Présentation du collectif "Dignité et solidarité avec les emplois aidés" - 9 octobre 2017
actualité - Page 144
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Conférence de presse - Rachid Temal et Jean-Jacques THOMAS
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Catalogne : le PS plaide pour la négociation
En Catalogne, la situation politique est toujours extrêmement tendue. Suite au référendum interdit par le pouvoir central, Carlos Puigdemont, président séparatiste de la Catalogne, a affirmé devant le Parlement local que la région avait « gagné le droit d’être un Etat indépendant ». Mais il a toutefois suspendu le processus, en ne déclarant pas encore l’indépendance, afin de reprendre les négociations avec Madrid. Le gouvernement de Mariano Rajoy, menaçait lui d’utiliser l’article 155 de la Constitution, qui lui permet de suspendre l’autonomie d’une région en cas de force majeure.
Depuis le début de la crise, les socialistes plaident pour une négociation. Le Parti socialiste a condamné les nombreuses violences entraînant des centaines de blessés lors de heurts aves les policiers anti-émeute le jour du vote. Toutefois, « le nationalisme du gouvernement catalan ne peut pas continuer d’avancer à marche forcée vers son autodétermination et le gouvernement central madrilène du Parti populaire au pouvoir ne peut persister durablement sur une ligne d’intransigeance totale ».
Solution négociée
Le Parti socialiste soutient de fait le PSOE qui, y compris dans sa composante catalane, demande à ce qu’une solution négociée entre toutes les parties soit trouvée. C’est le seul chemin pour sortir d’une situation qui, depuis 2010 et les premières grandes manifestations indépendantistes n’a cessé de se dégrader.
Avant même le discours de Carlos Puigdemont, Pedro Sanchez secrétaire général du PSOE et chef de file de l’opposition au gouvernement conservateur avait prévenu : « Nous appuierons la réponse de l’Etat de droit face à toute tentative visant à rompre l’harmonie sociale ». Il avait également demandé au chef du gouvernement séparatiste catalan de renoncer à la déclaration d’indépendance.
Crainte en Europe
De son côté, l’Union européenne temporise. Une Catalogne indépendante sortirait de facto de l’UE et devrait candidater pour y rentrer. Après le Brexit, les conséquences d’une nouvelle défection pourraient être dramatiques. Et ce d’abord pour les Catalans qui payeraient économiquement au prix fort leur sortie du marché commun.
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Un peu d'histoire : Les états généraux du parti socialiste (INA, 1993)
Reportage consacré aux états généraux du Parti Socialiste qui se déroulent à Lyon. Les "éléphants" avaient promis de laisser le devant de la scène aux militants de base. Extrait du discours de Manuel VALLS, rapporteur de la "commission bilan" sur les élus du PS coupées de la base et le "syndrome des R25".Interview de Gérard COLLOMB, élu de la Courly : "Je n'ai pas des costumes de chez Smalto, ni de manteau à 50 000 francs...donc à titre personnel je ne me sens pas concerné par les reproches qui sont faits".
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"Jupiter doit atterrir", Michel Destot, ancien maire et ancien député PS de Grenoble sort de son silence
Quatre mois après sa défaite aux élections législatives, l'ancien député socialiste et ancien maire de Grenoble Michel Destot revient sur son parcours politique et livre son analyse sur les premiers mois du quinquennat d'Emmanuel Macron.
Depuis juin dernier, Michel Destot s'est fait discret. Sa candidature aux élections législatives pour le Parti socialiste s'est soldée en cuisante défaite, au profit de l'élection d'Émilie Chalas pour la République en Marche. Ce vendredi 13 octobre, il revient pour France Bleu Isère sur ces résultats décevants
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Le Figaro - L'ex-ministre Aurélie Filippetti menacée d'exclusion au Parti socialiste
L'ex-ministre se voit reprocher d'avoir soutenu une liste dissidente lors des dernières élections sénatoriales. Le premier secrétaire de la fédération de Moselle lui a signifié sa «sortie» du PS.
