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  • Bartolone défend l'introduction d'une dose de proportionnelle aux législatives


    Bartolone défend l'introduction d'une dose de... par libezap

  • Les organisations citoyennes condamnent la proposition de loi sur la surveillance de masse Par Un collectif d'associations de défense des libertés numériques

    Avec cette nouvelle proposition de loi, le Parlement est sur le point d’approuver de nouvelles mesures de surveillance disproportionnée quant aux communications internationales. Basée sur le principe de collecte massive des données, la proposition cherche à légitimer les violations des droits civils et humains par les pratiques des services de renseignement, et notamment aux Etats-Unis et au Royaume-Uni tels que révélés par Edward Snowden. Dans la mesure où une part cruciale du trafic internet mondial transite par les câbles sous-marins français, cette loi intégrerait la France dans le système de surveillance mondial.

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  • « C'est une tentative de remettre en cause la France sociale telle qu'elle existe » (J-C Cambadélis)


    « C'est une tentative de remettre en cause la... par PartiSocialiste

  • L'actualité des socialistes du 28 septembre au 4 octobre (mise à jour)

    A la une

    Lyon Mag - Queyranne cherche-t-il à ménager les susceptibilités des socialistes lyonnais ?

    Le président sortant de la région a présenté la liste de la Métropole de Lyon ce vendredi. Farida Boudaoud, qui a crispé la fédération PS du Rhône et qui fut longtemps pressentie pour occuper la deuxième position, sera finalement sixième. Un geste d’apaisement de la part de Jean-Jack Queyranne

    3 et 4 octobre

    Le Figaro - Cambadélis va lancer un «appel des 100» pour réunir la gauche

    Il semble bien décidé à multiplier ce type d'initiatives. Depuis qu'il a été élu premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis a fait de l'union de la gauche son principal cheval de bataille. Après avoir d'abord tenté, en vain, de co-organiser l'université d'été de son parti avec EELV et le PCF, le député de Paris s'est ensuite mis en tête d'organiser un référendum sur le rassemblement de son camp aux régionales. Mais ça n'est pas tout: il envisage désormais de lancer, début 2016, un «appel des 100».

    Le Figaro - PS : la recette d'Epinay de 1971 pour réunir la gauche

    De l'initiave de Cambadélis, révélée par l'Opinion, de lancer un appel des 100 début 2016 pour refédérer les courants de gauche, naitra-t'il un nouveau parti? Retour sur la renaissance du PS en juin 1971 à Epinay.

    Le Monde, Les décodeurs - Aux régionales, les écologistes nouent des alliances... mais pas avec le PS

    « J’ai très mal vécu le choix qui a été fait par 274 militants de ma région d’une stratégie de division de la gauche. » C’est ainsi que Barbara Pompili a justifié l’annonce, mercredi 30 septembre, de son départ du parti Europe Ecologie-Les Verts. Le rejet de sa motion, prônant une alliance avec le Parti socialiste, par les militants du Nord-Pas-de-Calais-Picardie, le 12 septembre (qui ont préféré s’allier avec le Parti de gauche au premier tour) a poussé la coprésidente du groupe parlementaire des Verts à se « mettre en retrait des partis politiques ».
     
    2 octobre

    Le JDD - Martine Aubry heureuse, loin d'Emmanuel Macron

    Martine Aubry ne regrette pas une seconde sa saillie contre le ministre de l’Économie. Mais la vie continue, dit celle qui a toujours rêvé d’être ministre de la Culture.Le titre sonne comme un slogan : "Tu dois changer ta vie!". L'injonction est, au fond, une ­méthode antimorosité, une ­manière de vivre malgré la crise, de renaître quand tout va mal. "C'est une adresse à chacun d'entre nous, il faut se dire, quand tout ne va pas très bien, qu'il y a des petits moments de bonheur partout", raconte Martine Aubry en inaugurant samedi matin au Tripostal l'exposition qui porte ce nom.

    Le Figaro - Régionales : les élus PS s'inquiètent d'un effet Macron

    En Conseil des ministres hier, François Hollande et Manuel Valls ont recadré leurs ministres les invitant à « maîtriser la parole gouvernementale et ne pas ouvrir des débats qui n'étaient pas prévus à l'agenda ». En ligne de mire : Emmanuel Macron.

    1er octobre

    Les Echos - New Wind, le nouveau pari d'Arnaud Montebourg

    L’ancien ministre annonce jeudi son entrée au capital de New Wind, une start-up conceptrice d’éoliennes domestiques, dont deux prototypes seront exposés à la conférence de Paris sur le climat.
     

    Emmanuel Macron, ce nouvel enfant terrible de la gauche, aime se présenter en «homme libre». Pour justifier ses dernières sorties fracassantes, il se dit «dans la vérité du moment où il parle». Alors prenons le ministre de l’économie au mot. Invité du Monde Festival ce dimanche, le ministre de l’Economie a été interrogé sur ses ambitions pour 2017. Voici sa réponse : «C’est une question d’un autre temps. On est en train de parler de la transformation du monde ou bien d’essayer d’en approcher les contours et il faudrait que la vie politique, elle puisse continuer à fonctionner comme elle fonctionnait dans les années 50.»

