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  • Valérie Rabault - PLF 2018 - Mission Agriculture - Séance publique - 02/11/2017 (3/3)

  • Un peu d'histoire : La Charte d'Amiens (INA, 2006)

    La Charte d'Amiens a 100 ans. En 1906, les grèves faisant suite à la catastrophe de la compagnie de Courrières sont fortement réprimées. Bruno POUCET, professeur d'histoire à l'Université d'Amiens, évoque les baisses de salaire dans l'industrie textile. C'est dans ce contexte que la CGT organise à Amiens son 9ème congrès dans la salle d'une école (aujourd'hui l'école primaire Noyon). Les différents courants adoptent un texte qu'on appellera "La charte d'Amiens". Il affirme une volonté d'indépendance à l'égard des partis politiques ou de la religion. A Force Ouvrière, Paul L'HOTE, secrétaire fédéral de la Somme et Picardie explique les principes de son syndicat en la matière. Nathalie BRANDICOURT, secrétaire générale de la CFDT Picardie estime que les tentations peuvent êtres fortes notemment en 1981. Patrick JOAN secrétaire général CGT Picardie annonce la création d'une nouvelle organisation internationale qui reprendra les principes de la Charte d'Amiens.

  • Europe 1 - Stéphane Le Foll candidat à la présidence du PS ? "Je vais réfléchir, je réfléchis"

  • Vive la République 69 : Djemila Benhabib

    Djemila Benhabib explique, avec passion et conviction, les enjeux de l'islam politique en France et au Canada. Elle décrypte les conséquences de l'abandon, par la classe politique, du combat citoyen contre l'islamisme. Djemila Benhabib rappelle aussi que ce combat ne pourra se faire sans les démocrates et laïques musulmans.

  • Libé - Aurélie Filippetti : «Il faut savoir qui on veut défendre»

    Chaque lundi d’octobre, un élu PS s’allonge sur le divan de «Libé». Cette semaine, l’ex-ministre souhaite une analyse de l’échec du quinquennat et une refonte collective de la gauche.

    Un pied à l’intérieur, un autre à l’extérieur : Aurélie Filippetti, qui vient d’être exclue de sa section (Moselle), regarde le PS de loin. A l’entendre, ce n’est pas une mauvaise chose. L’ancienne députée et ministre de la Culture profite de sa nouvelle vie sans mandat pour chercher des solutions afin que la «gauche se relève collectivement». Elle s’oppose à Emmanuel Macron, «l’incarnation triomphante du néolibéralisme».

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  • Europe 1 - Riss : "Ce qui est étonnant c'est qu'après tout ce qu'il s'est passé en France, il y ait toujours des appels au meurtre"

  • L'actualité des socialistes du 27 octobre au 2 novembre

    L'ECOLE

    La vie des idées - La nouvelle idéologie scolaire par François Dubet

    Le nouveau ministre de l’Éducation nationale paraît incarner une politique conservatrice en matière scolaire. Pourtant, un examen approfondi de ses propositions signale un changement profond de méthode et d’orientation, fondé sur l’expertise. Ceci appelle un déplacement de la critique sur le terrain de la recherche.

    Depuis le mois de mai, Jean-Michel Blanquer est un des ministres les plus en vue de l’ère Macron qui vient de s’ouvrir. Il multiplie les déclarations, les annonces et les mesures, mais cette activité n’est pas toujours facile à décoder. Elle peut être perçue comme largement conservatrice, comme un retour à la tradition et à la rigueur contre le « pédagogisme », le « laxisme » et le « nivellement par le bas » attribués à la gauche. Mais Jean-Michel Blanquer est aussi l’auteur de livres dans lesquels il se présente comme un réformateur hardi, désireux de construire une politique fondée sur les données de la science et des comparaisons internationales. Jean-Michel Blanquer peut-il être « en même temps » l’homme du retour aux années Sarkozy et le réformiste qui sortira l’école de ses querelles idéologiques afin de la transformer profondément ?

    BUDGET

    Europe 1 - Budget de la sécu : ce (discret) amendement qui a mis le feu aux poudres

    Un amendement passé discrètement par l'exécutif dans le PLFSS réduit le taux de cotisations patronales des actions gratuites, au grand dam de la gauche.

    Il est passé quasiment inaperçu hors de l'enceinte de l'Assemblée nationale. L'amendement 646 du projet de loi de finances de la sécurité sociale (PLFSS), examiné jeudi dernier par les députés, a pourtant provoqué de houleux débats en séance. Et persuadé un peu plus ceux qui l'étaient déjà que la politique budgétaire d'Emmanuel Macron vise avant tout les plus aisés.

