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Actualités socialistes - Page 675

  • Le Monde - Est-ce une bonne chose de rendre les transports gratuits ? (nov 2017)

    Chateauroux, Niort, Aubagne et aujourdhui Dunkerque. Depuis les années 70, une vingtaine de villes ont décidé de rendre leurs transports publics gratuits. L’objectif : les rendre plus attractifs. Mais alors, pourquoi ne pas généraliser la mesure ? A première vue, elle parait séduisante. Avec la gratuité, les voyageurs prennent davantage les transports en commun et la ville économise sur la fabrication des tickets ou le salaire des contrôleurs. Pourtant, si toutes les villes ne passent pas au gratuit, c’est qu’il y a aussi des inconvénients. D’abord, les transports gratuits ne soient pas si gratuits que ça. Sans billetterie, les villes doivent trouver de l’argent pour entretenir leur réseau. Pour ça, elles comptent sur une taxe demandée aux entreprises, « le versement transport ». Mais comme cette taxe a un plafond, il faut parfois augmenter les impôts locaux, comme la taxe d’habitation ou la taxe foncière, pour compenser le manque à gagner de la gratuité. Autre inconvénient : rendre les transports gratuits ne diminuent pas forcément le nombre de voitures sur les routes. Ce sont en effet souvent les habitués qui prennent encore plus les transports en commun. Les automobilistes eux continuent d’utiliser leur voiture. Finalement, pour rendre les transports gratuits attractifs, il faudrait donner moins envie d’utiliser la voiture. Comment ? En mettant en place des péages urbains, en augmentant le stationnement payant ou en valorisant le covoiturage.

  • Aéroports de Paris : un enjeu de souveraineté démocratique

     Ad astra per aspera. Au lendemain de la validation par le Conseil constitutionnel de la proposition de loi prévoyant l’organisation d’un référendum d’initiative partagée (RIP), la route est encore longue et incertaine pour les opposants à la privatisation des Aéroports de Paris : pour qu’une consultation référendaire se tienne, il faudra remplir la seconde condition ultra-contraignante prévue par la révision constitutionnelle de juillet 2008, après avoir validé la première (réunir 1/5 des parlementaires autour d’une proposition de loi) : rassembler les signatures d’un dixième du corps électoral, soit un peu plus de 4,7 millions d’électeurs, dans un délai de neuf mois. Si le projet va à son terme et qu’un référendum fait échec à la privatisation, les pétitionnaires n’auront peut-être pas gagné le ciel, mais ils auront remporté un pari qu’on disait impossible tant la procédure est complexe. Mieux : ils auront engagé la Nation dans une aventure démocratique inédite.

    Le sujet mérite-t-il un référendum ? Ce sont les citoyens qui le diront bientôt mais, référendum ou pas, privatiser une infrastructure publique de cette importance n’est certainement pas une question secondaire ni seulement technique.

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  • France Inter - Le PS a le RIP fier sur ADP, honteux sur l'ISF

    Au PS, on était à deux doigts jeudi de sabrer le champagne après la validation de la première étape du référendum d'initiative partagée sur la privatisation d'ADP par le Conseil Constitutionnel. Mais étrangement plus question de cet autre RIP lancé par le PS sur l'ISF. Il ne manque pourtant que 24 signatures...

    Regain de fierté au PS, le sentiment d'être à nouveau au centre du jeu politique avec la validation par le Conseil Constitutionnel de la première étape du référendum d'initiative partagée sur la privatisation d'Aéroports de Paris.

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  • L'évolution du patrimoine des Français [Alexandre Mirlicourtois]

    Début 2018, plus de 93 Français sur 100 détenaient un patrimoine immobilier, professionnel ou financier (autre qu’un compte chèque). Ce chiffre est quasiment stable depuis 20 ans. Mais c’est une stabilité de façade car les comportements patrimoniaux ont profondément changé, notamment depuis 2008 avec ce fil rouge : depuis la crise, l’aversion pour le risque s’est élevée au profit des produits les plus sécurisés. [...]

  • Ouest France - Cambadélis lance une pétition pour obtenir la dissolution de l’Assemblée

    Dans une interview au Figaro, l’ancien secrétaire général du Parti socialiste demande à Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, pour ne pas que les extrêmes l’emportent à l’issue du quinquennat.

    L’ancien premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, qui s’était mis en retrait de la vie politique, annonce jeudi dans Le Figaro qu’il revient « au combat » et lance une pétition demandant « au président de dissoudre l’Assemblée nationale ».

    « Emmanuel Macron devait mettre la France en marche, force est de constater qu’elle est en panne […] Et plutôt que de permettre un renouveau démocratique, son nouveau monde a libéré tous les populismes », critique l’ancien député de Paris.

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  • Les firmes françaises et allemandes à l'international : des enseignements [Olivier Passet]

    Nouveau zoom sur la France offshore, celle des filiales implantées à l’étranger. On la regarde peu. Cet empire hors les murs est vécu comme une sorte de trahison au territoire, par la déperdition d’emplois et de matière fiscale qu’elle induit. [...]

  • Le Monde - Réchauffement climatique : est-il déjà trop tard ?

    Avons-nous déjà perdu la bataille du réchauffement climatique ? C'est la question au cœur des Idées Claires, notre programme hebdomadaire produit par France Culture et Franceinfo destiné à lutter contre les désordres de l'information, des fake news aux idées reçues.

  • La vie se meurt - Le billet de Nicole Ferroni

    Ce matin, Nicole Ferroni est inquiète, car d'après le rapport scientifique de l'ONU présenté lundi : 1 800 pages et 450 experts s'accordent à dire que la vie sur notre planète est en très grand danger !