Fabius appelle les Français à quitter le Yémen... par FranceInfo
Actualités socialistes - Page 1479
-
Fabius appelle les Français à quitter le Yémen, un "pays extrêmement dangereux"
-
Entretien Mediapart – Benoît Hamon: «Nous avons fait l’erreur de croire que Manuel Valls modifierait le cap»
Mediapart.- Sur la loi Macron, n’y avait-il vraiment pas moyen de trouver un compromis sur le travail du dimanche ? Cette histoire de compensation salariale est-elle une raison valable pour ne pas voter ce texte alors qu’on parle de plus de 3 000 amendements étudiés et de plus de 300 articles ?
Benoît Hamon.- Pour les salariés, c’est important. Ce n’est pas une question de dogme, nous nous sommes posé la question de savoir chapitre par chapitre ce qui nous semblait favorable aux salariés et ce qui constituait une mesure inefficace pour l’emploi et le pouvoir d’achat.
Lire la suite
_____________________
_____________________ -
Montebourg critique la loi Macron lors d'une conférence à Princeton
-
Jean-Marc Germain, invité de Guillaume Durand avec LCI (25.02.15)
-
Loi Macron : Cambadelis sermonne les contestataires du PS
-
Conférence de presse de Jean-Christophe Cambadélis à l'issue du Bureau national le 24/02/2015
Conférence de presse de Jean-Christophe... par PartiSocialiste -
Cambadélis: "La souplesse individuelle de l'abstention est devenue une faiblesse collective"
-
Le parti pris d'Apolline de Malherbe : Macron VS Le Foll : la guerre des chouchous – 23/02
-
Le Roux: "Je bloque sur les réseaux ceux qui emploient l'expression 'Français de souche'"
-
Slate - Fin de partie pour Syriza? Pas si vite… Par Fabien Escalona, Enseignant à Sciences Po Grenoble
Les commentaires sur l’accord entre la Grèce et l’Eurogroupe ont transformé la défaite provisoire de Syriza en déroute définitive. Il faudra pourtant plusieurs mois pour savoir si c’est vraiment le cas.
Depuis l’arrivée de Syriza au pouvoir en Grèce, deux logiques s’affrontent au sein de la zone euro, sur les plans à la fois économique et politique.
D’un côté, les membres de l’Eurogroupe conditionnent leur soutien financier à une consolidation budgétaire drastique et à des «réformes structurelles» allant dans le sens d’une déréglementation des marchés des biens et du travail. De plus, les autorités européennes affirment que les choix démocratiques d’un peuple ne peuvent pas contrevenir aux traités européens, ni aux exigences des créanciers publics d’un pays. En somme, quels que soient les choix politiques du peuple grec, il lui est dénié la possibilité de rester dans la zone euro et d’y mener des politiques alternatives, sous peine de blocus financier et monétaire.
Lire la suite
______________________
______________________ -
Clara Jamart, responsable du programme "plaidoyer pour la sécurité alimentaire" chez Oxfam