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Actualités socialistes - Page 199

  • Reporterre - Homonuclearus, le média qui décortique le nucléaire français

    Alors que le gouvernement prévoit de construire de nouveaux réacteurs nucléaires, Reporterre est allé à la rencontre d’Homonuclearus, le site qui veut faire comprendre le nucléaire civil aux citoyens.

    Paris, 3ᵉ arrondissement. Dans cette galerie d’art vide en plein Marais, deux fauteuils en cuir noir se font face ; braquées sur l’un d’eux, trois caméras et deux projecteurs. À l’extérieur, de l’autre côté des vitres de l’ancienne boutique prêtée pour l’occasion, l’équipe d’Homonuclearus a une heure d’avance et prend l’air en attendant l’ancienne ministre de l’Écologie Barbara Pompili. David Lurinas, l’intervieweur, ainsi que Mickaël, Hugo et Alain, les trois chefs opérateurs, avalent leurs expressos.

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  • L'Express - TRIBUNE. 1 500 cadres socialistes appellent à réélire Olivier Faure à la tête du PS

    Les signataires, dont une centaine de maires, 21 sénateurs, 16 députés et 60 patrons de fédérations socialistes, demandent à protéger l'unité de la gauche, leur "talisman" écrivent-ils.

    Les grandes manoeuvres ont commencé au PS, en vue de son 80e congrès qui se tiendra à Marseille en Janvier. Alors que ses opposants internes, dont une bonne partie de proches d'Anne Hidalgo, s'organisent pour le faire tomber, Olivier Faure compte bien repartir pour un tour à la tête d'un PS, allié de la Nupes et de Mélenchon, qui rêve tant bien que mal de ressusciter la vieille maison rose. Dans une tribune à L'Express, 1500 cadres du PS, dont une centaine de maires, 40 parlementaires et 60 premiers secrétaires fédéraux le soutiennent

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  • PS - Préservons notre police judiciaire

    Préservons notre police judiciaire

    – Mardi 18 octobre 2022

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Gulsen Yildirim, secrétaire nationale à la Justice

    Sous couvert d’une simple réorganisation, le Gouvernement s’apprête à départementaliser la police judiciaire (PJ) en unifiant le commandement des différents services de police sous l’autorité d’un directeur départemental de la police nationale, unique interlocuteur du préfet sur les questions relatives à la sécurité intérieure.

    Ce projet de réforme, porté sans concertation et d’abord dans un souci de pure rationalisation budgétaire, risque de porter gravement atteinte à l’efficacité des enquêtes. En effet, en l’état de sa formulation, cette réforme ne préserve aucunement les missions de la police judiciaire qui sont indispensables à la conduite et la résolution des affaires de criminalité organisée de plus en plus complexes. Elle conduit au contraire à l’absorption de la PJ par la sécurité publique et au sacrifice d’une filière hautement spécialisée sur l’autel du traitement de masse de la délinquance du quotidien. Or la lutte contre la grande criminalité organisée ne se joue pas à l’échelon d’un simple ressort judiciaire départemental. Elle exige des moyens et des enjeux de coordination majeurs pour combattre des organisations qui, pour beaucoup, s’affranchissent totalement des frontières.

    De plus, la police judiciaire garantit les capacités d’action de l’autorité judiciaire. Son affaiblissement porte donc atteinte à l’indépendance de la justice et, derrière elle, à la séparation des pouvoirs. L’enjeu est aussi celui de la protection du secret des affaires puisque les enquêtes sensibles risquent d’être suivies en temps réel par l’autorité préfectorale et, par conséquent, par le ministère de l’intérieur. Or le Conseil constitutionnel a déjà rappelé que la police judiciaire doit être placée sous la direction et le contrôle de l’autorité judiciaire. On ne peut que regretter le silence du garde des Sceaux sur ce sujet alors qu’il est le garant de l’indépendance et du bon fonctionnement de la justice.

    Les premiers retours sur l’expérimentation en cours dans plusieurs départements confirment ces inquiétudes. Une concertation sur un sujet aussi fondamental pour l’Etat de droit, confronté à une criminalité organisée de plus en plus menaçante, apparaît indispensable.

    C’est pourquoi, le Parti socialiste apporte son soutien aux milliers de policiers mobilisés depuis plusieurs semaines et aux rassemblements organisés partout en France pour défendre la police judiciaire. Il demande au gouvernement d’attendre les résultats des missions d’information qui ont été lancées au Parlement. Il exige que les moyens de lutte contre la grande criminalité et la délinquance économique et financière soient préservés et que l’indépendance des enquêtes judiciaires soit assurée

  • Fondation Jean Jaurès : La gauche en Israël

    À quelques semaines des élections législatives en Israël – les cinquièmes en trois ans et demi –, le sociologue israélien Ouri Weber revient sur l'analyse de la gauche israélienne qu'il a livrée dans son dernier essai, mais également sur les enjeux du scrutin législatif du 1er novembre prochain. Il est interrogé par Alexandre Minet, coordinateur du secteur International de la Fondation.

  • Le Grand Face-à-Face - "La nature, ça n'existe pas" avec Philippe Descola

    Et si la culture occidentale s’était construite en séparant radicalement l’Homme, de son environnement. Débat avec Philippe Descola, anthropologue et professeur émérite au Collège de France, co-auteur de « Ethnographies des mondes à venir » (Seuil).

  • PS - Lutte contre la pollution : le gouvernement condamné à agir !

    Lutte contre la pollution : le gouvernement condamné à agir !

