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Article du jour - Page 54

  • Libé - Convention climat : 150 propositions… mais rien sur la taxe carbone

    La Convention citoyenne pour le climat publie ce jeudi ses propositions, qu'elle doit voter ce week-end avant de les remettre à l'exécutif. Parmi elles, une révision de la Constitution ou une obligation de rénovation énergétique globale des bâtiments. Grande absente : la taxe carbone, à l'origine des gilets jaunes.

    C’est un document dense, de 250 pages. Fruit des neuf mois de travail des 150 membres de la Convention citoyenne pour le climat (CCC), il contient leurs 150 (!) propositions, qui doivent permettre de remplir la mission confiée par le gouvernement : «Réduire les émissions de gaz à effet de serre [GES, ndlr] d’au moins 40% d’ici 2030 par rapport à 1990, dans un esprit de justice sociale.» Rendues publiques ce jeudi, elles seront débattues et votées ce week-end, avant d’être remises à l’exécutif.

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  • Huffington Post ( Convention climat: le PS demande à Macron un référendum [Info Le HuffPost]

    Les députés PS veulent "agir vite", alors que les travaux de la Convention sont attendus pour ce week-end.

    Une demande particulièrement solennelle dans sa forme. Ce mercredi 17 juin, le groupe socialiste à l’Assemblée nationale va déposer dans la journée une proposition de résolution “visant à apporter une réponse ambitieuse aux aspirations des citoyens pour le climat”. 

    Dans ce texte, que Le HuffPost publie (en fin d’article) avant son dépôt officiel, les députés socialistes demandent à Emmanuel Macron d’organiser un référendum sur les propositions qui ressortiront de la Convention climat, dont les travaux sont attendus pour ce week-end. Une hypothèse que le chef d’État avait d’ailleurs lui-même évoquée début janvier.

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  • Reporterre - La mobilisation contre la « réintoxication du monde » est lancée

    Mercredi 17 juin, des manifestations, des blocages et des occupations seront menées dans plusieurs lieux, en France, où des activités et des projets « toxiques » perdurent.

    « Pendant le confinement, pour la première fois depuis le début de l’ère industrielle, la machine infernale s’est enrayée : des pans entiers du monde marchand ont été mis à l’arrêt, les émissions de gaz à effet de serre ont diminué… Nous devons agir, sans plus attendre, pour qu’elle ne se relance pas de plus belle ! » tonne Benoît, habitant de la zone à défendre (Zad) de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique).

    Rassemblements, blocages, occupations… Mercredi 17 juin, une série d’actions sera menée aux quatre coins de la France pour éviter une « réintoxication du monde » dont les signes de reprise sont déjà bien visibles. Car si Emmanuel Macron s’est engagé à ce que « le monde d’après soit résolument écologique », tout est prêt pour que tout empire : comme l’a fait remarquer le Réseau Action Climat (RAC), le gouvernement a ouvert le « monde d’après » en finançant « des activités économiques à l’origine de la crise climatique sans contreparties écologiques et sociales fortes et contraignantes » et en n’apportant pas « l’argent nécessaire pour accélérer la transition écologique et baisser les émissions et les inégalités sociales ».

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  • Marianne - François Ruffin : "La démondialisation est un moyen, mais pas une fin"

    Dans son dernier livre, "Leur folie, nos vies", François Ruffin revient sur la crise du coronavirus et propose un nouveau projet de société, plus social et plus écologique.

    Dans Leur folie, nos vies le journaliste-député insoumis revient sur la pandémie du coronavirus et la crise qu'elle a initié. Dans cet ouvrage qui tire la sonnette d'alarme, l'élu de la Somme recueille de nombreux témoignages d'infirmières, d'ambulanciers, d'auxiliaires de vie, de caissières, mais aussi d'intellectuels comme Dominique Bourg, Pablo Servigne ou encore Cynthia Fleury.

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  • Huffington Post - La réponse de l'écrivaine Tania de Montaigne à la lettre de Virginie Despentes

    Dans le "privilège blanc" évoqué par Virgine Despentes, Tania de Montaigne voit surtout le non-respect "des droits humains" pour des questions de couleur de peau, de sexe, de religion ou d'orientation sexuelles.
    La lettre de Virginie Despentes pour dénoncer le racisme en France n’a pas fait l’unanimité, y compris auprès de ceux qui luttent également pour cette cause. Sur le plateau de “C Politique” dimanche 7 juin, la romancière Tania de Montaigne a expliqué en quoi le texte de l’autrice de “Vernon Subutex” lui posait problème.
     
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  • Politis - La face invisible de l’industrie - Impossible d’imaginer la puissance des multinationales sans le numérique.

    L'incapacité française à produire des masques et des tests à grande échelle a mis au jour notre forte dépendance industrielle vis-à-vis d’autres pays comme la Chine, et la souveraineté industrielle de la France est à nouveau questionnée. La mondialisation industrielle actuelle est le fait de la stratégie globale des multinationales financiarisées, qui pilotent et dominent de vastes systèmes productifs intégrés. Poser la question d’une autonomie industrielle doit prendre en compte l’agencement systémique de cette mondialisation.

