’avec 1,75 % des voix, Anne Hidalgo est arrivée loin, très loin de… Jean Lassalle, par exemple ! Une humiliation inimaginable pour un parti qui a géré le pays la moitié du temps depuis 1981.

    Le Point - Yannick Jadot et la direction d’EELV discrédités par leurs soutiens

    L’aile gauche du parti écologiste tire un lourd bilan de la présidentielle et espère une alliance avec LFI en vue des législatives, indique « Le Figaro ».

    L'après-présidentielle tourne aux règlements de comptes chez Europe Écologie-Les Verts (EELV). Comme le rapporte Le Figaro, l'aile gauche du parti écologiste a vivement réprimandé Yannick Jadot et la direction du parti après la débâcle du candidat lors du premier tour, lors duquel il a été crédité de 4,63 % des voix. Dans un long texte adressé aux forces vives d'EELV, le courant « Le Souffle » ne mâche pas ses mots et appelle à des concertations en vue des élections législatives, au mois de juin prochain.

    CNews - Parti socialiste : après le fiasco du 1er tour, un conseil national pour mettre le cap sur les législatives

    Ayant rassemblé à peine 1,75 % des votes au premier tour du 10 avril, Anne Hidalgo n’a pas franchi le seuil des 5 %, synonyme de remboursement des frais de sa campagne présidentielle. Après ce score jugé calamiteux au sein même du parti, le PS réunit ce mardi 19 avril son conseil national pour en tirer le bilan avant les législatives de juin.

    Le journal du centre - Pour Olivier Bianchi, maire de Clermont-Ferrand, "le PS du cycle d'Epinay est mort lors de cette élection"

    Ce mardi, le Parti socialiste réunit son conseil national à Ivry-sur-Seine pour tirer le bilan de l’élection présidentielle, lors de laquelle Anne Hidalgo est arrivée en dixième position (1,7 %). Entretien avec Olivier Bianchi, le maire socialiste de Clermont-Ferrand, à la veille de cette échéance.

    Cinq ans après avoir laissé le pouvoir avec le départ de François Hollande de l’Élysée, le PS n’est plus que l’ombre du parti qu’il a été. Pour Olivier Bianchi, qui a porté le projet culturel de la candidate socialiste durant la campagne, son parti doit engager un profond travail intellectuel de refondation.

    BFM - "Il a choisi seul le chemin de l'humiliation": la "main tendue" de Faure aux Insoumis divise au PS

    La France insoumise a rejeté la proposition d'accord avancée par le premier secrétaire du Parti socialiste en vue des élections législatives.

    La proposition en agacé plus d'un au parti à la rose. Plusieurs membres du Parti socialiste ne cachent pas leur agacement après la main tendue par Olivier Faure pour des négociations avec la France insoumise en vue des législatives de juin. Fin de non recevoir. La présidente du groupe LFI à l'Assemblée Mathilde Panot a expliqué dans le Journal du Dimanche qu'"il n'y aura pas de discussion, et ce refus est définitif".

    France Info - Elections législatives : La France insoumise refuse la proposition d'accord du Parti socialiste

    Les Insoumis restent ouverts à un accord incluant communistes et écologistes, si ceux-ci "rendent des comptes" sur leurs attaques envers Jean-Luc Mélenchon durant la campagne présidentielle.

    Irréconciliables. La cheffe des députés La France insoumise, Mathilde Panot, a refusé, dimanche 17 avril, la proposition de dialogue du Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, en vue des élections législatives.

    Alors que les Insoumis avaient proposé vendredi aux écologistes et aux communistes de former une coalition pour les législatives des 12 et 19 juin, mais en excluant le Parti socialiste, Olivier Faure assure que "[sa] main est tendue", dans un entretien au journal Libération

    France Info - "Je voterai sans illusion" : dix électeurs de Mélenchon expliquent leur choix pour le second tour entre Macron et Le Pen

    Une semaine après l'élimination du candidat de La France insoumise au premier tour de l'élection présidentielle, ces dix citoyens ont raconté à franceinfo comment ils allaient voter le 24 avril.

    Ils ont tous fait le même choix au premier tour, mais partent en ordre dispersé pour le second. Les électeurs de Jean-Luc Mélenchon, candidat de La France insoumise arrivé en troisième position le 10 avril, doivent désormais se positionner en vue du duel final, dimanche 24 avril, entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Si certains entendent déjà "faire barrage" et voter pour le président sortant, beaucoup prévoient de s'abstenir ou de voter blanc. D'autres encore se disent indécis ou penchent pour la candidate du Rassemblement national.

    Libé - Olivier Faure à Mélenchon: «Il faut passer par-dessus les rancœurs qui existent»

    Le premier secrétaire du PS tend la main aux insoumis pour un «rassemblement» de la gauche en vue des législatives. Il critique aussi l’attitude récente de François Hollande, dont le rôle, selon lui, doit être celui d’un «passeur» et non d’un «empêcheur»

    Olivier Faure interroge souvent : «Vous avez l’impression que je m’amuse depuis quatre ans ?» Façon de dire qu’il ne veut pas rester à la tête du Parti socialiste (PS) par plaisir mais par devoir. En mars, sentant venir le pire score de l’histoire du PS, il nous disait : «Pour reconstruire, il faut une victoire ou un échec suffisamment fort pour se remettre en question. Après la présidentielle, quand on aura touché le fond, ce sera le moment de le faire. Je ferai tout pour, j’espère qu’on me laissera faire.»

     
    Après la lettre des insoumis envoyée ce vendredi matin à plusieurs formations de gauche en vue du prochain scrutin, le secrétaire national du parti écologiste, Julien Bayou, a ouvert la porte à un rapprochement entre leurs deux formations.
    Les discussions se poursuivent entre les mouvements de gauche. Après la lettre envoyée par LFI ce vendredi matin au PCF, au NPA et à EE-LV pour leur proposer de former une coalition pour les législatives (12 et 19 juin), le secrétaire national du parti écolo, Julien Bayou, annonce souhaiter pouvoir trouver un accord avec LFI «a minima sur un pacte de non-concurrence, de non-agression».

    Huffington Post - Législatives: LFI prête à travailler avec toute la gauche sauf le PS (pour l'instant)

    Les Insoumis veulent parler "programme commun partagé” avec EELV et le Parti communiste... Mais sans les socialistes à "ce stade".

    La gauche se parle. Défaits au premier tour de l’élection présidentielle, les différents représentants LFI, communistes, écolos et même socialistes tentent d’ouvrir les négociations en vue des élections législatives des 12 et 19 juin. Un “troisième tour”, selon les mots de certains, que la France insoumise aborde en position de force après les 22% récoltés le soir du 10 avril. 

    La formation de Jean-Luc Mélenchon compte bien prolonger sa dynamique pour devenir la première force d’opposition à l’Assemblée nationale. Certains s’estiment même en capacité d’imposer une cohabitation au futur chef de l’État. Dans ce contexte, les Insoumis ouvrent la porte aux discussions... Mais sous conditions et sans le Parti socialiste

    La Provence - Législatives : LFI veut un "regroupement" autour du programme de Mélenchon

    La France insoumise est favorable à des discussions avec les autres partis de gauche pour les législatives, mais à condition que le "regroupement se fasse autour du programme porté par Jean-Luc Mélenchon" et à la proportionnelle des résultats du premier tour de la présidentielle, a indiqué mercredi Manuel Bompard.

    "On est favorable à faire en sorte qu'il puisse y avoir éventuellement un regroupement autour du programme qui a été porté par Jean-Luc Mélenchon à l'élection présidentielle et autour des résultats tels qu'ils ont été choisis par les électeurs au premier tour", a expliqué sur franceinfo l'ancien directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon.

    Ouest France - Présidentielle. Fabien Roussel lance un appel à Jean-Luc Mélenchon pour les législatives

    Fabien Roussel a proposé une rencontre à Jean-Luc Mélenchon afin de joindre leurs forces pour les élections législatives de juin. Une proposition formulée ce jeudi 14 avril, lors d’une conférence de presse.

    Après le premier tour de l’élection présidentielle à l’issue duquel Fabien Roussel a obtenu 2,28 % des voix, le candidat communiste a tenu une conférence de presse au siège du PCF, ce jeudi 14 avril 2022. Il a notamment lancé un appel au candidat Insoumis Jean-Luc Mélenchon, le troisième homme de cette élection.

    Huffington Post - Cambadélis appelle Faure à la démission et le PS à "s'autodissoudre"

    Jean-Christophe Cambadélis, ancien premier secrétaire, plaide pour une "autodissolution du PS" cet automne, pour une "refondation".

    POLITIQUE - Après la Bérézina, place aux règlements de comptes. Une grande voix de ce qu’il reste du Parti socialiste dit tout haut comment il voit l’avenir de son parti qui vient de vivre la pire déroute de son histoire: 1,75%, pour Anne Hidalgo, la dixième place sur douze, derrière Jean Lassalle et Fabien Roussel.

    Ouest-France - Parti socialiste : « Nous n’avons collectivement pas assez travaillé », reconnaît Carole Delga

    La présidente de la région Occitanie, Carole Delga, qui fut la mieux réélue des présidents de régions socialistes en 2021, prendra une part active à la reconstruction du parti. « Au boulot », dit-elle, consciente cependant des obstacles à franchir, parmi lesquels « la bataille des ego ». La reconstruction peut se faire « à partir des territoires » où le PS reste implanté, veut croire l’élue

    Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, et des élus du parti ont appelé à l’union des forces de gauche et des écologistes, dans la foulée d’une débâcle historique à l’élection présidentielle. Présidente de la région Occitanie, Carole Delga veut croire que l’ancrage territorial du parti aidera à sa reconstruction. Entretien.

    Ouest France - Présidentielle. Jean-Luc Mélenchon lance la consultation de ses soutiens pour le second tour

    Comme il l’avait promis, le candidat LFI à l’élection présidentielle a lancé ce mercredi 13 avril 2022 une consultation de ses soutiens pour le second tour. Ils peuvent voter pour Emmanuel Macron, voter blanc ou s’abstenir.

    Abstention, vote blanc ou vote Emmanuel Macron ? Jean-Luc Mélenchon a lancé mercredi 13 avril 2022 la consultation de ses quelque 310 000 soutiens en vue du second tour, trois jours après que le troisième homme (21,95 %) ait appelé à ne pas « donner une seule voix à Le Pen ». Cette option de vote Marine Le Pen ne figure donc pas parmi les propositions données en consultation sur la plate-forme militante de Jean-Luc Mélenchon, « Action populaire ».

    Marianne - Présidentielle : après les 1,7 % de Hidalgo, ces socialistes qui tapent sur… Mélenchon

    Au pied du mur, le Parti Socialiste (PS) se projette déjà dans la perspective d’une union de la gauche pour les législatives… mais pas nécessairement avec Jean-Luc Mélenchon. Dès ce dimanche soir, certains lieutenants socialistes n’ont pas manqué d’envoyer quelques piques au leader insoumis qu’ils accusent d'avoir nui au rassemblement pendant cinq ans.

    Une poignée de militants s’étaient donné rendez-vous ce dimanche soir, sans grands espoirs, pour la soirée électorale d’Anne Hidalgo au Poinçon, restaurant branché du quatorzième arrondissement parisien. À peine le score désastreux de leur candidate dévoilé, chacun avait envie de passer à autre chose. Une fois les appels, clairs et nets, au barrage contre Marine Le Pen, certains cadres se projetaient dans le rassemblement pour les législatives… sans Jean-Luc Mélenchon.

