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Article du jour - Page 42

  • Les Echos - Les socialistes font pression pour un « minimum jeunesse »

    Le PS, qui veut faire de la jeunesse un marqueur politique, repart à la charge, ce jeudi, avec ses propositions de revenu de base et de dotation universelle à partir de 18 ans. Il exhorte l'exécutif d'étendre le RSA aux jeunes, au moins pendant la crise.

    Le texte n'a pas la moindre chance d'être adopté ; il a été rejeté par la majorité la semaine dernière en commission à l'Assemblée. Mais pour les socialistes, sonner une nouvelle fois la charge ce jeudi, à l'occasion de leur niche parlementaire, sur leur proposition de loi pour un « minimum jeunesse », baptisée aide individuelle à l'émancipation solidaire (Ailes), n'est pas dénué d'intérêt. C'est une manière de maintenir la pression sur Emmanuel Macron . Et une tentative de faire de la jeunesse un marqueur politique. « L'accompagnement des jeunes à l'entrée de la vie active, la solidarité avec les jeunes qui sont si éprouvés dans la crise sanitaire, sera une priorité des socialistes pour le quinquennat à venir », promet Olivier Faure, le premier secrétaire du PS.

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  • Le Parisien - Violences sexuelles sur mineurs : un vote unanime des députés

    L’Assemblée nationale a adopté jeudi en première lecture une proposition de loi PS renforçant la protection des mineurs contre les violences et crimes sexuels.

    Face à la récente mobilisation contre l’inceste après le témoignage choc de Camille Kouchner qui a libéré la parole, la proposition de loi présentée par la députée socialiste Isabelle Santiago arrivait à point nommé. Le texte renforce la protection des mineurs contre les violences et crimes sexuels, en fixant à 15 ans le seuil du non-consentement, 18 ans en cas d’inceste. Il a été adopté jeudi en première lecture à l’Assemblée nationale par 125 voix pour et deux abstentions.

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  • LCP - L'Assemblée rejette le "minimum jeunesse" proposé par les députés socialistes

    Les députés n'ont pas adopté jeudi la proposition de loi socialiste "relative à la création d’une aide individuelle à l’émancipation solidaire". Ce texte proposait notamment de créer un revenu de base versé dès l'âge de 18 ans.

    L'Assemblée nationale n'a pas donné son feu vert, jeudi, à la tentative du groupe "Socialistes" de créer un "revenu de base inconditionnel". Les élus PS ont défendu sans succès, dans le cadre de leur niche parlementaire, leur proposition de loi "relative à la création d’une aide individuelle à l’émancipation solidaire". Face à l'impasse constatée, ils l'ont finalement retirée avant même que son examen ne soit achevé.

    Le texte, présenté par le député Boris Vallaud, avait pour objectif de répondre à la "détresse" et aux "appels au secours" d'une partie de la jeunesse, durement touchée par la crise. "La jeunesse s'enfonce dans la précarité et a le sentiment, parfois, de l'indifférence des adultes", a expliqué l'élu des Landes.

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  • Public Sénat - Projet de loi sur les principes républicains : les socialistes craignent la surenchère de la droite au Sénat

    La balle est bientôt dans le camp du Sénat. L’examen en première lecture du projet de loi confortant les principes républicains va faire l’objet d’un vote solennel à l’Assemblée nationale mardi 16 février. Les socialistes emmenés par la députée Valérie Rabault pourraient s’abstenir. Le groupe PS du Sénat pourrait aller plus loin, en s’opposant frontalement. « Il est fort probable que nous votions contre ce texte », a prévenu leur président Patrick Kanner. Le chef de file du groupe socialiste, écologiste et républicain du Sénat était l’invité d’Audition publique, ce 15 février 2021, sur Public Sénat, LCP-AN, en partenariat avec Le Figaro.

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  • Marianne -  Trappes : Didier Lemaire, mytho ou héros ?

    Notre pays se déchire depuis dix jours entre pro et anti sur le cas de Didier Lemaire, ce professeur de philosophie à Trappes. Et si c’était plus compliqué qu’un débat binaire ? Tentative d’éclaircissement de la situation.

    « Zozo de la République » ou « vrai lanceur d'alerte » ? « Philosophe mythomane » ou « citoyen laïque jusqu’au bout des ongles » ? À moins que ce soit les deux en même temps ou alternativement ? L’affaire n’est pas simple à dénouer. Pourtant, ça n’empêche pas notre pays de se déchirer depuis dix jours entre pro et anti sur le cas de Didier Lemaire, professeur de philosophie désormais démissionnaire de l’Éducation nationale exerçant au lycée de la Plaine de Neauphle à Trappes. Un établissement de 650 élèves où les résultats au bac frôlent chaque année les 90 % de réussite. Et une commune, aussi, qui, il faut bien le dire, n’a rien d’un territoire apaisé de la République et a vu plusieurs de ses habitants rejoindre la zone irako-syrienne.

