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Actualités socialistes - Page 782

  • Sortie de routes sur la loi Alimentation - Le billet de Nicole Ferroni

    Retour sur le projet de loi pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine et durable défendu par Stéphane Travert. Glyphosate, œufs de poules en batterie, caméra dans les abattoirs devaient disparaître des pratiques agricoles, comme l'avait promis Emmanuel Macron. Mais à la fin, il n'en n'est rien. Le billet d'humeur de Nicole Ferroni dans le 7/9, l’invité était Manuel Valls (8h55 - 30 Mai 2018)

  • Observatoire des inégalités - Travail pénible : les ouvriers à la peine

    53 % des ouvriers qualifiés ont un rythme de travail strictement contrôlé contre 24 % des cadres supérieurs. 63 % des ouvriers non qualifiés déclarent subir des nuisances sonores sur leur lieu de travail, contre 7 % des cadres. Entre les métiers les moins qualifiés et le haut de la hiérarchie, les conditions de travail n’ont pas grand-chose à voir entre elles.

    Les salariés sont mieux protégés face aux risques qu’hier, mais leur travail n’a pas été allégé. La part de salariés dont le rythme de travail est strictement contrôlé [1] ne diminue pas. Elle est même passée de 31,6 % à 35,2 % entre 2005 et 2016, selon le ministère du Travail [2]. Pour l’essentiel, il s’agit d’ouvriers (la moitié sont concernés) qui voient leurs gestes au quotidien commandés par un rythme de travail imposé par une machine ou par la surveillance de la hiérarchie.

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  • Pour un revenu de transition écologique [Sophie Swaton]

    Xerfi Canal a reçu Sophie Swaton, philosophe et économiste à l'Université de Lausanne, dans le cadre de son livre "Pour un revenu de transition écologique".

  • Fondation Jean Jaurès - Pierre Mendès France et la recomposition de la gauche après 1968

    Comment Pierre Mendès France a-t-il compris les mouvements et les enjeux de 1968 ? Quelle a été son appréciation politique de cette période ? Quelles sont pour lui les conséquences de son échec aux élections législatives à Grenoble en juin 1968 et de l’élection présidentielle de 1969 ? Au-delà, quels sont les enseignements qu’il en retient pour la recomposition de la gauche socialiste qui aboutit à la victoire de François Mitterrand en 1981 ?

    La seconde table ronde de la rencontre "Pierre Mendès France, Mai 1968 et après..." est animée par Emmanuel Laurentin, producteur à France Culture, administrateur de l’Institut Pierre Mendès France, et fait intervenir :
    - Robert Chapuis, ancien ministre, membre du Bureau national du PSU en 1968 : Pierre Mendès France au PSU et au-delà,
    - Vincent Duclert, chercheur au CESPRA (EHESS), professeur des universités associé à Sciences Po : Le soutien de Pierre Mendès France à la gauche socialiste jusqu’en 1981,
    - François Stasse, conseiller d’État : Pierre Mendès France, une vision du monde.

  • Luc Carvounas: «D’ici 2019, 2020, il y aura des bombes ambulantes en prison appelées à sortir...»

    « Il y a une urgence, nous les responsables politiques, qu’on soit de l’opposition ou de la majorité, à évoquer ce que nous a dit le procureur Molins. Il nous a rappelé que d’ici 2019, 2020, il y aura des bombes ambulantes qui sont en prison qui sont appelés à sortir. Que fait-on ? J’étais contre l’inscription dans le droit commun de l’état d’urgence. Pour autant, il faut que sans crispation il y ait un débat politique, un débat public, pour qu’on puisse protéger nos concitoyens. On ne peut pas repousser les droits de l’homme, l’esprit de la loi. Mais il y a un sujet, on ne va pas attendre à chaque fois qu’il se passe quelque chose en France, ou en Belgique ou ailleurs, pour se dire ce que je vous rappelle là. Il faut le faire, il faut le faire de manière dépassionnée. Ce matin, d’ailleurs, au groupe socialiste puisqu’on se réunit tous les mardis matin, c’est un débat qui a été posé par Valérie Rabault et Olivier Faure. Ils ont raison. […] Il faut avoir un débat, qu’est-ce qu’on fait ? […] Je pense qu’il faut avoir évidemment des commissions, des experts, des médecins, des pénalistes, qui nous disent si oui ou non ces personnes peuvent sortir. »

  • Fondation Jean Jaurès - Crises au Moyen-Orient : quels impacts sur la sécurité pour la région et en Europe ?

    Guerre en Syrie et au Yémen, conflit israélo-palestinien, tensions exacerbées entre la diplomatie de l'Arabie saoudite et celle de l'Iran pour le leadership de la région: le Moyen-Orient serait-il devenu un foyer de conflits et de tensions entre les États ?

    Suite à la dernière attaque chimique du régime de Bachar Al-Assad et aux frappes occidentales en représailles, allons-nous, de plus, assister à une escalade militaire ? Agnès Levallois, spécialiste du Moyen-Orient et vice-présidente de l'iReMMO, et Michel Foucher, géographe, ancien ambassadeur, font le point sur la situation politique et géostratégique de cette région et analysent notamment les origines du conflit syrien, les forces en présence et les conséquences pour la région, pour l'Europe et plus largement pour l'ensemble de la communauté internationale. 

    Cette conférence est animée par Patricia Adam, directrice de l'Observatoire de la défense - Orion, ancienne présidente de la commission de la défense à l'Assemblée nationale.

