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Article du jour - Page 52

  • Libé - La Ch'tratégie du PS pour les régionales : faire d'une gauche deux coups

    Verts, roses, rouges… Chaque entité de la gauche plaide pour le rassemblement pour 2022, mais le sien. Patron du PS, Olivier Faure veut toujours être un des architectes de cette union et pense que les régionales pourront être un catalyseur. Surtout dans les Hauts-de-France.

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  • Le Parisien - Seine-Saint-Denis : Patrice Bessac (PCF) renverse le PS et prend la tête d’Est-Ensemble

    Le maire communiste de Montreuil a battu le socialiste Gérard Cosme, qui dirigeait le territoire depuis sa création en 2012. Épilogue d’une bataille à couteaux tirés au sein de la gauche.

    Le PCF (re)gagne du terrain en Seine-Saint-Denis. Patrice Bessac, maire communiste de Montreuil, a été élu président du territoire Est Ensemble*, ce vendredi soir, à Romainville. Il était candidat face au président sortant, le socialiste Gérard Cosme, ex-maire du Pré-Saint-Gervais, qu'il a battu avec 45 voix contre 33 pour le socialiste (deux bulletins nuls).

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  • Les décodeurs - Gouvernement Castex

    Famille politique, études ou précédentes fonctions : découvrez qui sont les membres du gouvernement Castex

    Le premier ministre, Jean Castex, a formé son gouvernement lundi 6 juillet. Celui-ci comprend huit nouveaux entrants, dont Eric Dupond-Moretti, Roselyne Bachelot et Barbara Pompili.

    Le premier ministre, Jean Castex, nommé vendredi 3 juillet, a été chargé de former un nouveau « gouvernement de mission et de rassemblement », selon la formule du président de la République. Parmi les principales entrées au gouvernement, dévoilé lundi 6 juillet, l’avocat Eric Dupond-Moretti, qui devient garde des sceaux, ainsi que Barbara Pompili (ex-EELV devenue députée La République en marche), désormais ministre de la transition écologique.

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  • Municipales à Marseille : Martine Vassal se retire au profit du député LR Guy Teissier

    « J’ai fait le choix du consensus », a dit la présidente de la métropole et du département des Bouches-du-Rhône, à quelques jours du « troisième tour ».

    Quatre jours après le second tour, l’issue des élections municipales à Marseille paraît toujours plus incertaine. La présidente de la métropole et du département des Bouches-du-Rhône, Martine Vassal (Les Républicains, LR), a annoncé jeudi 2 juillet qu’elle se retirait de la course à la succession de Jean-Claude Gaudin. A sa place, LR présentera la candidature du député Guy Teissier.

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  • Europe 1 -  Le candidat de gauche en 2022 ? "Rien n'est dû ni aux socialistes, ni aux écolos", élude Olivier Faure

    Le Parti socialiste aura-t-il un candidat en 2022 ? Jeudi, sur Europe 1, le premier secrétaire du PS Olivier Faure ne s'y est pas engagé, continuant de défendre un rassemblement avec les écologistes. 

    INTERVIEW

    Le Parti socialiste s'effacera-t-il derrière un candidat vert en 2022 ? Lundi, au lendemain d'élections municipales marquées par le très bon score des Verts, le premier secrétaire du "parti à la rose" Olivier Faure s'était dit prêt" à se ranger derrière le candidat qui "incarnera le bloc social-écologiste", quelle que soit son "origine" politique. De quoi faire grincer des dents au sein de son propre parti. Jeudi, sur Europe 1, le député de Seine-et-Marne est revenu sur ses propos, affirmant ne pas exclure une candidature socialiste, mais en défendant d'abord un rassemblement social-écologiste. Et dans ce cadre, explique-t-il, "rien n'est dû ni aux socialistes, ni aux écologistes".

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  • Le Vent se lève - Sauver le climat, renouveler la démocratie : l’épopée de la Convention citoyenne pour le climat

    La Convention citoyenne pour le climat a publié dimanche 21 juin ses recommandations destinées à « réduire les émissions de gaz à effet de serre françaises d’au moins 40 % par rapport à 1990, dans un esprit de justice sociale ». Exercice inédit de démocratie délibérative, cette Assemblée citoyenne tirée au sort apporte de nombreux enseignements politiques et sociaux. D’où vient-elle ? Qu’a-t-elle décidé et comment ? Quelles perspectives ouvre-t-elle ? À quelles mobilisations appelle-t-elle ? Tentative d’état des lieux.
     
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  • Reporterre - Après l’arrêt définitif de la centrale de Fessenheim, beaucoup de questions subsistent

    Dans la nuit de lundi 29 juin, le deuxième réacteur de la centrale nucléaire de Fessenheim sera définitivement arrêté. Quelles sont les conséquences sociales de cette fermeture ? Comment se déroulera le démantèlement ? Quel avenir pour le site ? Reporterre fait le point.
     
    • Pourquoi le second réacteur de la centrale nucléaire de Fessenheim est-il mis à l’arrêt ?