    The Conversation - Un effondrement socialiste qui vient de loin,  Mathieu FullaAgrégé et docteur en histoire, membre permanent du Centre d’histoire de Sciences Po (CHSP), Sciences Po

    Le score de 1,72 % de suffrages exprimés en faveur d’Anne Hidalgo, candidate du Parti socialiste, lors du premier tour de l’élection présidentielle 2022, marque sans ambiguïté l’effondrement de l’une des plus vieilles organisations partisanes de France, héritière de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO) fondée en 1905 sous l’impulsion de Jean Jaurès et de Jules Guesde. [Refondé en 1969], le Parti socialiste a pris son essor à la suite du congrès d’Épinay de 1971 qui installe François Mitterrand à sa tête.

    Si son histoire a connu de nombreux rebondissements, la fin du quinquennat de François Hollande (2012-2017) ouvre des failles profondes qui ne sont toujours pas refermées.

    Slate - Comment le PS a-t-il pu couler à ce point?

    Avec un score de moins de 2% au premier tour de l'élection présidentielle, l'avenir du mouvement fondé en 1969 pourrait s'écrire en pointillé.

    Dix ans après l'accession de François Hollande à l'Élysée, le PS a réussi le tour de force d'être sous la barre des 2% et de se positionner loin derrière Jean Lassalle. Si le score de Benoit Hamon avait pu surprendre quelques-uns, la déroute d'Anne Hidalgo en 2022 n'a plus grand-chose d'une surprise.

    Un an auparavant, les élections régionales avaient pourtant nourri l'espoir des socialistes que leur parti était encore vivant. Avec cinq régions remportées à dix mois de la présidentielle, le PS bombait le torse. «Les élections locales ont donné l'illusion que c'était un parti de premier plan, explique Rémi Lefebvre, politologue auteur de Faut-il désespérer de la gauche. Mais il y a eu une prime au sortant et une abstention élevée, donc c'était un trompe-l'œil.»

    La Licra appelle à voter Emmanuel Macron

    Au terme du premier tour de l’élection présidentielle, la Licra s’alarme d’une configuration électorale qui rend possible une victoire de l’extrême droite au second tour, le 24 avril 2022.

    Le score du Rassemblement national, renforcé par l’appel d’Éric Zemmour à ses électeurs à reporter leurs voix sur la candidature de Marine Le Pen, annonce d’ores et déjà une situation où, quelle que soit l’issue du scrutin, l’extrême droite pèsera d’un poids inédit dans le paysage politique français. La Licra prend acte de cette réalité et appelle expressément à en limiter la portée délétère.

    France Info - Résultats présidentielle 2022 : Anne Hidalgo et le Parti socialiste balayés au premier tour, après sept mois de calvaire

    Avec 1,75% des voix, la maire de Paris réalise le pire score de l'histoire de son parti à l'élection présidentielle, plus de quatre points en dessous de la cinglante défaite de 2017. Un échec logique après une campagne qui n'a jamais décollé.

    La défaite était attendue. Anne Hidalgo, qui ne recueille que 1,75% des voix, selon les résultats définitifs fournis à la mi-journée lundi par le ministère de l'Intérieur, échoue au premier tour de l'élection présidentielle 2022. Avec ce score, le Parti socialiste (PS) tombe encore plus bas que lors de la défaite – déjà retentissante – de 2017, où Benoît Hamon avait rassemblé 6,36% des suffrages. Pour la maire de Paris, c'est la fin d'une longue et douloureuse campagne qui n'a jamais pris.

    The Conversation - La France insoumise pourra-t-elle s’inscrire dans la durée ?

    Le score de Jean-Luc Mélenchon le plaçant à la troisième place au premier tour du scrutin présidentiel d’avril 2022 constitue l’aboutissement d’une troisième campagne efficace du leader de la gauche radicale française, bien plus qu’une dynamique de fond datant du lancement de la France Insoumise.

    Comprendre l’état actuel de cette structure politique implique une évaluation de ses atouts dans la recomposition du paysage politique national, comme des limites rencontrées au cours des six années passées depuis sa fondation.

    Le Parisien - Présidentielle : Jean-Luc Mélenchon bientôt patron d’une fondation politique

    INFO LE PARISIEN. Arrivé troisième du premier tour de l’élection présidentielle dimanche, le leader de la France insoumise doit prendre « dès cet automne » la direction de la fondation La Boétie.

    « Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux ». Cette citation d’Étienne de La Boétie est l’une des préférées de Jean-Luc Mélenchon. Et cela tombe bien, puisque la figure de proue de La France insoumise - arrivée troisième du premier tour de la présidentielle dimanche avec 21,95 % des voix - doit, selon nos informations, prendre le pilotage dès « cet automne » de l’Institut La Boétie, qui va devenir une fondation politique.

    France Info - Présidentielle : pourquoi Yannick Jadot et les écologistes se sont encore heurtés "au plafond de Verts"

    Avec 4,63% des voix, EELV a signé dimanche un score très éloigné des ambitions de victoire et de domination à gauche du parti écologiste.

    Les Verts n'étaient pas encore assez mûrs. Le candidat écologiste, Yannick Jadot, a été éliminé dès le premier tour de l'élection présidentielle, dimanche 10 avril, en recueillant 4,63% des suffrages exprimés, selon les résultats définitifs communiqués par le ministère de l'Intérieur.

    France Info - Présidentielle 2022 : Anne Hidalgo aura "une fin de mandat extrêmement compliquée" en tant que maire de Paris, selon ses opposants

    Après sa déroute à la présidentielle, les opposants parisiens prédisent une fin de mandat agitée à Anne Hidalgo. La maire de Paris n'a récolté que 1,75% des suffrages au premier tour, et seulement 2,17% des voix dans la capital

    "Un vote sanction", "un désaveu sévère"… Le retour aux affaires sera difficile pour la maire de la capitale, Anne Hidalgo, après sa lourde défaite à la présidentielle, selon ses opposants au conseil de Paris, interrogés par France Bleu Paris. Dans sa ville, la socialiste a en effet récolté 2,17% des voix, au premier tour, dimanche 10 avril. À peine mieux qu'au niveau national, ou elle a obtenu 1,75% des suffrages, soit le plus bas score jamais enregistré par le Parti socialiste pour une présidentielle.

    Marianne - "On s’est fait siphonner par Meluch" : chez Jadot, le "vote utile LFI" ne passe pas

    Avec moins de 5 % des suffrages au premier tour de la présidentielle, la candidature écologiste portée par Yannick Jadot (EELV) pour les élections présidentielles fait un score plus faible que celui promis par les derniers sondages. La faute, glisse-t-on dans les rangs des militants, à l’appel au vote utile lancé par le candidat de La France Insoumise (LFI) Jean-Luc Mélenchon.

    Europe 1 - Qui pour succéder à Jean-Luc Mélenchon à la tête de l’Union Populaire ?

    Jean-Luc Mélenchon perd pour la troisième fois une élection présidentielle. Jamais le candidat insoumis n’a été aussi proche du second tour, malheureux troisième de cette course présidentielle. À 71 ans Jean-Luc Mélenchon n’a pas encore officiellement mis fin à sa carrière politique, mais sa succession se prépare.

    Marianne - Présidentielle : après les 1,7 % de Hidalgo, ces socialistes qui tapent sur… Mélenchon

    Au pied du mur, le Parti Socialiste (PS) se projette déjà dans la perspective d’une union de la gauche pour les législatives… mais pas nécessairement avec Jean-Luc Mélenchon. Dès ce dimanche soir, certains lieutenants socialistes n’ont pas manqué d’envoyer quelques piques au leader insoumis qu’ils accusent d'avoir nui au rassemblement pendant cinq ans.

    La déclaration d'Anne Hidalgo

    La déclaration d'Olivier Faure

    Le Monde - Les résultats du premier tour de la présidentielle 2022

    Estimations Ipsos Steria pour France Télévisions, Radio France, France24/RFI/MCD, Public Sénat/LCP Assemblée Nationale et Le Parisien-Aujourd'hui en France 

    20 minutes - Législatives : Olivier Faure et des élus socialistes appellent à l’union des forces de gauche après la déroute d’Anne Hidalgo

    C’est un constat d’échec. De nombreux élus socialistes, dont le premier secrétaire Olivier Faure et plusieurs maires membres de l’équipe de campagne d’Anne Hidalgo, ont appelé dimanche soir à une « union des forces de gauche » aux législatives, après la défaite historique d’Anne Hidalgo à la présidentielle, avec environ 2 % des voix.

    « Je lance ce soir un appel solennel aux forces de gauche et écologiques, aux forces sociales, aux citoyennes et citoyens prêts à s’engager afin de construire ensemble pour les élections législatives un pacte pour la justice sociale et écologique », a notamment déclaré Olivier Faure sur les réseaux sociaux.

    Huffington Post - Le résultat d'Anne Hidalgo signe une déroute historique du PS

    La maire de Paris, candidate du Parti socialiste pour l'élection présidentielle 2022 enregistre un score historiquement bas.

    La rose est fanée, le poing baissé. Le Parti socialiste enregistre, avec Anne Hidalgo comme candidate, son pire score à une élection présidentielle. La maire de Paris, dont la campagne a viré au chemin de croix, récolte environ 2% des voix ce dimanche 10 avril, selon l’estimation Ifop pour TF1 et LCI. 

    BFM - Résultats présidentielle: Anne Hidalgo obtient 1,9% des voix et termine 9e du premier tour

    La candidate du Parti socialiste réalise sans surprise un score au plus bas. Elle n'atteint même pas la barre des 5%, contrairement à Benoît Hamon en 2017, dont la faible performance amorçait déjà l'enlisement du parti historique

    Libé - Résultats de la présidentielle 2022: avec 20,1% des voix, Jean-Luc Mélenchon rate un nouveau coche

    Pour sa troisième campagne, le leader insoumis a amélioré son score de 2017. Sans parvenir à élargir assez le «trou de souris» vers la finale.

    BFM - Résultats présidentielle: Fabien Roussel obtient 2,4% des voix et termine 8e du premier tour

    Pour sa première élection présidentielle, le candidat PCF Fabien Roussel a récolté 2,4% des voix et termine à la 8e place, loin derrière son rival Jean-Luc Mélenchon. Mais avec un score plus élevé que la dernière candidature communiste en solo, celle de Marie-George Buffet en 2007.

    BFM - Résultats présidentielle: Yannick Jadot obtient 4,4% des voix et termine 6e du premier tour

    Le résultat est décevant pour le candidat écologiste Yannick Jadot. Distancé par Jean-Luc Mélenchon, il obtient au premier tour un score proche de celui qu'avait réalisé le socialiste Benoît Hamon qu'il avait choisi de rejoindre lors de la présidentielle de 2017.

  • Le Vent se lève - Cette gauche qui n’en finit pas de mourir

    La sanction est tombée : Yannick Jadot n’a pas atteint le seuil des 5% de voix permettant le remboursement des frais de campagne et en est réduit à quémander des dons. Anne Hidalgo réussit l’exploit de diviser le score de Benoît Hamon par trois, à 1,74%, faisant découvrir au parti de François Hollande de nouveaux abysses. Il ne s’agit nullement d’un accident mais de l’aboutissement d’un processus de long terme. Pris en tenaille entre la radicalisation du bloc élitaire – qui s’est massivement tourné vers Emmanuel Macron – et la lassitude des classes populaires, ces deux partis ont peiné à exister ces derniers mois. Vestiges d’une époque où la polarisation de la société française n’avait pas atteint de tels degrés, le Parti socialiste (PS) et Europe Écologie Les Verts (EELV) semblent condamnés à se replier sur leurs bastions locaux et à abandonner toute ambition nationale.