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  • France Info - Vivre avec le virus ou tenter de s'en débarrasser ? La France à l'heure du débat sur la stratégie "zéro Covid"

    De nombreux chercheurs défendent l'idée d'un confinement immédiat, sans attendre une possible saturation des hôpitaux. Cette mesure de courte durée permettrait de réduire le nombre de cas, et rendrait plus efficace le traçage des porteurs du virus et de leurs cas contacts.

    L'émergence de nouveaux variants a relancé le débat : faut-il se contenter de circonscrire et d'atténuer l'épidémie de Covid-19 – avec la volonté de ménager l'activité économique et préserver la santé psychologique des Français – ou bien faut-il mettre en place des mesures bien plus fermes dans une logique de suppression ? La première stratégie nécessite une adaptation très rapide des mesures à la situation sanitaire ("stop and go"), tout en tolérant un certain seuil de circulation du virus. La seconde envisage des mesures drastiques par anticipation, sans attendre une flambée dans les services de soins intensifs, ainsi qu'un traçage très étroit des cas à l'aide de différents outils. Dans Le Monde, un collectif de médecins, économistes et politistes signe une tribune et plaide pour cette solution. 

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  • Libé - Covid-19 - L’Education nationale «fait le choix de laisser circuler les variants dans nos écoles, c’est irresponsable»

    Alors que le variant britannique du coronavirus représente 20 % à 25 % des cas de contaminations au Covid-19, l’Education nationale a décidé d’alléger son protocole dans les écoles dès ce lundi, provoquant l’incompréhension et la colère des syndicats enseignants.
     
    «On a changé de protocole il y a quelques jours à peine et on revient déjà en arrière s’agace Cécile (1), 58 ans, directrice d’une petite école primaire dans l’Eure. Comme tous les enseignants, elle a découvert ce week-end, par voie de presse, le nouveau protocole sanitaire mis en ligne vendredi, en catimini, par le ministère de l’Education nationale sur son site internet.
     
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  • La Croix - La proportionnelle est-elle encore possible pour les législatives de 2022 ?

    Analyse

    Après François Bayrou, plusieurs chefs de partis mènent une offensive pour tenter d’instaurer la proportionnelle aux prochaines élections législatives, dans un an.

    La proportionnelle suscite des talents d’écriture. Dans le sillage de François Bayrou (MoDem), Julien Bayou (Europe Écologie-Les Verts), Marine Le Pen (Rassemblement national), Jean-Christophe Lagarde (UDI), Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) et Laurent Hénart (Mouvement radical) ont tous écrit à Emmanuel Macron, cette fin de semaine, pour demander l’introduction de la proportionnelle aux élections législatives prévues en juin 2022.

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  • Le Monde - Le délit de « séparatisme » voté par l’Assemblée nationale

    Cinq ans d’emprisonnement pourront notamment être requis pour toute personne menaçant, violentant ou intimidant un élu ou un agent du service public dans le but de se soustraire totalement ou partiellement aux règles des services publics.

    L’Assemblée nationale unanime a donné, jeudi 4 février au soir, son feu vert au nouveau délit de « séparatisme », une des mesures phares du projet de loi « confortant le respect des principes de la République », voulu par Emmanuel Macron. Au quatrième jour d’examen de ce texte qui entend lutter contre l’islamisme radical, les députés ont adopté son article 4 par 130 voix pour et 4 abstentions.

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  • Le Point - Scrutin proportionnel : il est « trop tard » selon Olivier Faure

    Le premier secrétaire du PS estime qu’on ne peut pas « tripatouiller » un mode de scrutin à un an d’une élection comme le souhaite François Bayrou.

    Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a estimé dimanche qu'il était « trop tard » pour introduire la proportionnelle aux législatives de 2022, se montrant réservé face à l'offensive engagée par François Bayrou et plusieurs autres présidents de partis. « Un mode de scrutin, on ne le tripatouille pas à un an d'une échéance électorale » et « si on faisait simplement cette réforme-là on aurait un Jupiter encore plus puissant et un Parlement plus affaibli », car « on aurait un seul personnage en France directement élu par les Français : le président de la République », a argumenté le patron du PS dans l'émission Dimanche en politique sur France 3.

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  • Capital - Les comptes du PS dans le rouge, la campagne pour la présidentielle de 2022 en danger

    Une “désorganisation financière” du parti, remontant à plusieurs années, est pointée du doigt dans un rapport confidentiel.

    “Nous aurons les moyens financiers de tenir une campagne présidentielle dans de bonnes conditions avec un budget qui correspond à un candidat de premier plan.” C’est ce qu’a assuré Olivier Faure, le premier secrétaire du PS, sur France 3 dimanche 8 février. Mais à en croire Le Point, rien ne serait moins sûr. Selon un document confidentiel de la direction du parti, les comptes seraient dans le rouge. Ces difficultés financières pourraient mettre en danger une candidature socialiste en vue de la présidentielle 2022.

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