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Le Grand Rendez-Vous Edition Spéciale Attentats à Paris
Jean-Pierre Elkabbach, Mickaël Darmon, d’iTélé, et Arnaud Leparmentier, du Monde reçoivent :
- François Baroin, Sénateur-maire LR
-Hakki Akil, ambassadeur de Turquie en France
-Antoine Babsous, responsable de l’observatoire du monde arabe
-Gérard Larcher, Président du Sénat
-Didier Guillaume, président du groupe socialiste au Sénat
-Abdennour Bidar, chargé de mission sur la pédagogie de la laïcité au ministère de l'éducation nationale, producteur de l'émission sur France Culture "Culture d'Islam"
Le Grand Rendez-Vous Edition Spéciale Attentats... par Europe1fr -
Anne Hidalgo : "Ce qui s'est passé dépasse tout ce qu'on aurait pu imaginer"
Anne Hidalgo : "Ce qui s'est passé dépasse tout... par ITELE -
Conférence de presse de Jean-Christophe Cambadélis du 14 Novembre 2015
Conférence de presse de Jean-Christophe... par PartiSocialiste -
Solidarité
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OFCE - Doit-on s’inquiéter du ralentissement chinois ? par Eric Heyer
9 novembre 2015
La croissance chinoise ralentit. Ce ralentissement n’est pas en soi une surprise : il est annoncé par les autorités chinoises, présent dans les comptes nationaux et prédit dans tous les scénarios de moyen terme des grandes organisations internationales. Il correspond à une nouvelle phase du développement économique et social de la Chine, vers une croissance que les autorités souhaitent plus « qualitative, inclusive et innovatrice ».
Cependant, un grand nombre d’analystes et d’experts estiment que ce ralentissement est plus important que celui affiché dans les comptes nationaux des autorités chinoises. D’après un sondage effectué en 2015 par la Bank of America Merrill Lynch, 75 % des investisseurs sont convaincus que le véritable taux de croissance de l’économie chinoise est inférieur à 6 % au deuxième trimestre 2015 en rythme annualisé. Pour certains, cette surestimation de la croissance est due à une sous-estimation de l’inflation, notamment dans le secteur des services. Pour d’autres, la croissance du PIB chinois doit être corrélée à celle de la production d’électricité en Chine et être en lien avec le fret routier, ferroviaire, maritime ou aérien. Or ces grandeurs connaissent toutes une importante baisse depuis le début de l’année 2014, et une relation stable entre le PIB et celles-ci laisserait envisager une croissance annuelle plus faible pour l’économie chinoise, de l’ordre de 2 % début 2015 selon Artus, plus en lien avec la chute observée des importations. Ce plus fort ralentissement provoquerait un choc violent sur l’économie mondiale et mettrait alors en péril le rebond naissant dans les économies développées.
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Fondation Jean Jaurès - Prélèvements obligatoires / PIB : déconstruire les « évidences » par Pierre Bauby Alain de Toledo
Les notions de PIB, de dépenses publiques et de prélèvements obligatoires ne sont pas réellement opératoires. Pierre Bauby et Alain de Toledo plaident pour qu’elles ne soient plus la marque d’une vérité scientifique absolue mais redeviennent des indicateurs parmi d’autres.
Synthèse :
Fréquemment utilisées dans les débats contemporains, les notions de « PIB », de « dépenses publiques » et de « prélèvements obligatoires » ne sont toutefois pas réellement opératoires. Il convient donc d’apprécier les limites auxquelles sont confrontées ces notions et de relativiser leur absolutisme scientifique.
Apports et limites du PIB
La définition d’un appareil statistique apparaît aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale – le PIB en première place – avec pour but d’évaluer l’évolution annuelle de l’économie du pays, de comparer les données recueillies à celles des autres pays et d’apprécier l’efficacité de la politique économique au niveau national. Toutefois, à l’heure où les chiffres font figure d’autorité, mettre en cause l’obsolescence du PIB est un impératif.
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L'actualité des socialistes du 3 au 15 novembre (mise à jour)
A la une
RTL - Attentats à Paris : "La France pleure ses morts", dit Jean-Christophe Cambadélis
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a réagi samedi 14 novembre à l'attaque terroriste qui a touché Paris et Saint-Denis, vendredi soir.