    Lire la suite
    ____________________
    ____________________

  • La revue de presse du 8 au 14 avril

    Les gauches entre deux tours (mise à jour du 19 avril)

    LA GAUCHE

    Frédéric Sawicki - La gauche victime de ses divisions idéologiques mais aussi de la présidentialisation

    Le 29 mars dernier après un débat sur le plateau de Mediapart, j’ai été interpellé pour être sorti de mon rôle de chercheur en expliquant pourquoi, à cause de ses positions sur la guerre en Ukraine, je ne pouvais voter Mélenchon. Je m'efforce ici de dépersonnaliser le débat en montrant que la gauche est aussi victime du système politique présidentialiste qui pousse à attiser les différences.

    À gauche, la campagne présidentielle, après avoir débuté en décembre-janvier comme un vaudeville, avec le retrait de la candidature d’Arnaud Montebourg, la volte-face d’Anne Hidalgo vis-à-vis de sa participation à la primaire populaire et la candidature surprise de Christiane Taubira, a viré au psychodrame depuis le début de la guerre en Ukraine. 

    L'HERITAGE

    Le vent se lève - Taxation de l’héritage : le retour d’un clivage de classes

    Suite à plusieurs rapports d’économistes et à des propositions politiques venues de la gauche, le débat sur la taxation de l’héritage a été propulsé sur le devant de la scène à l’occasion des présidentielles. Tous les principaux candidats ont pris position sur la question et un véritable clivage de classes apparaît nettement. D’un côté, les partis libéraux – LREM en tête – utilisent la méconnaissance des Français sur la question pour le présenter comme un impôt confiscatoire. De l’autre côté, leurs adversaires avancent des propositions pour diminuer les inégalités de patrimoine en taxant les plus grosses successions, tout en améliorant la situation de l’immense majorité des Français.

    LA DEMOCRATIE

    The Conversation - Contre l’impuissance citoyenne, penser une démocratie de crise ?

    Cette campagne présidentielle s’est engagée dans les impasses propres aux démocraties contemporaines face aux crises multiples qui se succèdent : l’impossibilité d’un débat contradictoire, la promotion de figures d’autorité et la valorisation de l’efficacité au détriment de la vitalité démocratique, à savoir une manière d’habiter, ensemble, le monde.

    L’absence de débats médiatiques n’est que l’arbre qui cache la forêt, et il serait vain de ne critiquer ici que les candidats – dont certains ne souhaitent pas entrer dans l’arène, comme Emmanuel Macron qui n’a pas souhaité participer à l’émission « Élysée 2022 » –, les médias – qui peinent à organiser des débats entre les candidats, à l’image d’« Élysée 2022 », toujours, qui les fait se succéder sur le plateau mais jamais dialoguer entre eux –, ou même les partis politiques – qui proposent des solutions parfois trop simplistes et, pourtant, peinent à dessiner des options idéologiques claires.

    L'INFLATION

    OFCE - Faire face à l’inflation : un défi structurel par Jean-Luc Gaffard et Francesco Saraceno

    Introduction

    En février 2022 le taux d’inflation annuel (mesuré par les données mensuelles de l’IPCH) a été aux États-Unis de 7,9%, en Grande-Bretagne de 5,4%, en zone euro de 5,8%, en Allemagne de 5,5%, en Espagne de 7,5%, en France de 4,1%, en Italie de 6,2%, aux Pays-Bas de 7,2%. Ces tensions, qui ont pu être jugées temporaires, pourraient d’autant plus facilement perdurer que, en conséquence de la guerre en Ukraine, de fortes et nouvelles hausses de prix interviennent sur les marchés de matières premières et de produits agricoles qui devraient largement se propager aux autres secteurs de l’économie.

    GRATUITE DES TRANSPORTS EN COMMUN

    The Conversation - L’effet limité de la gratuité des transports en commun sur la pression automobile

    La gratuité des transports publics est une proposition politique récurrente. Elle est généralement présentée comme susceptible d’atteindre des objectifs à la fois écologiques et sociaux.

    En 2018, Anne Hidalgo a envisagé de rendre les transports en commun gratuits à Paris pour lutter contre la pression automobile. Aux élections régionales de 2021, France Inter avait identifié une bonne douzaine de candidats de la gauche qui portaient des propositions similaires.

    LES INEGALITES

    Observatoire des inégalités - Les femmes ne sont pas plus discriminées à l’embauche que les hommes

    Données 7 avril 2022

    À profil comparable, femmes et hommes obtiennent le même taux de réponse de la part des recruteurs, selon un testing récent. Les candidates sont même plutôt favorisées quand il s’agit d’embaucher des cadres.

    En moyenne, un tiers des femmes, mais aussi des hommes, font l’objet de l’intérêt d’un recruteur suite à une candidature en réponse à une offre d’emploi, selon un testing réalisé entre 2019 et 2021 par l’Institut des politiques publiques (IPP) et le bureau d’études ISM-Corum [1]. Selon l’étude, il n’existe pas, en moyenne, de discrimination particulière à l’encontre de l’un ou l’autre sexe lors de la première phase d’un recrutement. Le taux de réponse négative est également de même niveau (17 %) qu’il s’agisse de la candidature d’une femme ou d’un homme.

    Observatoire des inégalités - Les maladies professionnelles touchent les moins qualifiés

    Données 12 avril 2022

    Le nombre de patients souffrant de maladies professionnelles reconnues est 17 fois plus élevé chez les ouvriers que chez les cadres. Les femmes des catégories populaires sont particulièrement touchées par les troubles musculosquelettiques.

    Les maladies professionnelles [1] frappent avant tout les milieux populaires, les ouvriers et les employés. Sur 50 744 cas recensés par le ministère du Travail [2] en 2016 (dernière année disponible), plus des deux tiers affectent des ouvriers. 21 % touchent des employés, tandis que seulement 2 % concernent des professions intermédiaires et 4 % des cadres supérieurs et chefs d’entreprise.

    La Vie des idées - La revanche d’Inès : sortir de la pauvreté et combattre les inégalités

    Inès est cheffe de service d’un centre d’hébergement dédié à l’accueil des femmes sans domicile. Sa propre expérience de la pauvreté a fait naître en elle un sentiment de révolte sur lequel elle s’appuie pour motiver son engagement.

    Inès a 43 ans. Elle est cheffe de service d’un centre d’hébergement, le Foyer des femmes, qui accueille une soixantaine de femmes sans domicile isolées et quelques couples en leur proposant un accompagnement social global. Le Foyer des femmes est un lieu un peu particulier dans le paysage de la prise en charge de la précarité et de l’exclusion. Tout d’abord parce qu’il accueille des femmes depuis le début des années 1990 et que ce type de structure, dédié aux femmes, est relativement rare dans le secteur de la lutte contre les exclusions . Ensuite parce que contrairement à beaucoup d’autres structures d’hébergement collectives, les personnes accueillies préparent à tour de rôle les repas pour l’ensemble des résidentes.

    ENERGIES

    Reporterre - Iberdrola, les mains sales de l’énergie « propre »

    Splann !, média breton d’investigation, publie ce mardi 29 mars une enquête consacrée à Iberdrola, leader mondial de l’électricité éolienne. En 2012, cette multinationale espagnole a obtenu le marché public du parc éolien en baie de Saint-Brieuc, un projet vivement contesté.

    « Iberdrola, quand l’énergie “propre” a les mains sales. » Tel est le titre de la longue enquête publiée ce mardi 29 mars par Splann !, ONG bretonne dédiée à l’investigation journalistique en Bretagne. L’équipe de journalistes, déjà autrice en juin 2021 de plusieurs articles sur la pollution à l’ammoniac dans la région, s’est penchée cette fois-ci sur les activités d’Iberdrola en Amérique latine. La multinationale espagnole est une des plus grandes productrices d’énergie solaire et hydraulique dans le monde. Mais ses agissements en Amérique latine ont des conséquences néfastes, tant sur les populations que sur l’environnement.

    LFI

    La Croix - Chez LFI, la difficile équation de la succession de Mélenchon

    La confirmation que Jean-Luc Mélenchon ne se représenterait pas à la présidentielle en 2027 pose la question délicate et pour certains "prématurée" de sa succession, au sein d'une France insoumise confortée à gauche par son gros score du premier tour.

    L'aura de Jean-Luc Mélenchon, déjà écrasante dans un mouvement qu'il a créé et fait grandir, a encore progressé en obtenant 21,95% des voix dimanche, frôlant la qualification au second tour.

    PRESIDENTIELLE

    La Provence - Législatives : LFI veut un "regroupement" autour du programme de Mélenchon

    La France insoumise est favorable à des discussions avec les autres partis de gauche pour les législatives, mais à condition que le "regroupement se fasse autour du programme porté par Jean-Luc Mélenchon" et à la proportionnelle des résultats du premier tour de la présidentielle, a indiqué mercredi Manuel Bompard.

    "On est favorable à faire en sorte qu'il puisse y avoir éventuellement un regroupement autour du programme qui a été porté par Jean-Luc Mélenchon à l'élection présidentielle et autour des résultats tels qu'ils ont été choisis par les électeurs au premier tour", a expliqué sur franceinfo l'ancien directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon.

    Ouest-France - Parti socialiste : « Nous n’avons collectivement pas assez travaillé », reconnaît Carole Delga

    La présidente de la région Occitanie, Carole Delga, qui fut la mieux réélue des présidents de régions socialistes en 2021, prendra une part active à la reconstruction du parti. « Au boulot », dit-elle, consciente cependant des obstacles à franchir, parmi lesquels « la bataille des ego ». La reconstruction peut se faire « à partir des territoires » où le PS reste implanté, veut croire l’élue

    Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, et des élus du parti ont appelé à l’union des forces de gauche et des écologistes, dans la foulée d’une débâcle historique à l’élection présidentielle. Présidente de la région Occitanie, Carole Delga veut croire que l’ancrage territorial du parti aidera à sa reconstruction. Entretien.

    The Conversation - Un effondrement socialiste qui vient de loin,  Mathieu FullaAgrégé et docteur en histoire, membre permanent du Centre d’histoire de Sciences Po (CHSP), Sciences Po

    Le score de 1,72 % de suffrages exprimés en faveur d’Anne Hidalgo, candidate du Parti socialiste, lors du premier tour de l’élection présidentielle 2022, marque sans ambiguïté l’effondrement de l’une des plus vieilles organisations partisanes de France, héritière de la Section française de l’Internationale ouvrière (SFIO) fondée en 1905 sous l’impulsion de Jean Jaurès et de Jules Guesde. [Refondé en 1969], le Parti socialiste a pris son essor à la suite du congrès d’Épinay de 1971 qui installe François Mitterrand à sa tête.

    Si son histoire a connu de nombreux rebondissements, la fin du quinquennat de François Hollande (2012-2017) ouvre des failles profondes qui ne sont toujours pas refermées.

    Slate - Comment le PS a-t-il pu couler à ce point?

    Avec un score de moins de 2% au premier tour de l'élection présidentielle, l'avenir du mouvement fondé en 1969 pourrait s'écrire en pointillé.

    Dix ans après l'accession de François Hollande à l'Élysée, le PS a réussi le tour de force d'être sous la barre des 2% et de se positionner loin derrière Jean Lassalle. Si le score de Benoit Hamon avait pu surprendre quelques-uns, la déroute d'Anne Hidalgo en 2022 n'a plus grand-chose d'une surprise.

    Un an auparavant, les élections régionales avaient pourtant nourri l'espoir des socialistes que leur parti était encore vivant. Avec cinq régions remportées à dix mois de la présidentielle, le PS bombait le torse. «Les élections locales ont donné l'illusion que c'était un parti de premier plan, explique Rémi Lefebvre, politologue auteur de Faut-il désespérer de la gauche. Mais il y a eu une prime au sortant et une abstention élevée, donc c'était un trompe-l'œil.»

