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Actualités socialistes - Page 673

  • Le meilleur de 2018/19 - Fondation Jean Jaurès - Enquête complotisme 2019 : les grands enseignements

    Dans quelle mesure les Français adhérent-ils aux théories conspirationnistes diffusées dans le pays ? Quelles catégories de la population sont les plus concernées ? Après une première enquête inédite de la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch en 2018, réalisée par l’Ifop, Rudy Reichstadt, membre de l’Observatoire des radicalités politiques de la Fondation Jean-Jaurès et directeur de Conspiracy Watch, présente les grands enseignements de la seconde vague.

    I - Les grands enseignements

    Cette nouvelle enquête, réalisée par la Fondation Jean-Jaurès et Conspiracy Watch, avec l’institut Ifop, en décembre 2018, met en lumière l’influence préoccupante des représentations conspirationnistes dans la société française : si deux Français sur trois sont relativement hermétiques au complotisme, 21 % des personnes interrogées se déclarent cependant « d’accord » avec 5 énoncés complotistes parmi les 10 qui leur ont été soumis.

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  • Le meilleur de 2018/19 - La Vie des idées - L’impouvoir d’achat, Quand les dépenses sont contraintes

    Le mouvement des Gilets jaunes a mis en lumière que de nombreux ménages ne parvenaient pas à boucler leurs fins de mois, même avec un revenu relativement stable. Un tel constat invite à ouvrir la boîte noire du budget des ménages afin de saisir les dynamiques d’inégalité et de pauvreté.

    S’il ne fallait retenir qu’un thème du mouvement des Gilets jaunes et du « grand débat national » lancé par le gouvernement en réaction, nul doute que l’expression de « pouvoir d’achat » tiendrait la corde. Nombreux sont en effet les facteurs qui pèsent sur le budget des ménages – ou plus exactement de certains ménages –, soit en rognant leurs ressources (montée du chômage, des formes d’emploi dites « atypiques » tels que contrats à durée limitée : CDD, intérim, etc. ; augmentation des emplois à temps partiel, ou encore stagnation des salaires et notamment le gel du point d’indice dans la fonction publique, hausse de la CSG,…), soit en renchérissant certains postes de consommation (hausse du prix du carburant, des loyers, des frais bancaires, de l’hébergement des personnes âgées dépendantes,…).

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  • Le meilleur de 2018/19 - France Culture - Gauche et "gilets jaunes" : une convergence est-elle possible ?

    Les grandes manœuvres politiques à gauche ont commencé avant les européennes. Reste à voir si le mouvement des #GiletsJaunes pourra lui donner un nouvel élan. Pour en parler, Les Matins de France Culture reçoivent la sociologue Dominique Méda et l'historien Nicolas Delalande.

  • Le meilleur de 2018/19 - Regards - « Peut-être qu’Emmanuel Macron sera lui-même disrupté par plus disruptif que lui »

    Journaliste politique à France Inter, Frédéric Métézeau vient de publier « Vieux Renards et Jeunes Loups », aux Editions L'Archipel : voyage au coeur du dégagisme.

  • Le meilleur de 2018/19 - ENS Lyon - La démocratie participative : entretien avec Loïc Blondiaux

    Dans quelle mesure la démocratie participative est-elle susceptible de compléter et d'enrichir la démocratie représentative ? À l'occasion du festival des idées "La Chose Publique" organisé par La Villa Gillet à Lyon en novembre 2017, Loïc Blondiaux, spécialiste de la démocratie participative, nous a accordé un entretien autour de cette question. Le chercheur était invité à débattre avec Ulrike Guérot lors d'une table ronde animée par Sylvain Bourmeau sur la thématique de l'Europe participative, le 24 novembre 2017.

    Loïc Blondiaux est l'un des fondateurs de Politix, la Revue des sciences sociales du politique, et plus récemment de Participations, la Revue de sciences sociales sur la démocratie et la citoyenneté. Il est l'auteur de nombreux articles et ouvrages dont La Fabrique de l'opinion (Seuil, 1998), Le Débat public : une expérience française de démocratie participative (La Découverte, 2007, en co-direction) et Le nouvel esprit de la démocratie (Seuil, La République des idées, 2008).

