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Actualités socialistes - Page 1213

  • France Culture - Finance et politique : les liaisons dangereuses

    Révélée en milieu de semaine dernière, l’arrivée de José Manuel Barroso chez Goldman Sachs a soulevé une vague de protestations… mais d’ordre très différent.

    Pour certains c’est, en soit, le passage de l’ancien président de la Commission Européenne à une banque d’affaire qui pose problème. Il n’est certes pas le premier mais prête le flanc de façon caricaturale à l’accusation d’appartenir à ces élites déconnectées au service de la finance plutôt que de l’intérêt général.

    D’autres se sont montrés plus nuancés : c’est le choix de Barroso d’aider spécifiquement Goldman Sachs à gérer l’après Brexit qui est critiqué. L’éthique personnelle aurait dû guider le Portugais à refuser d’intégrer cette banque qui a largement participé à la crise des subprimes et s’est illustré, dans le maquillage des comptes Grecs.

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  • OFCE - Le référendum britannique du 23 juin 2016 : le saut dans l’inconnu Par Catherine Mathieu

    13 juillet 2016

    Le 23 juin 2016, les Britanniques ont décidé (par 52% contre 48%) de sortir de l’Union européenne. Après avoir longtemps critiqué le fonctionnement de l’UE et les contraintes qu’il faisait porter sur le Royaume-Uni, David Cameron avait obtenu, le 19 février 2016, un accord censé permettre le maintien du Royaume-Uni dans l’UE, mais cela n’a pas suffi à convaincre les électeurs. Dans le Policy Brief de l’OFCE (n°1 du 13/07), nous montrons que plus que des arguments économiques, c’est le souci des Britanniques de préserver (ou de retrouver) leur souveraineté politique qui a compté.

    La sortie de l’UE est, pour reprendre l’expression de David Cameron, « un saut dans l’inconnu », et l’on ne peut qu’élaborer des scénarios sur la base d’hypothèses quant à l’issue des négociations qui vont s’engager avec l’Union européenne : scénario rose où les deux parties voudront maintenir au maximum les liens existants, scénario noir où l’UE voudrait faire un exemple et le Royaume-Uni deviendrait un paradis fiscal et réglementaire.

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  • Michel Rocard : «J’irai dormir en Corse»

    Dans ce texte écrit deux ans avant sa mort, l’ancien Premier ministre, qui n’a «pas une goutte de sang corse» explique pourquoi il voulait reposer à Monticello. Lues par son fils aîné lors de la cérémonie au temple de l’Etoile, ces lignes nous ont été transmises par un ami de la famille.

    Le temps viendra bientôt, pour moi, comme pour tous, de quitter la compagnie des vivants. Enfant de la guerre, préservé presque par hasard des souffrances les plus atroces qu’elle a pu engendrer, j’en ai côtoyé le risque d’assez près pour avoir ensuite voulu découvrir, observer, savoir, analyser, comprendre, visiter aussi les lieux d’horreur d’Alsace, d’Allemagne, de Pologne, plus tard d’Algérie ou du Rwanda. Toute mon adolescence, j’ai rêvé que ma trace soit porteuse de paix. Je ne pense pas avoir manqué à ce vœu. Certains le savent encore en Algérie, tous en Nouvelle-Calédonie, je fus un combattant de la paix. N’était la violence des hommes, la nature étant si belle, la vie aurait toutes ses chances d’être merveilleuse si nous savions y créer l’harmonie. Ce fut l’effort de mon parcours.

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  • JDD - Contre la loi Travail, 58 députés préviennent que "la bataille ne fait que commencer"

    TRIBUNE - Cinquante-huit députés, très majoritairement de gauche, réagissent à l'utilisation du 49-3 par le gouvernement pour faire passer la loi Travail en force en dernière lecture à l'Assemblée. "On aurait tort de croire le débat clos avec l’adoption de la loi Travail. Il ne fait au contraire que commencer. Nous y prendrons toute notre part", avertissent-ils.

    Voici la tribune des 58 députés : "Ce mercredi 20 juillet, la loi Travail a donc été définitivement adoptée. Au cœur de l’été, il ne faut pas lâcher,mais continuer à dire pourquoi ce fut le moment le plus insupportable de ce quinquennat pour qui ne se résigne pas à la dégradation des droits des salariés français et au déni de démocratie.

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  • Jean-Marie Le Guen, invité de RTL le 22 juillet 2016


    Jean-Marie Le Guen, invité de RTL le 22 juillet... par rtl-fr

  • Non Fiction - Dossier : La Turquie d'Erdogan, au-delà du coup d'Etat

    Après l'échec de la tentative de coup de force qui a secoué la Turquie dans la nuit du 16 au 17 juillet, Nonfiction vous propose de redécouvrir certains de nos articles consacrés à la Turquie et à son actuel président, Recep Tayyip Erdogan.