    EVASION FISCALE

    Oxfam - L’évasion fiscale : qu’est-ce que c’est ?

    On associe souvent le terme « évasion fiscale » aux termes « optimisation fiscale » ou « fraude fiscale ». Les trois sont très liés mais recouvrent des réalités différentes.    

    La fraude : c’est le fait pour un contribuable - particulier ou une entreprise - de contourner volontairement la législation fiscale par des moyens illégaux. La fraude expose ceux qui la pratiquent à des sanctions judiciaires. Comme exemple on peut citer la fraude à la TVA, la fraude à l’impôt sur les sociétés, des comptes bancaires dissimulés à l’étranger, l’usage d’une fausse identité ou de faux documents…

    LES RETRAITES

    OFCE - Faut-il une nouvelle réforme des retraites ?

    par Gérard Cornilleau et Henri Sterdyniak

    En matière de retraite, la France est confrontée à quatre défis : le passage à la retraite des générations du baby-boom, l’allongement de la durée de vie, la faiblesse du taux d’emploi, la disparité des régimes. Par contre, elle a conservé un taux de fécondité satisfaisant. La France a choisi un système public, par répartition, qui assure aux retraités un niveau de vie équivalent à celui des actifs. Ce choix a été maintenu malgré la crise économique et les changements politiques.Depuis 1993, les réformes ont nettement ralenti l’évolution des retraites, mais le pouvoir d’achat des retraités reste équivalent à celui des personnes d’âge actif. Le taux d’emploi des seniors a augmenté malgré la crise, alors que celui des jeunes fléchissait nettement. L’équilibre financier structurel du système a été assuré.

    SAUVAGEOT

    Libé, Joffrin - Jacques Sauvageot, le discret de Mai

    A la tête de l’Unef lors des révoltes de 68, cet homme peu ambitieux et cultivé est devenu presque par hasard un des leaders du mouvement. Il est mort samedi à 74 ans des suites d’un accident de la circulation.

    Dans le trio des leaders de Mai 68, il était le jeune premier, candide et incisif. A côté de Daniel Cohn-Bendit, Till l’espiègle aux yeux bleus, orateur né, anar imprévisible, et d’Alain Geismar, plus rond et plus âgé, Jacques Sauvageot était un vice-président de l’Unef au visage d’ange, entre Saint-Just et Dorian Gray.

    L'Obs - Jacques Sauvageot, l'une des figures de Mai 68, est mort

    L'ancien leader étudiant est décédé à 74 ans samedi des suites d'un accident de la circulation.

    Il était l'une des figures, avec Daniel Cohn-Bendit et Alain Geismar, de la révolte étudiante de mai 1968. Jacques Sauvageot, à l'époque vice-président du syndicat Unef, est décédé samedi 28 octobre à l'âge de 74 ans des suites d'un accident de la circulation, a annoncé dimanche l'Institut tribune socialiste (ITS) qu'il animait.

    Les Inrocks - "Jacques Sauvageot était contre le vedettariat des leaders de Mai 68"

    L'ancien président de l'Unef Jacques Sauvageot, leader étudiant de Mai 68 et membre du PSU, est décédé ce 28 octobre 2017 à l'âge de 74 ans. L'historien Bernard Ravenel, membre du PSU dès sa fondation, rend hommage à ce militant autogestionnaire resté fidèle à ses engagements.

    Jacques Sauvageot a été en 1968 l’expression d’une jeunesse qui désirait s’émanciper, qui souhaitait disposer de son autonomie et de sa liberté personnelle, sexuelle, et d’expression. Pour lui la critique de l’enseignement était intimement liée à la critique de la société.

    HOLLANDE

    L'Obs - Le conseiller com’ de Hollande se livre : "Une bombe a explosé, Gaspard"

    Gaspard Gantzer raconte ses trois années à l'Elysée et tente de réhabiliter un président "qui mérite un triomphe".

    "Une bombe a explosé, Gaspard". C’est une phrase, sèche et folle, qu’un président de la République glisse à l’oreille de son conseiller en communication un soir d’attentat. Nous sommes le 13 novembre 2015 et François Hollande se trouve avec Gaspard Gantzer dans les tribunes du Stade de France, les deux s’apprêtant à vivre l’une des soirées les plus tragiques de leur vie.

    MACRON

    Slate - Macron et les «premiers de cordée»: une histoire politique de l'ascension par Gaël Brustier