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Article du jour - Page 49

  • La Montagne - Olivier Faure (Parti socialiste) : "Moi, je veux gagner, pas témoigner"

    Après l’attentat de Conflans, la gauche a fait l’objet, y compris en son sein, d’accusations de duplicité, voire de complicité. Comment réceptionnez-vous ce procès en «islamo-gauchisme»?

    Ce procès ne concerne pas les socialistes. S’il y a bien un parti qui a tenu le cap, c’est le Parti socialiste. Pour mémoire, nous avons refusé de nous joindre à la manifestation du 10 novembre dernier contre « l’islamophobie », à l’appel du CCIF et d’autres personnalités qui expriment ouvertement leur défiance vis-à-vis des lois laïques. Depuis que je suis Premier secrétaire, je mets au défi quiconque de trouver la moindre indulgence dans les positions adoptées face à ceux que je considère comme les ennemis de la République.

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  • Le JDD - Comment François Hollande surveille le congrès du PS

    François Hollande ne se prononcera pas sur le congrès du PS, mais voit d’un bon œil la candidature d’Hélène Geoffroy face au sortant Olivier Faure.

    Ce n’est pas l’œil de Moscou qui plane sur le Parti socialiste, mais bien celui de François Hollande. L’ancien chef de l’État est loin de rester aveugle à la situation du PS, lequel prépare en ce moment son prochain congrès, qui, samedi, a été reporté sine die en raison du Covid. Sous l’ex-président affleure toujours l’ancien premier secrétaire, un poste qu’il a occupé pendant onze ans. Commentaire d’un camarade qui le connaît par cœur : "Comment peut-on imaginer François Hollande se désintéresser d’un congrès?"

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  • Marianne - À dix-huit mois de la présidentielle, les Verts se bricolent un attachement à la République

    Les déclarations de Yannick Jadot sur la sécurité et la laïcité ont rappelé que les écologistes, qui souhaitent ouvertement exercer le pouvoir, peinent sur les thèmes régaliens. À la recherche de crédibilité, le parti entend se réapproprier la notion de République pour en défendre sa propre version.

    Derrière la microcacophonie, un débat existentiel pour Europe Écologie-Les Verts (EELV). Mi-septembre, Yannick Jadot, candidat déclaré pour l’élection présidentielle, a planté le décor en abordant ouvertement des sujets sur lesquels les écolos sont d’ordinaire peu diserts : la sécurité (« Il y a une violence qui se banalise »), la laïcité (« Il faut faire le ménage dans les associations »), la montée de l’islamisme (« Des groupes tentent de remettre en question la sécularisation, de sortir des lois de la République au nom d’une idéologie ou de principes religieux. C’est inacceptable. »).

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  • INFO LE POINT. Changement en vue à la tête de l'Observatoire de la laïcité

    Selon nos informations, le rapporteur général de l'Observatoire de la laïcité, Nicolas Cadène, devrait être remplacé. « Il n'est plus crédible », estime-t-on.

    .... Outre le fait que ces prises de parole dissonantes ne font pas partie de la mission de l'Observatoire, c'est la conception de la laïcité de Nicolas Cadène qui est épinglée. « Il semble plus préoccupé par la lutte contre la stigmatisation des musulmans que par la défense de la laïcité. Le fait qu'il s'affiche et discute avec le CCIF [Collectif contre l'islamophobie en France, NDLR] a achevé d'agacer en très haut lieu », explique un proche de Marlène Schiappa.

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  • France Inter - La colère de Iannis Roder, historien et prof d'histoire-géo : "20 ans que nous tirons le signal d'alarme"

    Historien, membre du Conseil des sages de la laïcité et professeur d'histoire-géographie dans un collège de Seine-Saint-Denis, Iannis Roder était l'invité de Patricia Martin, après la décapitation d'un enseignant vendredi dans les Yvelines.

    Iannis Roder, historien, membre du Conseil des sages de la laïcité et professeur d'histoire-géographie dans un collège de Seine-Saint-Denis, était l'invité de Patricia Martin ce samedi matin, au lendemain de la décapitation d'un enseignant qui avait montré des caricatures de Mahomet à ses élèves.

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  • Marianne - Olivier Faure : "Nous sommes à un tournant, beaucoup trop de pyromanes se déguisent en pompiers"

    Après l'assassinat de Samuel Paty, le premier secrétaire du Parti socialiste appelle à une mobilisation nationale en faveur des enseignants, et à la fin de la "complaisance" envers l'islamisme.

    Marianne : Qu’attendez-vous du chef de l’Etat et du gouvernement dans les prochains jours après ce drame ?

