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  • Le Figaro : Avec leur nouvelle chaîne Twitch, les socialistes tentent d'investir les réseaux sociaux

    Le patron des députés PS, Boris Vallaud, débarque sur la plateforme Twitch avec son collègue Philippe Brun. Un moyen de dépoussiérer l'image du vieux parti à la rose.

    Il y a comme un air de Starsky et Hutch, la Ford Torino rouge en moins. Dans son bureau qui jouxte l’Assemblée nationale, où ses équipes ont bricolé à la va-vite un studio, Philippe Brun livre sa recette : «Deux députés socialistes ringards, une webcam et un tchat.» L’élu de l’Eure a trouvé son Hutch, blond comme le vrai, en Boris Vallaud, patron des députés PS. Ensemble, ils ont lancé mercredi 5 avril leur émission hebdomadaire «Boris et Philippe», diffusée sur la plateforme Twitch. Un réseau social de «niche», prisé par les fans de jeux vidéo et devenu, au fil des campagnes, un nouveau terrain de conquête politique. En moins d’une heure, face caméra, le duo de socialistes présente sa revue de presse, ponctuée de blagues et d’anecdotes. Mais sans perdre de vue le message politique : on y parle nationalisation d’EDF, fraude fiscale, 49.3… «Darmanin, on va lui faire son compte ce soir», prévient Philippe Brun, qui a fait tomber la cravate pour l’occasion.

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  • Sondage : la grogne et les vraies priorités économiques et sociales des Français [Olivier Passet]

    Depuis la réélection d'Emmanuel Macron, la réforme des retraites monopolise le débat, reléguant au second plan les difficultés et les aspirations mises à jour par la crise sanitaire ou la guerre en Ukraine. Rarement les citoyens n'auront été percutés dans un temps si bref par autant d'enjeux existentiels : prise de conscience du délabrement et de la sous-capacité de notre système de santé, hyper-vulnérabilité de nos approvisionnements stratégiques, défaut de reconnaissance sociale des travailleurs « invisibles », enchaînement de catastrophes climatiques, repolarisation hostile du monde.

    Or c'est ce moment de l'Histoire qu'Emmanuel Macron choisit pour rejouer la partition du « no alternative » thatchérien. Face à un front du refus qui rallie deux tiers de l'opinion, mille interprétations se bousculent : lassitude, crispation sur les acquis sociaux, rejet des élites, etc. Des interprétations qui réduisent complaisamment l'opinion française à sa dimension «réfractaire », arc-boutée sur les acquis sociaux. Mais renversons la perspective : que souhaitent au juste les Français ? Ne sont-ils que dans la résistance au changement ou aspirent-ils à autre chose ? Le sondage OpinionWay réalisé pour les Printemps de l'économie, a précisément pour but d'analyser les domaines d'engagement auxquels les Français accordent le plus d'importance, ainsi que les acteurs et les moyens qu'ils souhaitent pour les incarner. Sa lecture nous livre un éclairage nouveau sur les racines de leur mécontentement. [...]

  • Boris Vallaud au Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro

    France Info - Réforme des retraites : Boris Vallaud décrit Emmanuel Macron comme "un forcené" à l'origine d'"un coup de force démocratique"

    "L'obstination est mauvaise conseillère", a estimé dimanche le chef de file des députés socialistes lors du "Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro", évoquant un chef de l'Etat "retranché à l'Élysée".
    La mobilisation contre la réforme des retraites continue à gauche. Le chef de file des députés PS, Boris Vallaud, s'en est à nouveau pris à Emmanuel Macron, dimanche 9 avril lors de l'émission "Le Grand JuryRTL-LCI-Le Figaro". Le socialiste a décrit le chef de l'Etat comme un "forcené (...) retranché à l'Elysée".  Le député des Landes l'a également accusé d'avoir provoqué une crise et un "coup de force démocratique" en "brutalisant" le Parlement et en n'écoutant pas la rue sur la réforme des retraites.
     
     
    Boris Vallaud tire à boulets rouges sur le chef de l'État. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le patron des députés socialistes a tancé un président «forcené», «retranché à l'Élysée» et guidé par sa seule «obstination» sur la réforme des retraites. «Je n'accepte pas qu'Emmanuel Macron qu'il a mandat pour appliquer cette réforme», a-t-il déploré. Auditionné par le Conseil constitutionnel, Boris Vallaud a «de grands espoirs» que le texte soit censuré par les neuf juges. L'institution de la rue Montpensier doit trancher, jeudi 14 avril, sur la conformité du projet de loi à la Constitution. «Nous contestons la clarté et la sincérité du débat que nous avons eu», a fait valoir Boris Vallaud, rappelant que les Sages se prononcent «en droit» et non sur le «fond».
     
