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Article du jour - Page 53

  • Le JDD - Régionales : en Auvergne-Rhône-Alpes, Verts et PS pas d'accord sur la façon de battre Laurent Wauquiez

    En Auvergne-Rhône-Alpes, les écologistes veulent un candidat au premier tour des régionales de mars prochain, tandis que les socialistes plaident pour une alliance contre Laurent Wauquiez d'emblée.

    En Région Auvergne-Rhône-Alpes, socialistes et écologistes n'ont qu'une idée en tête : battre le président sortant, Laurent Wauquiez, aux élections régionales de mars 2021. Une Région qu'ils regardent avec les yeux de Chimène, et qui pourrait devenir un symbole. "Cette campagne peut devenir un laboratoire pour la présidentielle", estime un influent socialiste. Les écologistes pensent leur heure venue. Selon nos informations, la candidate d'EELV sera très probablement Maud Tavel, adjointe d'Éric Piolle, le maire de Grenoble. Tavel devrait bientôt dévoiler à ses camarades ses ambitions. Du côté de Grenoble comme du côté de Lyon ville conquise par l'écologiste Gregory Doucet aux municipales, son nom fait déjà "consensus", selon un Vert local.

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  • Le Figaro - Le PS doit «s'emparer de l'écologie» et ne pas se rallier à Jean-Luc Mélenchon, dit François Hollande

    «Je peux être utile à mon pays, par mes idées et mon expérience, dans la crise qu'il traverse», dit l'ancien président tout en assurant «ne rien chercher pour lui-même».

    François Hollande estime que le Parti socialiste «a le devoir» d'être «la force centrale» à gauche, et ne doit «se rallier» ni à une candidature écologiste, ni à Jean-Luc Mélenchon pour 2022, dans un entretien à Ouest-France publié samedi 29 août.

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  • France Culture le 11 juin 2020 - Bernard Stiegler : "Il ne faut pas rejeter les techniques mais les critiquer et les transformer"

    Bernard Stiegler a découvert la philosophie en prison, et depuis, n'a eu de cesse de la transmettre, dans des ouvrages ou dans la création d'une école de philosophie : "Pharmakon". Spécialiste de la technique, il questionne les enjeux des mutations de nos sociétés engendrées par le numérique.

    Etre philosophe, est-ce un métier ? est-ce une vocation ? Comment se fabrique un concept ? Et quel est le rôle du philosophe dans la cité ?

    Bernard Stiegler est le fondateur d’un groupe de réflexion philosophique créé en 2005 : Ars industrialis, dans lequel il en appelle à une nouvelle manière de penser notre rapport à la technique et en particulier aujourd’hui aux algorithmes. Depuis 2006 il dirige l’Institut de recherche et d’innovation qu’il a créé au Centre Pompidou ainsi que l’école de philosophie d’Epineuil, Pharmakon, qui offre des cours de philosophie à suivre sur place ou en ligne. Il a écrit 35 livres et le dernier en date s’appelle Bifurquer (éditions des Liens qui libèrent).

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  • Huffington Post - La mort de Philippe Frémeaux provoque une pluie d'hommages chez les politiques

    Ex-rédacteur en chef d'Alternatives économiques, le journaliste collaborait également à France info et France culture.

    Triste journée pour les habitués de la presse économique. Ce lundi 3 août, plusieurs personnalités politiques ont fait part du décès de Philippe Frémeaux, journaliste et éditorialiste, ex-rédacteur en chef du mensuel Alternatives économiques, à l’âge de 70 ans.

    Olivia Grégoire, nommée récemment secrétaire d’État à l’économie sociale et solidaire, a rendu hommage à cette figure de la discipline. “Philippe Frémeaux était un journaliste de grand talent que je lisais avec passion depuis de nombreuses années. Par sa pensée aguerrie et exigeante, il a très largement contribué à éclairer le débat public sur l’économie sociale et solidaire”, a tweeté la ministre

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  • Libé - Profil Amar Benmohamed, le policier qui ne pouvait plus se taire

    Entré dans la police en 1997, celui qui est désormais brigadier-chef a vu arriver après 2015 une jeune génération très marquée à l’extrême droite.
     
    Sa carrure est impressionnante, tout comme sa détermination à ne plus «fermer sa gueule». Depuis lundi, Amar Benmohamed enchaîne les prises de parole médiatiques et les passages télé. En trois jours, son visage est devenu celui d’un lanceur d’alerte qui dénonce de graves dysfonctionnements au cœur du dépôt du tribunal de grande instance de Paris, là où transitent les personnes arrêtées dans l’attente de leur présentation à un magistrat, ou qui s’apprêtent à être jugées. Son témoignage, ainsi que plusieurs documents révélés par le site Streetpress, mettent en lumière des faits qui se dérouleraient au moins depuis 2017, dans les sous-sols des deux palais de justice parisiens.
     
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  • Libé - Sortie du glyphosate : où en est la France ?

    C'était l'une des promesses de François de Rugy au ministère de l'Agriculture. A moins de six mois de l’échéance prévue, le flou commence à se dissiper autour de cette mission délicate.