    Comment se matérialisent les liens entre segments productifs dans ces chaînes globales de production ? La partie économique de ces relations est incarnée par des relations asymétriques de sous-traitance, de franchise et de filialisation. La partie matérielle est incarnée par des flux mondiaux de marchandises dont atteste l’explosion des transports de marchandises dans le monde. Mais une partie de ces relations reste trop souvent dans l’ombre, alors qu’elle est une condition déterminante de l’extension mondiale de ces systèmes intégrés, c’est la dimension numérique. Seules les technologies de l’information et de la communication (TIC) ont permis une interconnexion forte des segments productifs

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  • 20 minutes - Olivier Faure déplore le « splendide isolement » de Jean-Luc Mélenchon

    ULTRA MODERNE SOLITUDE Le premier secrétaire du PS a ouvert la porte à ce qu’un candidat ou une candidate unique de la gauche en 2022 ne soit pas socialiste

    Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure a déploré mercredi le « splendide isolement » du chef de file des Insoumis Jean-Luc Mélenchon et plaidé pour « un candidat unique pour l’ensemble de la gauche et des écologistes » à la présidentielle de 2022. Sur franceinfo, il a aussi laissé la porte ouverte à ce que ce candidat ou cette candidate ne soit pas socialiste. « Il faudra choisir celui ou celle qui peut nous rassembler sur un projet que l’on aura défini ensemble et qui sera en mesure de nous emmener à la victoire. Sera-t-il issu des rangs écologistes, socialistes, d’autres partis de gauche ? Je n’en sais rien », a-t-il poursuivi.

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  • Libé - Yannick Jadot : «Quand une partie de la gauche vient à l'écologie, je m'en réjouis»

    La politique évolue toujours au fil des saisons et de l’actualité. Le Covid-19 remet tout à plat. Il apaise les tensions et ouvre des portes. Yannick Jadot, par exemple. L’an passé, le leader médiatique des écolos enchaînait les mots durs contre la «vieille gauche». Aujourd’hui, il se dit prêt à travailler avec le plus grand nombre.
     
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  • Libé - Olivier Faure «Si nous formons un bloc commun, il n’est plus interdit de rêver»

    Chacun son combat. Depuis son arrivée à la tête du Parti socialiste, Olivier Faure pousse des deux mains pour la (re)naissance d’une union des gauches et des écologistes. Un rêve comme un autre. Une lutte qui ne fait pas toujours rêver. Des moqueries, des doutes et des portes qui se ferment. Le député de Seine-et-Marne répète son refrain tous les matins : «La victoire est impossible sans union.» Petit à petit, «ça avance», dit-il. Quelques portes s’ouvrent lentement. D’autres à gauche se retroussent les manches afin de proposer une alternative commune à Emmanuel Macron. La crise sanitaire est un accélérateur : elle facilite le dialogue et les initiatives. Mais l’affaire reste complexe. On n’efface pas les nombreuses résistances du jour au lendemain.
     
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  • Lyon - Bernard : "Collomb passe de plus vert que vert, à tout sauf l’écologie"

    Interview - Tête de liste des Verts pour la métropole de Lyon, Bruno Bernard va faire face à ce qu’il qualifie de "coalition anti-climat" menée par Gérard Collomb et François-Noël Buffet. Ouvrant une porte à une possible alliance avec David Kimelfeld, le candidat est clair "personne ne naît écologiste, on le devient".

    Lyon Capitale : Vous êtes devenu la cible d’une coalition entre la droite et Gérard Collomb visant à vous faire barrage. Depuis plusieurs jours, les déclarations apocalyptiques se multiplient sur les conséquences d’une possible victoire des Verts, comment réagissez-vous à ces attaques ?

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  • Marianne - Produire en France, protéger les industries du dumping social, faire de l'Etat un visionnaire... "Reprendre le contrôle"  ? Chiche  !

    .... Mais pas la peine d’aller si loin dans les montants : deux économistes, Michel Lepetit et Gaël Giraud, suggèrent de commencer par la rénovation thermique de tous les bâtiments publics. Ecoles, lycées, bureaux de poste, mairies, gymnases, devenus parfois des passoires thermiques fort coûteux à entretenir et à chauffer. « Il faudrait mettre 36 milliards d’euros sur la table et se donner trois ans pour faire les travaux. Un tel chantier engagé sur l’ensemble du territoire national créerait 15 emplois par million engagé, soit 540.000 postes. Sans compter les économies sur la facture énergétique évaluée à 7 milliards par an. En un quinquennat, la somme investie se retrouve amortie », démontre, calculette au poing, Gaël Giraud. Alors évidemment, l’Etat devrait recourir à l’emprunt, mais, comme le cholestérol, il existe de la bonne dette.

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