14 et 15 novemrbe
A l'issue de près de deux heures de débat intense dans un hémicycle inhabituellement garni pour un débat budgétaire, les députés ont donné leur feu vert, 35 voix contre 21, à l'amendement de Jean-Marc Ayrault et de Pierre-Alain Muet (PS), présenté dans le cadre du projet de budget de l'Etat pour 2016.
La Tribune - Amendement Ayrault-Muet : vers une CSG progressive ?
La CSG va-t-elle devenir progressive ? Sans doute pas, mais une petite brèche a été ouverte avec le vote de l'amendement au projet de loi de finances 2016, défendu par les deux députés PS, Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet, était adopté. Il faut dire que cet amendement a reçu un accueil favorable de 161 députés socialistes - soit plus de la moitié du groupe - mais aussi des députés écologistes et d'une partie des radicaux de gauche. Aussi, à son corps défendant Manuel Valls a dû accepter la présentation de cet amendement.
Le Figaro - CSG : Ayrault passe en force contre le gouvernement
Le gouvernement ne voulait pas de cet amendement. Mais cent soixante députés socialistes l'avaient paraphé. Jeudi après-midi, l'examen à l'Assemblée nationale de l'amendement de Jean-Marc Ayrault et Pierre-Alain Muet qui amorce une progressivité de la CSG a provoqué une bataille feutrée entre l'exécutif et la majorité. Il a été adopté avec 35 voix pour et 21 contre sur 56 votants. Sans passion et sans que le ministre des Finances s'y oppose.L'ex-Premier ministre propose de remplacer une part de la future prime d’activité par une baisse de la CSG. L'Assemblée l'a suivi malgré les réserves du gouvernement.Sur l’amendement Ayrault-Muet, le gouvernement était contre mais a dû plier devant la mobilisation de sa majorité, donnant à nouveau un sentiment de confusion sur un sujet, il est vrai, très technique.12 et 13 novembre
Public Sénat - Régionales: Jean-Christophe Cambadélis (PS) appelle Valls à la « cohérence »
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, a appelé jeudi « tous les socialistes », y compris Manuel Valls, à la « cohérence » et à "se concentrer sur le premier tour" des élections régionales, alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes avec la droite face au FN.
Pierre de Saintignon, tête de liste PS aux régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, a demandé jeudi à Manuel Valls de "cesser ces petites phrases qui nuisent à notre campagne", alors que le Premier ministre a évoqué l'hypothèse d'une fusion des listes gauche-droite face au FN.
Public Sénat - Fusion des listes PS/LR : Le dernier « tabou » de Manuel Valls en passe d’être levé
A trois semaines des régionales, Manuel Valls a réaffirmé cet après midi la possibilité d’une fusion entre les deux tours des listes PS et les Républicains dans les régions où le FN est en tête des sondages. Un plan anti-FN rejeté par la droite mais qui fait son chemin à gauche.
Slate - Montebourg 2017, la possibilité d'une candidature
Les événements inciteraient irrésistiblement Montebourg à se porter candidat à la primaire socialiste de 2016.
Quelque part en France, un homme fougueux se débat avec une vie un tantinet compliquée. Papa d’un bébé né bien avant terme, il ne saurait négliger sa vie de famille. Entrepreneur néophyte, le voici confronté à des responsabilités inédites pour lui. Et, comme si tout cela ne suffisait pas, Arnaud Montebourg guette, dans la «marche vers le désastre» conduite vaillamment par François Hollande, l’opportunité de revenir au centre de la vie publique.
Europe 1 - Fusion des listes aux régionales : Aubry s'oppose à Valls
La maire de Lille n'apprécie pas du tout l'idée de Matignon de fusionner les listes de gauche avec celle des Républicains pour barrer la route au FN.
INFO EUROPE 1 - Comme l'a révélé Europe 1, le Premier ministre Manuel Valls plaide pour une fusion des listes de gauche avec celle des Républicains dans l'hypothèse où le FN arriverait largement en tête au deuxième tour des régionales dans la grande région Nord-Pas-de-Calais-Picardie, où Marine Le Pen est donnée favorite. Et cela ne plaît pas du tout à Martine Aubry.
