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Analyses - Page 189

  • On va plus loin : La nation rend hommage aux victimes des attentats / Islam : Des études pour quoi faire ? / Louis Gallois est l'invité du Grand Entretien (19/09/2016)


    On va plus loin : La nation rend hommage aux... par publicsenat

    Les titres :
    La nation rend hommage aux victimes des attentats
    Islam : Des études pour quoi faire ?
    Louis Gallois est l'invité du Grand Entretien
    Fausse alerte à Paris : Un mineur arrêté

    Avec :
    Laurent BOUVET : Politologue, Professeur d'Université Auteur de "L'insécurité culturelle" Ed. Fayard,
    Laurent JOFFRIN : Directeur de la publication de Libération,
    Jean GARRIGUES : Historien Président du Comité d'histoire parlementaire et politique,
    Samia MAKTOUF : Avocate de familles de victimes,
    Alain MERGIER : Sociologue Auteur de "2015, année terroriste" Ed. Fondation Jean Jaurès,
    Gérard LOPEZ : Association française des victimes du terrorisme,
    Louis GALLOIS : Ancien dirigeant d'entreprises Président de la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion.
    Présenté par Sonia MABROUK.

  • Gaël Giraud, de l'AFD, répond aux questions de Patrick Cohen


    Gaël Giraud, de l'AFD, répond aux questions de... par franceinter

  • Gaël Giraud, économiste répond aux questions des auditeurs de France Inter


    Gaël Giraud, économiste répond aux questions... par franceinter

  • Altereco+ - L’étrange bilan de François Hollande, Xavier Timbeau

    La politique économique des gouvernements de François Hollande aura suivi un cap constant. Baisse conséquente des prélèvements sur les entreprises suite au rapport Gallois, financée par des hausses de prélèvements sur les ménages ainsi qu’une (relative) maîtrise de la dépense publique. Avec l'objectif de réduire le déficit public et de passer en dessous du seuil de 3 % (voir le bilan publié récemment par l’OFCE ou cette note de blog).

    Constance donc, mais un résultat désastreux puisqu’il ne débouchera que sur une maigre inversion de la courbe du chômage quatre années après avoir été mis en œuvre. La raison ? Un effet récessif de la hausse des prélèvements sur les ménages et de la réduction de la dépense publique alors que les effets de la politique de l’offre sont d’abord dans les comptes des entreprises et ne se traduiront que plus bien tard sur l’activité.

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  • Observatoire des inégalités - Un million de pauvres de plus en dix ans

    6 septembre 2016 - La France compte entre 5 et 8,8 millions de pauvres selon la définition adoptée. Entre 2004 et 2014, le nombre de personnes concernées a augmenté d’un million au seuil à 50 % du revenu médian comme au seuil de 60 %, principalement sous l’effet de la progression du chômage.


    La France compte 5 millions de pauvres au seuil à 50 % du revenu médian [1] et 8,8 millions à celui de 60 %, selon les données 2014 de l’Insee (dernière année disponible). Dans le premier cas, le taux de pauvreté est de 8,1 %, dans le second de 14,1 %. Quelque soit le seuil retenu, le taux de pauvreté s’élève de 1,2 point. Au cours des dix dernières années (2004-2014), le nombre de pauvres a augmenté de 950 000 au seuil à 50 % et de 1,2 million au seuil à 60 %.

    La pauvreté a fortement progressé à partir de 2008, avec l’accentuation des difficultés économiques liées à la crise financière. Entre 2008 et 2012, le nombre de pauvres, au seuil à 50 % comme à 60 %, a augmenté de 800 000. Le taux de pauvreté à 50 % s’est élevé de 7 à 8 %, celui à 60 % de 13 à 14 %. Depuis 2012, le taux et le nombre de pauvres stagnent selon l’Insee.

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  • L’économiste Joseph Stiglitz : "L’Euro est à la limite de l’effondrement


    L’économiste Joseph Stiglitz : "L’Euro est à la... par franceinfo

  • OFCE - Italie et marché du travail : une embellie à nuancer

    8 septembre 2016

    Par Céline Antonin

    Depuis le début 2015, le retour de la croissance, la mise en œuvre de l’acte II du Jobs Act de Matteo Renzi, et la baisse des charges sur les entreprises, ont indéniablement contribué à l’embellie sur le front de l’emploi en Italie. Le dynamisme des créations d’emplois, notamment en CDI et la hausse de la population active, ont pu donner le sentiment que la libéralisation (partielle) avait résolu les faiblesses structurelles du marché du travail. Pourtant, au premier semestre 2016, les créations d’emplois en CDI se sont très fortement taries et c’est désormais l’augmentation des CDD et contrats indépendants qui contribue à la croissance de l’emploi. Par ailleurs, la productivité du travail a stagné avec un enrichissement de la croissance en emplois, en particulier dans le secteur des services. Par conséquent, en l’absence d’autres mesures complémentaires pour résoudre les fragilités structurelles de l’Italie, l’embellie sur le marché du travail risque de ne pas durer.

