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  • PS - Replay #Liveduprojet​​ : Un nouveau pacte social-écologique

    Vous avez manqué le live du projet ? Aucun problème ! 
    Nous vous proposons de revoir en replay les grandes séquences du live !  

    Retrouvez la première séquence en plateau du live avec Dominique Potier et Aurore Lalucq intitulée "Un nouveau pacte social-écologique !  

  • SocioloGeek - Mark Granovetter - SocioClassic #2

    A la suite du SocioloGeek #7 sur les réseaux dans Game Of Thrones, un petit retour sur l'analyse des réseaux sociaux et notamment sur un personnage célèbre de la sociologie économique : Mark Granovetter, pionnier dans la recherche sur les façons dont le réseaux social peut se révéler utile dans la recherche d'un emploi.

  • Replay #LiveDuProjet​ : La transition commence en bas de chez nous

    Retrouvez la deuxième partie de notre émission intitulée : « La transition commence en bas de chez nous » avec Emmanuelle Cosse, Jean-François Debat et Cédric Van Styvendael.

  • Dynamiser les territoires avec les monnaies locales [Michel Aglietta]

    Xerfi Canal a reçu Michel Aglietta, économiste, conseiller scientifique au CEPII et professeur émérite à l'Université Paris Ouest, pour parler des monnaies locales.  Une interview menée par Laurent Faibis.

  • La Vie des idées - Les dernières heures des Trente Glorieuses

    À propos de : Donald Reid, L’affaire Lip, 1968-1981, Presses universitaires de Rennes

    Un ouvrage de référence sur l’affaire Lip revient sur cet événement charnière, qui marque la fin des insubordinations ouvrières et le début d’une nouvelle ère, frappée par la crise et le chômage de masse.

    « Quelle force, quel sens peut-on tirer d’une défaite ? » (p. 486). C’est ainsi que Donald Reid, professeur d’histoire spécialiste du mouvement ouvrier français à l’University of North Carolina, s’interroge en conclusion sur « l’affaire Lip ». D’une richesse archivistique, documentaire et thématique remarquable (la traduction d’Hélène Chuquet mérite d’être saluée), l’ouvrage se propose de revenir sur celle-ci. C’est une gageure, tant le sujet a suscité de travaux à la fois militants et savants (parfois les deux ensembles). L’auteur, disons-le tout de suite, présente ici un ouvrage appelé à être une référence, comme l’indique l’historien Patrick Fridenson en introduction.

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  • L'Obs - « La laïcité n’est pas une identité, et n’a pas la fonction d’exclure », par Olivier Abel

    TRIBUNE. Pour le philosophe, spécialiste de Paul Ricœur, il faut « à la fois faire place à la diversité des mémoires, même minoritaires, tout en s’assurant que la majorité se reconnaisse dans un récit commun ».

  • Marianne - "Les Français s'en fichent" : l'Élysée dément les propos attribués à Emmanuel Macron visant Marlène Schiappa

    Un article de BFMTV rapportait des propos virulents d'Emmanuel Macron contre les états généraux de la laïcité organisés par Marlène Schiappa, visant notamment l'essayiste Caroline Fourest qui y participe. L'Élysée dément auprès de "Marianne". Un incident symptomatique d'une bataille active en coulisses entre défenseurs de différents courants de la laïcité au sein de la majorité.

    La colère de Jupiter ? À en croire BFMTV, Emmanuel Macron serait descendu de l’Olympe ce mercredi pour bousculer l’une de ses lieutenants. Selon les tauliers de l’info en continu, le président s’en serait pris à Marlène Schiappa en plein conseil des ministres. La raison de sa foudre ? Les états généraux de la laïcité dont il n’aurait pas apprécié le lancement mardi dernier : « Les Français s'en fichent et moi aussi. » aurait-il lancé selon un article de la chaîne au micro bleu publié ce 22 avril. Accompagné d’un sec : « On n'a pas besoin de colloque, de forum ou de je ne sais quoi. Si c'est pour regarder le film de Caroline Fourest sur Tariq Ramadan, on l'a déjà vu, on a bien compris. »

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  • Revue Projet - Lutter contre la pauvreté / L’insertion économique : quelles places pour les moins qualifiés ?

