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Actualités socialistes - Page 779

  • Le Monde Diplomatique (juillet 2012) De l’autoroute publique aux péages privés

    Jeudi 16 août 2018.

    Puisqu’il est beaucoup question du réseau routier européen après l’effondrement d’un pont à Gênes, voici un rappel concernant la France. L’été dernier, Le Canard enchaîné révélait combien l’accord passé en 2015 entre l’État et les sociétés concessionnaires d’autoroutes — qualifié à l’époque de « gagnant-gagnant » par le ministre de l’économie Emmanuel Macron —, s’est fait au détriment de la puissance publique et donc de la collectivité. Mais pourquoi avoir privatisé les autoroutes ? En 2012, Philippe Descamps racontait cette histoire, emblématique du capitalisme de connivence à la française.
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    Amorcée par le gouvernement de M. Lionel Jospin, puis généralisée par celui de M. Dominique de Villepin, la privatisation des autoroutes illustre le capitalisme de connivence à la française. L’Etat impose le système coûteux du péage, assume l’essentiel des risques, puis organise la captation de la rente par les grands groupes.

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  • Le Point - Jean-Christophe Cambadélis : «  Le PS ne peut pas faire seul l'avenir  »

    Celui que l'on surnomme « l'oracle » revient pour « Le Point » sur la désunion du parti, le bilan de Faure, l'opposition de Mélenchon, et le retour de Hollande.

    Depuis sa défaite dès le premier tour aux élections législatives de juin 2017, Jean-Christophe Cambadélis a pris ses distances avec la vie politique. L'ancien premier secrétaire du Parti socialiste la suit avec attention, la commente régulièrement, via son compte Facebook, mais il l'avoue : « L'idée de me plonger dans le chaudron ou de rejoindre le bocal socialiste m'inspire peu. » Celui qui a été député pendant plus de vingt ans ne se rendra d'ailleurs pas au séminaire des élus socialistes, programmé à La Rochelle, du 23 au 25 août. En vacances, il se consacre à de nouveaux projets : la lecture, l'écriture d'un nouveau livre, d'une pièce de théâtre aussi.

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  • Pierre Bourdieu présente son livre La Distinction (INA, 1979)

    Pierre BOURDIEU présente son livre "La Distinction, critique sociale du jugement" essai sociologique sur les goûts et les styles de vies.

  • Le Vent se lève - « Nous devons accéder à l’indépendance » – Entretien avec Gabriel Nadeau Dubois

    Gabriel Nadeau Dubois (27 ans) est l’ex-leader du mouvement étudiant québécois durant le “printemps érable” de 2012. Il s’est engagé récemment en politique et a rejoint le parti Québec Solidaire, dont il est devenu co-porte-parole avec Manon Massé. Il a également été élu député au sein de l’Assemblée Nationale du Québec, lors d’une élection partielle. Québec Solidaire (QS) est un parti de gauche indépendantiste, qui agit à l’échelle de la province du Québec, qui fait partie du Canada.

    Cet entretien a été réalisé dans la perspective des élections provinciales du Québec qui auront lieu le 1er octobre 2018.

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  • Sélection d'été : Fondation Jean Jaurès - Marx aujourd’hui : que nous dit-il encore ?

    À l’occasion du bicentenaire de la naissance de Karl Marx, la Fondation Jean-Jaurès et la Fondation Friedrich-Ebert proposent une rencontre franco-allemande à Paris pour (re)découvrir Marx et s’interroger sur sa postérité. La deuxième table-ronde, portant sur "Marx aujourd'hui : que nous dit-il encore ?", est introduite et animée par Henri Weber, ancien sénateur, ancien député européen, et réunit : - Alain Bergounioux, administrateur de la Fondation Jean-Jaurès, professeur honoraire associé à Sciences Po Paris, - Frédérique Matonti, professeure de sciences politiques, université Paris 1 Panthéon Sorbonne, - Paula Schweers, auteure.

  • Européennes: le socialiste belge Paul Magnette refuse de mener la liste du PS français

    Début août, il avait confié à un quotidien belge qu'il avait "reçu une proposition du PS français".