    Pour mieux comprendre les clivages qui partagent la société turque et les grands enjeux politiques de la Turquie. Pour replacer l'actualité brûlante dans le temps long. Mais aussi pour soumettre les analyses passées à l'épreuve du temps.

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  • Libé - Les réfugiés, «Michel», les maires et nous, les rocardiens Par Roland Ries, Maire (PS) de Strasbourg — 13 juillet 2016

    Après les hommages, retour sur une petite phrase qui fit polémique mais qui était amputée de sa partie la plus importante.

    Pour bien comprendre Michel Rocard, il fallait l’écouter jusqu’au bout. Jusqu’au bout de sa logique. Jusqu’au bout de ses formules. Jusqu’au bout de ses argumentations. Ce n’était pas toujours facile… seul le point final donnait quitus pour interpréter la vérité, parfois complexe et toujours subtile, de son propos. La précipitation menait invariablement à l’imprudence. Ainsi, depuis plus de vingt-cinq ans, bon nombre d’observateurs politiques ont préféré faire une exploitation sélective, très intéressée, des différentes versions de «la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde…» Recomposée après plusieurs variations sur un même thème entre 1989 et 1993, cette célèbre citation a été régulièrement amputée de sa chute : «…mais elle doit en prendre toute sa part». Toute la force du message était pourtant contenue dans cette conclusion volontariste, l’attaque n’exprimant que la nuance. A la fin de sa vie, soucieux d’en finir avec la controverse, Michel a choisi des mots beaucoup plus crus pour dire sa «honte» devant le sort réservé aux réfugiés par une Europe dénaturée : «Une somme de pays [qui] négocie le moyen de limiter le nombre de migrants qu’ils vont recevoir. Tout cela est abominable.»

    Une chose est claire : pour lui, et pour nous, «les rocardiens», la solidarité qui transcende les frontières n’est pas seulement une idée, un point de vue, un concept qui resterait à débattre ou, pire, un quota parcimonieux à calculer. C’est un devoir. C’est une dignité. Une «part» d’humanité non négociable dont, hélas, les opinions publiques délèguent la charge aux gouvernements, habitude bien commode, quand elle devrait être partagée par la société tout entière.

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  • David Chopin - Non, la social-démocratie n’est pas l’accord d’entreprise…

    Prenons le temps de la réflexion et du long terme pour comprendre la véritable signification de la «Loi Travail». Les débats se sont achevés hier, avec l’utilisation de l’article 49.3. Ce texte est un ensemble (trop) touffu de dispositions, dont la rédaction de l’article 2 a finalement fait l’objet du plus de polémiques. Gageons qu’il ne va pas, à lui seul, créer « l’inversion de la hiérarchie des normes ». Mais il participe à un mouvement de fond de la forme iconoclaste de la social-démocratie à la française.

    En effet, depuis les « Lois Auroux » de 1982, jusqu’aux « 35 heures » de Martine Aubry, ensuite retouché en 2004 et 2008 par la droite ; ainsi droite et gauche consacrent un espace normatif dérogatoire à l’accord d’entreprise. La CFDT, principal syndicat réformiste va jusqu’à consacrer ce mouvement sous le sceau de la « démocratie ».

    Reste à savoir si ce mouvement indéniablement français est le même que celui des autres pays « sociaux-démocrates » ?

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  • Le Drian : "Nous avons frappé cette nuit aux environs de Mossoul"


    Le Drian : "Nous avons frappé cette nuit aux... par FranceInfo

  • Le Monde - « Les putschistes ont ouvert un boulevard à Erdogan » Par Ahmet Insel (Politologue et chef du département économie à l’université de Galatasaray)

     La Turquie a frôlé une très grande catastrophe. La tentative de coup d’Etat, qui a fort heureusement échoué, aurait entraîné le pays dans une guerre civile dévastatrice. À une échelle beaucoup plus réduite, c’est ce que nous avons vécu durant environ une demi-journée, dans la nuit de vendredi à samedi : les policiers affrontant les rebelles militaires avec des armes lourdes, des militaires loyalistes se battant contre les putschistes, des soldats tirant sur la foule, des scènes de lynchages de soldats putschistes désarmés, des avions bombardant des bâtiments publics, notamment le parlement… Le bilan humain de cette folle nuit est lourd. Il nous donne un aperçu terrifiant de ce qu’auraient été, dans toute la Turquie, les conséquences de ce coup d’Etat s’il avait un tant soit peu triomphé.
     
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  • Libye : Le Foll confirme la présence de forces spéciales françaises en Libye


    Libye : Le Foll confirme la présence de forces... par FranceInfo