_______________________
_______________________
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Analyse
Après François Bayrou, plusieurs chefs de partis mènent une offensive pour tenter d’instaurer la proportionnelle aux prochaines élections législatives, dans un an.
La proportionnelle suscite des talents d’écriture. Dans le sillage de François Bayrou (MoDem), Julien Bayou (Europe Écologie-Les Verts), Marine Le Pen (Rassemblement national), Jean-Christophe Lagarde (UDI), Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) et Laurent Hénart (Mouvement radical) ont tous écrit à Emmanuel Macron, cette fin de semaine, pour demander l’introduction de la proportionnelle aux élections législatives prévues en juin 2022.
Lire la suite
___________________________
___________________________
Cinq ans d’emprisonnement pourront notamment être requis pour toute personne menaçant, violentant ou intimidant un élu ou un agent du service public dans le but de se soustraire totalement ou partiellement aux règles des services publics.
L’Assemblée nationale unanime a donné, jeudi 4 février au soir, son feu vert au nouveau délit de « séparatisme », une des mesures phares du projet de loi « confortant le respect des principes de la République », voulu par Emmanuel Macron. Au quatrième jour d’examen de ce texte qui entend lutter contre l’islamisme radical, les députés ont adopté son article 4 par 130 voix pour et 4 abstentions.
Lire la suite
_____________________
_____________________
Le premier secrétaire du PS estime qu’on ne peut pas « tripatouiller » un mode de scrutin à un an d’une élection comme le souhaite François Bayrou.
Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a estimé dimanche qu'il était « trop tard » pour introduire la proportionnelle aux législatives de 2022, se montrant réservé face à l'offensive engagée par François Bayrou et plusieurs autres présidents de partis. « Un mode de scrutin, on ne le tripatouille pas à un an d'une échéance électorale » et « si on faisait simplement cette réforme-là on aurait un Jupiter encore plus puissant et un Parlement plus affaibli », car « on aurait un seul personnage en France directement élu par les Français : le président de la République », a argumenté le patron du PS dans l'émission Dimanche en politique sur France 3.
Lire la suite
________________________
________________________
Une “désorganisation financière” du parti, remontant à plusieurs années, est pointée du doigt dans un rapport confidentiel.
“Nous aurons les moyens financiers de tenir une campagne présidentielle dans de bonnes conditions avec un budget qui correspond à un candidat de premier plan.” C’est ce qu’a assuré Olivier Faure, le premier secrétaire du PS, sur France 3 dimanche 8 février. Mais à en croire Le Point, rien ne serait moins sûr. Selon un document confidentiel de la direction du parti, les comptes seraient dans le rouge. Ces difficultés financières pourraient mettre en danger une candidature socialiste en vue de la présidentielle 2022.
Lire la suite
_________________________
_________________________
De gauche à droite, toutes les formations politiques reprennent le concept, qui revient en force avec la crise sociale due au Covid. Mais les modalités d’application divergent fortement, et les syndicats y restent hostiles.
«Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage.» L’adage de Boileau vaut ces temps-ci pour le revenu universel, dont l’idée revient s’installer dans le débat politique à la faveur de la crise économique et sociale, engendrée par la pandémie de Covid-19. Marginalisé depuis l’élection présidentielle de 2017 et la sévère défaite de Benoît Hamon (6,36 %), dont la mesure était bien placée dans le programme, le concept est désormais présenté par certains comme remède possible à l’explosion de la pauvreté et de la précarité.
Lire la suite
_________________________
_________________________
Pour Ursula van der Leyen et Emmanuel Macron, le Covid était l’occasion rêvée de démontrer l’efficacité de l’Union européenne pour les citoyens. Mais rien ne s’est passé comme prévu, et, aujourd’hui, c’est Bruxelles qui pleure, et Boris Johnson qui boit du petit lait dans son tea.
Le labo anglo-suédois AstraZeneca, dont le produit devait être « le vaccin de masse pour le premier trimestre 2021 », n’a finalement pu garantir que 25 % des plus de 100 millions de doses promises à la Commission européenne. Bien sûr, la Commission accuse le labo de favoriser le Royaume-Uni. Mais la réalité est plus simple : c’est Bruxelles qui a très mal négocié.
Lire la suite
_______________________
_______________________
Le Covid-19 nous semble cruel, habile ou déroutant, mais ses apparents caprices résultent simplement de la reproduction incessante du virus responsable de la maladie, le Sars-CoV2. Pour maximiser sa transmissibilité, il s’adapte constamment à l’environnement le plus favorable pour lui, les humains… En bref, il a le comportement écologique des organismes vivants.
Qu’est-ce qui fait courir le Sars-CoV2 ? Comment s’explique son comportement ? La question peut se poser, à entendre moult experts. « On a affaire à un virus diabolique et beaucoup plus intelligent qu’on ne le pense » estime ainsi le professeur Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique. D’autres parlent de sa capacité « à exploiter nos moindres failles ». Ces métaphores capturent certes l’imagination mais n’éclairent guère les choses. Car prêter une conscience malfaisante à un virus ne permet pas de comprendre sa logique, ni les scénarios possibles de son évolution.
Lire la suite
___________________________
___________________________
Présidentielle 2022 : la gauche doit "arrêter" le "tout à l'ego"
Selon un sondage Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et L'Obs, publié mercredi 3 février, à 15 mois de l’élection présidentielle, une gauche divisée obtiendrait de très faibles scores si le vote avait lieu dimanche prochain. "Il faut arrêter ce tout à l'ego qui crée une situation incroyable, où on est en permanence en train de se taper dessus", affirme Olivier Faure.
"Nous avons des différences qui existent et c'est ce qui justifie nos différents partis mais, enfin, ce n'est pas suffisamment éloquent pour que ça nous divise à ce point de ne pas pouvoir faire chemin ensemble. Il faut s'unir", insiste le Premier secrétaire du PS. "Nous avons l'occasion de provoquer l'alternance mais au moment venu il faudra choisir la ou le meilleur d'entre nous et faire en sorte qu'on puisse provoquer cette alternance", déclare-t-il.
Lire la suite
________________________
________________________
Trois ans après un plan social historique, le Parti socialiste, en difficulté financière, envisage de supprimer de nouveaux postes. Parmi les plus menacés : des salariés de longue date qui s'estiment déconsidérés depuis plusieurs années.
"On incarne un récit, l'histoire du parti, et c'est précisément ce dont ils ne veulent plus entendre parler." Comme plusieurs de ses collègues qui dénoncent les conditions de leur licenciement dans une lettre adressée lundi 1er février à franceinfo, Eric* sait que ses jours au sein du Parti socialiste sont comptés. La semaine dernière, le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a officiellement annoncé aux salariés et au bureau national la suppression de 11 postes de permanents pour des raisons budgétaires. Une nouvelle coupe après la suppression de 55 postes lors d'un plan social signé fin 2017, consécutif à la double débâcle des élections présidentielle et législatives.
Lire la suite
___________________________
___________________________