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Article du jour - Page 92

  • Le Figaro - Scission en cours au MJS, divisé entre pro-PS et pro-Hamon

    Les jeunes socialistes sont partagés entre ceux qui partent chez Benoît Hamon et ceux qui souhaitent rester au PS. Les deux courants, qui prétendent rassembler la majorité des militants, organiseront chacun un rassemblement le 7 avril.

    La scission est actée, une bataille juridique est désormais lancée. Les jeunes socialistes, réunis au sein de l'association historique du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) se sont divisés depuis le 23 mars. Une partie de l'association, emmenée par la présidente tout juste élue Roxane Lundy, a rejoint le mouvement Génération.s de Benoît Hamon. Les autres ont décidé jeudi de se réunir le 7 avril, en marge du congrès du PS à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), pour acter la mise en place d'une direction collégiale temporaire comprenant chacune des sensibilités actuelles du MJS

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  • La Marseillaise - Marseille : au PS, Yannick Ohanessian retire sa candidature

    Il n’y a aura finalement qu’un bulletin ce jeudi soir (17h-22h) lors du vote du premier secrétaire fédéral du PS dans les Bouches-du-Rhône. Nora Mebarek, mandataire d’Emmanuel Maurel dont la motion était arrivée en tête, sera donc élue suite au désistement ce matin de Yannick Ohanessian.

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    20 minutes - Bouches-du-Rhône: La fédération du PS sur la voie d’un renouveau

    POLITIQUE Les deux candidats à la tête de la fédération du PS des Bouches-du-Rhône plaident pour un grand renouvellement après des années sombres…

    Un vent nouveau soufflerait-il sur la fédération du Parti Socialiste dans les Bouches-du-Rhône ? C’est en tout cas ce que souhaitent les deux candidats déclarés à la tête de la fédération du PS 13, Yannick Ohanessian et Nora Mebarek. Elle est la mandataire d’Emmanuel Maurel, arrivé en tête dans le département tandis que Yannick Ohanessian représente Luc Carvounas, pourtant arrivé dernier mais soutenu par Benoit Payan, mandataire d’Olivier Faure, le nouveau patron du Parti Socialiste.

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  • Huffington Post - Ces 5 urgences qu'Olivier Faure devra gérer à la tête du PS

    Le patron des députés socialistes doit être adoubé ce jeudi par les militants.

    Il a bien conscience que le plus dur commence pour lui. Adoubé ce jeudi 29 mars par les militants PS, Olivier Faure devient le 13e premier secrétaire du Parti socialiste. Seul en lice depuis le retrait de Stéphane Le Foll, le patron des députés PS va succéder à Jean-Christophe Cambadélis avec la mission quasi-impossible de redresser un parti en lambeaux après une année 2017 cauchemardesque.

    "Fils unique de Martine Aubry et de François Hollande", comme il s'est lui-même qualifié un jour, le député de Seine-et-Marne va devoir redonner une ligne au parti qui s'est déchiré pendant un quinquennat. Objectif reconquête pour une formation politique qui dirige encore de nombreuses collectivités locales et qui aura encore beaucoup à perdre d'ici à la présidentielle de 2022.

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  • Un peu d'histoire - Paris Normandie - TEMOIGNAGE : Mai 68, Henri Weber, ancien sénateur de Seine-Maritime

    Ancien conseiller municipal à Dieppe, sénateur socialiste de Seine-Maritime puis député européen, Henri Weber évoque l’héritage de Mai 68. Il était alors étudiant à la Sorbonne. Exclu du PCF et de l’Union des étudiants communistes, il fut, auprès d’Alain Krivine, l’un des fondateurs de la Ligue communiste révolutionnaire. Selon lui, seules restent les conquêtes sociales. Le rêve utopiste a été emporté par l’effondrement du bloc communiste.

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  • France Info - Le brief politique. Au parti socialiste, une aile gauche semble se détacher pour rejoindre Benoît Hamon

    Après le départ de membres du Mouvement des jeunes socialistes pour rejoindre le mouvement de Benoît Hamon,  Emmanuel Maurel, arrivé troisième lors du vote pour élire le patron du PS, s'interroge à son tour.

    Au parti socialiste, l’aile gauche est en train de se détacher. Des jeunes du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) sont partis  durant le week-end du 24-25 mars chez Benoît Hamon, qui a créé son mouvement Génération.s.