     
    INVITÉ RTL - Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée, a critiqué "l'obstination" du président de la République, dimanche 9 avril lors du "Grand Jury RTL - Le Figaro - LCI".
     
    Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, a vivement critiqué "l'obstination" d'Emmanuel Macron vis-à-vis de la réforme des retraites. "Certains présidents se grandissent d'écouter leur contradicteur, ça a été le cas pour le CPE ou encore pour les manifestations contre l'école libre sous François Mitterrand. De temps en temps l'obstination est mauvaise conseillère, on a un président qui est un forcené", est allé jusqu'à estimer le député socialiste. 
  • Le capitalisme digital va se percuter contre le temps disponible [Olivier Passet]

    Le numérique ne cesse de nous égarer dans sa propre mythologie. De l'explosion digitale nous attendons un surcroît de productivité, notamment à travers la prise en charge des taches intellectuelles de plus en plus élaborées. Et nous attendons aussi une extension du domaine de la consommation, vers sa dimension la plus virtuelle. La consommation avait déjà connu sa mue immatérielle à travers la montée des services. Mais ces services qu'ils soient le loisir, de soin, d'éducation, de transport, demandent un fort engagement des individus et le plus souvent une forte interaction humaine entre le prestataire et le client, qui limite leur potentiel d'extension et leurs gains de productivité. [...]

  • Jacinda Ardern : « On peut être gentil... et diriger ! »

    Face au Parlement, l’ancienne première ministre néo-zélandaise, qui a démissionné en février, était émue à l’occasion de son dernier discours. « Vous pouvez être anxieux, gentil, un intello et diriger, tout comme moi », a-t-elle affirmé, les larmes aux yeux.

  • L'article de la fin de semaine : Observatoire des inégalités - Budget et consommation : ce qui distingue les classes sociales

    Cadres et ouvriers ont des budgets différents, en montant et dans leur composition. Ces écarts permettent de comprendre où se niche la distinction sociale. On saisit aussi les effets différenciés de l’inflation. Une analyse extraite du Centre d’observation de la société.

    Chaque année, un ménage français dépense 27 400 euros en moyenne, soit 2 300 par mois, selon l’enquête sur le budget des familles réalisée par l’Insee en 2017. Quand les cadres disposent de 3 600 euros mensuels à dépenser, les ouvriers n’ont que 2 000 euros par ménage.

    L’étude de la composition des dépenses est riche d’enseignements sur les modes de vie. Elle permet aussi de mieux comprendre l’impact de l’inflation aujourd’hui.

    Les postes qui occupent une place plus importante chez les ouvriers

    Les biens de base constituent une part plus importante du budget des catégories les moins favorisées. Le poste « alimentation et boissons non alcoolisées » est – en proportion de leur budget –plus élevé chez les ouvriers que chez les cadres supérieurs (16,4 % contre 13,5 %). Ces derniers peuvent s’offrir de la nourriture de qualité supérieure, plus chère (des produits bios, par exemple), mais ne mangent pas dix fois par jour : leur budget alimentation plafonne donc, rapporté à leur revenu.

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  • Reporterre - Un tiers de l’eau potable en France est contaminé par un pesticide

    C’est une catastrophe souterraine que révèle dans un rapport du 6 avril l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Un tiers de l’eau potable distribuée en France serait non conforme à la réglementation et pollué par les métabolites du chlorothalonil, un pesticide commercialisé par Syngenta, utilisé depuis 1970 et interdit en 2019. Dans un article du Monde, un responsable technique d’un gros opérateur public dit être « convaincu que plus de la moitié de la population française est concernée ». Certaines eaux embouteillées ne seraient également pas épargnées.

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  • LE TALK : AFFAIRE MCKINSEY, on vous révèle de nouveaux témoignages !

    Une enquête de la cellule investigation de l’affaire McKinsey révèle des témoignages inédits sur le rôle du cabinet américain dans la présidentielle 2017. C'est le sujet du Talk franceinfo. Tous les soirs, à partir de 18 heures, Manon Mella et ses invités débattent avec les internautes de la chaîne Twitch de franceinfo.