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Actualités socialistes - Page 143

  • Le Vent se léve - Le tournant étatiste de la Chine : un retour au socialisme des origines ?

    Entre la mise au pas d’Alibaba et les attaques du Parti communiste chinois (PCC) contre les grandes entreprises privées, la Chine connaît un indéniable tournant étatiste. En Occident, certains n’ont pas manqué d’y voir le signe d’un retour aux fondements idéologiques du Parti — que ce soit pour le saluer ou pour le déplorer. On aurait tôt fait d’y voir une résurgence du socialisme des origines : cette inflexion anti-libérale est en réalité le fruit de difficultés structurelles qui grèvent la croissance chinoise et mettent à mal le modèle exportateur qui avait fait la prospérité du pays pendant trois décennies. Alors qu’il multiplie les mesures punitives contre les grandes entreprises, le parti-État met également au pas les travailleurs. Article de Ho-fung Hun, professeur d’économie à l’université John Hopkins, publié sur Jacobin et traduit par Marc Lerenard.

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  • ÉLECTRICITÉ: LA FRANCE AU BORD DU GOUFFRE

    Les factures d'électricité et de gaz ont explosé en 2021-2022, et la production électrique française a souffert. Mais si on n'agit pas très rapidement, ça ne sera qu'un avant-goût de ce qui arrive. Dans cette vidéo, on présente l'effet falaise de la fermeture des centrales nucléaires.

  • France Info - "François est prêt, en avant !" : à gauche, le tweet de Jean-Luc Mélenchon sur François Ruffin laisse sceptique

    Jean-Luc Mélenchon, en réaction à un sondage autour de la présidentielle 2027, s'est félicité de passer la barre des 20% avec François Ruffin. Ce qui laisse toutefois sceptiques des politiques de gauche.
     
    "François est prêt. En avant !", a écrit mercredi le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, semblant adouber François Ruffin pour la prochaine présidentielle, à la suite d'un sondage de "potentiel électoral" flatteur pour le député de la Somme. Selon une étude Cluster 17 pour Le Point, si la présidentielle avait lieu demain, 39% des personnes interrogées estiment leur vote "probable" ou possible" pour Marine Le Pen, qui arrive en tête. Derrière, Édouard Philippe (25% de potentiel électoral), Jean-Luc Mélenchon (24%), Jordan Bardella (23%) et François Ruffin (21%) se tiennent en respect.
     
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    Il semblait avoir les faveurs insoumises pour 2027. «C'est gentil, mais ce n'est pas le moment», a balayé ce jeudi François Ruffin sur Franceinfo. «Il y a un homme seul là-haut (Emmanuel Macron). Il faut une équipe plurielle en face», a-t-il poursuivi. Dans un tweet, publié mercredi, Jean-Luc Mélenchon a pourtant ouvert la voie à une possible candidature de François Ruffin à l'élection présidentielle de 2027. «François est prêt. En avant !», a assuré le leader insoumis, en réaction à un sondage réalisé par le laboratoire d'opinion Cluster 17 pour le journal Le Point
     

    Jeudi, Jean-Luc Mélenchon avait tweeté « François est prêt. En avant ! », semblant apporter son soutien à François Ruffin pour la prochaine présidentielle.

    Le député François Ruffin est resté prudent jeudi sur le soutien qu'a semblé lui apporter la veille le leader Insoumis Jean-Luc Mélenchon pour la prochaine présidentielle, jugeant que c'était « gentil » mais que ce n'était « pas le moment ». « Je dis merci, c'est sympa tout ça, c'est gentil, mais ce n'est pas le moment », a expliqué le député de la Somme sur France Info.

    Le Figaro - Réintégration d'Adrien Quatennens : «Je suis toujours favorable à une année sabbatique», lâche François Ruffin

    Qui a voté contre la réintégration d'Adrien Quatennens au sein du groupe LFI ? Le vote est secret mais à l'écoute de certaines déclarations, l'on peut avoir une petite idée... La «position» de François Ruffin, elle, n'a pas changé : «Je suis toujours favorable à une année sabbatique», lâche le député insoumis sur France Info.

  • France Culture : Marc Dugain : "Le pouvoir a sa propre narration qui est en dehors du réel"

    L'écrivain et réalisateur Marc Dugain nous fait entrer dans la tête d'un président de la République dans un futur prochee avec son nouveau roman, "Tsunami".

  • Le communisme de droite - Le Moment Meurice

    Aujourd'hui, Guillaume Meurice revient sur la nomination de Fabien Roussel a la tête du Parti Communiste Français.

  • Le Figaro : Avec leur nouvelle chaîne Twitch, les socialistes tentent d'investir les réseaux sociaux

    Le patron des députés PS, Boris Vallaud, débarque sur la plateforme Twitch avec son collègue Philippe Brun. Un moyen de dépoussiérer l'image du vieux parti à la rose.

