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Article du jour - Page 44

  • Public Sénat - Projet de loi sur les principes républicains : les socialistes craignent la surenchère de la droite au Sénat

    La balle est bientôt dans le camp du Sénat. L’examen en première lecture du projet de loi confortant les principes républicains va faire l’objet d’un vote solennel à l’Assemblée nationale mardi 16 février. Les socialistes emmenés par la députée Valérie Rabault pourraient s’abstenir. Le groupe PS du Sénat pourrait aller plus loin, en s’opposant frontalement. « Il est fort probable que nous votions contre ce texte », a prévenu leur président Patrick Kanner. Le chef de file du groupe socialiste, écologiste et républicain du Sénat était l’invité d’Audition publique, ce 15 février 2021, sur Public Sénat, LCP-AN, en partenariat avec Le Figaro.

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  • Marianne -  Trappes : Didier Lemaire, mytho ou héros ?

    Notre pays se déchire depuis dix jours entre pro et anti sur le cas de Didier Lemaire, ce professeur de philosophie à Trappes. Et si c’était plus compliqué qu’un débat binaire ? Tentative d’éclaircissement de la situation.

    « Zozo de la République » ou « vrai lanceur d'alerte » ? « Philosophe mythomane » ou « citoyen laïque jusqu’au bout des ongles » ? À moins que ce soit les deux en même temps ou alternativement ? L’affaire n’est pas simple à dénouer. Pourtant, ça n’empêche pas notre pays de se déchirer depuis dix jours entre pro et anti sur le cas de Didier Lemaire, professeur de philosophie désormais démissionnaire de l’Éducation nationale exerçant au lycée de la Plaine de Neauphle à Trappes. Un établissement de 650 élèves où les résultats au bac frôlent chaque année les 90 % de réussite. Et une commune, aussi, qui, il faut bien le dire, n’a rien d’un territoire apaisé de la République et a vu plusieurs de ses habitants rejoindre la zone irako-syrienne.

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  • France Info - Vivre avec le virus ou tenter de s'en débarrasser ? La France à l'heure du débat sur la stratégie "zéro Covid"

    De nombreux chercheurs défendent l'idée d'un confinement immédiat, sans attendre une possible saturation des hôpitaux. Cette mesure de courte durée permettrait de réduire le nombre de cas, et rendrait plus efficace le traçage des porteurs du virus et de leurs cas contacts.

    L'émergence de nouveaux variants a relancé le débat : faut-il se contenter de circonscrire et d'atténuer l'épidémie de Covid-19 – avec la volonté de ménager l'activité économique et préserver la santé psychologique des Français – ou bien faut-il mettre en place des mesures bien plus fermes dans une logique de suppression ? La première stratégie nécessite une adaptation très rapide des mesures à la situation sanitaire ("stop and go"), tout en tolérant un certain seuil de circulation du virus. La seconde envisage des mesures drastiques par anticipation, sans attendre une flambée dans les services de soins intensifs, ainsi qu'un traçage très étroit des cas à l'aide de différents outils. Dans Le Monde, un collectif de médecins, économistes et politistes signe une tribune et plaide pour cette solution. 

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  • Libé - Covid-19 - L’Education nationale «fait le choix de laisser circuler les variants dans nos écoles, c’est irresponsable»

    Alors que le variant britannique du coronavirus représente 20 % à 25 % des cas de contaminations au Covid-19, l’Education nationale a décidé d’alléger son protocole dans les écoles dès ce lundi, provoquant l’incompréhension et la colère des syndicats enseignants.
     
    «On a changé de protocole il y a quelques jours à peine et on revient déjà en arrière s’agace Cécile (1), 58 ans, directrice d’une petite école primaire dans l’Eure. Comme tous les enseignants, elle a découvert ce week-end, par voie de presse, le nouveau protocole sanitaire mis en ligne vendredi, en catimini, par le ministère de l’Education nationale sur son site internet.
     
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  • La Croix - La proportionnelle est-elle encore possible pour les législatives de 2022 ?

    Analyse

    Après François Bayrou, plusieurs chefs de partis mènent une offensive pour tenter d’instaurer la proportionnelle aux prochaines élections législatives, dans un an.

    La proportionnelle suscite des talents d’écriture. Dans le sillage de François Bayrou (MoDem), Julien Bayou (Europe Écologie-Les Verts), Marine Le Pen (Rassemblement national), Jean-Christophe Lagarde (UDI), Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) et Laurent Hénart (Mouvement radical) ont tous écrit à Emmanuel Macron, cette fin de semaine, pour demander l’introduction de la proportionnelle aux élections législatives prévues en juin 2022.

