Thomas Piketty : en Europe, "l'absence de... par franceinter
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INA : Hommage de François Mitterrand à Jean Zay à Orléans (1994)
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INA : Germaine Tillion contre le racisme (1970)
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Christian Paul au JT de France 3 le 25 mai
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Jean-Marie Le Guen, invité Politique avec LCI (26.05.15)
Jean-Marie Le Guen, invité Politique avec LCI... par radioclassique -
Intercités : Philippe Duron défend son rapport
Intercités : Philippe Duron défend son rapport par FranceInfo -
Bruno Le Roux: «Il ne suffit pas de se dire républicain pour l’être»
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Jean-Michel Baylet sur Jean Zay : "Justice lui est rendue"
Jean-Michel Baylet sur Jean Zay : "Justice lui... par FranceInfo -
OFCE- La Grèce sur la corde raide
18 mai 2015
par Céline Antonin, Raul Sampognaro, Xavier Timbeau et Sébastien Villemot
Ce texte résumé l’étude spéciale : « La Grèce sur la corde raide ».
Depuis le début de l’année 2015, une forte pression s’exerce sur le nouveau gouvernement grec. Alors qu’il est en pleine négociation en vue d’une restructuration de sa dette, il doit faire face à une succession d’échéances de remboursement. Le 12 mai 2015, 750 millions d’euros ont pu être remboursés au FMI en puisant sur les réserves internationales du pays, signe que les contraintes de liquidité deviennent de plus en plus prégnantes comme l’atteste la lettre envoyé par A. Tsipras à C. Lagarde quelques jours avant l’échéance. Le répit sera de courte durée : en juin, le pays doit encore rembourser au FMI un total de 1,5 milliard d’euros. Ces deux premières échéances ne sont qu’un prélude au « mur de la dette » auquel devra faire face le gouvernement pendant l’été puisqu’il devra honorer un remboursement de 6,5 milliards d’euros à la BCE.
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Est-ce la fin de l’utopie nucléaire en France ? Thierry GADAULT Journaliste, rédacteur en chef du site d’information www.hexagones.fr
Quarante-deux ans après le lancement du grand plan électronucléaire qui a couvert la France de cinquante-huit réacteurs, nous assistons, depuis quelques semaines, à l’effondrement de l’utopie nucléaire. Ce rêve d’ingénieurs et de politiques qui croyaient à un atome civil sans danger et à bas coûts.
La chute de la maison Areva en est le symbole. L’entreprise, créée par Anne Lauvergeon et soutenue par tous les gouvernements de gauche comme de droite qui se sont succédé au pouvoir depuis septembre 2001, est en état de mort clinique. Le plan de restructurations tout juste annoncé, qui comprend 6 000 suppressions d’emplois, dont 4 000 en France, n’est malheureusement que la première tranche. D’autres suivront pour faire revenir Areva à une taille très modeste : celle de Cogema, l’entreprise spécialisée dans la transformation de l’uranium en combustible et dans le retraitement, l’une des deux sociétés qui ont fusionné en 2001 pour donner naissance au géant nucléaire.
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Parlement’air - L’Info : Emmanuel Maurel (PS)