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  • Le meilleur de 2018/19 - ♪♫♪ Il était une fois Jaurès ♪♫♪

    Extrait de notre spectacle "Il était une fois Jaurès" * Cathy Fernandez * Claude Delrieu * Michel Vivoux *

  • Le meilleur de 2018/2019 - France Culture - Pourquoi il faut lire Proudhon aujourd'hui

    Plus de démocratie directe, moins de centralisme… En plein mouvement des "gilets jaunes" et à la veille du lancement du grand débat national, la pensée de Pierre-Joseph Proudhon résonne plus que jamais avec notre époque. Pour le politologue Édouard Jourdain "il faut lire Proudhon car c'est un auteur qui nous permet de penser la réappropriation de la chose publique par les citoyens".

  • Le meilleur de 2018/19 - Le Vent se lève- L’envers du « modèle » danois, porté aux nues par les médias

    Longtemps vanté comme un exemple de la troisième voie social-libérale, le « modèle danois » de la flexisécurité salariale a servi de cache-misère à l’avènement du néolibéralisme au Danemark dans les années 1990. Récemment, Emmanuel Macron a tenté de réactiver le vieux mythe des « modèles » scandinaves, sans s’apercevoir de la régression sociale que le tournant néolibéral y a engendré depuis 25 ans. Le temps est venu de se pencher sur l’envers du mythe.


    Les ‹‹ modèles scandinaves ›› constituent un thème récurrent du champ politico-médiatique occidental, entretenu depuis près d’un siècle : depuis les modèles coopératifs des années 1930, en passant par la social-démocratie suédoise des années 1960, jusqu’à la ‹‹ flexisécurité ›› danoise des années 1990. Si le discours dominant a longtemps attribué au modèle danois un récit postmoderne de transition réussie vers la société post-industrielle et le libéralisme « à visage humain », une coupure franche s’est en fait instaurée, derrière cet apparent renouvellement, entre d’une part un système social-démocrate, initié dans les années 1930 puis entré en stagnation dès les années 1970, et, d’autre part, depuis le début des années 1990, le passage à une ère social-libérale, qu’on nommera également « néolibérale ».

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  • Pour le PS, "l'étape essentielle, c'est les municipales"

    Gabrielle Siry, porte-parole du PS, a expliqué vendredi sur Europe 1 que les municipales allaient permettre de montrer à quel point le Parti socialiste conserve un ancrage local fort.

  • Le meilleur de 2018/19 - Gauvain Sers - Les oubliés (Episode 2 : l'école de Ponthoile revit le temps d'une journée)

    L’école de Ponthoile qui a inspiré la chanson ‘Les Oubliés’ a rouvert ses portes le temps d’une journée. C'était l’occasion de rendre visite aux anciens élèves et d’organiser quelques activités pour faire revivre ce lieu. Un moment tant enrichissant qu'émouvant .

  • Le meilleur de 2018/19 - Arte - L'homme a mangé la Terre, un film de Jean-Robert Viallet

    De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l'anthropocène (ou l'ère de l'Homme) et de la déterioration continue de la planète.

    Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.

    Liaisons dangereuses

    En balayant, avec de formidables archives issues du monde entier, deux siècles de progrès jusqu’à l’ère du big data, le film remonte aux sources de la crise écologique, en interrogeant avec précision les enjeux scientifiques, économiques et politiques qui y ont conduit. Fourmillant d’informations, il éclaire l’histoire de cette marche folle, et les liaisons dangereuses entre industries militaire et civile. Entre capitalisme et mondialisation imposés par les grandes puissances, un décryptage passionnant du basculement dans l’anthropocène, funeste asservissement de la nature par l’homme.

    Un film de Jean-Robert Viallet à voir sur Arte, le site web

    Disponible du 23/04/2019 au 29/08/2019