    Il y a comme un air de Starsky et Hutch, la Ford Torino rouge en moins. Dans son bureau qui jouxte l’Assemblée nationale, où ses équipes ont bricolé à la va-vite un studio, Philippe Brun livre sa recette : «Deux députés socialistes ringards, une webcam et un tchat.» L’élu de l’Eure a trouvé son Hutch, blond comme le vrai, en Boris Vallaud, patron des députés PS. Ensemble, ils ont lancé mercredi 5 avril leur émission hebdomadaire «Boris et Philippe», diffusée sur la plateforme Twitch. Un réseau social de «niche», prisé par les fans de jeux vidéo et devenu, au fil des campagnes, un nouveau terrain de conquête politique. En moins d’une heure, face caméra, le duo de socialistes présente sa revue de presse, ponctuée de blagues et d’anecdotes. Mais sans perdre de vue le message politique : on y parle nationalisation d’EDF, fraude fiscale, 49.3… «Darmanin, on va lui faire son compte ce soir», prévient Philippe Brun, qui a fait tomber la cravate pour l’occasion.

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  • Sondage : la grogne et les vraies priorités économiques et sociales des Français [Olivier Passet]

    Depuis la réélection d'Emmanuel Macron, la réforme des retraites monopolise le débat, reléguant au second plan les difficultés et les aspirations mises à jour par la crise sanitaire ou la guerre en Ukraine. Rarement les citoyens n'auront été percutés dans un temps si bref par autant d'enjeux existentiels : prise de conscience du délabrement et de la sous-capacité de notre système de santé, hyper-vulnérabilité de nos approvisionnements stratégiques, défaut de reconnaissance sociale des travailleurs « invisibles », enchaînement de catastrophes climatiques, repolarisation hostile du monde.

    Or c'est ce moment de l'Histoire qu'Emmanuel Macron choisit pour rejouer la partition du « no alternative » thatchérien. Face à un front du refus qui rallie deux tiers de l'opinion, mille interprétations se bousculent : lassitude, crispation sur les acquis sociaux, rejet des élites, etc. Des interprétations qui réduisent complaisamment l'opinion française à sa dimension «réfractaire », arc-boutée sur les acquis sociaux. Mais renversons la perspective : que souhaitent au juste les Français ? Ne sont-ils que dans la résistance au changement ou aspirent-ils à autre chose ? Le sondage OpinionWay réalisé pour les Printemps de l'économie, a précisément pour but d'analyser les domaines d'engagement auxquels les Français accordent le plus d'importance, ainsi que les acteurs et les moyens qu'ils souhaitent pour les incarner. Sa lecture nous livre un éclairage nouveau sur les racines de leur mécontentement. [...]

  • Boris Vallaud au Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro

    France Info - Réforme des retraites : Boris Vallaud décrit Emmanuel Macron comme "un forcené" à l'origine d'"un coup de force démocratique"

    "L'obstination est mauvaise conseillère", a estimé dimanche le chef de file des députés socialistes lors du "Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro", évoquant un chef de l'Etat "retranché à l'Élysée".
    La mobilisation contre la réforme des retraites continue à gauche. Le chef de file des députés PS, Boris Vallaud, s'en est à nouveau pris à Emmanuel Macron, dimanche 9 avril lors de l'émission "Le Grand JuryRTL-LCI-Le Figaro". Le socialiste a décrit le chef de l'Etat comme un "forcené (...) retranché à l'Elysée".  Le député des Landes l'a également accusé d'avoir provoqué une crise et un "coup de force démocratique" en "brutalisant" le Parlement et en n'écoutant pas la rue sur la réforme des retraites.
     
     
    Boris Vallaud tire à boulets rouges sur le chef de l'État. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le patron des députés socialistes a tancé un président «forcené», «retranché à l'Élysée» et guidé par sa seule «obstination» sur la réforme des retraites. «Je n'accepte pas qu'Emmanuel Macron qu'il a mandat pour appliquer cette réforme», a-t-il déploré. Auditionné par le Conseil constitutionnel, Boris Vallaud a «de grands espoirs» que le texte soit censuré par les neuf juges. L'institution de la rue Montpensier doit trancher, jeudi 14 avril, sur la conformité du projet de loi à la Constitution. «Nous contestons la clarté et la sincérité du débat que nous avons eu», a fait valoir Boris Vallaud, rappelant que les Sages se prononcent «en droit» et non sur le «fond».
     
     
    INVITÉ RTL - Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée, a critiqué "l'obstination" du président de la République, dimanche 9 avril lors du "Grand Jury RTL - Le Figaro - LCI".
     
    Boris Vallaud, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, a vivement critiqué "l'obstination" d'Emmanuel Macron vis-à-vis de la réforme des retraites. "Certains présidents se grandissent d'écouter leur contradicteur, ça a été le cas pour le CPE ou encore pour les manifestations contre l'école libre sous François Mitterrand. De temps en temps l'obstination est mauvaise conseillère, on a un président qui est un forcené", est allé jusqu'à estimer le député socialiste.