Il ne restera bientôt plus grand monde au Parti socialiste, très largement éprouvé par le départ de ses cadres depuis la fin du quinquennat. On apprend ce vendredi que Solférino se passera désormais des services de l'ancienne ministre de la Culture Aurélie Filippetti. La fédération de Moselle a décidé de lui signifier cette mise à l'écart, ainsi qu'à ses soutiens, en conséquence de son soutien à une liste dissidente lors des élections sénatoriales
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Ouest France - Notre-Dame-des-Landes : le PS soutient la manifestation pro-aéroport
Le Parti socialiste de Loire-Atlantique a décidé de soutenir la manifestation organisée, le samedi 14 octobre, à l’aéroport de Nantes-Atlantique, par les partisans du transfert vers Notre-Dame-des-Landes. Le PCF local est sur la même longueur d'ondes.
La médiation lancée par le gouvernement inquiète de plus en plus les défenseurs du projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Les principales associations concernées appellent à un rassemblement, samedi 14 octobre, à 10 h, devant l’actuel aéroport de Nantes-Atlantique. Au premier rang, les "Riverains en colère" qui vivent près de cette piste.
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Bertrand Cantat en une : Laurence Rossignol demande @lesinrocks "des excuses"
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Un peu d'histoire : Parti socialiste : Forum de rénovation (INA, 2007)
Reportage sur la rénovation du Parti socialiste et le 1er Forum sur le sujet qui aura lieu le 24/11/2007 à Avignon.Commentaire sur images d'archives de François HOLLANDE et de son équipe et de débats internes au parti.Extrait d'une allocution de François HOLLANDE, interview de Gaétan GORCE, député PS de la Nièvre, Manuel VALLS, député PS de l'Essonne, Benoit HAMONT, député européen PS, André VALLINI, député PS de l'Isère.
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Les Echos - La rupture est consommée entre Benoit Hamon et le PS
Le candidat malheureux à la présidentielle vient de s’allier aux écologistes d’Ile-de-France et intègre un nouveau groupe au Conseil régional.
Il le quitte une deuxième fois. Après avoir monté son propre mouvement le 1er juillet 2017 et rendu sa carte du Parti socialiste, Benoit Hamon a quitté ce lundi le groupe socialiste de l'Assemblée régionale d'Ile-de-France.
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L'actualité des socialistes du 29 septembre au 5 octobre
INEGALITES
Centre d’observation de la société - Revenus : les jeunes paient le prix de la crise
Toutes les catégories de population ne subissent pas la crise de la même façon. Les inégalités de revenus s’accroissent entre les plus riches et les plus pauvres, mais aussi entre groupes d’âges. Au cours des dix dernières années connues (2003-2013), nos calculs 1 montrent que le niveau de vie des 18-29 ans a stagné autour de 20 000 euros (1 700 euros mensuels) après impôts et prestations sociales. Pendant ce temps, le niveau de vie moyen annuel de l’ensemble de la population a augmenté de plus de 1 000 euros (un gain de 5 %) et celui des 60-69 ans de plus de 3 000 euros (+ 13 %).
Au fil de la scolarité, la part des enfants d’ouvriers se réduit alors que celle des cadres s’accroît. La quasi-totalité des enfants suivent la filière générale du collège, quelle que soit leur origine sociale. On y compte un peu plus d’un quart d’enfants d’ouvriers et un peu moins de 20 % d’enfants de cadres supérieurs (données 2016 du ministère de l’Éducation nationale). Ceux, déjà en difficulté qui ne suivent pas la filière générale (moins de 3 % du total), sont orientés en Section générale d’enseignement adapté (Segpa) : parmi eux, on trouve plus de 40 % d’enfants d’ouvriers et 2 % d’enfants de cadres. Les inégalités sociales se forment pour partie dans l’enseignement primaire.
UTOPIEMiguel Abensour a profondément renouvelé la réflexion sur la démocratie : attentive au désir d’émancipation, sa philosophie politique s’est organisée à partir d’une conception originale de l’utopie qui entend rompre avec la mythologie de la « cité idéale » ou de la « bonne société ».
