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Analyses - Page 192

  • Telos - La primaire de la «gauche de gouvernement», un piège pour qui ? Gérard Grunberg

    Il y a de multiples raisons de saluer la décision du Parti socialiste d’organiser dans tous les cas une élection primaire présidentielle. Mais y voir seulement un coup machiavélique de François Hollande pour piéger ses adversaires au sein du Parti socialiste ne rend pas compte de toute l’histoire.

    Sans pouvoir affirmer que le sondage BVA pour Le Figaro, RTL et LCI paru le 17 juin, ait été à l’origine de la décision du pouvoir socialiste, il lui a fourni néanmoins deux arguments pour aller dans ce sens. Premier argument : invités à désigner le meilleur candidat socialiste à leurs yeux pour 2017, l’ensemble des personnes interrogées ont placé François Hollande en sixième position, avec 4%, derrière Macron, Mélenchon, Valls, Montebourg et Hulot. Dans ces conditions, il devenait de plus en plus difficile pour la direction du parti de refuser une primaire si le président sortant se représentait en 2017, d’autant que l’une des raisons données à ce refus était que François Hollande était le candidat socialiste le plus apte à rassembler le PS et la gauche.

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  • "Le brexit, un choc pour la politique française"(L'Edito Politique)


    "Le brexit, un choc pour la politique française... par franceinter

  • France Culture - Plus de référendums pour plus démocratie ?

    Référendum sur le "Brexit" le 23 juin, puis sur le projet d'aéroport de Notre-Dame-Des-Landes le 26 : les jours à venir seront marqués par ces 2 consultations populaires. De façon générale, le référendum semble connaître un regain ces dernières années. Pourquoi ? Notre invité est Dominique Rousseau.

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  • "Une primaire à gauche pour légitimer le président" (L'Edito Politique)


    "Une primaire à gauche pour légitimer le... par franceinter

  • La primaire de la gauche « est une première étape dans la stratégie d’une éventuelle réélection »


    La primaire de la gauche « est une première... par publicsenat

  • Expliquez-nous... la primaire socialiste


    Expliquez-nous... la primaire socialiste par FranceInfo

  • Quels impacts doit-on attendre du CICE et du Pacte de responsabilité sur l’économie française ? par Bruno Ducoudré, Eric Heyer et Mathieu Plane

    2 juin 2016

    A la suite du Rapport Gallois de fin 2012, le gouvernement a décidé de privilégier une politique d’offre, basée sur la baisse de la fiscalité sur les entreprises, afin de lutter contre le chômage de masse et de faire face à la compétition accrue entre les partenaires de la zone euro, engagés dans des politiques de réformes structurelles et de déflation compétitive. Cette politique d’offre a pour but de rétablir la compétitivité de l’économie française et de dynamiser l’emploi, tout en maintenant le cap de réduction rapide des déficits publics structurels. Concrètement, cela a donné lieu à la mise en place du CICE, un crédit d’impôt égal à 6 % de la masse salariale correspondant aux salaires de moins de 2,5 SMIC, et du Pacte de responsabilité, correspondant à une baisse de cotisations sociales patronales pour les salaires compris entre 1 et 3,5 SMIC, ainsi qu’une baisse de la fiscalité sur les entreprises[1].

    Or début 2016, soit huit ans après le déclenchement de la crise, l’économie française vient tout juste de retrouver le niveau de PIB par habitant qui prévalait au 1er trimestre 2008, et affiche un taux de chômage proche de 10 % de la population active, soit plus de 3 points de pourcentage au-dessus de son niveau d’avant-crise. Compte tenu de ce constat, l’évaluation de l’efficacité de cette politique d’offre constitue un enjeu majeur.

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  • Observatoire des inégalités - Quelle politique pour réduire les inégalités ?

    7 juin 2016 - De l’école au monde du travail, en passant par l’accès aux soins ou au logement, la France, l’un des pays les plus riches au monde, a les moyens de s’attaquer aux inégalités. Encore faudrait-il en avoir la volonté politique. Par Louis Maurin et Nina Schmidt de l’Observatoire des inégalités. Extrait de l’ouvrage « Que faire contre les inégalités ? 30 experts s’engagent ».


    Les inégalités sont à la mode. Qu’attend-on pour agir concrètement ? [1] Définir un programme politique n’est pas le rôle de l’Observatoire des inégalités. Ce serait d’ailleurs vain puisqu’en son sein même, des sensibilités diverses s’expriment. L’ouvrage « Que faire contre les inégalités ? 30 experts s’engagent » est une boîte à idées dans laquelle vous pouvez piocher. Fiscalité, éducation, santé, logement, égalité entre les femmes et les hommes, etc. : de nombreux domaines y sont abordés. À un an de l’élection présidentielle, il ne devrait pas être inutile. Sans tenter de faire une synthèse des contributions, au moins peut-on essayer de donner quelques pistes qui sortent des sentiers partisans traditionnels.

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  • Le Monde - L’avenir des solidarités bouleversées par le numérique

    Où sont passées les protections sociales et les institutions qui les défendent ? Dans un monde « sans alternative », les protections sociales semblent partout reculer, comme l’illustre la lutte contre la loi travail. « Qu’est-il arrivé aux solidarités traditionnelles ? », interrogeait Arthur de Grave (@arthdeg), rédacteur en chef de Ouishare Magazine, lors d’une session du Ouishare Festival, qui se tenait mi-mai 2016 au Cabaret Sauvage à Paris.

    Pour Laetitia Vitaud (@vitolae), de Switch Collective, une startup qui propose des bilans de compétence nouvelle génération comme l’expliquait un article de 20minutes, les solidarités se sont créées pour répondre aux défis de la production de masse, en défendant la protection sociale via des syndicats d’autant plus puissants qu’ils étaient le reflet de très grandes entreprises et de métiers très organisés. Des institutions publiques, puissantes, ont accompagné et promu des réponses aux risques de masse nés de la société industrielle. Mais, ces institutions n’ont pas évolué avec la fin des industries et le développement d’une société de services. Elles ne se sont pas reconfigurées pour répondre aux nouvelles aspirations sociales, économiques et politiques. Quelque chose n’a pas été inventé, implémenté… Les institutions anciennes se désagrègent peu à peu, à l’image des syndicats, sans être remplacées par de nouvelles. Les nouveaux risques d’une société de service, d’une société connectée, en réseau, ne sont désormais pas couverts.

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  • Paris Match - Michel Rocard: "Le risque de la fin du PS existe

    L’ancien Premier ministre Michel Rocard, père de la deuxième gauche, s’inquiète pour l’avenir de la France et… de la gauche. Il estime en revanche que Manuel Valls a trop misé sur cette loi travail mais qu’il ne doit pas démissionner.

    Paris Match. Sommes-nous dans une impasse politique?

    Michel Rocard. Pas encore. Nous ne sommes pas arrivés au terme du processus. Mais nous sommes dans un moment de crispation politique très grave parce qu’inhabituel dans son ampleur. Surtout, et c’est le plus inquiétant, il n’y a aujourd’hui aucune négociation entre les partenaires sociaux et le patronat.

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