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  • Le Monde - Le délit de « séparatisme » voté par l’Assemblée nationale

    Cinq ans d’emprisonnement pourront notamment être requis pour toute personne menaçant, violentant ou intimidant un élu ou un agent du service public dans le but de se soustraire totalement ou partiellement aux règles des services publics.

    L’Assemblée nationale unanime a donné, jeudi 4 février au soir, son feu vert au nouveau délit de « séparatisme », une des mesures phares du projet de loi « confortant le respect des principes de la République », voulu par Emmanuel Macron. Au quatrième jour d’examen de ce texte qui entend lutter contre l’islamisme radical, les députés ont adopté son article 4 par 130 voix pour et 4 abstentions.

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  • Le Point - Scrutin proportionnel : il est « trop tard » selon Olivier Faure

    Le premier secrétaire du PS estime qu’on ne peut pas « tripatouiller » un mode de scrutin à un an d’une élection comme le souhaite François Bayrou.

    Premier secrétaire du PS, Olivier Faure, a estimé dimanche qu'il était « trop tard » pour introduire la proportionnelle aux législatives de 2022, se montrant réservé face à l'offensive engagée par François Bayrou et plusieurs autres présidents de partis. « Un mode de scrutin, on ne le tripatouille pas à un an d'une échéance électorale » et « si on faisait simplement cette réforme-là on aurait un Jupiter encore plus puissant et un Parlement plus affaibli », car « on aurait un seul personnage en France directement élu par les Français : le président de la République », a argumenté le patron du PS dans l'émission Dimanche en politique sur France 3.

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  • Capital - Les comptes du PS dans le rouge, la campagne pour la présidentielle de 2022 en danger

    Une “désorganisation financière” du parti, remontant à plusieurs années, est pointée du doigt dans un rapport confidentiel.

    “Nous aurons les moyens financiers de tenir une campagne présidentielle dans de bonnes conditions avec un budget qui correspond à un candidat de premier plan.” C’est ce qu’a assuré Olivier Faure, le premier secrétaire du PS, sur France 3 dimanche 8 février. Mais à en croire Le Point, rien ne serait moins sûr. Selon un document confidentiel de la direction du parti, les comptes seraient dans le rouge. Ces difficultés financières pourraient mettre en danger une candidature socialiste en vue de la présidentielle 2022.

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  • Libé - Forum Solutions Solidaires: Tribune - L’idée d’un revenu universel de base fait son chemin

    A l'occasion des journées Solutions Solidaires dont Libération est partenaire, l'Ifop a mené une enquête sur le besoin de protection des Français en période de crise. La création d’un revenu de base minimum qui serait versé à tout le monde arrive en tête des citations. Une analyse de Jérôme Fourquet.
     
    L'enquête réalisée par l'Ifop pour Solutions solidaires permet de disposer d'un diagnostic actualisé sur les attentes des Français en matière sociale. Premier enseignement et non des moindres, quand les sondés sont appelés à choisir parmi différentes solutions qui aideraient les gens dans leur vie quotidienne, la création d'un revenu de base minimum qui serait versé à tout le monde arrive en tête des citations. 
     
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  • Libé - Revenu universel : les partis prennent la mesure

    De gauche à droite, toutes les formations politiques reprennent le concept, qui revient en force avec la crise sociale due au Covid. Mais les modalités d’application divergent fortement, et les syndicats y restent hostiles.

    «Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage.» L’adage de Boileau vaut ces temps-ci pour le revenu universel, dont l’idée revient s’installer dans le débat politique à la faveur de la crise économique et sociale, engendrée par la pandémie de Covid-19. Marginalisé depuis l’élection présidentielle de 2017 et la sévère défaite de Benoît Hamon (6,36 %), dont la mesure était bien placée dans le programme, le concept est désormais présenté par certains comme remède possible à l’explosion de la pauvreté et de la précarité.

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  • Charlie Hebdo - Vaccins : le magnifique plantage de la Commission européenne, Jacques Littauer · Mis en ligne le 4 février 2021

    Pour Ursula van der Leyen et Emmanuel Macron, le Covid était l’occasion rêvée de démontrer l’efficacité de l’Union européenne pour les citoyens. Mais rien ne s’est passé comme prévu, et, aujourd’hui, c’est Bruxelles qui pleure, et Boris Johnson qui boit du petit lait dans son tea.

    Le labo anglo-suédois AstraZeneca, dont le produit devait être « le vaccin de masse pour le premier trimestre 2021 », n’a finalement pu garantir que 25 % des plus de 100 millions de doses promises à la Commission européenne. Bien sûr, la Commission accuse le labo de favoriser le Royaume-Uni. Mais la réalité est plus simple : c’est Bruxelles qui a très mal négocié.

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