Ce qui frappe d’emblée, lorsque l’on jette un coup d’œil rétrospectif à l’œuvre de Miguel Abensour, c’est la grande diversité des thématiques et des auteurs sur lesquels celui-ci travaillait, qu’on ne peut cependant appréhender dans toute sa richesse qu’à condition de prendre en compte la trame d’ensemble qui la sous-tend : que ce soit à propos de sa réflexion sur la démocratie sauvage, de son travail sur le lien entre mélancolie et révolution chez Auguste Blanqui et Walter Benjamin, de son interrogation sur la pensée d’Emmanuel Levinas, notamment à propos du rapport entre éthique et politique, Miguel Abensour se sera toujours efforcé de penser la possibilité de l’émancipation en donnant à l’utopie toute sa valeur, entendue non comme le balbutiement d’un projet révolutionnaire en bonne et due forme, mais dans un lien indissoluble avec la démocratie, comme la forme même de la politique.GUILLAUME DUVALAlors que le gouvernement met en place une politique de droite, prenant aux pauvres pour donner aux riches, ceux qui ont voté Macron restent silencieux. Sont-ils devenus des bourgeois thatchériens ?Pour être honnête, je n’ai jamais pour ma part été vraiment tenté par le macronisme, même si j’aurais très probablement voté moi aussi pour Emmanuel Macron dès le premier tour si le risque d’un duel Fillon-Le Pen était apparu sérieux.MELENCHONL’un des grands résultats de la séquence électorale de 2017 est la montée en force sans précédent du populisme. Les candidats qui s’y référaient d’une manière ou d’une autre, dans des directions politiques différentes – de Jean‑Luc Mélenchon à Philippe Poutou et de Marine Le Pen à Nicolas Dupont-Aignan ou François Asselineau – ont en effet réuni 46 % des suffrages exprimés au premier tour de l’élection présidentielle.Cette vague populiste repose sur des fondamentaux communs : réaffirmation de la souveraineté nationale, critique de l’Europe et de sa dérive capitalistique, rejet des élites politiques en place mais pas de toutes les élites (La France Insoumise défend ainsi vigoureusement les scientifiques), recherche d’une démocratie directe venant concurrencer ou amender la démocratie représentative.
DSKL’ancien patron du FMI qui s’exprimait au cours d’un hommage rendu à Nicole Bricq donnait son premier discours politique depuis l’affaire du Sofitel de New York, en 2011.
A leur manière, François Hollande, Emmanuel Macron et Dominique Strauss-Kahn ont marqué les engagements successifs de Nicole Bricq, ancienne sénatrice et ministre disparue brutalement début août. Rien d’étonnant donc à ce que les trois hommes se soient retrouvés ensemble au Conseil économique, social et environnemental où était rendu un dernier hommage à celle qui fut élue de Seine-et-Marne.
GUILLUY
53% des français jugent que la politique du gouvernement bénéficiera en premier lieu aux plus aisé. Pour Christophe Guilluy, le fait que le monde d'en haut ne prenne plus en charge les aspirations du monde d'en bas est une rupture historique.Atlantico : À la rentrée 2016, vous publiiez "le crépuscule de la France d'en haut". Selon un sondage viavoice publié par Libération en début de semaine, 53% des français jugent que la politique du gouvernement bénéficiera en premier lieu aux plus aisés, quand 60% d'entre eux craignent une précarisation. Un an après, quel constat portez-vous sur cette "France d'en haut" ?AUTO-ENTREPRENEURS
La Vie des idées - Exploite-toi toi-même
À propos de : Sarah Abdelnour, Moi, petite entreprise : les auto-entrepreneurs, de l’utopie à la réalité, PUF
Au prisme de l’auto-entreprise, la sociologue Sarah Abdelnour révèle les dynamiques de fragilisation du salariat. Elle en explore les différentes facettes, depuis ses enjeux idéologiques et politiques jusqu’aux réalités vécues par des acteurs qui ne distinguent plus leurs clients de leurs patrons.
Recensé : Sarah Abdelnour, Moi, petite entreprise : les auto-entrepreneurs, de l’utopie à la réalité, PUF, 2017.Alors qu’il referme l’ouvrage de Sarah Abdelnour, le lecteur n’a pas seulement le sentiment d’avoir fait le tour de la question de l’auto-entreprenariat, et ce « de l’utopie à la réalité » comme l’indique le sous-titre du livre. Il a aussi la nette impression d’avoir effectué une plongée dans les transformations actuelles du travail et de leur traitement politique.
BUDGET
Libé - Budget: les députés LREM exhortés à «corriger le déséquilibre» par des PS
Les députés LREM, «à un tournant», ont «la possibilité de corriger le déséquilibre» d’un budget de «cadeaux» aux plus riches et «en trompe-l’oeil» pour le pouvoir d’achat, plaident des députés PS, dont leur président Olivier Faure, dans une lettre ouverte publiée mardi.
