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Analyses - Page 189

  • Libé - Consternation Hollande, chut libre

    Vu l’eau qui s’engouffre depuis mercredi dans le navire présidentiel, la métaphore marine s’est imposée chez les socialistes. Le dernier livre en date consacré aux confidences de François Hollande (Un président ne devrait pas dire ça…) et son cortège de petites phrases sur les magistrats, les joueurs de foot, le Parti socialiste, les ministres ou sa vie privée, c’est un «naufrage de communication politique» pour les uns, un «sabordage de candidature» présidentielle, disent les autres. «On était déjà au fond de la mer et je ne pensais pas qu’on pouvait tomber plus bas, se désole un ténor de la majorité. Mais là le Titanic on ne le retrouvera jamais. On est perdus dans la fosse des Mariannes», la faille océanique la plus profonde du globe, en plein océan Pacifique.

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  • Fondation Jean Jaurès - La situation politique en Turquie après le coup d’Etat raté

    Suite au coup d’Etat raté du 15 juillet 2016, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a accentué et accéléré le durcissement du régime. Aydin Cingi, directeur de la SODEV (Fondation pour la social-démocratie, Turquie), décrit et analyse l’évolution de la situation politique du pays et ses conséquences sur le fonctionnement démocratique de la Turquie

  • Marianne - Dominique Schnapper sur les migrants : "Il n'y a qu'une seule voie, l'intégration républicaine

    En marge des Rendez-vous de l'Histoire de Blois qui ont commencé le 6 octobre, la sociologue Dominique Schnapper répond aux questions de "Marianne" sur la crise migratoire. Pour l'universitaire, il faut offrir l'hospitalité aux réfugiés, dans une certaine proportion.

    Marianne : Depuis plus d'un an, la crise migratoire remodèle les rapports de force à l'échelle de l'Union européenne. Quelle analyse faites-vous du revirement d'Angela Merkel ? A-t-elle eu raison de prononcer son mea culpa ?

    Dominique Schnapper : Laissons de côté le seul point de vue moral. Les démocraties sont contraintes par leur nature même à tenir compte de l'opinion publique. Et le fait est que les populations européennes sont, aujourd'hui, majoritairement hostiles à la présence en terre européenne des migrants, comme le révèle la dernière étude de l'Ifop commandée par la Fondation Jean-Jaurès. Je ne pense pas que Mme Merkel ait prononcé de bon cœur ce «mea culpa», mais elle l'a fait par réalisme, pour ne pas s'aliéner la part de son opinion publique tentée par les sirènes de l'AfD [Alternative für Deutschland].

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  • Le Point - A six mois de la présidentielle, l'élan brisé de Hollande

    A six mois de la présidentielle, le séisme provoqué par les confidences de François Hollande à des journalistes du Monde relance les spéculations sur une candidature à la présidentielle de 2017 qui paraissait acquise et menace désormais de chavirer

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  • Jean Gadrey - Revenu de base : du nouveau ?

    Reprise de blog (après une longue interruption estivale où j’ai cultivé l’antiproductivisme ensoleillé) sur un thème que j’ai souvent abordé. Mais j’ai été amené à y revenir il y a quelques heures à l’occasion d’un bon débat public organisé par Utopia et le MFRB (mouvement français pour le revenu de base, ou RB). Ce billet trop long reprend une partie de mes arguments.

    [Ajout du 26 septembre : la vidéo de mon intervention, d’une durée de 27 minutes, a été mise en ligne par les organisateurs/trices. Voir ce lien https://youtu.be/5Bo38e-_OK4]

    J’avais eu le 1° mars dernier, à l’initiative d’Attac, un débat contradictoire et constructif sur le RB avec deux bons avocats de cette cause, membres du MFRB. Mais en six mois, des éléments nouveaux sont apparus. Pour l’instant, je ne suis toujours pas prêt à signer, en raison de risques sérieux de dérive néolibérale d’une idée a priori généreuse. Mais je suis un peu moins critique que je l’étais en mars dernier compte tenu de ces nouvelles pièces versées au dossier.

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  • La Vie des Idées - Des mondialisations plus discrètes Vers une nouvelle géographie des échanges mondiaux

    Les grandes multinationales ne sont pas les seuls acteurs de la mondialisation. Celle-ci s’incarne aussi dans des formes moins visibles d’échange, qui prennent place dans des espaces souvent tenus pour marginaux. Armelle Choplin et Olivier Pliez attirent notre regard sur ce commerce en mode mineur.

    Si les manifestations de la mondialisation sont omniprésentes, ses acteurs et ses espaces, quant à eux, peuvent demeurer discrets. Les routes de l’échange transnational, maritimes plus que terrestres, ont ainsi connu depuis une trentaine d’années de profondes mutations. À une extrémité de ces routes, on célèbre l’émergence de l’un de ces nouveaux centres, la Chine, d’où partent des produits manufacturés vers l’ensemble de la planète. À l’autre bout, le « Made in China » est particulièrement visible, ayant fait une percée récente sur le « marché des pauvres ».

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  • "Un président ne devrait pas dire ça..." : quel est l'objectif poursuivi par François Hollande ?


    "Un président ne devrait pas dire ça..... par francetvinfo

  • Thomas Piketty: "Le plus important c'est de contraindre les candidats à s'engager précisément sur les questions de fond: la mixité à l'école, la réforme fiscale, la refondation européenne"


    Thomas Piketty: "Le plus important c'est de... par franceinter

  • Telos - La solitude du président Gérard Grunberg 28 septembre 2016

    Dans sa récente interview à la revue Le Débat (n°191, septembre/octobre 2016), François Hollande regrette d’avoir manqué de partenaires et d’alliés pour pouvoir mener sa politique. Il soulève à ce propos un point important qu’il analyse comme l’un des vices de la Ve République : « En France, le président, même avec une majorité absolue à l’Assemblée nationale, est minoritaire dans le pays, par la nature même du système politique et des clivages structurés par l’élection présidentielle. » Il remarque en effet que le parti majoritaire ne représente dans le pays qu’entre un quart et un tiers des voix. « À la différence des pays parlementaires, poursuit-il, où les dirigeants, grâce à des coalitions, peuvent s’appuyer sur des majorités larges, le président français ne bénéficie en réalité que d’une assise étroite dans le pays ». Cette situation du président sera demain sans issue, ajoute-t-il, puisqu’élu face au Front national, il le sera « par défaut et non par adhésion. La contestation de son action est inscrite dans les données du scrutin », conclut-il.

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  • François Dubet répond aux questions d'Ali Baddou


    François Dubet répond aux questions d'Ali Baddou par franceinter