    30 octobre

    Libé - Cambadélis en monsieur Loyal de son référendum

    .... L’ouverture des votes en ligne aura lieu le vendredi 16 octobre. Le lendemain débuteront les votes physiques. Solférino espère ouvrir un bureau de vote dans chacun des 2 000 cantons de France. Les lieux restent à définir. Le site du PS proposera une Googlemap des bureaux. Le dimanche 18 octobre: clôture du vote physique et en ligne. Dans la soirée, un point presse annoncera une première tendance. Les scores officiels seront proclamés quelques jours plus tard après validation par la haute autorité.

    Europe 1 - Cambadélis présente les modalités de son référendum... sans convaincre

    Les modalités du référendum sur "l'unité de la gauche et des écologistes", qui sera organisé le 16 octobre prochain par le PS, ont été présentées mardi rue de Solferino, à Paris. "Face à la droite et l'extrême droite, souhaitez-vous l'unité de la gauche et des écologistes aux élections régionales ?", sera ainsi la question posée aux votants, a annoncé le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis… qui n'a, semble t-il, pas éteint le scepticisme de ses partenaires.

    Le Figaro - Valls recadre Macron : «l'expérience d'élu de terrain est irremplaçable»

    Celui que l'on surnomme volontiers «le bon élève du gouvernement» commencerait-il à agacer certains de ses chefs ? Après avoir secoué l'opinion et surtout le PS, en remettant en cause la pertinence des 35 heures et le statut des fonctionnaires, Emmanuel Macron a de nouveau fait parler de lui en estimant que le fait d'accéder à de hautes fonctions par le biais d'élections relevait «d'un cursus d'un ancien temps». Une confidence lâchée à l'occasion du festival le Monde et qui est tombée à point nommé, alors que des rumeurs persistantes font état d'une volonté de l'exécutif de voir son poulain légitimé par les urnes une fois pour toutes. Interrogé ce lundi, Manuel Valls siffle la fin de la récréation et entend bien ramener le patron de Bercy dans le rang.

    Le Figaro - Cambadélis qualifie Macron de «ministre d'ouverture»

    Les oreilles d'Emmanuel Macron ont une nouvelle fois sifflé. Mardi matin, le premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, visiblement agacé, a enfoncé le clou après les dernières déclarations du ministre de l'Économie Emmanuel Macron, qui n'est pas membre du PS. Comme pour mieux tourner la page. «C'est un ministre d'ouverture et le Parti socialiste ne polémique pas avec un ministre d'ouverture. Ce qu'il dit ne nous engage pas et ce que nous pensons ne l'engage pas. On en restera là», a-t-il affirmé lors d'une conférence de presse au siège du parti consacrée au référendum du PS sur l'unité de la gauche pour les régionales.

    BFM TV - "Emmanuel Macron est un problème", assure Laurent Baumel

    La venue du ministre de l'Economie Emmanuel Macron mardi au séminaire des députés PS n'a pas ravi tous les députés socialistes après ses déclarations sur le statut des fonctionnaires, le frondeur Laurent Baumel jugeant même qu'il devait quitter le gouvernement.

    28 et 29 septembre

    Le Point - Pour Macron, passer par l'élection est "un cursus d'un ancien temps"

    Lors d'un forum organisé par "Le Monde", le ministre de l'Économie a assuré qu'il n'avait pas l'intention d'être candidat aux législatives de 2017.

    Boursorama - Frondeuse, Anne Hidalgo ?

    Les sujets sur lesquels l'élue socialiste s'est fait entendre ne manquent pas, avec parfois des victoires - comme sur la taxe de séjour - et parfois des défaites comme sur le travail dominical. Reste qu'un an et demi après son élection à la maire de Paris, Anne Hidalgo s'est fait une place atypique dans le paysage politico-médiatique. Celle d'une "sociale-démocrate" indépendante et batailleuse, qui ne cachent pas ses désaccords avec le gouvernement.

    Le Figaro - Dray veut inviter Macron aux réunions du PS

    L'ex-député PS Julien Dray, tête de liste aux régionales dans le Val-de-Marne, a suggéré dimanche au Parti socialiste d'inviter le ministre de l'Economie Emmanuel Macron à ses réunions et à des meetings, après le "Macron ras-le-bol" de Martine Aubry.

    RTL - Élections régionales 2015 : Anne Hidalgo défend l'idée d'un front républicain contre le FN

    Pour la maire PS de Paris, en cas de "risque majeur" de voir le FN diriger une région, il faudrait "se retirer".

    Le JDD - Régionales en Ile-de-France: Pécresse et Bartolone au coude-à-coude

    L’enquête Ifop pour le JDD révèle un duel très serré en Ile-de-France entre Valérie Pécresse (LR) et Claude Bartolone (PS) à trois mois des régionales. Le FN progresse ; les écologistes déçoivent.