    Olivier Faure : L’horreur absolue de ce crime suppose une réaction d’unité de la nation. C’est l’école républicaine, laïque et émancipatrice qui a été visée par ce terroriste fanatisé par l’islamisme radical. C’est l’enseignement la cible, et Samuel Paty la victime expiatoire. Le mobile, c’est la volonté de faire obéir la République à un ordre supérieur.

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  • Marianne - Liberté d'expression à l'école : "Pour mes élèves, Charlie Hebdo, c'est l'extrême droite"

    L’assassinat du professeur Samuel Paty bouleverse le corps enseignant. Après le sentiment de révolte, il y a cette peur de se frotter aux sujets interdits : religion, caricatures et liberté d’expression.

    Gaël J., s’excuse, il ne « devrai[t] pas ». Il ne devrait pas utiliser ce vocabulaire martial. C’est évident, un enseignant ne devrait pas dire ça, surtout pas en début de carrière. Professeur d’histoire et géographie dans un collège de l’académie d’Amiens (Somme), ce trentenaire en reconversion s’excuse. Une, deux, trois fois. Puis lâche ces mots offensifs : « La mort de Samuel Paty, collègue de 47 ans, c’est une perte en première ligne, au front. Subitement, on comprend qu’on fait un métier dangereux. Avant-hier, je n’y pensais pas, et aujourd’hui, ça me saute à la figure : nous sommes des cibles potentielles. »

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  • Le Figaro - Olivier Faure ouvre la porte du PS aux députés du groupe EDS, en voie de disparition

    Après le départ de Jennifer de Temmerman, annoncé vendredi au Figaro, le groupe d'anciens macronistes est passé en dessous du seuil nécessaire de quinze députés pour exister à l'Assemblée nationale.

    Que vont devenir les quatorze députés EDS ? Leur groupe, «Écologie, Démocratie, Solidarité», est en instance de survie après le départ de Jennifer de Temmerman, annoncé au Figaro ce vendredi 16 octobre. Si la formation comptait 17 élus (dont seize issus de LREM) lors de sa création au mois de mai, elle se retrouve aujourd'hui en dessous du seuil nécessaire de quinze députés pour exister à l'Assemblée.

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  • Marianne - Ces centaines d'incidents que décrivait le rapport sur la laïcité à l'école remis à Jean-Michel Blanquer

    Un rapport de l'inspection générale de l'éducation nationale remis le 13 octobre faisait le point sur les atteintes à la laïcité à l'école publique. Il montre une baisse des signalements, difficile à interpréter, mais liste de nombreux exemples inquiétants.

    Dès son entrée en fonction rue de Grenelle, Jean-Michel Blanquer a fait de la défense de la laïcité à l'école un de ses marqueurs politiques. Triste concordance de temps, cette semaine, un premier bilan du dispositif mis en place par le ministre de l'Education début 2018 avait été présenté. Un rapport rédigé par quatre inspecteurs généraux et publié ce mardi 13 octobre, faisant le point sur "l’application du principe de laïcité dans les établissements scolaires publics".

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  • Libé - Direct- Hommage à Paris : «La France, elle est laïque et républicaine»

    #JeSuisProf.

    (De nos journalistes sur place) A Paris, c'est surtout ce silence qui surprend. La place de la République est noire de monde : des familles, des couples, des gens venus seuls, des jeunes, des vieux. La plupart se tiennent là sans un mot, côte à côte, tout le monde derrière son masque. Il y a juste ces applaudissements, par moments, qui entrecoupent le silence, comme si c'était la seule réponse possible, aujourd'hui.

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  • Libé - «Monsieur Paty, il était trop drôle, on voulait tous l'avoir»

    Samuel Paty, le professeur d’histoire-géo assassiné vendredi, était apparemment un as en blagues. Charlotte (1), 13 ans, raconte combien il pouvait faire rire, en classe. «Il était trop drôle. Par exemple, quand il voyait que l’on s’endormait un peu, il disait d’un coup "Kinder bueno" assez fort. Forcément, on se réveillait.» Et Samuel Paty reprenait son cours… D’autres fois, il criait «allez hop, tous sur les PC…. En fait, non, je blague!» Charlotte se souvient aussi d’un «truc» qui la faisait rire par-dessus tout : «Quand il passait dans les rangs derrière nous et disait "hum, il n’y a pas d’interrupteur, c’est bien ce que je pensais". Gros blanc à chaque fois, et toute la classe rigolait.» Samuel Paty, 47 ans, enseignait depuis plusieurs années dans ce collège calme, d’un quartier pavillonnaire de Conflans-Sainte-Honorine. Il faisait partie des trois profs chouchous du bahut, à en croire Charlotte, «on voulait tous l’avoir».

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