    Il aura fallu huit ans. En 2012, François Hollande, alors candidat à l’élection présidentielle, promettait de fermer la doyenne des centrales nucléaires françaises, d’ici la fin de son mandat – conformément à un accord signé entre le Parti socialiste (PS) et Europe Écologie — Les Verts en novembre 2011. Une fois élu, il n’avait fait que repousser l’échéance, notamment en conditionnant l’arrêt de Fessenheim à la mise en service de l’EPR de Flamanville. C’est finalement Emmanuel Macron qui, reprenant à son compte les objectifs de la loi de transition énergétique de 2015, a tranché : en février 2019, son ministre de la transition écologique François de Rugy a annoncé la fermeture de la centrale alsacienne en 2020. C’est désormais chose (presque) faite : un premier réacteur a été mis à l’arrêt dans la nuit du 21 au 22 février, et le second devrait s’éteindre définitivement ce lundi 29 juin à 23 h 30.

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  • Boursorama - Présidentielle 2022 : le PS veut "un alliage politique fort" avec EELV, au lendemain de la poussée verte dans les grandes villes

    "L'alternance" désormais "possible" en 2022, estime le Parti socialiste, qui veut un "alliage politique fort" avec EELV, alors que les municipales marquées par les nombreuses victoires de "la gauche rassemblée" et la percée historique des Verts.

    Il faut "une alliage politique fort" avec les Verts, qui doit être "la première étape en vue de l'alternance à gauche en 2022" , lors de la présidentielle, a affirmé lundi Pierre Jouvet, porte-parole du PS, au cours d'une conférence de presse. Selon lui, "l'alternance est possible.

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    L'Obs - Municipales: le PS conserve ses bastions, des victoires éclipsées par la poussée historique des Verts

    Paris (AFP) - Les socialistes ont conforté dimanche leurs positions dans leurs bastions, notamment à Paris où Anne Hidalgo triomphe, mais leurs victoires sont en partie éclipsées par les succès des Verts dans les grandes villes du pays.

    Lyon, Strasbourg, Bordeaux et peut-être Marseille... sont toutes passées dimanche soir de la droite aux mains des Verts, grâce aux alliances tissées entre EELV, le PS ou le PCF.
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  • France Info - Municipales : Le patron du PS Olivier Faure "table sur une progression de la gauche et des écologistes"

    Le patron du Parti socialiste pense que "de très nombreuses municipalités" peuvent être ravies à la droite, citant Montpellier, Nancy, ou encore Saint-Ouen.

    "Je table sur une progression de la gauche et des écologistes" au second tour des municipales, a assuré, jeudi 25 juin sur franceinfo, le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure. Le scrutin du dimanche 28 juin, reporté de plus de trois mois en raison de l'épidémie de coronavirus, promet d'être disputé dans de nombreuses villes, sur fond de poussée des écologistes et d'alliances à géométrie variable.

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  • Le Monde - Le siège du PS devrait redéménager vers Paris, après une parenthèse à Ivry

    Le premier secrétaire, Olivier Faure, est en discussion avec la Fondation Jean-Jaurès pour acquérir les locaux de son centre d’archives de la cité Malesherbes, dans le 9e arrondissement de la capitale.

    Adieu la banlieue, retour à Paris ! Le Parti socialiste (PS) pourrait repasser le périphérique d’ici à la fin de l’année 2020. Le premier secrétaire, Olivier Faure, a annoncé à son bureau national, mardi 23 juin, qu’il était en discussion avec la Fondation Jean-Jaurès (FJJ) pour acquérir les locaux de son centre d’archives de la cité Malesherbes, dans le 9e arrondissement de la capitale. La décision n’est pas encore prise formellement mais l’hypothèse soulage déjà élus et salariés du PS alors que la FJJ est, elle, intéressée par les locaux actuels du parti à Ivry-sur-Seine.

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  • Marianne - Gestion des masques : l’État refuse de rendre des comptes

    Mediapart réclame depuis avril à Santé publique France la communication de ses contrats avec ses fournisseurs en Chine. Mais l'agence se réfugie derrière le "secret des affaires". De façon assez stupéfiante, la Commission d’accès aux documents administratifs, saisie par le site d'investigation, a repris à son compte cette position dans son avis.

    La question des masques sanitaires a été un des grands sujets de polémique de la gestion de la pandémie Covid-19. L’évidence de la pénurie initiale des stocks a très vite sauté aux yeux. S’ajoutant à l’absence des tests et aux carences hospitalières conséquences de politiques trentenaires, elle a imposé une stratégie de confinement dont les coûts humains, sanitaires économiques risquent d’être très lourds. Plusieurs enquêtes journalistiques ont permis de pointer deux défaillances majeures. D’abord une stupéfiante absence de précaution, alors même que l’insuffisance des stocks était bien connue des décideurs, ensuite, d’une incurie dans le processus même d’acquisition des masques manquants. Tout ceci s’est accompagné d’une communication gouvernementale infantilisante et ridicule. De Sibeth Ndiaye, porte-parole du gouvernement les prétendant inutiles et compliqués et compliqués à enfiler à Emmanuel Macron assurant tranquillement : « qu’il n’y a pas eu de pénurie » ! Bien évidemment, il est indispensable que ceux qui avaient en charge le gouvernement du pays s'expliquent sur ce point.

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