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  • Observatoire des inégalités - Les seuils de pauvreté en France

    6 septembre 2016 - En France, un individu est considéré comme pauvre quand ses revenus mensuels sont inférieurs à 840 ou 1 008 euros selon le seuil de pauvreté adopté.


    En France métropolitaine, un individu est considéré comme pauvre quand ses revenus mensuels sont inférieurs à 840 euros ou 1 000 euros après impôts et prestations sociales (Insee, données 2014), selon la définition de la pauvreté utilisée (seuil à 50 % ou à 60 % du niveau de vie médian). Depuis 2009, le seuil de pauvreté a diminué du fait de la baisse du niveau de vie médian [1]. Le seuil à 60 % a perdu 12 euros depuis 2009 ; le seuil à 50 %, 11 euros.

    Entre 1970 et 2009, le seuil de pauvreté à 50 % avait doublé de 400 à 850 euros (en euros constants, c’est-à-dire une fois que l’on a retiré l’inflation). Cette évolution est due à l’utilisation d’une définition relative de la pauvreté : le seuil de pauvreté dépend de la richesse de notre société. En dépit du ralentissement de la croissance à partir des années 1970, la France a continué à s’enrichir. Le seuil de pauvreté d’aujourd’hui, mesuré à 50 % du niveau de vie médian, est équivalent au niveau de vie médian de 1970. Une partie des pauvres d’aujourd’hui dispose de niveaux de vie proches de ceux des classes moyennes de l’époque.

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  • Observatoire des inégalités - L’argent est redevenu un facteur essentiel d’inégalités scolaires

    1er septembre 2016 - Cours privés, voyages à l’étranger, filières privées... le niveau de vie des parents devient de plus en plus déterminant dans la réussite scolaire des enfants, engendrant de nouvelles inégalités devant l’école. L’analyse d’Arnaud Parienty, professeur de sciences économiques et sociales et auteur de « School business » (La Découverte, 2015).


    L’école en France est toujours supposée être celle de Jules Ferry, publique, gratuite, laïque et obligatoire. Mais la situation a progressivement évolué et le changement s’est accéléré ces dernières années ; si bien qu’aujourd’hui, la France est un pays où l’argent des familles joue un rôle déterminant dans la réussite scolaire des enfants, engendrant de nouvelles inégalités devant l’école.

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  • OFCE - Le quinquennat de François Hollande : enlisement ou rétablissement ?

    5 septembre 2016

    Par OFCE

    Le quinquennat de François Hollande a été marqué par des difficultés économiques profondes mais également par un début d’embellie cette dernière année de mandat. La France aura donc connu une croissance faible de 2012 à 2014, du fait notamment de la politique de consolidation budgétaire, puis une croissance modérée au-delà.

    L’ampleur du choc fiscal en début de quinquennat, dont l’impact négatif sur la croissance avait été sous-estimé par le gouvernement, n’était pas compatible avec une baisse du chômage au cours de la première moitié du mandat.

    L’effort d’assainissement des finances publiques aura conduit à un ajustement budgétaire conséquent, en repoussant cependant l’objectif de 3 % de déficit public à la fin du quinquennat. Selon les calculs de la Commission européenne, le solde structurel français (c’est-à-dire le solde corrigé des effets de la conjoncture) se serait amélioré de 2,5 points sur la période 2012-2016. Malgré tout, cet effort n’a pas empêché la dette publique d’atteindre un point haut historique, et de diverger sensiblement par rapport à celle de l’Allemagne.

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  • OFCE - La baisse du chômage annoncée par l’Insee confirmée en juillet par Pôle emploi

    24 août 2016

    Département Analyse et prévision (Equipe France)

    Les chiffres du chômage du mois de juillet 2016 publiés par Pôle Emploi font apparaître, après les deux hausses consécutives de mai (+ 9 200) et juin (+ 5 400), une baisse du nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois (DEFM) n’exerçant aucune activité (catégorie A) de 19 100 personnes en France métropolitaine. Sur les trois derniers mois la baisse est de 4 500 personnes et sur un an, le nombre de demandeurs d’emploi n’exerçant aucune activité s’est réduit de 44 100 individus. Ces évolutions viennent confirmer l’amélioration du marché du travail en France depuis le début de l’année et confirmée à la mi-août par la publication de l’INSEE du chômage au sens du BIT (cf. ci-dessous). Le chômage de longue durée a amorcé sa décrue (-2,2 % sur les trois derniers mois) alors même qu’il n’avait cessé de croître depuis la fin de l’année 2008 et le chômage des seniors continue de s’infléchir légèrement (-0,2 % sur 3 mois). Notons toutefois que la montée en charge du plan de formation instauré par François Hollande au début de l’année explique en partie ces évolutions encourageantes. Ainsi, au cours des 3 derniers mois, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie D a crû de 10,1 %, soit près de 30 000 personnes supplémentaires, sous l’effet principalement des entrées dans les dispositifs de formation comptabilisées dans cette catégorie[1].

    La suite ici
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