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Réflexions - Page 61

  • Neil Jameson : «Il faut aller plus loin que la démocratie participative ?» par Libération


    Neil Jameson : «Il faut aller plus loin que la... par liberation

  • Alexandre Jost : «On sent un enthousiasme grandissant sur la question du bonheur citoyen» par Libération


    Alexandre Jost : «On sent un enthousiasme... par liberation

  • La vie des idées : Reconstruire le libéralisme

    Pour John Dewey, le libéralisme a perdu dans le monde contemporain la force de contestation politique qu’il avait à sa naissance. Le reconstruire suppose de changer les conditions sociales de notre action.

    Recensé : John Dewey, Après le libéralisme ? Ses impasses, son avenir, introduction par Guillaume Garreta ; traduction par Nathalie Féron. Paris, Climats, Flammarion, 2014, 173 p., 16 €.

    Il faut relever l’importance de cette édition des trois conférences prononcées par J. Dewey en 1935 à l’université de Virginie. Réécrites et amplifiées, elles ont été publiées sous le titre anglais : Liberalism and Social Action. On regrettera que pour des raisons éditoriales, le titre Après le libéralisme ? ait été imposé. Il y a là une ambiguïté qui n’est pas dans l’original et qui enveloppe presque un contre-sens ! La question posée n’est sans doute pas celle d’un dépassement du libéralisme mais plutôt, et conformément aux réquisits de l’analyse pragmatiste de l’« action sociale » chez J. Dewey, celle de son accomplissement. Il faudrait parler plus justement encore de sa « reconstruction ». L’élaboration théorique d’un tel procès ne peut pas être séparée des conditions de l’action sociale de celles et ceux qui, dans les situations pratiques où ils se trouvent, subissent les conséquences de la crise du capitalisme.

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  • Teulié : «Sans Internet, la démocratie est condamnée à être locale» par Libération


    Teulié : «Sans Internet, la démocratie est... par liberation

  • Deux jours de forum Libération à Mulhouse : «Ca nous donne envie de s'engager» par Libération


    Deux jours de forum Libération à Mulhouse : «Ca... par liberation

  • Observatoire des inégalités - Les riches en France : de qui parle-t-on ?

     

    2 octobre 2014 - A quel niveau devient-on riche ? En utilisant plusieurs méthodes différentes, nous aboutissons à environ 3 000 euros mensuels pour une personne seule, 5 500 euros pour un couple et 7 000 euros pour un couple avec deux enfants. L’analyse de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.


    La question du seuil de la richesse est rarement posée. Sociologues et économistes ne s’y intéressent pas vraiment. L’Insee non plus. Rien à voir avec l’ampleur de la littérature sur les pauvres. A quel niveau devient-on riche ? En utilisant plusieurs méthodes différentes, nous aboutissons à environ 3 000 euros mensuels après impôts et prestations sociales pour une personne seule, 5 500 euros pour un couple et 7 000 euros pour un couple avec deux enfants. Des sommes ridicules vues d’en haut mais considérables vues d’en bas. Quelques explications.

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  • Non Fiction - Dossier - Jaurès : patrimoine commun ?

    1914, année des commémorations ? Après le coup d'envoi donné aux célébrations du centenaire de la Grande Guerre, l’assassinat de Jean Jaurès à la « veille » du déclenchement du conflit bénéficie d'une large couverture médiatique et de son lot de manifestations, qu'il s'agisse de dépôt de gerbes, d'expositions ou de sorties éditoriales de circonstance  ; Les politiques ne sont pas en reste et le phénomène n'a pas attendu 2014 . En 2007, lors de l'avant-dernière campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy – pourtant candidat de la droite républicaine – n'avait pas hésité à récupérer la figure du chef charismatique de la SFIO lors de ses meetings afin d'insister sur l'importance de la valeur travail. En 2011, l'homme de Carmaux  avait été l'objet des attentions de la présidente du FN, avant que trois ans après, la gauche en la personne de François Hollande, lors des cérémonies en son honneur, ne cherche à reprendre pour elle la figure du fondateur de L'Humanité, qui selon son Premier Ministre, aurait voté pour le pacte de responsabilité...