    Charlie Hebdo - Emmanuel Macron saura-t-il trouver le peuple ? Jacques Littauer

    Porté au second tour par les cadres et les retraités, Emmanuel Macron déroule un programme antisocial qui rend le résultat de l’élection très incertain.

    Les résultats d’hier sont clairs : Emmanuel Macron a reçu les suffrages des cadres et des retraités. À l’inverse, Marine Le Pen est arrivée première chez les ouvriers et les employés. Elle est également deuxième, derrière Jean-Luc Mélenchon, chez les 18–24 ans, tandis que la moitié (!) des 25–34 ans se sont abstenus.

    La Licra appelle à voter Emmanuel Macron

    Au terme du premier tour de l’élection présidentielle, la Licra s’alarme d’une configuration électorale qui rend possible une victoire de l’extrême droite au second tour, le 24 avril 2022.

    Le score du Rassemblement national, renforcé par l’appel d’Éric Zemmour à ses électeurs à reporter leurs voix sur la candidature de Marine Le Pen, annonce d’ores et déjà une situation où, quelle que soit l’issue du scrutin, l’extrême droite pèsera d’un poids inédit dans le paysage politique français. La Licra prend acte de cette réalité et appelle expressément à en limiter la portée délétère.

    France Info - Résultats présidentielle 2022 : Anne Hidalgo et le Parti socialiste balayés au premier tour, après sept mois de calvaire

    Avec 1,75% des voix, la maire de Paris réalise le pire score de l'histoire de son parti à l'élection présidentielle, plus de quatre points en dessous de la cinglante défaite de 2017. Un échec logique après une campagne qui n'a jamais décollé.

    La défaite était attendue. Anne Hidalgo, qui ne recueille que 1,75% des voix, selon les résultats définitifs fournis à la mi-journée lundi par le ministère de l'Intérieur, échoue au premier tour de l'élection présidentielle 2022. Avec ce score, le Parti socialiste (PS) tombe encore plus bas que lors de la défaite – déjà retentissante – de 2017, où Benoît Hamon avait rassemblé 6,36% des suffrages. Pour la maire de Paris, c'est la fin d'une longue et douloureuse campagne qui n'a jamais pris.

    The Conversation - La France insoumise pourra-t-elle s’inscrire dans la durée ?

    Le score de Jean-Luc Mélenchon le plaçant à la troisième place au premier tour du scrutin présidentiel d’avril 2022 constitue l’aboutissement d’une troisième campagne efficace du leader de la gauche radicale française, bien plus qu’une dynamique de fond datant du lancement de la France Insoumise.

    Comprendre l’état actuel de cette structure politique implique une évaluation de ses atouts dans la recomposition du paysage politique national, comme des limites rencontrées au cours des six années passées depuis sa fondation.

    La Vie des idées - Les temps de la politique

    Si l’élection présidentielle participe d’une accélération du temps politique, ce n’est pas à l’image des diverses temporalités de l’action publique. Dans les démocraties représentatives, le temps est souvent un acteur invisible que les élus tentent, avec plus ou moins de succès, de maîtriser.

    Je pense qu’on ne s’engage pas en politique si l’on n’a pas un certain rapport au temps. […] On a une fonction à la fois symbolique d’impulsion, de gardien du temps et donc des accélérations nécessaires.

    C’est Emmanuel Macron qui s’exprime ainsi face aux horloges de l’Élysée et aux téléspectateurs de France 2, le 17 décembre 2017, révélant combien, à l’image du Président de la République française, les personnalités politiques sont littéralement « obsédées par le rapport au temps ». Renvoyant à la fois à une donnée physique, cosmique et objective, à des représentations cycliques, linéaires ou historiques et à des vécus éminemment subjectifs (dilatation, élasticité...), le « temps » est compris ici comme une construction sociale partagée et organisée dans des outils de synchronisation (calendriers, agendas…).

    Fondation Jean Jaurès - Agendas médiatique, politique et d’opinion : le grand « désalignement »

    À quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, un premier bilan peut être fait quant aux « lieux » où s’est déroulée la campagne. Les réseaux sociaux s’imposent logiquement comme l’un de ceux-là, mettant parfois en lumière le décalage entre préoccupations réelles et préoccupations virtuelles. Christelle Craplet, directrice du projet « Présidentielle 2022 – BVA », et Anthony Dos Santos Boccard, associé fondateur du cabinet Uptowns, analysent ce « grand écart ».

    Il y a quelques mois, une enquête BVA s’intéressait à la manière dont les réseaux sociaux s’imposaient comme les nouveaux territoires de l’engagement1. Pour près d’un jeune de dix-huit à vingt-quatre ans sur deux (49%), mais aussi plus d’un Français sur trois (35%), les réseaux sociaux constituaient alors le lieu le plus efficace de l’engagement lorsqu’on veut partager une opinion, une conviction ou un sujet de préoccupation, ou encore s’engager pour une cause. Par comparaison, l’engagement dans un parti politique n’était jugé efficace que par 9% des Français.

  • La revue de presse du 1er au 8 avril

    LES INEGALITES

    Observatoire des inégalités - Que faire pour réduire les inégalités ?

    Propositions 4 avril 2022

    Pour réduire les inégalités, commençons par faire respecter l’égalité des droits. Luttons pour plus de justice à l’école ou dans l’entreprise. Modernisons les services publics. Redistribuons mieux, en réformant la protection sociale et les impôts. Le point de vue de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.

    Réduire les inégalités, c’est possible. Bientôt 20 années de travail de collecte et d’analyse de données par l’Observatoire des inégalités nous permettent de formuler quelques propositions, qui nous semblent à même de réunir une majorité assez large [1]. Le débat public est submergé par des radicaux qui hurlent le plus fort possible pour faire de l’audience via les réseaux sociaux, médiatisés par des journalistes ivres de notifications. Ces dérives nous empêchent de débattre des politiques publiques justes et adaptées aux besoins du plus grand nombre. Comment s’y prendre ?

    Observatoire des inégalités - L’origine sociale des élus ne reflète pas la société, même au niveau local

    Données 29 mars 2022

    Près de deux tiers des conseillers régionaux sont des cadres supérieurs, 1 % des ouvriers. Les catégories sociales les plus favorisées, pourtant les moins représentatives de la société française, accaparent les instances de la vie politique, notamment locale.

    Les cadres supérieurs représentent 61 % des conseillers régionaux, plus de la moitié (55 %) des conseillers départementaux, 42 % des conseillers communautaires et 28 % des conseillers municipaux, alors que leur part dans la population est d’à peine 20 %, selon les données 2021 du ministère de l’Intérieur. Les artisans, commerçants et chefs d’entreprise, le plus souvent des non-salariés, sont également beaucoup plus représentés dans les instances politiques locales que leur part dans la population (6,5 %), en particulier au sein des conseils régionaux (12,4 %). Les agriculteurs exploitants forment 1 % de la population mais 10,7 % des conseillers municipaux, notamment en raison du nombre très important de communes rurales.

    Données 25 mars 2022

    La moitié de l’humanité vit avec moins de 558 euros par adulte et par mois, souvent avec beaucoup moins. Les 10 % les plus riches gagnent plus de 3 100 euros, voire beaucoup plus. À eux seuls, ces derniers reçoivent plus de la moitié des revenus mondiaux.

    La moitié la plus pauvre de l’humanité reçoit seulement 8 % de l’ensemble des revenus mondiaux, tandis que les 10 % les plus riches en perçoivent plus de la moitié, selon le World Inequality Database (WID) pour 2021 [1]. Le 1 % du sommet capte à lui seul 19 % de l’ensemble des revenus mondiaux. À l’échelle de la planète, les inégalités de revenus sont immenses.

    LE CLIMAT

    France Info - Réchauffement climatique : "Il n'y a pas beaucoup de candidats à la présidentielle irréprochables dans leur compréhension du problème", constate Jean-Marc Jancovici

    En collaboration avec Les Shifters, une association de bénévoles liée au groupe de réflexion The Shift Project, franceinfo publie une analyse des programmes des candidats au regard des objectifs climatiques de la France. Trois Shifters et le consultant et ingénieur Jean-Marc Jancovici font le bilan de ce travail.

    Les programmes des candidats à la présidentielle 2022 sont-ils compatibles avec l'accord de Paris ? Alors que le réchauffement climatique s'intensifie, c'est la question à laquelle franceinfo a voulu répondre, en collaboration avec Les Shifters, une association de bénévoles liée au groupe de réflexion The Shift Project, fondé par le membre du Haut Conseil pour le climat Jean-Marc Jancovici. Chacun des douze programmes a été analysé en détails. Comment ont-ils travaillé ? Quels sont les principaux enseignements de cette analyse ? Trois Shifters et Jean-Marc Jancovici détaillent leur démarche et dressent un premier bilan sur franceinfo.

    The Conversation, Céline Givarch - Rapport du GIEC : diviser les émissions de gaz à effet de serre par deux d’ici à 2030, c’est possible

    Clôturant la trilogie ouverte en août 2021 – avec son rapport sur la « science du changement climatique » suivi en mars 2022 par celui sur les « impacts et adaptation » –, le GIEC (Groupement intergouvernemental sur l’étude du climat) rend public ce lundi 4 avril 2022 son nouveau rapport sur l’« atténuation ».

    Initiée en 2018, cette somme signée par 278 scientifiques du monde entier dresse l’état des connaissances scientifiques sur les options de réduction des émissions (« l’atténuation » du titre) de gaz à effet de serre.

    L’ouvrage s’ouvre sur le bilan des émissions passées et présentes et les perspectives d’émissions futures. Il balaie ensuite les options de réduction des émissions par grands secteurs ou systèmes, avec une attention particulière portée à la demande et à la capture du carbone. 

    France Info - DIRECT. Réchauffement climatique : les experts du Giec publient le dernier volet de leur rapport sur les solutions à apporter à la crise

    Les experts climat de l'ONU publient lundi leur éventail de scénarios pour limiter le réchauffement et ses impacts déjà dévastateurs.

    Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) rend public, lundi 4 avril, le troisième volet de son sixième rapport. Après un premier document sur l'évolution du climat et un deuxième sur les conséquences sur les sociétés et la biodiversité, celui-ci est consacré aux moyens de limiter le réchauffement climatique et ses impacts déjà dévastateurs. Posez vos questions à franceinfo dans ce direct et suivez les réactions après sa publication.

    Le Monde - Rapport du GIEC : une publication imminente après d’intenses négociations

    Les blocages ont porté sur la sortie des énergies fossiles, la finance, le rôle des technologies ou les questions d’équité.... Cet opus constitue le troisième et dernier volet de son sixième rapport d’évaluation, détaillant l’état des connaissances scientifiques sur le changement climatique. Le premier, publié en août 2021, a mis en lumière l’accélération sans précédent du réchauffement. Le deuxième, fin février, a décrit ses effets toujours plus ravageurs, généralisés et désormais souvent irréversibles sur la population et les écosystèmes. Le troisième rapport détaille l’éventail des solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.

    Institut Rousseau - 2% pour 2°C !Les investissements publics et privés nécessaires pour atteindre la neutralité carbone de la France en 2050

    Résumé exécutif du rapport 2 % pour 2°C : Les investissements publics et privés nécessaires pour atteindre la neutralité carbone de la France en 2050. La conférence de présentation du rapport peut-être visionnée entièrement sur notre chaîne YouTube. Le rapport complet est disponible en téléchargement.