Le Point - CSG : le gouvernement se prépare à soutenir l'amendement Ayrault
EXCLUSIF. L'amendement de l'ancien Premier ministre devrait être adopté. Matignon confirme son soutien sous réserve de lever les derniers obstacles techniques.
Boursorama - CSG : objectifs et obstacles de "l'impôt citoyen" de Jean-Marc Ayrault
Dans un amendement, Jean-Marc Ayrault, propose de réunir la CSG et l'impôt sur le revenu. Grâce à un report d'une partie de la prime d'activité, la CSG serait également réduite pour les bas revenus (moins de 1,3 smic). L'ancien premier ministre aurait réuni près de 190 députés autour de sa proposition, dont 161 socialistes. Le gouvernement de Manuel Valls pourrait être contraint de suivre.
10 et 11 novembre
L’ancien Premier ministre est venu défendre à Matignon son amendement, soutenu par plus de 160 députés PS, amorçant le rapprochement entre l’impôt sur le revenu et la CSG. Manuel Valls a évoqué la perspective d'un «accord», à condition de lever «toutes les difficultés techniques, juridiques». Le texte doit être débattu jeudi à l’Assemblée.Le ministre de l'Economie Emmanuel Macron a exprimé mardi ses réserves sur l'amendement de l'ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault visant à amorcer le rapprochement entre l'impôt sur le revenu et la CSG, estimant que cette dernière avait des "vertus".C'est un pavé dans la mare de François Hollande et Manuel Valls. L'ancien Premier ministre et député PS Jean-Marc Ayrault a déposé un amendement détonnant au projet de loi de finances 2016. Ce texte amorce une fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG.Le Front de gauche ne soutiendra pas l'amendement Ayrault-Muet visant à amorcer un rapprochement entre impôt sur le revenu et CSG, car il refuse une évolution de cette contribution en "levier de fiscalité", a indiqué mardi son chef de file à l'Assemblée, André Chassaigne.Le Point - Amendement CSG : Ayrault sera reçu par Valls
Les deux hommes discuteront mardi matin de la proposition de rendre la CSG progressive qui avait obtenu le soutien d'un centaine de députés PS.
Le JDD - Impôts : quand Ayrault convainc Hollande
L’exécutif cherche un compromis avec l’ancien Premier ministre sur une réforme de la CSG, jusqu’ici repoussée, qui s’appliquerait en 2017. La mesure est largement soutenue à gauche.
Un ex-Premier ministre qui convainc son président de lancer une réforme fiscale jusque-là repoussée, c'est l'étonnante histoire en passe de se dérouler cette semaine. Les députés doivent examiner jeudi un amendement de Jean-Marc Ayrault signé par 160 socialistes dont plusieurs anciens ministres (Kader Arif, Michèle Delaunay, Frédéric Cuvillier…). Son but est de réduire la CSG des salariés modestes directement sur leur feuille de paie, par imputation de la nouvelle prime d'activité (ex-RSA). Une forme de rapprochement de la CSG avec l'impôt sur le revenu, qui sera prélevé à la source en 2018. Une façon de tenir cette promesse, jamais appliquée, du candidat Hollande. "Cet amendement correspond au souhait d'une majorité du groupe de poursuivre le chantier des réformes et de donner des signaux à la gauche sans compliquer la tâche de l'exécutif", argumente Jean-Marc Ayrault.
Le Figaro - Pour Valls, «les Français sont à cran vis-à-vis de l'impôt»
Il y a un mois, Michel Sapin avait trouvé l'idée «intéressante» mais «complexe». Ce dimanche, Manuel Valls a employé la même méthode pour commenter la proposition de son prédécesseur Jean-Marc Ayrault de remplacer l'impôt sur le revenu et la CSG par un impôt citoyen sur le revenu. «C'est une belle idée, mais je ne suis pas sûr que les Français lient automatiquement l'impôt et la citoyenneté», a-t-il déclaré sur i-Télé et Europe 1. Refuser, mais sans froisser. C'est pourquoi l'amendement sera «examiné de la manière la plus précise possible» dans le débat sur le budget 2016 à partir de jeudi à l'Assemblée nationale.