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  • Le Point - PS - Génération·s : la facture qui accuse le MJS

    Le MJS, dont une partie des dirigeants veut rejoindre le mouvement de Benoît Hamon, aide depuis déjà plusieurs mois l'ex-candidat à la présidentielle.

    « Il vaut mieux scissionner que d'être accusé de voler l'argent des militants. » Ce hiérarque du Parti socialiste n'y va pas vraiment par quatre chemins. Selon lui, si une partie des dirigeants du Mouvement des jeunes socialistes – l'organisation de jeunesse du PS – veut rejoindre le mouvement de Benoît Hamon, c'est d'abord pour étouffer une affaire plutôt embarrassante.

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  • Lyon Capitale - Des jeunes socialistes du Rhône quittent le PS pour Génération.s

    En désaccord avec leurs aînés, une grande partie des jeunes socialistes, emmenés par Roxane Lundy, la présidente nationale du mouvement, a quitté le parti. Ils rejoignent Benoît Hamon et son mouvement Génération.s. Dans le Rhône, la décision de la présidente serait soutenue par une majorité des militants.

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  • Le Parisien - Le Parti socialiste bat de l’aile gauche

    Après la victoire écrasante d’Olivier Faure, futur premier secrétaire du PS, l’aile gauche du parti s’interroge. Partir ou rester ?

    Jeudi, le Parti socialiste tentait – péniblement – de renouer avec la rue. Emmené par leur futur premier secrétaire, Olivier Faure, un petit escadron de cadres socialistes est, en effet, allé manifester aux côtés des cheminots et des fonctionnaires. Récoltant sifflets et insultes…

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  • Libé - Eric Plumer, l’armoire au placard

    L’été commençait à peine. Certes, Benoît Hamon venait de se prendre la dérouillée du siècle mais Jean-Christophe Cambadélis était encore premier secrétaire du Parti socialiste (PS), et Eric Plumer, l’incontournable - au sens figuré comme au sens propre - chef du service d’ordre (SO) du Parti. L’air doux et l’apéro aidant, les deux historiques du PS laissaient remonter leurs souvenirs à la surface. Comme ce premier face à face de 2012 entre un «Camba» enfin parvenu à la tête du PS et les membres du SO, un Etat dans l’Etat socialiste, qui donnent du «Jaurès» à leur boss.

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  • L'Express (blog) - Pour Olivier Faure, un espace vraiment dégagé ?

    Pour répondre à cette question, il faut s’intéresser d’abord aux dispositions particulières qui, au-delà des contingences de la vie politique, expliquent le succès d’Olivier Faure. C’est alors, en ayant défriché le terrain qu’on pourra se demander ce que sera son autonomie réelle et le cadre dans lequel elle pourrait s’exercer.

    Un candidat légitimé
    dans un scrutin contracté

    La légitimité d’Olivier Faure à diriger le Parti socialiste, partant, son autorité, découle des résultats obtenus. Considérons d’abord les résultats du premier tour de l’élection du Premier secrétaire. Quelque 37 000 militantes et militants socialistes se sont déplacés pour élire leur Premier secrétaire. Or Olivier Faure a frôlé la majorité absolue au premier tour avec 48,5% des suffrages (17 695 voix).

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  • Slate - Législatives partielles: les déçus du macronisme ne sont pas tous revenus au bercail socialiste

    Les macronistes perdent des voix sur leur gauche aux législatives partielles, et le PS a retrouvé le 18 mars son unique siège de député en Haute-Garonne. Mais attention aux conclusions hâtives....

    Dans cette circonscription rurale, les électeurs –ou en tout cas ceux qui se sont déplacés–ont incontestablement sanctionné le pouvoir. Il est probable que les deux mesures les plus contestées par les oppositions, la hausse de la CSG pour une partie des retraités et limitation de la vitesse à 80km/h sur les routes départementales, ont pesé lourd dans la balance.

    Les électeurs de la très socialiste Haute-Garonne ont certes montré que le PS peut relever la tête, ce qui n'est pas tout à fait indifférent sur le plan psychologique pour le futur patron du parti, mais les deux premiers tour de législatives partielles à Mayotte et dans le Loiret, le même jour, se sont passés de manière bien différente.

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