    «Sortir du glyphosate d’ici fin 2020», sans attendre que l’UE se décide en 2022. La promesse avait été lancée en 2018 par le ministre de la Transition écologique et solidaire d’alors, François de Rugy. Il s’était engagé à mettre fin aux principaux usages de l’herbicide, classé «cancérogène probable», dans les trois ans au plus tard, et dans les cinq ans pour l’ensemble des usages. «Objectif maintenu», a assuré Julien Denormandie en prenant ses fonctions au ministère de l’Agriculture lors du dernier remaniement.

    La mission de l'Assemblée Nationale

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  • Le Monde - Affaire Matzneff : Anne Hidalgo va saisir la justice après la démission de son adjoint Christophe Girard

    L’adjoint à la culture de la Ville de Paris a démissionné jeudi à la suite de manifestations qui l’accusent d’avoir soutenu l’écrivain Gabriel Matzneff, mis en cause pour « viols sur mineurs ». La maire de Paris, qui soutient Christophe Girard, estime que de « graves injures publiques » ont été proférées.

    La maire de Paris, Anne Hidalgo (Parti socialiste), a annoncé, vendredi 24 juillet, saisir la justice pour « les graves injures publiques » prononcées contre la mairie, au lendemain d’une manifestation qualifiant l’Hôtel de Ville de « Pédoland » et de la démission de Christophe Girard, son adjoint à la culture, visé par ces manifestations.

    Christophe Girard a choisi, jeudi, de démissionner de son mandat, qu’il occupait depuis 2001, à la suite de sa mise en cause par des élus écologistes alliés à Anne Hidalgo pour son rôle présumé dans l’affaire Gabriel Matzneff, pour laquelle il a été entendu comme témoin.

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  • Libé - Pollution plastique : «On peut régler le problème en une génération»

    Les déchets plastiques rejetés dans l’environnement pourraient tripler d’ici 2040 d’après une étude publiée par la revue «Science». Mais des solutions existent pour inverser la tendance, explique Julien Boucher, coauteur de l’étude.

    Il est partout : dans les sols, les océans, les animaux, notre estomac… le plastique est un fléau dont il est difficile de se séparer. Ce matériau, fabriqué à base de pétrole ou de gaz, contient des substances chimiques et des additifs provoquant différentes maladies (cancer du sein, stérilité, puberté précoce, obésité, diabète…). Pourtant, il n’existe à ce jour aucune stratégie mondiale pour limiter les déchets plastiques.

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  • Le Parisien - L’initiative politique de Laurent Joffrin accueillie fraîchement au PS

    L’ex-directeur de Libération a présenté lundi son projet devant la presse. Il veut lancer un mouvement pour la «refondation d’une gauche réaliste, réformiste», mais cherche encore son positionnement.

    Après un « teasing » assez réussi, on guettait la sortie en pleine lumière du projet porté par Laurent Joffrin. Un pari risqué quand le mois de juillet tire sur sa fin et que la capitale a déjà pris des airs de mois d'août. Mais l'ancien patron de la rédaction du Nouvel Obs puis de celle de Libération, qui avait fixé rendez-vous à la presse ce lundi 20 juillet dans un restaurant du XIe arrondissement, a su attirer du monde jusque sur le trottoir. La suite sera sans doute plus compliquée.

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  • Le Monde - Le Parlement européen menace de ne pas approuver le prochain budget de l’UE

    L’accord sur le plan de relance adopté mardi est adossé au budget pluriannuel de l’UE. Mais ce dernier n’est pas à la hauteur, selon une large majorité des eurodéputés, qui brandissent la menace d’un blocage.

    Dans une résolution votée par une très large majorité, le Parlement européen a menacé, jeudi 23 juillet, de ne pas approuver l’accord trouvé par les Vingt-Sept lors d’un sommet marathon relatif au budget de l’Union européenne (UE) s’il n’était pas « amélioré », mettant notamment en cause les « coupes » prévues dans plusieurs secteurs.

    L’accord conclu mardi matin par les chefs d’Etat et de gouvernement pour un plan de relance de 750 milliards d’euros est allé de pair avec un accord sur le budget 2021-2027 de l’Union. Ce dernier plan pluriannuel a été raboté, ce qui ne plaît guère au Parlement européen, ni à la présidente de la Commission européenne.

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  • Institut Rousseau - Plan de relance européen : quand l’artifice des petits pas se transforme en occasion manquée

     
    Dans un éditorial du 12 avril dernier, l’Institut Rousseau alertait sur les mirages et les faux-semblants de l’idée en vogue des « Coronabonds »[1] et d’un mécanisme de financement européen. Nous écrivions : « le principal intérêt des Eurobonds serait alors de rajouter une capacité de financement budgétaire supérieure à celle de la totalité des États membres pris individuellement. On fait alors le pari que le tout dépasserait la somme des parties, et que davantage d’investissements seraient permis en Europe, en particulier au Sud, car les pays du Sud ne disposent pas de réserves budgétaires équivalentes à celle du Nord. ». Ce pari que le tout dépasserait la somme des parties est-il tenu dans le plan de relance européen qui vient d’être conclu ce mardi 21 juillet 2020 ? Assurément non, et ce n’est pas là le seul de ses défauts.
     
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