ON VA PAS PINAILLER - Le matin, la porte-parole du PS est d'humeur badine. Sur le plateau de LCP, lundi 9 novembre, Juliette Méadel a balayé d'un revers de main les critiques des écologistes sur l'annonce par le gouvernement de la reprise des travaux de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, en Loire-Atlantique. Interrogée sur les difficultés que ce débat pourrait ajouter à l'union de la gauche pour le second tour, la jeune socialiste a livré une explication pour le moins inattendue.
Francetvinfo - Régionales : le FN provoque un dilemme au PS
La percée du FN pour les élections régionales place le PS en position délicate. Dans certaines régions, la gauche n'arriverait qu'en 3e position et se retrouverait face à un dilemme : se maintenir avec le risque de voir gagner le FN ou se retirer et disparaître.
La Tribune - Pourquoi la nouvelle coalition au Portugal est une chance pour l'Europe
Le gouvernement portugais de droite devrait chuter mardi 10 novembre, renversé par une alliance de gauche. Ce nouveau gouvernement représente une nouvelle chance pour la zone euro. Saura-t-elle la saisir?
A gauche, "Mouvement commun" se veut un "Podemos" à la française
Le "Mouvement commun", issu d'une initiative du député PS frondeur Pouria Amirshahi, a été lancé dimanche. Réunissant notamment Cécile Duflot, ou encore Pierre Laurent, il ambitionne "une autre façon d'agir" en politique, à gauche.
9 novembre
Le député PS Pouria Amirshahi lance, avec Noël Mamère et Marie-Noëlle Lienemann notamment, une initiative politico-citoyenne visant à rapprocher les élus de la société civile et à nourrir le débat idéologique à gauche.Dimanche après-midi, Pouria Amirshahi lancera à Montreuil le "Mouvement commun". L’idée est de créer une sorte de "lobby citoyen" menant des campagnes d’opinion. Dans une gauche en décomposition, cette initiative, qui n’est pas la première du genre, parviendra-t-elle à durer et à peser? Les avis sont déjà partagés.
Libé - Pouria Amirshahi lance son Mouvement commun
Un nouveau-né. Ce dimanche, le député socialiste Pouria Amirshahi ouvre la porte du Mouvement commun, «un lobby citoyen», «un grand mouvement qui prépare la France». L'inauguration aura lieu à la maison de l'arbre, à Montreuil (Seine-Saint-Denis). Les organisateurs espèrent attirer «plus de 500 personnes». Au programme : ateliers, rencontres, plénières et lancement d'une Web TV. Sur Internet, le Mouvement commun compte près de 1 500 signataires. Pas mal pour un début. Parmi les participants, on retrouve des politiques, classés à gauche, de premier rang. Ils représentent près de 15 % des signataires. Mais la force est ailleurs. La majorité des âmes est issue de la société civile : sans emplois, étudiants, enseignants, agriculteurs, profs ou artistes.
Basta Mag - Vers un « mouvement commun » ouvert aux citoyens pour refonder la gauche ?
Un énième appel à refonder la gauche ? Pas si sûr. Le « mouvement commun » sera lancé ce 8 novembre à Montreuil, en Seine-Saint-Denis. Initié par le député socialiste Pouria Amirshahi, l’appel affiche de grandes « audaces démocratiques, sociales et écologiques ». Il ambitionne de « construire la France et l’Europe de demain » en inventant « un espoir commun, dans la délibération collective, plutôt que dans l’aventure personnelle ». Pas question, pour le député, de se lancer dans une vaine recomposition d’appareils politiques en déliquescence. « Ce n’est pas un parti de plus, mais un mouvement politique », assure à Basta ! Pouria Amirshahi. « Aller sur le terrain de la compétition électorale est à mon avis contre-productif. » Et ce, quels que soient les résultats des élections régionales et la configuration des scrutins présidentiels en 2017. Le député frondeur veut au contraire « prendre du temps ». Malgré les débâcles annoncées.