    – Mardi 18 octobre 2022

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Tristan Foveau, secrétaire national à l’Écologie, au Dérèglement climatique et à la Biodiversité

    Dans une décision rendue hier, le Conseil d’État a sanctionné le gouvernement pour son incapacité à ramener les niveaux de pollution de l’air en dessous des seuils réglementaires dans les principales agglomérations. Il l’a condamné à payer une amende record de 20 millions d’euros pour la période comprise entre le 1er juillet 2021 et le 1er juillet 2022. 

    Ce n’est pas la première fois que le gouvernement est ainsi condamné par la plus haute juridiction administrative. En août 2021, il avait déjà dû s’acquitter d’une amende de 10 millions d’euros pour la période couvrant le premier semestre de 2021. Entre les deux décisions, la situation ne s’est pas suffisamment améliorée selon le Conseil d’État, et la facture s’élève désormais à 30 millions d’euros.

    La pollution de l’air est devenue une urgence de santé publique. Ses effets délétères sont à l’origine de près de 100 000 morts prématurées par an en France, dont 48 000 décès prématurés chaque année à cause des particules fines de type PM2,5, ainsi que de multiples pathologies qui frappent en priorité les publics fragiles et les populations les plus précaires. Mais pour faire face à cette situation, l’action du gouvernement n’est pas jugée à la hauteur. Cette nouvelle condamnation vise l’action insuffisante, pas assez probante et trop lente du gouvernement – la première décision du Conseil d’État sur le sujet remonte à juillet 2017.

    C’est pourquoi nous demandons au gouvernement de mettre la question de la santé au cœur des politiques publiques : sortie progressive du véhicule thermique, généralisation de la vignette Crit’Air dans toutes les villes de plus de 100 000 habitants, développement des zones à faible émission (ZFE), généralisation des évaluations d’impact en santé (EIS) avant l’adoption des projets d’urbanisme ou la fin des zones d’habitation aux bords des grands axes pollués…

    La directive européenne de 2008 sur la qualité de l’air qui s’applique aujourd’hui est actuellement en révision et la Commission doit remettre son nouveau texte à la fin du mois. Nous demandons à ce sujet que l’Europe retienne les exigences de l’OMS, lesquelles ont récemment été durcies.

    Sans action résolue de la part du gouvernement, ces normes seront très probablement dépassées dans plusieurs agglomérations françaises et donc à nouveau sanctionnées en 2023 au regard du second semestre 2022. Nous n’avons plus le temps ni le droit de jouer avec la santé des Français.

     

  • Panique en Bourgeoisie - Le Moment Meurice

    Guillaume Meurice revient de "Bourgeoisie" et ça sent la trouille là-bas. Personne n'est tranquille dans les quartiers riches... Guillaume est allé voir

  • Brevets pharmaceutiques : payer ou mourir ? - 27 I ARTE

    Covid, sida, diabète, cancers... : les vaccins et traitements contre les maladies sont devenus un business très lucratif pour l’industrie pharmaceutique. Les prix pratiqués, parfois stratosphériques, empêchent souvent les plus pauvres d'être correctement soignés. Libérer les brevets serait-il la panacée pour répondre aux défis de la santé ?

    Pour en débattre, trois invités aux points de vue différents : Pauline Londeix, cofondatrice de l’Observatoire de la transparence pour les politiques du médicament et autrice de "Combien coûtent nos vies", dans lequel elle remet en question le principe même des brevets pharmaceutiques. Face à elle, Thomas Klit Christensen, conseiller juridique pour LIF, une association danoise qui représente l’industrie pharmaceutique.

    Pour lui, le système des brevets est garant de l’innovation et ne doit en aucun cas être modifié. Et Sabine Vogler, directrice du département de pharmaco-économie à l’Institut national de la santé en Autriche. Elle coordonne le centre de l'Organisation mondiale de la santé pour les politiques de tarification et de remboursement des produits pharmaceutiques. Des échanges ponctués par les témoignages des neuf Européens qui ont défriché le sujet en amont de l’émission, et par un reportage en France et en Belgique, où le laboratoire Novartis a accepté de lever l’un de ses brevets sur le Kymriah, un traitement novateur contre le cancer. Problème : le Kymriah est protégé par plusieurs autres brevets…

    Enfin, dans notre grand entretien, Nora Hamadi reçoit Peter Drahos, professeur de droit et de gouvernance à l’Institut universitaire européen de Florence. Elle l’interroge sur la protection des idées et la nécessité de les mettre en commun pour le bien de l’humanité. Magazine (France, 2022, 45mn)

  • Algues Vertes. La Région Bretagne va apporter son aide financière au film adapté de la BD d'Inès Léraud

    Dans un communiqué, la Région Bretagne annonce, ce 15 septembre, qu'elle soutiendra financièrement le film adapté de la BD d'Inès Léraud, "Algues Vertes, l'histoire interdite". Le montant de la subvention qui sera versée au long métrage réalisé par Pierre Jolivet sera fixé dans les prochaines semaines.

    C'est par une mise au point que la Région Bretagne entame le communiqué dans lequel elle annonce son soutien financier au film tiré de la BD d'Inès Léraud, Algues Vertes, l'histoire interdite. "Ce n'est pas la Région qui, sur le fond, se prononce pour les aides allouées à la réalisation des films tournés, tout ou partie, en Bretagne, est-il écrit,  mais un comité d'experts indépendants où siègent des professionnels de la filière cinéma".

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