Web Analytics

compteur

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 8

  • Fondation Jean Jaurès - Les nations ont-elles encore un sens ?

    Peut-on reprendre le contrôle d’une mondialisation débridée dont les dégâts se font sentir chaque jour sur la démocratie, l’environnement et la justice sociale ? Oui, grâce aux nations, selon David Djaïz, haut fonctionnaire et enseignant à Sciences Po, car elle restent les leviers les plus efficaces pour ne plus être les témoins impuissants des dérèglements en cours.

    Il en débat à la Fondation à l’occasion de la parution de son nouveau livre, "Slow démocratie. Comment maîtriser la mondialisation et reprendre notre destin en main" (Allary, octobre 2019), aux côtés de Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion et stratégie d’entreprise de l’Ifop, auteur de "L’Archipel français. Naissance d’une nation multiple et divisée" (Seuil, 2019).
    La rencontre est animée par Jérémie Peltier, directeur des études de la Fondation Jean-Jaurès.

  • Télérama - Edgar Morin : une heure en tête-à-tête

    Il a ausculté les stars, l’Europe, la culture de masse, la nature, la mort. À inventé les « yéyés », la « politique de civilisation » et la « sociologie du présent ». On lui doit aussi un livre indémodable sur la grande illusion du communisme, Autocritique, une émouvante autobiographie familiale, Vidal et les siens, et, bien sûr, la monumentale Méthode, son œuvre majeure, où Edgar Morin se fait aventurier de la pensée complexe, pour mieux relier les savoirs et « englober au lieu de séparer ». Partir à l’abordage de tant de thèmes, explorer tant de mondes en aurait effrayé plus d’un, mais Edgar Morin est ainsi : il aime « braconner le savoir », comme il dit, railler les frontières et les étiquettes. Rencontre avec ce héros de la Résistance et insatiable « omnivore culturel », qui vient de fêter ses 98 ans et publie cet automne Les souvenirs viennent à ma rencontre, son dernier livre de Mémoires.

  • On n'a pas de moule - La chanson de Frédéric Fromet

    Frédéric Fromet a essayé de se mettre à la place des dirigeants d'EDF qui ont bien des soucis avec l'EPR de Flamanville

  • Le capitalisme peut-il être juste pour Thomas Piketty ?

    Après le succès de son ouvrage "Le Capital au XXIe siècle" en 2013, Thomas Piketty revient avec "Capital et idéologie". Son travail questionne une nouvelle fois, et à une échelle plus large, la question des inégalités. L'Invité des Matins de Guillaume Erner - émission du 7 octobre 2019

  • Education Nationale : va te faire soigner d'abord ! Le billet de Nicole Ferroni

    Ce matin, Nicole Ferroni rend hommage à Christine Renon, la directrice d'école à Pantin qui s'est donné la mort le 21 septembre dernier.

  • Banques : vulnérabilités et risques de séisme [Olivier Passet]

    Mais comment font les banques de détail pour survivre dans un univers de taux zéro ou négatifs, et alors même que les marchés d’actifs plafonnent. Sur le papier, c’est le cœur de réacteur de leur business modèle qui est à l’agonie : la marge d’intermédiation, entre des dépôts à vue qui ne leur coûtent rien et les revenus d’intérêt sur leur activité de prêt. [...]

  • Réaction du Parti socialiste à la fin de l’attribution d’une couleur politique pour les candidats dans les communes de moins de 9000 habitants

    Le ministre de l’Intérieur a annoncé ce jour la fin de l’attribution d’une couleur politique pour les candidats dans les communes de moins de 9000 habitants.

    Outre le fait qu’une telle mesure est annoncée à six mois du scrutin, elle porte une atteinte lourde à la démocratie.

    Pourquoi? Tout simplement parce que les électrices et électeurs ont le droit de savoir pour qui ils votent! Le parti au pouvoir veut faire croire que les listes dans les communes de moins de 9000 habitants sont apolitiques! Billevesées!

    En 2014, pour les 8770 villes de France qui comptent entre 1000 et 9000 habitants, les villes ou des candidates et candidats avaient déclaré une étiquette politique étaient plus de 8300, 95% d’entre elles en fait!

    La moitié des Françaises et Français vit dans une commune de cette taille. L’élection municipale est l’élection qui, après l’élection présidentielle, mobilise le plus. Le gouvernement considère donc que près de 50% des électrices et électeurs ne pourraient pas voter pour des candidats à l’identité politique clairement affichée.

    Le pouvoir espère faire un coup double :

    • Faute de trouver des candidats en nombre satisfaisant, la République en Marche supprime les étiquettes politiques pour dissimuler son incapacité à se faire correctement représenter lors de la prochaine échéance électorale.
    • Et là où il en présentera, il espère, par la dissimulation, pouvoir échapper à la sanction que les électrices et électeurs s’apprêtent à lui infliger.

    En vérité, c’est assez pathétique.

    Le Parti socialiste déplore ce tour de passe-passe électoral grossier.

    Le ministre de l’intérieur aurait mieux à faire que de s’occuper d’organiser une tambouille électorale en faveur du parti qu’il dirigeait il y a peu encore. Les sujets ne manquent pas, nous lui conseillons les suivants : lutte contre le terrorisme, évolution des lois et règlements sur les sites classés SEVESO, colère justifiée des personnels…. »

  • PS - SYRIE : la menace de retrait américain appelle à un réveil de l’Union européenne

    Ces derniers jours, le président Donald Trump a ravivé sa menace émise dès décembre 2018 de retirer le millier de forces spéciales américaines déployées dans le nord-est de la Syrie. Après l’annonce d’un retrait intégral, lequel ouvrirait inévitablement la voie à l’invasion militaire turque au nom de l’obsession anti-Kurdes du président Recep Tayyip Erdogan, la Maison Blanche a finalement entamé un retrait partiel de deux postes d’observation.

    Le Parti socialiste condamne cette nouvelle démonstration de l’irresponsabilité du président américain. La cohérence d’une première puissance exige d’éviter de nouveaux drames humanitaires et l’escalade d’un conflit. La décence impose de ne pas fragiliser les seuls alliés sur qui la Coalition internationale a pu compter en Syrie dans la lutte contre l’organisation terroriste État islamique : les Forces démocratiques syriennes, dominées par la majorité kurde des Unités de protection du peuple.

    Le Parti socialiste observe par ailleurs que les présidents turc et américain semblent consciemment mettre fin au projet de patrouilles communes le long de la frontière censées garantir une « zone tampon de sécurité ». Les concessions que le président américain semble progressivement accorder aux priorités sécuritaires avancées par son homologue turc – Kurdes de Syrie et renvoi des réfugiés – sont indignes de la part de deux membres de l’OTAN.

    Ces tractations décrédibilisent l’Alliance atlantique. Elles révèlent parallèlement la faiblesse de l’Union européenne et son incapacité à assumer son rôle dans la résolution de la guerre en Syrie aux côtés de l’ONU.

    Ainsi, le Parti socialiste invite la France à faire preuve d’initiative pour contribuer à un sursaut de l’Union européenne pour qu’elle affronte les défis dans leur dimension globale afin de ne plus les subir.