Libé - Pierre de Saintignon, l’inconnu socialiste qui se révèle âpre débatteur
Chez Jean-Jacques Bourdin, chez Léa Salamé, en débat face à Marine Le Pen et Xavier Bertrand sur i-Télé : l’inconnu socialiste Pierre de Saintignon s’est retrouvé partout, et on l’a vu se battre. Comme un boxeur, le souffle court. Moins expérimenté que ses deux adversaires, il a une longueur d’avance comme vice-président à la région Nord Pas-de-Calais depuis dix-sept ans, à la fois proche des milieux patronaux, et à l’aise avec les syndicats.
Le Parti socialiste est en ordre de bataille pour les élections régionales, les 6 et 13 décembre prochains. C’est ce qu’affirment les socialistes, disciples de la méthode Coué, alors que la quasi-totalité des sondages annoncent de grandes pertes à gauche.
Challenges - Valls sonne la mobilisation générale contre le Front National et se paie Sarkozy
Le Premier ministre a déclaré qu'il faudra "tout faire" pour éviter que des régions soient gagnées par le FN, et réitéré des propos sous-entendant que le PS serait prêt à pratiquer un "front républicain" avec la droite.
8 novembre
Valls sur Facebook - L’autorité : une exigence, une éthique, des actes.
Dans un monde en perpétuelle effervescence, des images et des faits ont, ces dernières semaines, interpellé nos concitoyens : les violences à Air France ; les scènes d’émeutes de Moirans ; une fusillade mortelle à Marseille ; un violent règlement de compte en marge d’une fête foraine, à Clermont-Ferrand…Tous ces faits sont distincts et indépendants. Ils n’ont ni le même poids, ni la même portée. Pourtant, un débat s’est ouvert. Un débat qui n’a rien de nouveau, mais qui nécessite, une fois encore, des réponses approfondies.
Le Monde - Le PS a-t-il renoncé au front républicain ?
Les élections régionales auront lieu les 6 et 13 décembre. L’idée d’un désistement du Parti socialiste au second tour pour faire obstacle à une victoire du Front national ne fait plus consensus chez les militants.
Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, explique que « l’unité de la gauche maintenant acquise », le PS prendra ses responsabilités pour gagner au second tour. « Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief ».
4, 5, 6 et 7 novembreLe premier ministre Manuel Valls a défendu jeudi 5 novembre son action constante pour défendre l’autorité, face aux accusations de laxisme du Front national et d’une partie de la droite, qu’il accuse à son tour de « singer l’autorité », dans une tribune publiée sur Internet.Alors que Laurent Wauquiez a participé lundi à une réunion organisé par les militants de la Manif pour Tous, le candidat républicain est accusé de "braconner sur les terres du Front National" par le Parti Socialiste.
Libé - Ile-de France : Bartolone, à gauche toute
.... Aide personnalisée au logement rabotée pour les étudiants, demi-part des veufs, don du sang autorisé aux homosexuels abstinents depuis un an... Le cafouillage sur l’allocation handicapés lui inspire cette réflexion : «A Bercy, dans un bureau, il y a un mec qui a pensé : "Pas de bras, pas d’alloc" et on laisse faire ça...» Entre les patinages de la semaine et la sortie de Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers définitivement enterré, ce militant tente quand même de se rassurer : «Je sais que Claude a cette distance avec l’exécutif». Sous-entendu, qui le protège. «Je pensais que nous allions totalement décrocher, ajoute-t-il. Et puis non».
Mais si le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement en attribuait la responsabilité à l'ancienne majorité de droite, Jean-Marie Le Guen prétendait alors que le gouvernement n'avait pas vu venir ces augmentations: "Sur la question de la fiscalité des petites retraites, il y avait du mécontentent et on n'avait pas beaucoup d'arguments pour dire que c'était une mesure juste, puisqu'en fait, elle nous avait échappée" reconnaissait-il sur LCP.
Le JDD - Cambadélis défie Valls sur le droit de vote des étrangers
Jean-Christophe Cambadélis s’oppose à Manuel Valls sur le droit de vote des étrangers. Le Premier ministre veut enterrer la réforme. Le patron du PS tient à concrétiser le programme de François Hollande.