    Au cours des dernières années, nous avons fixé des objectifs ambitieux pour le climat. Nous avons multiplié les accords internationaux, les lois et les stratégies nationales. Mais les résultats ne suivent pas : nos émissions baissent trop lentement. Une des causes principales de cet échec est que la reconstruction écologique de nos sociétés se heurte au mur de l’argent. Or, atteindre la neutralité carbone suppose, certains y verront un paradoxe au regard de l’impératif de sobriété, de nombreux investissements.

    Reporterre - Comment faire face au changement climatique ? Le Giec va livrer ses solutions

    Comment lutter efficacement contre le changement climatique ? Des chercheurs du monde entier, après avoir exploré la littérature scientifique, proposent une palette de réponses qui sera publiée lundi 4 avril.

    Comment réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre ? Durant cinq ans, le groupe de travail n° 3 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) a exploré une palette de solutions pour y parvenir. Les scientifiques dévoileront leurs résultats dans un rapport qui sera publié ce lundi 4 avril.

    LE CHOMAGE

    Le vent se lève - Baisse du chômage : la fausse victoire d’Emmanuel Macron

    Si le chômage a récemment diminué, cela s’est fait en contrepartie d’une précarisation croissante de l’emploi. L’intérim, l’auto-entrepreneuriat uberisé et l’apprentissage sont en effet les domaines qui recrutent le plus. Pour les partisans d’Emmanuel Macron, les politiques de libéralisation du monde du travail doivent être poursuivies durant un nouveau quinquennat, comme en témoignent les annonces sur l’assurance chômage et le conditionnement du RSA. Le développement de l’apprentissage, qui a joué un rôle essentiel dans la réduction du chômage risque par ailleurs de prendre fin dès l’année prochaine. Au « quoi qu’il en coûte » succédera l’austérité, qui mettra en danger les fragiles avancées obtenues en la matière. Concilier plein-emploi et protection des salariés est pourtant possible, à condition de lancer des politiques keynésiennes et d’instaurer une garantie d’emploi.

    L'ENERGIE

    IDDRI - Sortir de la dépendance au gaz naturel russe : quelles stratégies pour l’UE et la France ?

    Ce Document de propositions propose une lecture des enjeux à court et long termes des mesures permettant de limiter la dépendance aux importations russes de gaz naturel. Le principal défi reste la mise en oeuvre accélérée des politiques climatiques, qui ne doivent pas être éclipsées par des mesures prises dans l’urgence et à l’effet transitoire. En réponse à l’impact social de la crise actuelle, il s’agit également d’accompagner les ménages et les entreprises pour lesquels le coût de l’énergie devient de plus en plus difficile à supporter.

    MCKINSEY

    Le Vent se lève - McKinseygate : vers la fin de la fonction publique ?

    Le scandale McKinsey est-il une simple affaire de conflits d’intérêts, ou l’aboutissement logique d’un quinquennat passé à démanteler l’État au profit du secteur privé ? Fraude fiscale, soupçons de corruption, coûts faramineux… Un rapport sénatorial au vitriol dénonce l’influence des cabinets de conseil au sein de l’État, qu’il décrit comme un « phénomène tentaculaire ». Riche d’enseignements, ce document laisse craindre le remplacement progressif du fonctionnariat par des pratiques de consulting.

    LE POUVOIR

    La Vie des Idées - Les cabinets ministériels : la zone grise du pouvoir

    Au sein des ministères, les cabinets nourrissent de nombreux fantasmes, entre opacité de leur rôle et toute-puissance des énarques. Institution pluriséculaire au cœur du pouvoir politico-administratif, leur composition s’est pourtant diversifiée et féminisée au cours du temps.

    Les cabinets ministériels sont une institution coutumière et pluriséculaire. Ils apparaissent sous la Restauration et composent le secrétariat particulier du ministre. À ce titre, leurs membres sont chargés de préparer ses dossiers, ses discours, de faire des études, mais aussi des propositions. Sous la Ve République, ils ont vu leur rôle augmenter proportionnellement au renforcement considérable qu’a connu le pouvoir exécutif (Eymeri-Douzans, Bioy, Mouton, 2015). C’est dans ces lieux du pouvoir que se préparent désormais les lois et décrets, et cela dans le plus grand des secrets. L’opacité qui les entoure, de leur composition à la discrétion du ministre jusqu’à leur « influence », leur vaut une réputation sulfureuse : œuvrant dans l’ombre des ministres, ces entourages de conseiller.es seraient un bastion de « l’énarchie », une chasse gardée très masculine des grands corps de l’État (Conseil d’État, Cour des Comptes, Inspection générale des Finances, Mines et Ponts et Chaussées). Ces derniers, qui étaient à l’origine chargés de contrôler les services de l’État, sont en effet devenus des corps de direction. Étant donné la sélection sociale qui s’opère à l’entrée de ces grands corps, les cabinets seraient ainsi en grande partie responsables de la dérive technocratique de la Ve République et de la fracture croissante entre gouvernants et gouvernés, dont le mouvement des Gilets jaunes n’est qu’une manifestation parmi d’autres.

    UKRAINE

    Alternatives Economiques - Economie : qu’a-t-on appris depuis le début de la guerre en Ukraine ?

    Le monde d’après le monde d’après : encore plus que le covid, la guerre en Ukraine semble marquer une nouvelle ère, en partie parce qu’elle confirme certaines intuitions post-Covid.

    On perçoit notamment un ré-encastrement de l’économie dans le politique.

    Déjà, pour ceux qui en doutaient, le monde n’est pas plat. Les frontières politiques comptent : aujourd’hui, vos chaînes de production vont fonctionner ou non selon que votre fournisseur est en Ukraine ou en Pologne. Les industriels vont devoir tenir compte des risques-pays, ce qui ne sera pas en faveur des pays de l’Est hors-UE. Quid de l’Afrique ?  

    Le Vent se lève - Le capitalisme russe de nouveau dans l’impasse

    Comment la Russie en est-elle arrivée à attaquer un pays frère ? Si l’impérialisme ou la folie revancharde de Poutine sont souvent évoqués, les dynamiques de l’économie russe depuis la chute de l’URSS le sont beaucoup moins. Or, ces évolutions permettent de comprendre l’impasse dans laquelle se trouve le régime de Vladimir Poutine depuis environ une décennie. Si celui-ci a su rebâtir une économie forte, mais très inégalitaire, durant les années 2000, faisant oublier le désastre des années 1990, l’économie russe stagne depuis la crise de 2008. Dans un contexte d’insatisfaction croissante de la population, la fuite en avant nationaliste s’est avéré le seul moyen de maintenir le régime oligarchique en place. Texte de l’économiste Cédric Durand, auteur de Technoféodalisme. Critique de l’économie numérique (Zones, 2020), originellement publié par la New Left Review, traduit par Contretemps et édité par William Bouchardon.

    PS

    Le JDD - Présidentielle : un dîner secret entre Hidalgo, Hollande et Aubry ravive les tensions au Parti socialiste

    Au cours d’un dîner « secret » mercredi soir entre Anne Hidalgo, Martine Aubry, François Hollande et d’autres figures du Parti socialiste aurait abordé la recomposition de la gauche et du PS, sans convier son premier secrétaire, Olivier Faure. Révélé par Le Monde, ce dîner ne semble être que le dernier épisode d’une crise au sein des cadres du parti.

    Le Figaro - Anne Hidalgo organise un dîner secret au Sénat avec d'autres responsables socialistes

    Avec Martine Aubry, François Hollande et des plus jeunes comme Carole Delga ou Johanna Rolland, la candidate du PS tente de préparer l'après présidentielle. Le patron du PS, Olivier Faure, n'était pas invité et pas même au courant.

    Ils étaient moins d'une dizaine autour de la table ce mercredi soir à la questure du Sénat. À l'invitation d'Anne Hidalgo, avec le sénateur Patrick Kanner en organisateur, Martine Aubry, François Hollande, la présidente de la région Occitanie Carole Delga ou encore la maire de Nantes, Johanna Rolland, tous se sont retrouvés à un dîner confidentiel afin de décider des grandes lignes à lancer au PS et dans un mouvement plus large dans l'après-présidentielle.

    Europe 1 - Présidentielle : «C'est le moment de refonder le Parti socialiste», estime Patrick Mennucci

    Le porte-parole de la campagne présidentielle d'Anne Hidalgo, Patrick Mennucci, a estimé samedi au micro de Jean-Pierre Elkabbach que cette élection était "le moment de refonder le Parti socialiste" face aux nombreuses divisions. Avec Jean-Luc Mélenchon, "il y a eu un désaccord profond", a-t-il souligné.

    LA PRESIDENTIELLE

    Fondation Jean Jaurès - La cristallisation ne se fait plus que le jour du vote

    Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, tire un bilan de la campagne du premier tour en termes de mobilité électorale, grâce aux données de l’Enquête électorale française réalisée par Ipsos pour la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof et Le Monde dont la neuvième vague vient de sortir.

    L’élection présidentielle n’a pas encore livré tous ses secrets. Mais un premier bilan de cette campagne du premier tour peut déjà être dressé. Grâce au panel électoral, parce qu’il interroge les mêmes électeurs depuis le mois d’avril 2021, nous pouvons en effet mesurer et analyser la mobilité électorale – et sa face symétrique, la stabilité électorale. À l’heure de la déstructuration des clivages, de la montée de la société des individus, de la succession de crises majeures, la mobilité électorale est un phénomène majeur, en France comme dans beaucoup d’autres démocraties européennes. Il pourrait même s’agir d’un phénomène déterminant dans cette étrange campagne qui a cumulé offre électorale éclatée – accroissant encore les potentialités de changement d’intention de vote – et intérêt citoyen limité – suscitant des allers-retours entre volonté d’aller voter et tentation de l’abstention.

    Le Télégramme - À Brest, Olivier Faure l’assure : « Le PS est encore bien vivant »

    À trois jours du premier tour de la présidentielle, le premier secrétaire national du Parti socialiste, Olivier Faure, est venu tracter sur le marché de Bellevue, à Brest, ce jeudi matin. S’il sait la présidentielle perdue, le PS n’est pas encore mort, assure-t-il.

    Fondation Jean Jaurès - Maudits sondages

    Dans sa contribution d’une série réalisée en partenariat avec L’Hétairie, le constitutionnaliste Jean-Philippe Derosier, professeur de droit public à l’université de Lille et auteur du blog La Constitution décodée, propose d’interdire les sondages à l’approche des élections, afin de ne pas nuire au fonctionnement de la démocratie. 

    Seule la perspective de l’élection devrait faire les résultats des sondages et, pourtant, ce sont les sondages qui peuvent déterminer les résultats de l’élection en perspective.

    Avant le premier tour de la présidentielle, le podcast Libélysée revient sur les moments forts de la campagne de chaque candidat. Ce mercredi, au tour de la socialiste Anne Hidalgo.

    Libélysée revient sur les coulisses d’une candidature qui n’a jamais pris, sur l’attitude de celle qui a tenu bon et n’a jamais rien laissé transparaître, comme insensible aux pires sondages, à l’engouement de certains pour le retour de Christiane Taubira, comme aux rumeurs incessantes sur son «débranchage» par le PS. Depuis son 20 heures de TF1 le 8 décembre, la première campagne présidentielle de la maire de Paris est allée de mal en pis. Pourtant, à un moment, elle y a cru, comme vous pouvez l’entendre dans cet épisode spécial.

    Fondation Jean Jaurès - La dynamique Mélenchon

    À quelques jours du premier tour de l’élection présidentielle, Antoine Bristielle, directeur de l’Observatoire de l’opinion de la Fondation, et Laura Chazel, docteure en science politique, analysent la dynamique actuelle de la campagne de Jean-Luc Mélenchon.

