Guillaume Meurice a suivi des membres d'Action non-violente COP21 qui décrochent les portraits officiels d'Emmanuel Macron pour dénoncer le manque d'action du gouvernement pour lutter contre le réchauffement climatique. Le Moment Meurice -
Actualités socialistes - Page 691
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"Décrocher" Macron pour défendre le climat - Le Moment Meurice
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Non Fiction - La gouvernance Macron, entre « extrême centre » et gilets jaunes
Depuis l’élection d’Emmanuel Macron à l’Elysée il y a deux ans, le temps de l’analyse politique semble avoir toujours un temps de retard sur les événements – la crise des « gilets jaunes » ayant éclaté à peine 18 mois après sa prise de pouvoir, sans bénéficier d’un « état de grâce » d’une année pleine. Le commentaire politique, qui sature les colonnes des journaux et les antennes radio et télévisuelles, continue, tel un hamster dans sa cage, sa rengaine trop bien connue mais ne semble plus tellement écouté ni particulièrement légitime. En effet, par paresse ou par conformisme (et parfois les deux « en même temps »), aucun éditorialiste n’a véritablement vu venir le « séisme politique » (pour reprendre leurs expressions par trop spectaculaires) des élections présidentielles et législatives de 2017…
Or, en cette année 2019, outre des pamphlétaires en « début de carrière » – le téméraire Juan Branco semble l’embrasser avec envie…–, de premières analyses politiques de fond se font (enfin ?) jour, de la part de commentateurs prenant un peu de recul sur la situation de la « gouvernance » du pays, ce mot semblant plus pertinent pour analyser le « macronisme » au pouvoir, tant les seules réalités institutionnelles et gouvernementales ne sauraient suffire à la compréhension des enjeux.
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Libé - Référendum ADP : après une semaine, quels politiques ont soutenu le RIP ?
Au total, 78 députés et sénateurs figuraient, au 25 juin, sur la liste des soutiens au référendum d’initiative partagée sur la privatisation d’ADP. Les partis de gauche se sont davantage mobilisés. Sans surprise, aucun élu LREM n’est allé contre la ligne du gouvernement.
Bonjour,
Nous avons reformulé (et élargi) votre question : «Bonjour, les politiques qui se sont déclarés en faveur du référendum d’initiative partagée ont-ils bien soutenu la proposition ?»
Vous nous interrogez sur la procédure ouvrant la voie au référendum d’initiative partagée (RIP) sur la privatisation du groupe Aéroports de Paris (ADP). Pour que le référendum ait lieu, 4,7 millions d’électeurs représentant 10% du corps électoral doivent déposer leur soutien au référendum sur le site dédié avant le 12 mars 2020. Mercredi, environ 390 000 soutiens ont été validés.
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Non Fiction - Le soin ne peut être pensé sans le soigné
Un numéro encore récent de la revue belge Culture et Démocratie (n°47, 2018) se demandait, sous le titre « Prendre soin », ce que peut signifier « soigner, prendre soin, réparer, guérir, dans la société contemporaine ». Il montrait fort bien que notre époque se montre plus que jamais soucieuse du soin, de la santé, au sens où nous commençons à amplifier à juste titre cette question du soin en y intégrant des réflexions sur l’art et la culture au cœur du soin, sur le souci de soi dans le soin, sur l’écoute des patients et la forme de la thérapie, cherchant ainsi à déployer dans le soin « les ailes du sens ».
Que l’époque soit soucieuse de tout cela, on ne peut que le constater au vu des manifestations des patients et des personnels hospitaliers. Est-ce aussi la signification que nous devrions prêter à un ministère de la santé ? Sans doute. À une condition cependant : que les propositions de ce ministère ne se bornent pas à organiser la gestion de la santé publique sous une forme quantitative, ou à pallier les crises suscitées au cœur de ce bien commun que pourrait représenter la santé, ainsi que le montre Michel Foucault, dans Sécurité, territoire, population (2004).
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Observatoire des inégalités - Que pensent les Français des inégalités ?
Les trois quarts des Français estiment que la société est « plutôt injuste ». Cette part a augmenté de dix points depuis le début des années 2000. Revue de détail de l’opinion face aux inégalités. Par Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.