RTL- Droit de vote des étrangers : le Parti socialiste se divise
Manuel Valls a mis les socialistes dans l'embarras en annonçant que le droit de vote des étrangers n'était plus à l'agenda du gouvernement et du parti socialiste lors d'un débat avec les étudiants de Sciences Po mardi 2 novembre.
Libé - Pourquoi le dossier Notre-Dame-des-Landes revient-il en piste ?
Vendredi soir, un communiqué de la préfecture de Loire-Atlantique remet le feu à Notre-Dame-des-Landes. Voilà qu’après le rejet, par le tribunal administratif de Nantes en juillet, des recours déposés par les opposants au projet de nouvel aéroport du Grand-Ouest, des appels d’offres ont été lancés pour que débutent les travaux en 2016. Drôle de timing, à cinq semaines des régionales et moins d’un mois de la COP21.
Boursier - Code du travail : Manuel Valls veut "révolutionner" sans toucher aux 35H
La réforme du Code du Travail, présentée mardi, s'étalera sur deux ans, en commençant par le temps de travail. Le Premier ministre a confié à Robert Badinter une mission pour fixer un socle de droits garantis à tous.
RTL - Un choc fiscal pour huit Français sur dix
REPLAY - REPLAY / INVITÉ RTL - Christophe Caresche, député socialiste de Paris et membre de la commission des finances à l'Assemblée renvient sur le "Portrait social" publié par l'Insee.
PS - « Vous avez dit Front républicain ? »
Dans le tricampisme, le PS et ses alliés assument leur combat au premier tour pour des régions solidaires et écologiques. Nous nous battrons pour créer la surprise dès le premier tour. Puis nous analyserons la situation. L’unité de la gauche maintenant acquise, nous prendrons nos responsabilités pour gagner au second tour. Sachant que la droite refusera le Front républicain et qu’il ne lui en sera jamais fait grief.
Libé, L'édito - François Hollande et l’excellence écologique ? La bonne blague !
En matière d’écologie, on savait l’exécutif champion du grand écart entre le discours et les actes. Alors que François Hollande jurait en 2012 vouloir «faire de la France la nation de l’excellence environnementale», il n’a cessé, depuis, de faire preuve d’incohérence et d’agir exactement dans le sens opposé. Abandon de l’écotaxe poids lourds, choix du tout-routier au détriment de modes de transport plus écologiques, innombrables gages accordés à l’agriculture industrielle, visite présidentielle en Alberta (Canada), là où est extrait des sables bitumineux le pétrole le plus sale du monde, atermoiements sans fin pour cesser les aides à l’exportation des centrales à charbon ou les avantages fiscaux accordés au diesel, coupes incessantes dans les budgets du ministère de l’Ecologie… La liste est loin d’être exhaustive. On avait presque fini par s’y faire. Et même par en rire jaune - c’est meilleur pour la santé et ça permet de ne pas se ruiner en mouchoirs.
Devant l’unanimité des critiques, le gouvernenent a revu sa copie sur la réforme du calcul de l’allocation aux adultes handicapés (AAH). Mardi 3 novembre au soir, la secrétaire d’Etat aux personnes handicapées, Ségolène Neuville, a annoncé le retrait de cette disposition du projet de budget 2016.A près d’un mois des régionales et quelques jours après le zigzag sur les impôts des retraités modestes, Manuel Valls a annoncé mardi le report d’un an de l’entrée en vigueur de la réforme controversée des dotations aux collectivités territoriales.
L'Obs - Pouria Amirshahi (PS) lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
"On veut créer un lobby citoyen, (un) grand mouvement qui prépare la France d'après", a expliqué lundi sur RFI le député des Français de l'étranger.
Il voulait créer un Podemos à la française. Voilà donc sa naissance. Comme le révèle Le Monde le 31 octobre, le député PS Pouria Amirshahi va lancer le 8 novembre prochain son "Mouvement commun".
L’idée est simple : créer un mouvement social issu de la société civile pour apporter des propositions concrètes au monde politique. À l'heure où nous écrivons ces lignes, un peu plus de 850 personnes ont signé l'appel.
