Boris VALLAUD, député PS de la 3ème circonscription des Landes - Membre de la Commission Affaires Sociales - secrétaire national à l'Europe et Porte-parole du @partisocialiste était l'invité politique du Grand Matin Sud Radio.
Actualités socialistes - Page 689
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Boris VALLAUD - Le Petit Déjeuner Politique Sud Radio
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Mobilisation des enseignants - Question de Michèle Victory
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Algérie : les manifestations se poursuivent malgré les annonces
"On a voulu dégager le système. Ils ont enlevé la moitié et on cherche toujours à enlever l'autre moitié." Brut était à Alger ce 15 mars. Les Algériens continuent à manifester après que le Président Abdelaziz Bouteflika a annoncé qu'il ne se représenterait pas. Voilà pourquoi.
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The Conversation - Désinformation et souveraineté des continents virtuels de l’Internet
Les conditions d’émergence de la désinformation en ligne et hors ligne, à partir de 2012 aux États-Unis, sont importantes à cerner pour en comprendre la spécificité et pour en maîtriser les réponses. Elles s’inscrivent dans la suite du tournant social, qui a vu la naissance des médias sociaux (2005-2007), faisant passer Internet du Web 1.0 au Web 2.0, avec des capacités d’interactions décuplées et des modèles d’affaires avérés (et confirmés par l’entrée au Nasdaq de Facebook et Twitter en 2012).
Ce tournant social a aussi mis l’accent sur le rôle de la donnée et des algorithmes, sous la forme de big data aux utilisations multiples (data analytics, deep machine learning…). Il prépare les conditions de mise en œuvre de l’intelligence artificielle via la puissance de calcul de l’informatique nuagique......
Il est grand temps, aussi, de se mobiliser pour que cette souveraineté des continents virtuels soit reprise en main par les États et leurs citoyens, car de fait, elle relève des activités humaines et des valeurs que nous voulons leur donner.
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Ouest France - Européennes. A quoi va ressembler la liste du PS et de Place publique ?
Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, l’a redit ce dimanche matin : la liste d’union Place publique-PS « restera ouverte jusqu’au dernier jour à Yannick Jadot. » Une liste d’alliance dont les premiers noms commencent à circuler…
Après avoir été menées par de grands noms de la gauche, comme François Mitterrand (1979), Lionel Jospin (1984), Laurent Fabius (1989), Michel Rocard (1994) ou encore François Hollande (1999), les élections européennes 2019 se feront cette fois sans tête de liste socialiste.
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Libé - «Je rejoins la campagne de Place publique, la désunion m’empêche de dormir»
Pour les élections européennes de mai, Aurore Lalucq, porte-parole de Benoît Hamon, rejoint la liste de Raphaël Glucksmann en «dynamique» pour rassembler la gauche.
Une période étrange. A gauche, les listes se multiplient et les figures changent d’écurie du jour au lendemain. Lundi, c’est Aurore Lalucq, économiste et porte-parole de Génération·s, le mouvement fondé par Benoît Hamon. Après plusieurs jours de réflexion, elle décide de rejoindre de Raphaël Glucksmann et sa liste en «dynamique» pour rassembler la gauche, dit-elle.
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Le Parisien - Européennes : furieux, des élus socialistes suspendent leur cotisation
Samedi, le parti à la rose a désigné l’essayiste Raphaël Glucksmann, qui n’est pas au PS, pour diriger sa liste. Une décision que beaucoup ne digèrent pas.
Samedi, le conseil national du PS a voté massivement (128 pour, 5 contre) pour que le philosophe Raphaël Glucksmann, cofondateur de Place Publique, conduise la liste « socialiste » aux Européennes. Et pourtant, Olivier Faure, le Premier secrétaire du PS, à l’initiative de cette opération inédite, doit s’attendre à des lendemains difficiles. Selon nos informations, de nombreux socialistes, notamment des sénateurs, s’apprêtent à faire la grève de leurs cotisations au parti. Tout au moins jusqu’au 26 mai, date du scrutin en France.
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Alternatives Economiques - Podcast : Pourquoi la panne de croissance de l’Allemagne va durer
La chronique éco de Marc Chevallier, rédacteur en chef d’Alternatives Economiques, est à retrouver tous les mardis dans la matinale du 5-7 de France Inter, à 6 h 45. Vous pouvez écouter celle du 12 mars ci-dessous. -
Le Vent se lève - « Le néolibéralisme est imbibé de catégories darwiniennes » – Entretien avec Barbara Stiegler
Évoluer dans un monde qui change, s’adapter à un environnement qui est en mutation permanente… d’où viennent ces métaphores biologiques qui imprègnent le discours dominant ? Barbara Stiegler, professeure de philosophie à l’université de Bordeaux-Montaigne, tente de répondre à cette énigme dans son dernier livre publié aux éditions Gallimard, Il faut s’adapter ! Elle s’intéresse aux controverses qui parcouraient la pensée libérale dans les années 1930, à l’époque où l’on débattait de l’héritage de Darwin dans les sciences sociales. Aux origines du néolibéralisme contemporain, on trouve un penseur dont l’influence a été considérable sur le siècle passé : Walter Lippmann. Entretien réalisé par Wonja Ebobisse et Vincent Ortiz, retranscrit par Hélène Pinet.
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Paul Jorion - Raphaël Glucksmann : "Si tu le bâtis, ils viendront !"
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Observatoire des inégalités - Comment l’élitisme social est maquillé en élitisme républicain
L’élitisme du système scolaire français favorise les enfants de diplômés. Leurs parents, de droite comme de gauche, défendent une école qui fonctionne à leur profit. Le point de vue de Jean-Paul Delahaye, inspecteur général de l’Éducation nationale honoraire.
Notre école fonctionne plutôt bien pour 70 à 75 % des élèves. La moitié des élèves âgés de 15 ans comptent même parmi les meilleurs élèves du monde selon les évaluations internationales Pisa [1] de l’OCDE. Il faut s’en réjouir. Mais il faut dans le même temps observer le grand écart qui existe entre les résultats de ceux qui réussissent, le plus souvent issus des classes moyennes et favorisées, et les difficultés lourdes rencontrées aux mêmes évaluations par le quart des jeunes de la même génération, issus pour la plupart des milieux populaires. On le sait, la France est l’un des pays où l’origine sociale pèse le plus sur les destins scolaires. Notre élitisme est tout sauf républicain, il est essentiellement un élitisme social qui ne veut pas dire son nom. Cette injustice sociale qui est à l’œuvre au sein de l’éducation nationale ne date pas d’aujourd’hui. Notre système éducatif n’a jamais vraiment été programmé pour faire réussir tous les élèves. L’échec scolaire massif des enfants des milieux populaires n’est pas un accident, il est inhérent au système éducatif français qui a été conçu pour trier et pour sélectionner les meilleurs, ce qu’il fait très bien.
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