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Cette note Gambetta de Christophe Ramaux explique le caractère fallacieux de l’insistance sur les 56% du PIB de dépenses publiques. Cela laisserait à penser qu’il ne resterait plus que 44 % pour le privé, alors que c’est complètement faux : si’on calcule la dépense privée comme on calcule la dépense publique, elle atteint environ 200 % du PIB.
On ne les voit pas. On ne parle pas d’eux. Ils ne font pas de bruit. Ces millions de jeunes de la France périphérique, dispersés sur le territoire, s'ils ont un fort potentiel, sont pourtant oubliés et se trouvent face à un véritable parcours d’obstacles : autocensure, manque d’informations et de mobilité, fragilité économique, absence de réseaux, fracture numérique… Salomé Berlioux, présidente de l'association Chemins d'avenirs – une association qui informe, accompagne et promeut des milliers de jeunes issus des zones isolées – débat aux côtés de Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion et stratégies d'entreprise de l'Ifop, à l'occasion de la sortie de son essai, rédigé avec Erkki Maillard, "Les Invisibles de la République. Comment on sacrifie la jeunesse de la France périphérique" (Robert Laffont, 2019). La rencontre est animée par Jérémie Peltier, directeur des études de la Fondation Jean-Jaurès.
"Bienvenue au #CamPuS19 et bon débat à tous", le mot d'accueil de Corinne Narassiguin secrétaire nationale à la Coordination et aux Moyens et Maxime des Gayets secrétaire national aux Grandes Transitions chargé de #CamPuS19 à l'approche de l'ouverture de notre rendez-vous ! À tout à l'heure
L'Union européenne est fréquemment critiquée car elle appliquerait avec trop de rigidités ses règles en matière de concurrence, au détriment d'une véritable politique industrielle, favorable à l'émergence de géants européens. De Google à Alstom-Siemens, tour d'horizon de la concurrence dans l'Union.
À quatre mois des élections européennes, quelle est la situation des partis sociaux-démocrates en Europe ? Comment ont-ils évolué au cours des dernières années ? Se sont-ils adaptés aux mutations de la structure des clivages en Europe ? La Fondation Jean-Jaurès en débat avec :
- Fabien Escalona, docteur en science politique, auteur de "La reconversion partisane de la social-démocratie européenne. Du régime social-démocrate keynésien au régime social-démocrate de marché" (Éditions Dalloz, 2018), - Henri Weber, ancien sénateur, ancien député européen, responsable pour la Fondation Jean-Jaurès d’un rapport sur « la nouvelle forme partisane », lors d’une rencontre publique animée par Nicolas Leron, expert associé à la Fondation Jean-Jaurès, chercheur associé au Cevipof, Sciences Po.
En confiant la tête de la liste PS aux européennes au cofondateur de Place publique, le Premier secrétaire Olivier Faure semble jouer la survie du parti à quitte ou double.
Pour la première fois en quarante ans la liste du Parti socialiste (PS) aux élections européennes ne sera pas conduite par un... socialiste! Au sens de militant socialiste encarté. De 1979, année des premières européennes, à 1999, date de la dernière consultation avec une seule liste nationale avant la reprise de ce mode de scrutin en 2019 –de 2004 à 2014, la liste nationale unique a été éclatée en huit listes régionales– le chef de file du PS dans la conquête européenne a été, successivement, François Mitterrand (1979), Lionel Jospin (1984), Laurent Fabius (1989), Michel Rocard (1994) et François Hollande (1999). Excusez du peu: deux sont devenus président de la République et les trois autres ont occupé l'hôtel Matignon à une étape de leur parcours politique.