76 % des Français estiment que la société française est « plutôt injuste », selon l’édition 2018 du baromètre annuel du ministère des Solidarités. 21 % la trouvent « plutôt juste » et 3 % ne se prononcent pas. Cette enquête, réalisée tous les ans, confirme le résultat de nombreux sondages qui vont dans le même sens. Ainsi, une enquête réalisée par les Pupilles de l’enseignement public en décembre 2018 [1] indiquait que 50 % de la population estimait notre société « plutôt inégalitaire » et 28 % « très inégalitaire », chiffre quasiment constant depuis 2014.Ce chiffre doit être utilisé avec précaution. À moins de vivre dans un monde absolument égalitaire, on peut toujours trouver qu’il persiste de l’injustice et trouver le monde « plutôt injuste », l’expression est très floue.
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Proposition de résolution pour relancer un Etat en panne - Discours de Jean-Louis Bricout
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#UniversiteLVSL #2 Après les gilets jaunes - L'Histoire recommence, le 28 juin à 12h
Pour la deuxième conférence de cette première journée, Emmanuel Todd, François Boulo, Raquel Garrido et Antoine Cargoet débattront sur la question : "Après les gilets jaunes".
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#UniversiteLVSL #3 L’Europe dans l’impasse ? - L'Histoire recommence, en direct le 28 juin à 14h30
Pour la troisième conférence de cette première journée, Aurore Lalucq, Osons Causer et Antoine Vauchez débattront sur la question : "L’Europe dans l’impasse ?".
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#UniversiteLVSL #1 La transition écologique est-elle compatible avec la démocratie ? - L'Histoire recommence, en direct le 28 juin à 10h
Pour la première conférence de cette première journée, David Djaiz, Lucile Schmid et Karima Delli débattront sur la question : "La transition écologique est-elle compatible avec la démocratie ?"
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Observatoire des inégalités - « L’orientation scolaire renforce les inégalités », entretien avec Agnès van Zanten, sociologue au CNRS
Selon leur milieu social, les jeunes demeurent profondément inégaux dans leurs choix d’orientation. Agnès van Zanten, sociologue au CNRS et spécialiste des politiques éducatives, analyse le contexte dans lequel se réalisent ces choix. Entretien extrait de lejournal.cnrs.fr.Vos recherches portent sur les conditions dans lesquelles les lycéens sont amenés à choisir leurs études supérieures. Que cherchez-vous précisément à mettre en lumière ?
Agnès van Zanten : Jusqu’à présent, très peu de travaux ont été conduits dans notre pays sur les processus qui, au sein des établissements scolaires et des familles, ou encore via Internet, les plates-formes d’orientation en première année d’études supérieures, les salons d’orientation, etc., entretiennent ou creusent les inégalités entre jeunes, s’agissant de leurs choix d’orientation dans l’enseignement supérieur. Pour mieux saisir pourquoi la France affiche un faible taux de scolarisation des enfants des classes populaires dans le supérieur, nous avons mis en place depuis 2013 un dispositif inédit de grande envergure. Celui-ci repose sur des questionnaires distribués auprès de 1 800 élèves de terminale et de 450 proviseurs de lycées de la région parisienne, ainsi que sur des enquêtes ethnographiques dans quatre lycées et dans plus d’une vingtaine de salons et de journées portes ouvertes d’établissements d’enseignement supérieur.
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Public Sénat - Le PS prépare déjà la rentrée, depuis son groupe au Sénat
Malgré de nouvelles turpitudes au sein de sa direction nationale, le PS cherche toujours à se reconstruire, avec comme fondations le groupe sénatorial. Forte de ses 72 membres, l’équipe de Patrick Kanner organise l’évènement avec la venue d’anciennes figures et planche sur de nouvelles idées.
Plus courte que d’ordinaire, la réunion hebdomadaire des sénateurs socialistes n’a pas viré à la thérapie de groupe. L’heure était plutôt à la préparation des derniers travaux parlementaires avant la coupure estivale. Le remaniement dans le secrétariat national du parti, marqué par l’éviction surprise du sénateur Rachid Temal, n’a pas créé de vagues. L’ancien premier secrétaire du PS par intérim, averti de sa mise à l’écart lors d’un échange avec la presse, considère qu’il paye ses désaccords avec l’actuel dirigeant du PS, Olivier Faure, sur la stratégie à l’œuvre pour les élections européennes, notamment le choix de Raphaël Glucksmann (Place publique) comme tête de liste.
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