PARITE
Observatoire des inégalités - La part de femmes au Sénat progresse modestement
Avec 29 % de sénatrices, la parité progresse très lentement au Sénat alors qu’en juin dernier la part de femmes à l’Assemblée nationale avait fortement augmenté.
Avec les élections sénatoriales du 24 septembre 2017, la part des femmes dans la chambre haute du Parlement progresse mais à un rythme... de sénateur. Alors que le sénat a été renouvelé de moitié, les femmes occupent désormais 29 % des sièges, contre 25 % en 2014. À cette vitesse, il faudra attendre les années 2030 pour atteindre la parité. Représentées à quasi-égalité avec les hommes parmi les candidats au Sénat selon le Haut commissariat à l’Égalité entre les femmes et les hommes, les femmes sont beaucoup plus rarement en tête de liste.
ISLAMISME
Amine El Khatmi revient sur les propos de Sonia Nour, qualifiant de «martyr» le terroriste de Marseille. Un discours «islamo-indigéniste» qui se répand en banlieues avec la complaisance de certains élus.
Amine El Khatmi est adjoint au maire d'Avignon.
«Martyr». 6 lettres. 6 petites lettres ont suffi, hier, à déclencher l'une de ces mémorables polémiques dont Twitter a le secret.
«Martyr» donc. Sonia Nour était jusqu'alors l'une des collaboratrices du Maire communiste de La Courneuve, Gilles Poux.
Rue 89 - L’Université Lyon 2 annule son colloque sur l’islamophobie
Une journée sur le thème « Lutter contre l’islamophobie, un enjeu d’égalité » devait se tenir le 14 octobre prochain. Mais face à la polémique, la présidence de l’Université Lyon 2 a préféré annuler le colloque.
Ce n’est pas le premier colloque sur l’islamophobie qui devait se tenir à l’université Lyon 2.
Une première journée d’étude avait été organisée en partenariat avec l’Institut supérieur d’Etude des religions et de la laïcité (ISERL) le 5 mars 2016. Le thème était « Islamophobie, le poids des mots, la réalité des maux ». À l’époque, nulle polémique.Un an et demi plus tard, la chaire « Égalité, Inégalité, Discriminations » de l’Institut d’Etude du Travail (IETL) devait organiser la suite de ce premier colloque le 14 octobre prochain, sous le thème « Lutter contre l’islamophobie, un enjeu d’égalité? ».
PS
Chaque lundi d’octobre, un socialiste s’allonge sur le divan de «Libé». Aujourd’hui, le premier secrétaire sur le départ. Il revient sur la genèse d’un échec cuisant, dresse sa liste de coupables, tout en traçant des perspectives d’avenir.Un dernier verre. Ce lundi soir, Jean-Christophe Cambadélis, tout nouvel ex-premier secrétaire, organise son pot de départ à Solférino. Tous les dirigeants de sa famille sont invités. L’occasion de jeter un œil sur le passé douloureux. De bavarder de son livre, Chronique d’une débâcle, 2012-2017 (L’Archipel). Avant d’éteindre la lumière et d’enfiler son nouveau costume - celui de «spectateur désengagé» -, il s’allonge sur le canapé pour nous livrer ses confidences.RTL - Parti socialiste : comment tente-t-il de se relever après la débâcle ?
DÉCRYPTAGE - Samedi 30 septembre, le Conseil national a donné les clefs du Parti à la rose à une direction collégiale.
Il y a cinq ans, il était majoritaire à tous les échelons de la vie politique française. Les pétales du Parti socialiste ont depuis perdu de leur éclat. 2017 a été le point d'orgue d'une série de désillusions. Plongé dans les eaux profondes de l'impopularité, François Hollande a déclaré forfait avant la présidentielle et la ligne de Benoit Hamon, en contradiction avec la logique de gauche de gouvernement défendue par les ténors en place, n'a convaincu ni le parti, ni les électeurs.
Libé - Seuls 22% des Français pensent que le PS pèsera dans cinq ans
Seuls 22% des Français pensent que le Parti socialiste sera une force qui compte dans la vie politique dans cinq ans, selon un sondage Opinionway pour Public Sénat, Les Echos et Radio Classique publié jeudi.