  • Fondation Jean Jaurès - Pierre Mendès France en 1968

    Comment Pierre Mendès France a-t-il compris les mouvements et les enjeux de 1968 ? Quelle a été son appréciation politique de cette période ? Quelles sont pour lui les conséquences de son échec aux élections législatives à Grenoble en juin 1968 et de l’élection présidentielle de 1969 ? Au-delà, quels sont les enseignements qu’il en retient pour la recomposition de la gauche socialiste qui aboutit à la victoire de François Mitterrand en 1981 ?

    La première table ronde de la rencontre "Pierre Mendès France, Mai 1968 et après..." est introduite et présidée par Alain Chatriot, professeur des universités, Sciences Po, et fait intervenir :
    - Anne-Laure Ollivier, professeure en classes préparatoires littéraires au lycée Camille Guérin (Poitiers) : Pierre Mendès France, François Mitterrand et la FGDS,
    - Gilles Richard, professeur des universités, université Rennes 2 : Pierre Mendès France, Pompidou, les droites.

  • Le Figaro - Vaulx-en-Velin: la maire PS arme les policiers municipaux

    Après des violences urbaines répétées ces derniers jours dans plusieurs quartiers de la ville, Hélène Goeffroy a annoncé, ce jeudi, un renforcement des mesures de sécurité.

    Pour faire face à une série d'événements violents qui ont eu lieu dans la ville de Vaulx-en-Velin, ces derniers jours, la mairie a décidé d'agir. Après un conseil municipal extraordinaire réuni mercredi soir en urgence, la maire PS de cette ville de 40.000 habitants, située dans la banlieue est de Lyon, a dévoilé un nouveau dispositif de sécurité afin de «conforter l'action de la police municipale»

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  • Jean-Marie Harribey - Karl Marx, Charles Dumont et Édith Piaf : « rien de rien » ou la réalisation monétaire de la production capitaliste

    La publication du livre La monnaie, un enjeu politique que j'ai présenté ici le 20 février 2018 sous le titre « La monnaie est un enjeu politique » a été suivie de nombreux commentaires qu'ont reçus les auteurs (J.-M. Harribey, E. Jeffers, J. Marie, D. Plihon, J.-F. Ponsot). Deux points délicats émergent des interrogations : le mécanisme de la création de monnaie, et pourquoi la création de monnaie est une nécessité logique ? Le court texte ci-dessous replonge dans l'histoire de la théorie de la valeur et de la monnaie, afin de comprendre la réalisation monétaire de la production capitaliste.

    On cite souvent Quesnay et Marx avec raison comme des précurseurs des tableaux d’échanges inter-industriels de la comptabilité nationale. En particulier, Marx, dans le Livre II du Capital, dresse ce qu’il appelle les schémas de la reproduction.

    En reproduction simple, il démontre que la condition de l’équilibre entre demande globale et offre globale est que la demande de biens de production en provenance de la section qui produit les biens de consommation (II) soit égale à la valeur ajoutée nette (salaires + plus-value) de la section qui produit les biens de production

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  • PS - Le manque d’ambition du plan d’Agnès Buzyn

    Télémédecine, présence d’infirmier.e.s la nuit… ces annonces minimalistes tentent de répondre à l’urgence et à calmer un conflit social qui a particulièrement marqué les Français.

    Hélas, ces mesures ne répondent pas durablement à l’enjeu du vieillissement qui nécessite un plan global. Déshabiller les budgets dédiés au personnel administratif pour renforcer ceux des personnels soignants ne répond pas à la crise dans les EHPAD.

    Pour prendre en charge les personnes âgées les plus fragiles, il faut un meilleur encadrement, former et recruter des professionnels pour les années à venir, créer de nouvelles places, baisser le reste à charge pour les familles…Sur toutes ces questions, force est de contester que les annonces du gouvernement ne sont pas à la hauteur.

    La loi d’adaptation de la société au vieillissement avait pourtant engagé la France dans l’accompagnement vers la perte d’autonomie. Alors que la France comptera bientôt cinq millions de personnes âgées de 85 ans ou plus en 2050 et que 600 000 personnes vivent en EHPAD, il est temps de penser durablement l’accompagnement et le soin apporté à nos aînés, comme à celles et ceux qui les accompagnent et les aident, qu’ils s’agissent de professionnels ou de la famille.

    Mais en se privant de milliards d’euros de recettes fiscales et en ouvrant la réflexion sur la diminution des allocations de solidarité, le gouvernement signe sa politique : il indique par la voix d’Agnès Buzyn un souhait de rendre accessibles les soins à domicile pour toutes les personnes âgées qui vivent chez elles, tout en lançant par la voix de Gérald Darmanin et Bruno Le Maire le projet d’une réduction des aides sociales destinées à ce même public… Fort avec les faibles, faible avec les forts, telle semble être sa devise.

    Il ouvre même la question d’une deuxième journée de solidarité qui fera supporter la dépendance par les salariés en exonérant le capital.

    Adapter la société au vieillissement, c’est repenser notre système de solidarité en gardant à l’esprit son fondement : « chacun y contribue selon ses moyens et chacun en bénéficie selon ses besoins ».

  • Un peu d'histoire - 1920 : le Bloody Sunday endeuille l'Irlande

    Le 21 novembre 1920 à Dublin, des violences opposent des militants indépendantistes aux forces britanniques. Trente morts, des centaines de blessés : cette journée tragique restera dans l'histoire sous le nom de « Bloody Sunday ».

    1919-1920. L'Irlande se déchire autour de la question de son indépendance. La campagne nationaliste irlandaise incite à la mobilisation populaire et à la création d'un « État dans l'État », en opposition au pouvoir britannique.

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