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Réflexions - Page 140

  • France Culture : Affaire Leonarda: la gauche est-elle perdue?

    Laurent Bouvet, professeur de science politique à l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines
    Violaine Carrere, juriste, chargée d'études au GISTI (Groupe d'information et de soutien des immigrés)

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  • Finance Watch - Webinaires spécial campagne "Changer la finance !"

    Malgré les nombreuses nouvelles réglementations mises en place depuis la chute de Lehman Brothers, le risque d’une autre crise bancaire et financière est toujours possible. Pour comprendre pourquoi, écoutez Benoît Lallemand, l’un de nos analystes senior, à l’occasion d’un webinaire spécial campagne

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  • Libé - Robert Shiller «La Bourse n'a jamais reflété l'économie»

    Spécialiste reconnu des marchés financiers, professeur à l'université de Yale, Robert Shiller est l'auteur, en mars 2001, d'un livre prémonitoire intitulé Irrational Exuberance. Il explique en quoi la Bourse, loin de refléter l'économie, est par nature une machine qui s'emballe.

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    Challenges - Qui est Robert Shiller, le nouveau prix Nobel d’économie ?

    PORTRAIT- Le spécialiste des "bulles financières", professeur à Yale, a été distingué avec Eugène Fama et Lars Peter Hansen

    Il a une tête d’acteur américain et de jolies formules: "le monde n’est pas élégant au sens des mathématiciens". Mais Robert Shiller, 67 ans, n’est ni héros de série ni poète. Licencié en lettres de l’université de Michigan, docteur de l’Institut des technologies de Massachussets (MIT) en 1972, il est professeur d’économie à Yale depuis 1982. Ce qui le passionne ce sont les marchés financiers et leur folle irrationalité.
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  • Libé, Bruno Amable - Qui ressent le ras-le-bol du «socialisme de l’offre» ?

    Nous sommes en 1986, un candidat PS aux élections législatives est interrogé sur une chaîne de télévision régionale. Il se présente en Corrèze, département qui compte 30% d’ouvriers. Une entreprise locale, la Paumellerie électrique, est menacée. Les salariés s’inquiètent et souhaitent une intervention du pouvoir socialiste, mais rien ne se passe. «Alors, vous ne faites rien, finalement ?» demande le journaliste. Mais l’Etat ne peut pas tout faire répond le candidat, seize ans avant Lionel Jospin. Le rôle du pouvoir est de procurer des subventions, poursuit-il, pas de se transformer en gestionnaire. «Il est certain que les chefs d’entreprise sont, aujourd’hui comme avant, compétents en matière d’emploi. Il n’y en a pas d’autres», assène-t-il à ses interlocuteurs.

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  • Le Monde - Débat › Rythme scolaire, la réforme ratée du gouvernement ?

    Rythme scolaire, la réforme ratée du gouvernement ?

    Le passage de quatre jours à quatre jours et demi de classe, réforme appliquée dès cette rentrée dans une école sur cinq et qui doit être généralisée en septembre 2014, provoque de vifs débats. Alors que l’ensemble des partenaires (parents, professeurs, collectivités territoriales, etc.) y semblait favorable, les failles de sa mise en œuvre au niveau local suscitent réserves, rejet et plus rarement l’adhésion. Réels cafouillages ou démagogie ?
     
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  • Tour d'Europe des Economistes atterrés

    Les Économistes Atterrés et Euro-pen (European Progressives Economists Network) sont deux collectifs d’économistes l’un français et l’autre européen.

    Euro-pen
    European Progressive Economists Network

    A l’initiative des économistes atterrés français, un réseau européen d’économistes progressistes a vu le jour en novembre 2012 à Florence. Actuellement, Euro-pen couvre 9 pays européens. Il est constitué d’Econosphères (Belgique), de Sbilanciamoci (Italie), d’Economuestra (Espagne), The Transnational Institute, Critical Political Economy Network, Economists against austerity (GB) et les réseaux européens Euromemorandum et Transform !.

    Ces économistes sont convaincus que la majorité des politiques économiques menées depuis trois décennies et plus particulièrement depuis la crise ouverte en 2008 ne font que dégrader la situation économique, sociale et écologique de l’Europe. Fondées sur le courant théorique dominant en sciences économiques, elles ont comme point commun essentiel de supposer qu’une plus grande concurrence sur les marchés (des biens, des services, financiers, du travail, des droits à polluer…) est l’unique moyen d’améliorer la situation dans son ensemble. Nous pensons en revanche que pour rétablir la situation financière des administrations publiques, créer des emplois de qualité pour tous et engager immédiatement la transition écologique, d’autres politiques sont nécessaires. Elles ont pour but de privilégier une répartition des richesses plus équitable et la fin de la domination des marchés financiers sur le financement des entreprises et des États européens.

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  • Pourquoi il faut lire Robert C. Allen : Global Economic History : A Very Short Introduction [1]

    7 octobre 2013

    par Guillaume Daudin (Professeur des Universités à Paris-Dauphine, chercheur associé à l’OFCE)

    Robert C. Allen (né en 1947) est professeur d’histoire économique à l’Université d’Oxford depuis 2002. Il a soutenu sa thèse en 1975 à l’Université d’Harvard. Il a travaillé sur des sujets très divers et a reçu de nombreux prix pour ses publications. Son livre British Industrial Revolution in Global Perspective a été nommé « Livre de l’année » par The Economist et Times Literary Supplement en 2009. Ses recherches portent sur de nombreux aspects de l’histoire économique du développement : les salaires réels, les progrès de l’agriculture, les sources du progrès technique, les effets de l’impérialisme et le développement durable. Il est un acteur central dans le débat sur l’origine des divergences de développement au sein de l’Europe : il défend une position originale qui insiste sur l’importance de la base matérielle (au sens de Marx) et des choix politiques plutôt que sur celle du reste de la superstructure (culture, institutions, lois…).

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  • Christophe Robert : "L'exclusion bancaire est une réalité"


    Christophe Robert : "L'exclusion bancaire est... par franceinter

  • Les Echos - Cinq ans après Lehman, on cherche toujours la prospérité Par Joseph Stiglitz

    Avec 27 millions d'Européens au chômage et 22 millions d'Américains sans emploi à temps complet, le discours ambiant sur la sortie de crise est presque indécent. Et les risques d'un nouveau choc sont toujours là.

    En 2008, lorsque la banque d'investissement Lehman Brothers a fait faillite, déclenchant la pire crise financière mondiale depuis la Grande Dépression, les causes en étaient évidentes aux yeux de la majorité des observateurs. Un système financier démesuré et dysfonctionnel, ayant mal réparti le capital et, plutôt que de gérer les risques, les ayant engendrés. La déréglementation financière et l'argent facile avaient suscité des prises de risque inconsidérées. La politique monétaire à elle seule allait se révéler insuffisante pour relancer l'économie, même si l'argent de plus en plus facile a permis d'éviter l'effondrement complet du système financier. Aussi a-t-il fallu s'appuyer davantage sur la politique budgétaire en passant par une hausse des dépenses publiques.

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