    Les commémorations sont propices à l'exacerbation des tentatives de récupération de telle ou telle grande figure historique  : Jaurès ne fait pas exception à la règle et des relectures tendancieuses de son parcours politique ressortent des publications qui lui ont été consacrées dernièrement. Qu'il soit personnage de bande dessinée, philosophe ou religieux pour certains, le traitement de Jaurès nous en apprend parfois bien plus sur les auteurs que sur leur sujet d'étude.

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  • [Etats généraux] Audition de Louis Gallois «la désindustrialisation pourquoi? la réindustrialisation comment ?» Parti socialiste


    [Etats généraux] Audition de Louis Gallois «la... par PartiSocialiste

  • Alternatives Economiques - Marché du travail : Manuel Valls devrait se renseigner davantage

    Le Premier ministre a relancé l'idée selon laquelle le marché du travail français protège trop les salariés en CDI. Les comparaisons internationales montrent que ce n'est pas le cas.

    .... Le fait que l’économie française ne crée pas suffisamment d’emplois, ne fait, malheureusement, guère de doutes, mais contrairement à ce qu’à l’air de penser notre premier ministre, cela tient beaucoup plus à la politique macroéconomique inadaptée menée actuellement en France et en Europe, combinée aux problèmes structurels lourds de l’économie française concernant le niveau d’éducation, la capacité d’innovation, les difficultés de financement des entreprises…qu’à une supposée rigidité du marché du travail. Et certainement pas en tout cas à une protection excessive des salariés en CDI.

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  • Libé, Bruno Amable - Capitalisme ou démocratie, mais pas les deux à la fois

    Dans un ouvrage récemment traduit en français (1), Wolfgang Streeck dresse un constat pessimiste des rapports entre le capitalisme et la démocratie. Cette dernière implique que les citoyens aient la possibilité d’imposer au capital des contraintes dont celui-ci, en tant que classe, n’a de cesse de vouloir se libérer. La période que le sociologue allemand appelle le «capitalisme démocratique» - qui débuta après la Seconde Guerre mondiale et se caractérisa par la création d’institutions (comme la protection sociale) ou l’imposition de réglementations sur le marché du travail (protection de l’emploi), les marchés de biens et services (nationalisations, encadrement de la concurrence et du commerce international) ou les marchés monétaires et financiers (restrictions à la circulation des capitaux, taux de change fixes, contrôle de la Banque centrale) - déboucha, dans les années 70, sur une véritable révolte du capital.

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  • Marianne - Martine Aubry redécouvre (en fait) "l'Etat stratège"

    C'est sur le terrain des idées que Martine Aubry a décidé de placer son retour politique. Beaucoup de réchauffé avec le concept de "care" et sa société bienveillante, mais aussi la référence à une jeune économiste italo-américaine, très attachée à l'idée d'Etat entrepreunarial. Dans son livre, Mariana Mazucatto, la nouvelle référence économique de Martine Aubry, démystifie, entre autres, l'idée d'une Silicon Valley bâtie grâce à des génies de l'innovation et réhabilite l'Etat stratège.....

    Ce matin, sur France Inter, Martine Aubry a malgré tout livré une nouvelle piste en ce qui concerne ses références intellectuelles, citant l’économiste italo-américaine Mariana Mazucatto, auteur d’un livre non traduit en français, l’Etat entrepreneur (disponible ici gratuitement en anglais).

    Dans sa démonstration, cette professeur d’économie de l’innovation à l’université du Sussex, cherche à démonter l’image largement répandue chez les économistes qui trustent nos écrans d’un Etat invariablement léthargique en opposition à un secteur privé forcément dynamique. A partir d’exemples récents, c’est le mythe de l’entrepreneur innovant, inventeur, risque-tout qui est démonté méticuleusement. « Ce n’est pas le secteur privé qui innove, c’est l’Etat » tonne la chercheuse : l’Etat ne se contente pas d’assurer discrètement les conditions de la croissance, il se comporte aussi en véritable entrepreneur, investissant des sommes colossales dans des projets de recherche appliquée et prenant ainsi les risques que le secteur privé n’est pas prêt à assumer.

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