    Le 21 mars dernier, le journal Libération consacrait sa une au « Printemps Mélenchon » en affichant une large photographie du leader de l’Union populaire lors de son meeting, qui suivait la « marche pour la VIe République » à laquelle plus de 100 000 personnes ont participé. Il est vrai qu’à moins de deux semaines du premier tour de l’élection présidentielle, la dynamique de Jean-Luc Mélenchon dans les intentions de vote est indéniable. Mesuré à 7,6% des intentions de vote en janvier dans notre enquête électorale menée par l’institut Ipsos, il est désormais donné à 13,6%, soit une augmentation impressionnante de 6 points en l’espace de quelques semaines.

    Charlie-Hebdo - Macron veut toujours nous coller une droite

    Samedi, lors de son unique grand meeting, Emmanuel Macron a essayé de s’adresser aux électeurs de gauche. Mais il méprise tellement les citoyens ordinaires qu’il n’a pas été capable de proposer une seule mesure en faveur des profs, des jeunes, des retraités, des smicards ou des banlieues.

    « Présidentielle : Emmanuel Macron met le cap à gauche » (Europe 1) ; « À une semaine du premier tour, Macron se rappelle au bon souvenir de la gauche » (Public Sénat) ; « À La Défense, Macron a fait du pied à la gauche » (L’Obs)… La presse est unanime : hier, Macron, c’était le Che.

    Une vaste plaisanterie due à une seule phrase à propos des Ehpads, selon laquelle « nos vies, leurs vies (celles de nos parents) valent plus que tous les profits ». Un copier-coller presque exact du slogan du NPA, qui a valu à Philippe Poutou de faire remarquer que Macron pourrait au moins respecter le droit d’auteur. C’est vrai que voir LREM verser des royalties au Nouveau Parti Anticapitaliste, ça aurait de la gueule.

    France Info - Présidentielle : Anne Hidalgo dénonce "l'impasse" Mélenchon, "le libéralisme inhumain" de Macron et "le chaos de l'extrême droite"

    La candidate du Parti socialiste, invitée des matins présidentiels de franceinfo, a plusieurs fois attaqué ses concurrents, Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon.

    "Emmanuel Macron n'est plus une option pour les gens de gauche (…) et Jean-Luc Mélenchon, c'est une impasse", a attaqué Anne Hidalgo, ce mardi sur franceinfo. La candidate socialiste à l'élection présidentielle a ainsi réaffirmé sa volonté de "convaincre les Françaises et les Français qu'il y a une gauche républicaine, laïque, écologique, sociale, européenne", qu'elle incarne, et qu'elle appelle à "se relever avec fierté".

    Le Monde - A Toulouse, l’espoir fait vivre Anne Hidalgo : c’est peut-être un détail pour vous…

    Mais pas pour Marc Beaugé. Le 26 mars, en terre favorable, la candidate socialiste et ses troupes ont jeté leurs dernières forces dans la bataille pour la présidentielle.

    En regardant cette photo, les optimistes se diront qu’Anne Hidalgo bénéficie de quelques supporteurs. Les pessimistes objecteront que s’ils sont tous là, sur scène, leur soutien ne pèsera pas lourd dans les urnes… Samedi, la candidate PS à la présidentielle était en meeting à Toulouse. Elle en a profité pour appeler à rebâtir l’école publique, reconstruire les hôpitaux, rétablir l’impôt sur la fortune, avant de demander à ses camarades de venir chanter la Marseillaise avec elle. Autour de la maire de Paris, ils étaient donc dix-sept. C’est déjà ça.

    Reporterre - Productivisme, innovation... l’agriculture vue par six candidats à la présidentielle

    Six candidats à la présidentielle ont participé le 30 mars au grand oral de l’agriculture, en répondant aux questions du Conseil de l’agriculture française. Tous ont présenté leur vision, sans remettre en cause la logique productiviste du secteur.

    Que ferez-vous pour l’agriculture ces cinq prochaines années ? Voici la question à laquelle ont répondu six candidats à l’élection présidentielle mercredi 30 mars au matin. Fabien Roussel (Parti communiste), Marine Le Pen (Rassemblement national), Valérie Pécresse (Les Républicains), Éric Zemmour (Reconquête !), Jean Lassalle (Résistons !) avaient fait le déplacement à Besançon (Doubs) devant les agriculteurs de la FNSEA [1] réunis en congrès. Emmanuel Macron (La République en marche) avait enregistré la veille son intervention. Anne Hidalgo (Parti socialiste), Yannick Jadot (Europe Écologie-Les Verts) et Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) avaient décliné l’invitation. Enfin, Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France), Philippe Poutou (Nouveau Parti anticapitaliste) et Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière) n’avaient pas été invités, car annoncés en dessous de 2 % dans les sondages.

  • Les sondages de la semaine (mise à jour du 8 avril)

    Le Pollotron de Contexte

    À 1  jour de la présidentielle 2022, plongez dans les résultats de 1256 sondages et découvrez les tendances pour chaque candidat.1

    L'agrégateur quotidien de France Info

    Retrouvez l’évolution des estimations de scores des candidats à la présidentielle 2022, grâce à deux graphiques mis à jour quotidiennement, qui agrègent tous les sondages publiés par les instituts.

    Les sondages quotidiens

    Baromètre OpinionWay pour Les Echos

    IFOP pour LCI

    Les sondages de la semaine

    La Libre Belgique, le 8 avril - Election présidentielle française 2022: voici les derniers sondages

    Emmanuel Macron (La République en Marche), Marine Le Pen (Rassemblement national), Jean-Luc Mélenchon (La France Insoumise), Valérie Pécresse (Les Républicains), Eric Zemmour (Reconquête!)... Qui va passer le premier tour de l'élection présidentielle française 2022 ? A la veille de cet important scrutin, voici ce que disent les différents sondages.

    Challenges, le 8 avril à 18h25 - SONDAGE EXCLUSIF - Présidentielle 2022: Macron et Le Pen loin devant Mélenchon

    Le chef de l'Etat et la candidate du Rassemblement national font la course en tête dans notre ultime sondage avant le premier tour de la présidentielle. Jean-Luc Mélenchon, en position de troisième homme, est distancé.... Au second tour, la bataille entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen reste toujours aussi serrée. Seuls trois points séparent le chef de l’État de la championne du Rassemblement national dans notre enquête Harris Interactive, respectivement crédités de 51,5% et 48,5% des intentions de vote.

    Les Echos le 8 avril à 17h- Présidentielle : Macron à la baisse, Le Pen en dynamique… le bilan de notre sondage à 48 heures du premier tour

    Tour d'horizon des principaux enseignements des résultats du baromètre quotidien OpinionWay-Kéa Partners pour « Les Echos » cette

    Cluster 17 le 8 avril - Baromètre hebdomadaire S14 – 2 : Présidentielle 2022

    Notre dernier baromètre avant le premier tour garde le même classement et confirme les tendances des derniers sondages

    L'Obs - Sondage présidentielle : Le Pen se rapproche encore de Macron, Mélenchon en nette hausse

    Exclusif - Selon notre sondage Odoxa - « l’Obs » - Mascaret, la patronne du RN, en forte progression, réduit encore l’écart avec le président candidat, toujours devant. Le candidat « insoumis » monte, Eric Zemmour et Valérie Pécresse passent sous les 10 %.

    Luc Mélenchon progresse dans les mêmes proportions, à 16 %, bénéficiant d’un vote utile à gauche (+ 24 points en trois semaines auprès des sympathisants PS).

    Le Parisien - Sondage présidentielle 2022 : la participation en hausse, Marine Le Pen progresse encore

    Pour la première fois depuis le début de notre sondage, 72% des interrogés assurent qu’ils voteront au premier tour de la présidentielle, ce dimanche.... Jean-Luc Mélenchon est lui aussi dans une dynamique positive. Sa courbe est en hausse depuis la fin de la semaine dernière et se fixe à 17 % des intentions de vote.

    Sud Ouest - Présidentielle : Marine Le Pen et Mélenchon progressent, Macron se tasse

    À quatre jours du premier tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron conserve malgré tout quelques points d’avance sur Marine Le Pen

    Marine Le Pen confirme sa forte progression depuis un mois et atteint 21,5 %, encore à bonne distance toutefois d’Emmanuel Macron (26,5 %), mais loin devant Jean-Luc Mélenchon, également en hausse (16 %), selon un dernier sondage publié ce mercredi 6 avril.

    La Dépêche - Sondage présidentielle : Mélenchon en tête chez les jeunes, Macron plébiscité par les seniors

    La tendance est très claire : selon les analyses livrées ce mercredi 6 avril pour Le Monde par l'institut Ipsos, les intentions de vote sont assez fondamentalement différentes en fonction de l'âge des électeurs dans cette campagne présidentielle. Du côté des jeunes, entre 18 et 24 ans, c'est le candidat de La France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon, qui arrive en tête avec près de 26% des voix. Il bénéficie en outre d'une excellente dynamique ces derniers jours (+3 pts). 

    Les Echos - SONDAGE EXCLUSIF - Présidentielle : le risque d'une très forte abstention se précise

    Selon le baromètre quotidien OpinionWay-Kéa Partners pour « Les Echos », 66 % des Français seulement comptent se rendre aux urnes dimanche pour le premier tour de l'élection présidentielle. Le record de 2002 pourrait être battu.

    Challenges - SONDAGE EXCLUSIF- Présidentielle 2022: l'écart se resserre très sérieusement entre Le Pen et Macron

     Trois points seulement séparent le chef de l'Etat de la cheffe de file du Rassemblement national dans notre sondage Harris Interactive, tous deux dans la marge d'erreur. L'issue de l'élection présidentielle apparaît plus incertaine que jamais.

    A une semaine du premier tour, jamais l’issue du scrutin présidentiel n’a semblé aussi incertaine. La compétition se resserre très sérieusement entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen au second tour de l’élection. Seuls trois points séparent désormais le chef de l’État de la championne du Rassemblement national dans notre enquête Harris Interactive, respectivement crédités de 51,5% et 48,5% des intentions de vote. Un écart qui se situe dans la marge d’erreur de notre sondage.

    La candidate du RN à l'Elysée gagne 2 points à 22 % d'intentions de vote dans le baromètre quotidien OpinionWay-Kéa Partners pour « Les Echos ». En cas de second tour face au président sortant, elle se rapproche aussi, à 47 % contre 53 %

    Le Figaro - Présidentielle 2022 : l'écart se resserre entre Macron et Le Pen, Mélenchon s'installe à la troisième place

    À une semaine du premier tour de l'élection présidentielle, l'écart se resserre entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, selon le dernier sondage Ifop réalisé pour le Journal du Dimanche. Le président sortant est crédité de 27% des voix au premier scrutin contre 22% pour la présidente du Rassemblement national.

    France Inter - Baromètre présidentiel : Macron, Mélenchon et Zemmour l'emportent sur les réseaux sociaux au mois de mars

    Qui a gagné la présidentielle sur les réseaux sociaux en mars ? France Inter et Visibrain publient la quatrième édition de leur baromètre des candidats sur les réseaux sociaux. Avec sa double casquette de président-candidat, Emmanuel Macron arrive en tête des personnalités qui font le plus réagir en mars. 

    Sondage IPSOS du 2 avril pour Le Parisien et France Info

    Cluster 17 le 29 mars - Baromètre hebdomadaire S12 – 2 : Présidentielle 2022

    Après deux semaines de baisse consécutive, Emmanuel Macron retrouve de la stabilité à 27% des intentions de vote....  La cristallisation de leur choix sera d’autant plus décisive que les Sociaux-Démocrates sont un des clusters les plus certains d’aller voter. 

