Actualités socialistes - Page 892
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Les décodeurs du Monde - Pourquoi le gluten est-il devenu un problème ? En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/videos/video/2017/10/06/pou
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PS - 100e congrès de l’AMF : le président de la République doit entendre la colère des maires et renouer le dialogue
Au lendemain de la conférence de presse de présentation du 100e Congrès de l’AMF (Association des maires de France) qui s’ouvrira le 20 novembre prochain, le Parti socialiste tient à réaffirmer son attachement à la décentralisation et à la libre administration des collectivités mises à mal par les décisions du gouvernement Macron-Philippe depuis cet été : réduction des dépenses de fonctionnement de 13 milliards d’euros sur 2018-2022 pour les 319 plus importantes collectivités, non-renouvellement de centaines de contrats aidés, suppression sans compensation de la taxe d’habitation, annulation de 300 millions de dotations, ponction de 1,5 milliards d’euros sur les bailleurs sociaux…
De l’espoir suscité par la Conférence des territoires du 17 juillet dernier aux mesures traduites dans le PLF pour 2018 et le PLPFP 2018-2022, nous sommes passés en quelques semaines du pacte de confiance au pacte de défiance entre l’Etat et les collectivités locales.
Pourtant, les collectivités locales ont pris leur part dans la réduction nécessaire des dépenses publiques. Selon la Cour des Comptes, elles représentent moins de 20% des dépenses publiques globales et ont participé les trois dernières années à hauteur de 50% à la réduction du déficit public. Mais aujourd’hui, la trajectoire financière imposée par le gouvernement Macron-Philippe est trop raide et menace la qualité, l’accès et jusqu’à l’existence même des services publics de proximité dans certains territoires.
Le Parti socialiste demande au président de la République, qui doit intervenir en clôture de ce Congrès de l’AMF, de rompre ce dialogue de sourds, d’entendre la colère des maires et de demander au Premier ministre de renouer le dialogue avec les collectivités locales.
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Un peu d'hstoire : François Mitterrand définit le socialisme (INA, 1969)
Interrogé par Henri MARQUE, François MITTERRAND donne sa conception du socialisme. Il explique que c'est la libération de l'homme de toutes les forces qui l'oppriment, que les progrès de la science doivent permettre la planification, la prévision. Il parle de l'importance de la liberté, des conquêtes sociales, des évènements actuels en europe de l'est. Il termine en se moquant des théoriciens sourcilleux qui trouveraient à redire à sa définition du socialisme "...Je me sens socialiste...".
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Le Lab - Un ancien député PS considère qu'avec l'élection d'Emmanuel Macron, "c'est Bercy qui a pris le pouvoir"
Selon un récent sondage de l'institut Harris Interactive, quand on demande aux "Français" quel est l'adjectif qui leur vient en premier pour qualifier Emmanuel Macron, la réponse est sans appel : "riche". Dans un autre sondage, Odoxa cette fois-ci, 88% des sondés considèrent que les grandes fortunes et les chefs d'entreprise sont les grands gagnants de la politique fiscale du Président.
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Valérie Rabault - PLF 2018 - Mission Justice - Séance publique - 31/10/2017
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Un peu d'hstoire : Michel Rocard définit le socialisme (INA, 1969)
Interrogé par Henri MARQUE, Michel ROCARD définit sa conception du socialisme. Il explique que le socialisme est une forme d'organisation de la société dans laquelle le pouvoir politique et le pouvoir économique sont démocratisés ce qui passe par la décentralisation et le contrôle collectif de la gestion de la production.
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Valérie Rabault - Loi de finances rectificative pour 2017 - Discussion générale - 06/11/2017
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Public Sénat - Le groupe PS n’est « pas emballé » par la surtaxe sur les grandes entreprises
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PS - La transition énergétique ne doit pas attendre
Le Parti socialiste apprend avec inquiétude que le gouvernement Macron-Philippe renonce à l’objectif fixé dans la loi de transition énergétique d’une sortie du nucléaire d’ici 2025.
Cette décision est d’autant plus surprenante que le candidat Emmanuel Macron déclarait le 9 févier 2017 : « ce n’est pas bon d’avoir 75% de notre énergie qui vient du nucléaire. Je garderai le cadre de la loi de transition énergétique. Je maintiens donc le cap des 50% ». Plus récemment, cet été, Nicolas Hulot, le ministre de la transition écologique et solidaire, évoquait lui-même la possibilité de fermer « jusqu’à dix-sept » réacteurs nucléaires pour engager la transition énergétique à l’horizon 2025.
Si la voie vers la diminution du nucléaire est difficile et doit respecter les objectifs ambitieux que notre pays s’est donné lors du précédent quinquennat en termes de réduction du CO2, elle est loin d’être impossible. Le Parti socialiste demande que d’autres scénarii que ceux posés par le gestionnaire du Réseau de Transport d’Électricité (RTE) soient étudiés, fondés notamment sur un investissement massif dans les énergies renouvelables et des économies d’énergie.
Il n’est pas question que la France recule après avoir été pionnière et volontaire en Europe avec cette loi de transition énergétique..
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Public Sénat - Paradise Papers : « la financiarisation de l’économie mondiale atteint ses limites » pour Rachid Temal
350 milliards d’euros de perte fiscale par an pour les États du monde entier et 20 milliards d’euros pour la France. Ces chiffres vertigineux qui éclairent sur l’état de l’évasion fiscale dans le monde résultent des Paradise Papers, une enquête menée par un consortium de journalistes dont ceux du journal Le Monde. Invité de Territoires d’Infos ce lundi, le sénateur socialiste Rachid Temal estime que ces révélations font mentir ceux qui « pensent que la mondialisation ne peut être qu’heureuse, je pense qu’il y a besoin de lutter contre les paradis fiscaux » ajoute-t-il. […]
Lire la suite de l'article : https://www.publicsenat.fr/article/politique/paradise-papers-la-financiarisation-de-l-economie-mondiale-atteint-ses-limites -
Le Point - Evasion fiscale: les députés PS demandent au gouvernement combien d'effectifs supprimés
A la suite des révélations des "Paradise Papers", les députés Nouvelle gauche (PS) ont demandé mardi au gouvernement de "rendre public" le nombre de postes qui seront supprimés dans l'administration, au sein des équipes chargées de la lutte contre l'évasion fiscale, selon le budget 2018.
"La lutte contre l'évasion ne peut pas être que sur du symbolique. Si on veut lutter contre la fraude fiscale, et que dans le même temps on supprime des moyens au Trésor Public, en l'occurrence 1.650 postes d'agents, il y a une déclaration d'intention, mais pas les moyens de la volonté politique exprimée", a déclaré l'une des porte-parole du groupe, Ericka Bareigts, lors d'une conférence de presse.
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