  • OFCE - La justice climatique, sésame de la COP 21 par Eloi Laurent

    29 septembre 2015

    Les négociations climatiques ne peuvent pas se limiter à une discussion technique entre experts sur la foi de données scientifiques : elles doivent prendre la forme d’un dialogue politique ouvert nourri par une réflexion éthique qui implique les citoyens. Sur quoi doit porter ce dialogue ? Alors que la COP 21 s’ouvre dans deux mois à Paris, il apparaît de plus en plus clairement que la clé d’un possible accord n’est pas l’efficacité économique mais la justice sociale. La « croissance verte » est une ambition du siècle passé qui n’a qu’un faible pouvoir mobilisateur dans un monde rongé par les injustices. Il importe bien plutôt de souligner le potentiel d’égalité d’une action résolue contre le changement climatique, au plan national et global.

    Trois enjeux permettent de comprendre que la justice sociale se trouve au cœur des négociations climatiques. Le premier tient au choix des critères de répartition du budget carbone entre les pays en vue d’atténuer le changement climatique (environ 1 200 milliards de tonnes de carbone qu’il nous reste à émettre dans les trois à quatre prochaines décennie pour limiter la hausse des températures terrestres autour de 2 degrés d’ici à la fin du 21e siècle). Divers indicateurs peuvent être utilisés à la fois pour estimer ce budget carbone et pour le répartir équitablement entre les pays, et ces indicateurs doivent être débattus, mais on ne pourra pas, en tout état de cause, faire l’impasse sur cet enjeu à Paris. On peut montrer que l’application d’un critère hybride, mais relativement simple de justice climatique, aboutit à diviser par presque deux les émissions mondiales dans les trois prochaines décennies, ce qui permet de garantir l’objectif des 2 degrés et même de viser une hausse des températures proche de 1,5 degré, renforçant ainsi le caractère juste de cette règle commune à l’égard des pays et des groupes sociaux les plus vulnérables.

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  • OFCE - Areva, Flamanville et Fessenheim, acteurs du tournant nucléaire français

    29 septembre 2015

    par Sarah Guillou

    La récente loi sur « la transition énergétique pour la croissance verte » promulguée le 17 août 2015 prévoit de faire chuter de 75 à 50 % la part de l’énergie nucléaire dans la production d’électricité à l’horizon 2025. Elle plafonne par ailleurs à 63,2 GW la puissance du parc nucléaire. Cette limite correspond à la puissance actuelle et implique que toute nouvelle mise en route de réacteur (Flamanville par exemple) devra se traduire par l’arrêt d’un réacteur de puissance équivalente. La décision du report de la fermeture anticipée de la centrale de Fessenheim y est associée et s’inscrit aujourd’hui dans cet équilibre énergétique. Ce conditionnement de la fermeture de Fessenheim provoque le mécontentement de ceux qui croyaient en la promesse inconditionnelle du candidat François Hollande.

    Cette décision s’inscrit cependant dans une nouvelle cohérence de la politique électronucléaire française et un contexte international et technologique qui fait renoncer l’Etat français au « tout nucléaire ». Areva, Flamanville et Fessenheim sont les acteurs de ce tournant.

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  • Libé Réponse à Emmanuel Macron : la liberté est une valeur de gauche, pas le libéralisme Par Manuel Cervera-Marzal, docteur en science politique et diplômé de Sciences Po. Enseignant à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS)

    Cher Monsieur Macron,

    Dans une interview accordée au Monde dimanche 27 septembre, vous défendez votre projet de réforme du statut des fonctionnaires en prétendant que «le libéralisme est une valeur de gauche». Puis vous reprenez à votre compte l’idéal libéral «d’égalité des chances» qui, il faut sans cesse le répéter, n’est qu’une fable destinée à justifier l’inégalité des résultats et des conditions.

    Qu’il y ait du bon dans le libéralisme est indéniable. Nous devons à la philosophie libérale d’Emmanuel Kant une méfiance de chaque instant envers les puissances tutélaires et une passion véritable pour l’émancipation humaine. Nous devons au libéralisme politique de Montesquieu un précieux mécanisme de séparation des pouvoirs permettant que, «par la force des choses», le pouvoir arrête le pouvoir. Nous devons au libéralisme culturel une ouverture d’esprit que nous aurions tort de négliger en ces temps de montée des intégrismes religieux et laïcard.

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  • Libé - Daniel Cohen : «Le progrès technique, c’est fini : à preuve la croissance ne cesse de décliner»

    A l’ère de la révolution numérique, on ne peut plus compter sur une hypothétique croissance pour réduire le chomage. Afin de sortir de cette société de la certitude, pourquoi ne pas généraliser le modèle des intermittents du spectacle en s’inspirant des Danois ?

    Quand Daniel Cohen, directeur du département d’économie de l’Ecole normale supérieure et du Cepremap (Centre pour la recherche économique et ses applications), défend son livre Le monde est clos et le désir infini (Albin Michel), il parle de l’ouvrage le plus optimiste qu’il ait écrit. On voudrait le croire quand il souligne que nous devons changer de modèle en arrêtant de nous intoxiquer à une croissance erratique, qui apparaît et disparaît, créant une insécurité économique et sociale insupportable.

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