    SONDAGE BFMTV du 2 avril - Macron en tête des intentions de vote, Le Pen progresse et Mélenchon marque le pas

    Jean-Luc Mélenchon, lui, marque le pas après plusieurs semaines de hausse. Il est aujourd'hui solidement ancré à la troisième place avec 15% des intentions de vote, en recul de 0,5 point.

    Yannick Jadot, lui, se retrouve à 4,5% d'intentions de vote, tout proche du score très important des 5% pour son parti Europe Écologie-Les Verts.

    Fabien Roussel se place derrière lui: le candidat communiste récolte 3,5% des intentions de vote et récupère un point par rapport à l'enquête Elabe de mercredi.

    La candidate socialiste poursuit sa chute et ne récolterait plus qu'1,5% des voix, soit autant que le candidat du NPA.

    France Info - Présidentielle 2022 : Emmanuel Macron et Marine Le Pen jugés les plus crédibles pour améliorer le pouvoir d'achat, selon notre sondage

    D'après une enquête Ipsos - Sopra Steria réalisée pour France Télévisions et Radio France, ces candidats ne convainquent toutefois qu'un tiers des Français quand il s'agit d'améliorer leur pouvoir d'achat. 

    Le Figaro - Sondage: dernière ligne droite compliquée pour Emmanuel Macron

    La cote de confiance du président de la République enregistre une baisse de 2 points à 43%.

    Les Echos - Marine Le Pen, deuxième personnalité politique préférée des Français

    La candidate du RN à l'Elysée jouit d'une bonne image auprès de 35 % des sondés dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Il s'agit de son meilleur score depuis cinq ans alors que l'écart avec Emmanuel Macron en cas de duel au second tour semble se resserrer dans les sondages d'intentions de vote.....

    Parmi les autres candidats à la présidentielle, l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon se classe en 8e position (28 %) tandis que le communiste Fabien Roussel grimpe à la 11e place, avec 25 % d'image positive et une progression de 3 points en un mois. Vient ensuite l'écologiste Yannick Jadot en 14e position (23 %).

    Le Parisien - Présidentielle, J-10 : l’écart se resserre en cas de second tour entre Macron et Le Pen

    Le trio de tête reste inchangé depuis plusieurs jours et le scénario d’un second tour entre le président sortant et la candidate du RN continue de se dessiner dans les sondages.

    IPSOS pour France Info et Le Parisien

  • Les Gauches en campagne (mise à jour du 8 avril)

    8 avril

    Libé - Dans les coulisses de la candidature d’Anne Hidalgo: «Une campagne c’est dur, je sais ce que c’est et je continue»

    Avant le premier tour de la présidentielle, le podcast Libélysée revient sur les moments forts de la campagne de chaque candidat. Ce mercredi, au tour de la socialiste Anne Hidalgo.

     
    Avant le premier tour de la présidentielle, le podcast «Libélysée» revient sur les moments forts de la campagne de chaque candidat. Au tour de Yannick Jadot.
     
     
    Avant le premier tour de la présidentielle, le podcast «Libélysée» revient sur les moments forts de la campagne de chaque candidat. Ce jeudi, au tour de Fabien Roussel.
     
     
    Pour la dernière semaine avant le premier tour, le podcast Libélysée revient sur les moments forts de la campagne présidentielle. Ce lundi, c’est au tour du candidat de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon.
     
     
    À trois jours du premier tour de la présidentielle, le premier secrétaire national du Parti socialiste, Olivier Faure, est venu tracter sur le marché de Bellevue, à Brest, ce jeudi matin. S’il sait la présidentielle perdue, le PS n’est pas encore mort, assure-t-il.
     
    Ouest-France - « On ne joue pas l’accession au second tour » : l’aveu d’Olivier Faure (PS) sur un marché de BrestPrésent à Brest (Finistère) pour un des derniers temps de la campagne présidentielle, le patron du PS, Olivier Faure, a déroulé le programme d’Anne Hidalgo. Mais sans se faire d’illusion.
     
     
    Le clan écologiste espère que les marches pour le climat, prévues samedi dans toute la France, vont mobiliser leur électorat et notamment les jeunes, que Yannick Jadot peine à convaincre.
     

    À quel mix sera-t-on mangé ? Si l’énergie se fraye pour la première fois une place dans la campagne présidentielle, les options des candidats font apparaître un fort clivage gauche/droite. Analyse.

    Voilà au moins un domaine sur lequel l’union des gauches écologistes est faite : qu’il s’agisse du Réseau Action Climat ou de Greenpeace, les associations et spécialistes sont tous d’accord pour classer les programmes de Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) et de Yannick Jadot (Europe Écologie-Les Verts) comme les plus complets sur la question climatique et les plus à même de s’approcher — sans l’atteindre pleinement — de la trajectoire pour limiter à 2 °C maximum le réchauffement global. Des deux, le groupe de réflexion le Shift Project considère même le programme LFI comme celui « qui coche le plus de cases », selon son directeur — pourtant fervent pronucléaire — Jean-Marc Jancovici.

    Le JDD - Présidentielle : ces élus soutenant Jadot qui voteront finalement Mélenchon par peur d’un duel Macron-Le Pen

    Issus d'EELV ou de Génération.s, plusieurs dizaines d'élus appellent à un vote Mélenchon dimanche pour éviter de devoir faire barrage à Marine Le Pen au second tour.

    Mardi soir, lors de son multi-meeting hologramme  piloté depuis Lille, Jean-Luc Mélenchon s’est adressé à une frange des électeurs de Marine Le Pen qu’il juge « fâchés mais pas fachos ». « Où ça vous mène d’essayer de porter cette femme au pouvoir ? », a lancé l’Insoumis en direction des électeurs de la candidate du Rassemblement national, la jugeant « éloignée des préoccupations élémentaires de votre vie ». Une déclaration ciblée censée convaincre les électeurs lepénistes de glisser un bulletin Mélenchon dans l’urne dimanche pour le premier tour de l’élection. Deuxième à plus de 20% dans les sondages, Marine Le Pen a une place enviée par les Insoumis qui souhaiterait également représenter le vote « efficace » pour les électeurs de gauche, celui qui permettrait de ne pas avoir à choisir ensuite entre Emmanuel Macron et la fille de Jean-Marie Le Pen.

    BFM - "C'est une impasse": Mélenchon ciblé par les socialistes et les écologistes à l'approche du premier tour

    Potentiel troisième homme de la présidentielle selon les sondages, le député des Bouches-du-Rhône est vivement critiqué depuis plusieurs semaines par Anne Hidalgo et Yannick Jadot.

    2022 n'aura pas été l'année de l'union de la gauche. "Chacun veut être calife à la place du calife, soupire Sandra Regol. On ne change pas 100 ans de culture politique comme ça", regrette la secrétaire nationale adjointe d'EELV auprès de BFMTV.com.

    Reporterre - Politique étrangère : Mélenchon et Jadot d’accord sur l’écologie

    Au-delà de leurs divergences notoires sur la politique extérieure, les deux forces de gauche Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot affichent l’ambition commune d’une diplomatie plus vertueuse pour l’environnement.

    Et voilà la guerre revenue. Depuis l’invasion de l’Ukraine, la diplomatie redevient une causerie glaçante, mêlant missiles, morts et menace nucléaire. On y parle aussi d’Otan, de finlandisation, de sanctions économiques… L’occasion pour les candidats de gauche à la présidentielle de se déchirer bruyamment. Derrière les accusations de compromission ou de bellicisme, d’atlantisme ou de russophilie, se cache pourtant une convergence pudique : La France insoumise (LFI) et Europe Écologie-Les Verts (EELV) partagent l’ambition d’opérer un virage vers une politique étrangère plus ambitieuse pour la planète.

    7 avril

    Le Figaro - Anne Hidalgo organise un dîner secret au Sénat avec d'autres responsables socialistes

    Avec Martine Aubry, François Hollande et des plus jeunes comme Carole Delga ou Johanna Rolland, la candidate du PS tente de préparer l'après présidentielle. Le patron du PS, Olivier Faure, n'était pas invité et pas même au courant.

    Ils étaient moins d'une dizaine autour de la table ce mercredi soir à la questure du Sénat. À l'invitation d'Anne Hidalgo, avec le sénateur Patrick Kanner en organisateur, Martine Aubry, François Hollande, la présidente de la région Occitanie Carole Delga ou encore la maire de Nantes, Johanna Rolland, tous se sont retrouvés à un dîner confidentiel afin de décider des grandes lignes à lancer au PS et dans un mouvement plus large dans l'après-présidentielle.

    France Inter - Yannick Jadot : "Ce qui se joue dimanche est un vote de civilisation"

    "Ce qui se joue dimanche est un vote de civilisation" clame Yannick Jadot, le candidat écologiste à l’élection présidentielle. "Je l’ai dit pour le climat, le plus grand défi de l’Humanité. L’idée même que l’on peut avoir des libertés, de nos conditions d’existence sont aujourd’hui percutées par le dérèglement climatique" poursuit l’eurodéputé. "Voter écologiste dimanche, c’est voter pour enfin engager les grandes transformations."

    6 avril

    Avant le premier tour de la présidentielle, le podcast Libélysée revient sur les moments forts de la campagne de chaque candidat. Ce mercredi, au tour de la socialiste Anne Hidalgo.

    Libélysée revient sur les coulisses d’une candidature qui n’a jamais pris, sur l’attitude de celle qui a tenu bon et n’a jamais rien laissé transparaître, comme insensible aux pires sondages, à l’engouement de certains pour le retour de Christiane Taubira, comme aux rumeurs incessantes sur son «débranchage» par le PS. Depuis son 20 heures de TF1 le 8 décembre, la première campagne présidentielle de la maire de Paris est allée de mal en pis. Pourtant, à un moment, elle y a cru, comme vous pouvez l’entendre dans cet épisode spécial.

    France Info - Présidentielle : Anne Hidalgo dénonce "l'impasse" Mélenchon, "le libéralisme inhumain" de Macron et "le chaos de l'extrême droite"

    La candidate du Parti socialiste, invitée des matins présidentiels de franceinfo, a plusieurs fois attaqué ses concurrents, Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon.

    "Emmanuel Macron n'est plus une option pour les gens de gauche (…) et Jean-Luc Mélenchon, c'est une impasse", a attaqué Anne Hidalgo, ce mardi sur franceinfo. La candidate socialiste à l'élection présidentielle a ainsi réaffirmé sa volonté de "convaincre les Françaises et les Français qu'il y a une gauche républicaine, laïque, écologique, sociale, européenne", qu'elle incarne, et qu'elle appelle à "se relever avec fierté".

    Le Monde - Jean-Luc Mélenchon et ses hologrammes appellent à « la plus incroyable bifurcation politique »

    A trois jours de la fin de la campagne, le candidat « insoumis » à l’élection présidentielle 2022 a tenu un grand meeting à Lille, retransmis, grâce à des hologrammes, dans onze autres villes du pays.

    Jean-Luc Mélenchon et ses hologrammes – son meeting de Lille, mardi 5 avril était diffusé grâce à ce procédé dans onze autres villes – ont appelé à « la plus incroyable bifurcation politique » dans le cas de son accession au second tour dimanche.

    5 avril

    Batiactu - "Transition écologique rimera avec emploi dans le BTP", Yannick Jadot

    PRÉSIDENTIELLE 2022. Dans une interview à Batiactu, Yannick Jadot détaille les mesures de son programme relatives aux secteurs de la construction, du cadre de vie et de l'énergie. Le candidat d'Europe Écologie - Les Verts revient notamment sur ses propositions en faveur des entreprises ainsi que sur ses ambitions en matière de logement et d'artificialisation des sols. Il livre également sa vision de la cohésion des territoires, notamment des grands projets comme le Lyon-Turin, ainsi que ses préférences pour le bouquet énergétique de la France. Entretien.