    Pour ce nouveau cycle de webinaires, nous décidons de centrer notre réflexion sur la dimension économique de la lutte contre la pauvreté en croisant les travaux de chercheurs, l’expériences d’acteurs de terrain et l’engagement de personnalités militantes et politiques. Qu’elle s’exprime dans les discours présidentiels ou dans les actions en faveur de l’insertion professionnelle dans le plan de relance décidé par le gouvernement actuel, la politique en faveur du retour à l’emploi invite à examiner de près les réalités du marché de l’emploi aujourd’hui et à questionner l’efficacité des dispositifs d’insertion dans le contexte très difficile que nous traversons.

    Si tout le monde s’accorde sur le fait qu’il ne suffit pas de « traverser la rue », à quel emploi peuvent effectivement prétendre les personnes au chômage, surtout quand elles sont peu ou pas qualifiées ? Dans un contexte déprimé et en forte transformation, sur quels types d’emploi débouchent les politiques d’insertion ? S’agit-il d’emplois durables ou les chômeurs peu qualifiés doivent-ils se résigner à occuper des emplois précaires ? Bref, dans un contexte aussi difficile que celui qu’on connait aujourd’hui, le retour à l’emploi constitue-t-il une hypothèse plausible ?

    Avec la participation de : - Bruno Palier, directeur de recherche CNRS en sciences politique au CEE-Sciences Po, spécialiste de la protection sociale et des politiques publiques, - Davina Hundert, directrice de Cités Coop, coopérative qui accompagne les porteurs de projet en situation de précarité vers la création de leur activité (75), - Alain Robin, directeur de la Maison de l’emploi et de la Mission locale du Bocage Bressuirais (79) - Chloé Simeha, directrice générale de Croix-Rouge insertion, une initiative de la Croix-Rouge française pour faire du développement de l’emploi dans les territoires un axe majeur de la lutte contre la précarité. Animé par Laurence Estival, journaliste spécialiste des questions économiques et sociales et coordinatrice du dosser « Emploi : où est-ce qu’on va ? » de la Revue Projet (n°381 – avril-mai 2021).

  • Dis-leur que l'on s'aime/sème (Flashmob général, 17 avril 2021 - Narbonne (théâtre de l'Odéon)

    Le 17 avril 2021, un flashmob général était organisé dans toutes la France, des performances artistiques simultanées dans toutes la France, à midi pile, autour des chansons "danser encore" mais aussi "dis-leur que l'on s'aime/sème). Accompagné d'artistes locaux, HK participait à l'une d'entre elles, à Narbonne, face au marché, puis devant le théâtre de l'Odéon occupé. 
    Une deuxième édition du flashmob général se déroule le samedi qui suit.

  • PS - Renforcer la formation des policiers

     

    - Lundi 19 avril 2021

    David Habib, secrétaire national à la sécurité et à la protection des français

    Ce 19 avril, le Président de la République Emmanuel Macron est en déplacement dans l’Hérault sur le thème de la sécurité. Il a confirmé l’arrivée de 50 policiers supplémentaires et la création d’une école de guerre, académie de formation, dans la métropole de Montpellier.

    La police souffre encore des « années Sarkozy » : entre 2007 et 2012, près de 13 000 postes ont été supprimés et près d’une douzaine d’écoles de police ont été fermées. Si le gouvernement actuel poursuit et respecte son engagement de recruter 10 000 policiers, il faut rappeler qu’en 2020, le temps en école a été réduit de douze à huit mois.

    Les socialistes ont multiplié les alertes sur l’importance de la formation des policiers. En 2013, une réforme du code de déontologie avait été engagée par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault et en 2016, une Direction centrale de la formation, avec 2 500 collaborateurs, avait été créée par Bernard Cazeneuve.

    Plusieurs propositions ont également été faites, comme par exemple la diversification des stages en formation initiale (dans les milieux associatifs ou auprès de la Justice) ; l’augmentation du temps de formation en école ; la réintroduction en formation de sujets comme les valeurs de la République, l’accueil des victimes ou la confrontation ; et une formation en management pour les futurs officiers.

    Enfin, les socialistes ont demandé à ce que le niveau d’exigence des concours soit rehaussé. L’augmentation du nombre de policiers recrutés nous oblige à consolider les cycles de formation. Une véritable police du quotidien ne peut se limiter à une seule augmentation des effectifs. Il lui faut un cadre clair et des objectifs précis ; c’est la condition pour faire de la police un véritable service public.