L'Humanité - Pouria Amirshahi lance un "Mouvement commun" réunissant politiques et société civile
Le député PS Pouria Amirshahi lance le week-end prochain un "Mouvement commun" voulant associer de façon "innovante" politiques et société civile, mais sans être un "parti politique ou une écurie présidentielle".
2 et 3 novembre
29 parlementaires de gauche, socialistes, communistes et écologistes interpellent d'une même voix le Gouvernement pour réclamer le rétablissement de la demi-part fiscale pour les personnes veuves. Ils expliquent les raisons qui les poussent à agir dans une tribune que nous publions.
Libé - Retraités et impôts locaux: une promesse, beaucoup de flou
Payer sa taxe d’habitation? Ne pas payer? Etre remboursé? Comment? Qui est concerné? Pour quel coût budgétaire? Les promesses faites à certains retraités dont les impôts locaux s’envolent, posent bien des questions, loin de l’apaisement fiscal prôné par l’exécutif.
Libé - Dur, dur, la com du gouvernement sur les baisses d'impôts
Son message phare de l'automne a été percuté par le succès d'un amendement sur la CSG progressive, la décision surprise d’augmenter la taxation du diesel et, désormais, par la contestation à propos des impôts locaux payés par les retraités modestes.
Blog Le Monde - Hollande chez « Lucette », une étape dans une stratégie de quadrillage médiatique
La rentrée de François Hollande a été médiatique. Comme le racontait Le Monde le 20 octobre, le chef de l'Etat a choisi de multiplier les visites et les apparitions publiques, "comme si, en cet automne, pas un lieu, pas une thématique, pas une part de marché médiatique et pas une catégorie sociologique ne devait échapper à François Hollande".
Public Sénat - Régionales: le PS, de nouveau accusé de "faire le jeu" du FN, s'en défend
Le PS fait-il le jeu du Front national, à l'approche des élections régionales? L'accusation, maintes fois adressée à un Parti socialiste soupçonné d'y trouver son compte électoral, refait surface alors que l'exécutif a fait du FN sa cible prioritaire. Les ténors du parti s'en défendent, renvoyant chacun à sa responsabilité.
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OFCE - Marché du travail : le taux de chômage est-il un bon indicateur ? par Bruno Ducoudré et Pierre Madec
6 novembre 2015
Entre la zone euro d’une part et les Etats-Unis et le Royaume-Uni d’autre part, les évolutions des taux de chômage sont à l’image des divergences de croissance mises en évidence au sein de notre dernier exercice de prévision. Alors qu’entre 2008 et la fin 2010, les dynamiques des taux de chômage étaient proches en zone euro, au Royaume-Uni et aux États-Unis et reflétaient la forte dégradation de la croissance, des différences apparaissent à partir de 2011. Au Royaume-Uni et aux États-Unis, le chômage diminue depuis 2011 tandis qu’il amorce une seconde phase de hausse dans la plupart des pays de la zone euro (tableau 1), après un très bref repli. Ce n’est que plus récemment que la décrue s’est réellement engagée en Europe (fin 2013 en Espagne et début 2015 en France et en Italie). Au final, sur la période 2011-2015, le taux de chômage a continué de croître (+2,7 points) en Espagne. En Italie, cette dégradation du marché du travail s’est même accentuée (+4,5 points, contre 2,2 points entre début 2007 et fin 2010). Dans une moindre mesure, la France n’est pas épargnée.
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Fondation Jean Jaurès - Réformes et collectivités locales : où sont les financements ? par Marc Abadie
A l'heure de mettre en œuvre la réforme territoriale, où en sont les finances locales ? Quelles dispositions s'imposent pour réussir, sur ce volet également, la profonde réorganisation de nos institutions locales ? Le directeur réseau et territoires de la Caisse des dépôts apporte analyses et solutions.
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"Il faut continuer à réformer", mais avec les "valeurs fondamentales de la gauche", lance Ayrault
"Il faut continuer à réformer" mais avec les " valeurs fondamentales de la gauche", lance Ayrault