    EUROPEENNES - L'une des figures du Parti socialiste belge, l'ancien ministre-président de la Wallonie Paul Magnette, a indiqué ce vendredi 17 août renoncer à conduire la liste PS française aux élections européennes, une hypothèse que les socialistes français avaient suggérée ces dernières semaines.

    "J'ai dû indiquer à Olivier Faure que, pour des raisons personnelles, je devais décliner sa proposition, qui m'honorait: je suis candidat à ma réélection comme maire de Charleroi en octobre prochain", déclare Paul Magnette dans un entretien au Monde, expliquant par ailleurs qu'il entend "jouer un rôle" politique dans son pays, tant pour les européennes, que les régionales et les législatives - toutes programmées au printemps 2019.

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  • Le Vent se lève - Comment la chute de Robespierre a inauguré le règne des technocrates

    « Maximilien Robespierre, la veille encore l’homme le plus puissant de France, est étendu, couvert de sang et la mâchoire fracassée. Le grand fauve est capturé. La Terreur prend fin. Avec elle s’éteint l’esprit enflammé de la Révolution ; l’ère héroïque est terminée. C’est l’heure des héritiers, des chevaliers d’industrie et des profiteurs, des faiseurs de butin et des âmes à double visage, des généraux et des financiers ». C’est par ces mots que Stefan Zweig évoque le 9 Thermidor an II (27 juillet 1794), qui a vu l’arrestation de Robespierre et de ses alliés. C’est une certaine conception de la République qui meurt : le jacobinisme, qui a marqué ses contemporains par son caractère violemment plébéien, « populiste », dirait-on aujourd’hui, et donc résolument conflictuel. Il laisse la place au règne du consensus, du compromis, de la « modération ». On proclame la fin des conflits et des idéologies (des « opinions », disait-on alors). On souhaite achever cette ère d’agitation et de guerre civile qui s’est ouverte en 1789. Pour cela, on décide de transférer le pouvoir à une classe restreinte, qui se distingue par sa maîtrise de l’art politique et de la science économique, suffisamment sage, dit-on, pour gouverner dans l’intérêt de tous.

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  • Sélection d'été : Le populisme est-il devenu une norme en europe ?

    Le Vent Se Lève a organisé sa première université d'été à l'espace Main D'Oeuvres. Cette première édition s'intitule "Le Vent du Changement" pour mener un travail de renouveau intellectuel et de dialogue entre les forces progressistes. ►► Le populisme est-il devenu une norme en Europe ? ◄◄ A l'occasion d'un débat sur le populisme, nous recevions : Boris Vallaud (PS), Jorge Lago (Podemos), Elsa Faucillon (PCF) et Samuele Mazzolini (Senso Comune)

  • L'Obs - Ce que les affaires nous disent du macronisme

    On se souvient du séisme provoqué par l'affaire Cahuzac sous Hollande. La déflagration Alexandre Benalla est de cette dimension-là.

    A chaque président, ses affaires. Aucun n'y aura échappé. Giscard et les diamants de Bokassa. Chirac et les HLM de Paris. Sarkozy et l'argent de Kadhafi. La première affaire d'un quinquennat marque, bien souvent, un tournant, la fin d'un état de grâce, d'un bienveillant attentisme. Qu'on se souvienne du séisme provoqué par l'affaire Cahuzac sous Hollande. La déflagration Alexandre Benalla est de cette dimension-là.

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  • Raymond Aron sur son livre "République impériale" (INA, 1973)

    Pierre DUMAYET interviewe Raymond ARON sur son livre "République impériale, les Etats-Unis dans le monde 1945-1972". Raymond ARON imagine tout d'abord l'éloge nécrologique qui serait publié par ses amis ou ses ennemis puis fait son testament politique. Il poursuit sur les rapports politiques et économiques de l'Europe, et de la France en particulier, avec les Etats-unis depuis la Seconde Guerre Mondiale. Selon lui, l'Europe devrait continuer à se renforcer et à s'émanciper de la protection américaine. Il explique comment une Europe occidentale affirmée pourrait aider à la libéralisation du régime soviétique.