Le Figaro - Les députés PS présentent leur "contre -budget" 2018
Maintien de l'impôt de solidarité sur la fortune, suppression de la "flat tax" sur les revenus du capital, taux réduit d'impôt pour davantage de PME, engagements à tenir à l'égard des collectivités: les députés socialistes ont présenté mercredi leur "contre-budget" pour 2018. "Il existe une autre voie que celle de l'injustice sociale", a déclaré leur chef de file Olivier Faure, entouré notamment de membres PS de la commission des Finances, lors d'une conférence de presse. La droite n'a pas présenté un tel projet alternatif, a relevé le président du groupe Nouvelle Gauche, estimant que les mesures gouvernementales "correspondent à ce qu'elle aurait proposé". "Notre boussole est la réduction des inégalités" et aussi "renforcer la reprise", a exposé Valérie Rabault, ex-rapporteure générale du Budget.
Que le PS veuille sortir de la phase de l’introspection et des recherches en paternité de son désastre électoral, qu’il entende retrouver une voix dans le débat public et qu’il s’organise à cette fin est une bonne chose. Qu’il jette les bases du débat tel qu’il le fait dans la Résolution votée par son Conseil national le samedi 30 septembre 2017 l’est beaucoup moins.
Les Inrocks - Portrait de Boris Vallaud, le dernier socialiste ?
Sur les ruines du Parti socialiste, rares sont les personnalités à émerger. Parmi elles, le tout nouveau député des Landes Boris Vallaud. Entre la bataille contre la loi travail et la recomposition socialiste, l'avenir du mari de Najat Vallaud-Belkacem s'annonce chargé.On a dû batailler un long moment avant que Boris Vallaud accepte notre demande d'entretien. Le nouveau député de la 3e circonscription des Landes, étiqueté "Nouvelle Gauche" n’y était pas forcément enclin. "Je comble un vide", répète-t-il à l’envi dans les nombreux articles que lui a consacrés la presse ces dernières semaines.
Le JDD - PS : 28 questions pour une direction à 28
Le Parti socialiste vient d'acter le départ de son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, pour une direction collégiale de 28 personnes. D'ici à la "refondation" du mouvement, on s'est donc posé 28 questions sur l'avenir du parti.
Une "refondation" pour tirer un trait sur les échecs de 2017 et relancer un parti devenu moribond. Le PS a entamé ce week-end une nouvelle étape de sa reconstruction qui doit le mener jusqu'à un nouveau congrès. A sa tête depuis 2014, Jean-Christophe Cambadélis a officiellement quitté ses fonctions de premier secrétaire du Parti socialiste. C'est désormais une direction collégiale, déjà installée en juillet, qui va assurer la transition. Mais une direction avant tout pléthorique… puisqu'elle est composée de 28 membres. L'occasion pour nous de questionner l'avenir de la famille socialiste à travers 28 questions.
Slate - Le PS va-t-il disparaître à jamais du paysage politique? Gaël Brustier
Concurrencé à sa gauche par la France insoumise et à sa droite par La République en marche, le PS peine à se trouver un espace politique. Un premier pas vers la porte de sortie de l’histoire politique de notre pays?
Le Parti socialiste vient de remporter un relatif succès aux élections sénatoriales. Largement défait à la présidentielle puis aux législatives quelques mois plus tôt, le PS se retrouve néanmoins toujours dans la situation d’autres partis qui, dans le passé, ont connu le déclin et la marginalisation. Ce, après avoir joué un rôle central dans la vie politique de notre pays. À quelques égards, les socialistes ont subi en peu d’années ou de mois un déclin comparable à celui de l’antique Parti radical. Il existe encore, probablement pour longtemps mais sa mort politique possible signifie surtout qu’il ne pourrait demeurer qu’en tant que force mineure du système partisan qui prend forme depuis avril dernier.
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Etats d'âme au Parti socialiste (INA, 1993)
Résultats du premier tour des élections législatives et effondrement historique du Parti socialiste. Commentaire sur images factuelles et interviews de Yvette ROUDY ("Oh vous savez, quand on a connu juin 68..."), Louis MEXANDEAU ("Oh quand on a connu 40"), Pierre MAUROY ("Il faut faire preuve de bon sens") et Jean-Luc MELENCHON ("On a pris la triquée du siècle, on va pas vider la mer avec nos mains").