    Huffington Post - Emmanuel Macron répond à Jean-Luc Mélenchon sur l'apprentissage à 12 ans

    Jean-Luc Mélenchon a déclaré en meeting qu'Emmanuel Macron voulait "envoyer un gosse de 12 ans en apprentissage". "Fake news", lui répond le président-candidat

    Marianne - [Extrait] "Elle est dans un grand déni" : dans les coulisses de la campagne d'Anne Hidalgo

    À deux semaines de la présidentielle, l’échec d’Anne Hidalgo est déjà acté au PS. Dans le parti, l’heure est aux règlements de compte. « Marianne » a enquêté sur les coulisses d’une campagne qui n’a jamais décollé, marquée par de multiples revirements de la candidate. Découvrez un extrait de notre enquête en accès libre.

    L'Obs - CHRONIQUE de Serge Raffy - Au bord du précipice, Hidalgo prépare l’avenir…

    Au Cirque d’Hiver, à Paris, pour son dernier grand meeting de campagne, la candidate socialiste s’est mise en mode kamikaze. Bagarreuse, pugnace, dure à cuire, parfois brillante, elle annonce la couleur à ses rivaux rêvant de ses funérailles. On ne va pas l’enterrer facilement.

    Lyon Mag - Mairie de Lyon : un proche de Yannick Jadot bientôt recasé au cabinet de Grégory Doucet

    Si le président de la Métropole de Lyon semble enfin avoir des collaborateurs fidèles et efficaces, le maire de Lyon tâtonne encore.

    Selon Tribune de Lyon, il a décidé de s’administrer les services de Joakim Le Menestrel. Le bien nommé aura la tâche de distiller la petite musique de l’Hôtel de Ville sur les réseaux sociaux. Il devra également se pencher sur les relations avec les journalistes et la communication de Grégory Doucet.

    4  avril

    Le Monde - A Toulouse, l’espoir fait vivre Anne Hidalgo : c’est peut-être un détail pour vous…

    Mais pas pour Marc Beaugé. Le 26 mars, en terre favorable, la candidate socialiste et ses troupes ont jeté leurs dernières forces dans la bataille pour la présidentielle.

    En regardant cette photo, les optimistes se diront qu’Anne Hidalgo bénéficie de quelques supporteurs. Les pessimistes objecteront que s’ils sont tous là, sur scène, leur soutien ne pèsera pas lourd dans les urnes… Samedi, la candidate PS à la présidentielle était en meeting à Toulouse. Elle en a profité pour appeler à rebâtir l’école publique, reconstruire les hôpitaux, rétablir l’impôt sur la fortune, avant de demander à ses camarades de venir chanter la Marseillaise avec elle. Autour de la maire de Paris, ils étaient donc dix-sept. C’est déjà ça.

    Gala - Jean-Luc Mélenchon comblé : ces écrivains stars qui le soutiennent

    Ce dimanche 3 avril, le Journal du dimanche révèle dans ses colonnes que plusieurs célèbres écrivains soutiennent Jean-Luc Mélenchon dans sa course à l’Élysée. Certains s’impliqueraient même dans sa campagne.

    Le Point - Pour son dernier meeting, Hidalgo en appelle à la "gauche du réel" face un Macron "de droite"

    La gauche, c'est nous": pour son dernier meeting de campagne au cirque d'Hiver à Paris Anne Hidalgo a invité les électeurs à faire mentir "les sondages", exhortant ceux qui ont quitté le PS à revenir vers leur "famille d'origine".

    "Il n'est pas trop tard", assure la candidate, qui plafonne autour de 2 % dans les intentions de vote, et n'a jamais réussi à faire décoller sa campagne, dans un paysage politique très morcelé à gauche, où seul l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon a réussi à tirer son épingle du jeu et s'est hissé à la troisième place, autour de 15 %

    La Dépêche - "La culture du viol en un clip" : la violente charge de Sandrine Rousseau contre la vidéo de campagne de Yannick Jadot

    À une semaine du premier tour de l'élection présidentielle, les clips de campagne se multiplient sur les chaînes télévisées en raison des règles du temps de parole. Vendredi 31 mars dernier, la vidéo de Yannick Jadot n'a pas manqué de faire réagir jusque dans les rangs d'Europe Écologie les Verts. 

    Sud Ouest - Présidentielle : pour Yannick Jadot, le quinquennat Macron est celui « du déni climatique

    Le candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot a estimé dimanche que le quinquennat d’Emmanuel Macron était celui du « déni climatique » et de la « régression sociale »

    Yannick Jadot, crédité de 5 à 6 % dans les sondages, a souligné sur LCI ce dimanche que la France est « le seul pays européen qui n’a pas atteint ses objectifs en matière d’énergies renouvelables ». Une réponse à l’appel « à la social-démocratie, aux gaullistes, en passant par les écologistes » à le rejoindre, lancé la veille par Emmanuel Macron.

    2 et 3 avril

    Le Figaro - Présidentielle 2022: Jean-Luc Mélenchon à la rencontre des artisans de Notre-Dame à Paris

    Le candidat des Insoumis s'est rendu samedi matin au Collège des Bernardins pour une exposition sur les métiers liés à la restauration de la cathédrale

    Au sous-sol du Collège des Bernardins, dans le Ve arrondissement de Paris, Jean-Luc Mélenchon écoute un artisan lui décrire les milliers d'opérations nécessaires à son métier de restaurateur de statues, un autre lui parler des vitraux, d'autres de la taille de pierre.

    20 minutes - Présidentielle 2022 : En visite à Nantes, la candidate PS Anne Hidalgo soutenu « totalement » par Jean-Marc Ayrault

    ELECTION A bientôt une semaine du premier tour de l’élection présidentielle, Anne Hidalgo, candidate PS à la peine dans les sondages, a reçu le soutien de Jean-Marc Ayrault, ex-Premier ministre

    Huffington Post - Roussel, en "casa de Papel”, s'attaque aux "gros poissons" de l'évasion fiscale

    Le candidat communiste à la présidentielle a mené une action coup de poing devant l’Autorité des marchés financiers à Paris, visant nommément le cabinet de conseils McKinsey.

    BFM - Présidentielle: tensions entre Rousseau et EELV après la diffusion d'un clip de campagne de Jadot

    L'ancienne présidente du conseil politique de Yannick Jadot a dénoncé vendredi les propos tenus par Eva Joly sur le consentement dans un clip de campagne pour la présidentielle.

    L'Obs - 800 universitaires appellent à voter Mélenchon

    L’appel est signé notamment par la philosophe Sandra Laugier, le sociologue Bernard Lahire, le politiste Rémi Lefebvre ou encore l’historienne Aurélia Michel.

    Ouest-France - Présidentielle. Finir devant Anne Hidalgo serait « un petit plaisir » pour Philippe Poutou

    Le candidat du Nouveau parti anticapitaliste a qualifié samedi 2 avril de « petit plaisir » l’idée de terminer devant la candidate du Parti socialiste lors du premier tour de l’élection présidentielle. Il s’est aussi exprimé sur l’éventualité d’un second tour opposant Emmanuel Macron à Marine Le Pen.

    Le Point - Présidentielle : Jadot veut créer le statut de « déplacé climatique »

    Le candidat écologiste a plaidé pour une « protection transitoire » qui s’appliquerait à « des groupes entiers » et non à des individus isolés.

    Le candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot a proposé vendredi la création d'un statut de « déplacé climatique » pour les personnes qui doivent quitter leur pays pour des raisons environnementales, lors d'une audition par plusieurs associations. Interrogé à une semaine du premier tour (10 avril) de l'élection présidentielle sur la notion de « réfugié climatique », qui n'existe pas en droit actuellement, Yannick Jadot a balayé cette option qui nécessiterait de modifier la convention de Genève encadrant le statut de réfugié.

    Le Monde - Anne Hidalgo appelle les électeurs socialistes à ne « pas raser les murs »

    En grande difficulté dans les sondages, la candidate du PS à l’élection présidentielle a invoqué l’histoire du Parti socialiste et ses élus pour tenter de mobiliser « la France des travailleurs ».

    A dix jours du premier tour de l’élection présidentielle, la candidate socialiste Anne Hidalgo a appelé jeudi les électeurs et militants socialistes à « ne pas raser les murs » lors du scrutin et à « être fiers » des grandes conquêtes sociales de leur parti, lors d’un déplacement à Liévin (Pas-de-Calais).

    France Info - Vidéo Présidentielle : Jean-Luc Mélenchon assure qu'il mettra fin aux contrats des cabinets de conseil comme McKinsey s'il est élu

    Invité jeudi soir de l'émission politique "Elysée 2022" sur France 2, le candidat de La France insoumise a estimé que la polémique autour de ces sociétés était "un scandale" et que s'il était élu en avril, il serait "interdit de se substituer à l'Etat".

    "Ceci est un scandale, l'Etat paye pour se démembrer". Invité de l'émission politique "Elysée 2022" sur France 2, jeudi 31 mars, le candidat de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, s'est exprimé sur la polémique autour du cabinet de conseil McKinsey, ainsi que l'optimisation fiscale pratiquée par l'entreprise américaine. "Vous président, il n'y aura plus jamais de contrat des cabinets privés de conseil, que ce soit pour l'Etat, pour les communes, pour toutes les collectivités locales, c'est fini ?", lui a demandé la présentatrice, Léa Salamé. "Oui", a-t-il simplement répondu.

    RTL - Présidentielle 2022 : comment Fabien Roussel a réussi à marquer la campagne

    Il n'est qu'à 3,5 % dans les sondages mais le candidat communiste Fabien Roussel aura réussi à marquer la campagne, avec sa joie de vivre et ses mots simples

    Inconnu jusqu'alors du grand public, Fabien Roussel crève l'écran depuis quelques mois et insuffle sa joie de vivre dans ses meetings. Les militants retrouvent la fierté d'être communistes, un mot qu'on croyait enterré. Et parmi ses soutiens, figurent d'anciens socialistes et des électeurs de gauche jusqu'alors désabusés. 

    Reporterre - Productivisme, innovation... l’agriculture vue par six candidats à la présidentielle

    Six candidats à la présidentielle ont participé le 30 mars au grand oral de l’agriculture, en répondant aux questions du Conseil de l’agriculture française. Tous ont présenté leur vision, sans remettre en cause la logique productiviste du secteur.

    Que ferez-vous pour l’agriculture ces cinq prochaines années ? Voici la question à laquelle ont répondu six candidats à l’élection présidentielle mercredi 30 mars au matin. Fabien Roussel (Parti communiste), Marine Le Pen (Rassemblement national), Valérie Pécresse (Les Républicains), Éric Zemmour (Reconquête !), Jean Lassalle (Résistons !) avaient fait le déplacement à Besançon (Doubs) devant les agriculteurs de la FNSEA [1] réunis en congrès. Emmanuel Macron (La République en marche) avait enregistré la veille son intervention. Anne Hidalgo (Parti socialiste), Yannick Jadot (Europe Écologie-Les Verts) et Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) avaient décliné l’invitation. Enfin, Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France), Philippe Poutou (Nouveau Parti anticapitaliste) et Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière) n’avaient pas été invités, car annoncés en dessous de 2 % dans les sondages.

    BFM - Présidentielle: Anne Hidalgo assure que "le PS s'en relèvera"

    La candidate socialiste à la présidentielle a toutefois admis que la gauche devra "s'ouvrir" pour se reconstruire.

    Le Parti socialiste "se relèvera" de l'élection présidentielle, a assuré la candidate PS Anne Hidalgo ce vendredi, tout en reconnaissant qu'il faudra "s'ouvrir" et engager un "travail" pour la reconstruction.